Les travaux du 25e sommet France-Afrique ont débuté hier à Nice avec la participation de près d'une quarantaine de chefs d'Etat et de gouvernement dont le président de la République, Abdelaziz Bouteflika.
Le président français Nicolas Sarkozy s'est engagé à associer l'Afrique dans la gouvernance mondiale notamment le cadre du nouvel ordre mondial. Tout en considérant que le continent africain est «l'avenir de l'Europe», le chef de l'Etat français a appelé, lors de l'ouverture des travaux, la communauté internationale à faire une place à l'Afrique dans la gouvernance mondiale.
Une meilleure représentation africaine au Conseil de sécurité a été également soulignée par le président français Nicolas Sarkozy dans son discours. Des réunions à huis clos avec l'ensemble des chefs d'Etat et de gouvernement africains ont été tenues.
Au programme, il s'agit de la place de l'Afrique dans la «gouvernance mondiale», des modalités d'une meilleure représentation africaine au Conseil de sécurité et au G20, des questions de paix et de sécurité (terrorisme, trafic de drogue et piraterie).
Les questions de climat et du développement ainsi que la création d'une organisation mondiale de l'environnement doivent être également abordées.
Le volet économique du sommet s'articulera autour de six ateliers, consacrés notamment au financement des PME, à la formation professionnelle ou aux sources d'énergie.
Outre les responsables politiques et économiques, des représentants de l'Union européenne, de l'Organisation internationale de la francophonie, de la Commission de l'Union africaine et de la Banque mondiale participeront au sommet, ainsi que le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-Moon. Ce sommet a réuni également 80 chefs d'entreprises français et 150 chefs d'entreprises africains, ainsi que des représentants syndicaux.
Cela dit, les chefs d'Etat et de gouvernement se concerteront sur les voies et moyens à mettre en œuvre pour renforcer le rôle de l'Afrique dans la nouvelle architecture de la gouvernance mondiale et se pencheront sur les modalités d'un appui plus conséquent au système de sécurité collectif mis en place par l'Union africaine pour relever les défis de la stabilité, de la paix et de la sécurité sur le continent.
Pour faire face au phénomène de la «mondialisation», l'Afrique devra consolider sa place au sein des instances internationales et engager le débat sur la réforme du Conseil de sécurité de l'Onu. La présence de l'Algérie à cette rencontre a été saluée.
Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a été accueilli hier en début d'après-midi par son homologue français, Nicolas Sarkozy, à son arrivée au palais Acropolis de Nice où se déroulent les travaux du 25e sommet France-Afrique.
Les deux chefs d'Etat ont échangé quelques propos et posé pour les photographes de presse avant que le président Bouteflika ne prenne sa place parmi les chefs d'Etat et de gouvernement participant au sommet.
Pour le chef de la diplomatie algérienne, la présence de l'Algérie au sommet Afrique-France contribuera à approfondir les discussions sur les questions africaines et bilatérales.
Synthèse F. B.
Le président français Nicolas Sarkozy s'est engagé à associer l'Afrique dans la gouvernance mondiale notamment le cadre du nouvel ordre mondial. Tout en considérant que le continent africain est «l'avenir de l'Europe», le chef de l'Etat français a appelé, lors de l'ouverture des travaux, la communauté internationale à faire une place à l'Afrique dans la gouvernance mondiale.
Une meilleure représentation africaine au Conseil de sécurité a été également soulignée par le président français Nicolas Sarkozy dans son discours. Des réunions à huis clos avec l'ensemble des chefs d'Etat et de gouvernement africains ont été tenues.
Au programme, il s'agit de la place de l'Afrique dans la «gouvernance mondiale», des modalités d'une meilleure représentation africaine au Conseil de sécurité et au G20, des questions de paix et de sécurité (terrorisme, trafic de drogue et piraterie).
Les questions de climat et du développement ainsi que la création d'une organisation mondiale de l'environnement doivent être également abordées.
Le volet économique du sommet s'articulera autour de six ateliers, consacrés notamment au financement des PME, à la formation professionnelle ou aux sources d'énergie.
Outre les responsables politiques et économiques, des représentants de l'Union européenne, de l'Organisation internationale de la francophonie, de la Commission de l'Union africaine et de la Banque mondiale participeront au sommet, ainsi que le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-Moon. Ce sommet a réuni également 80 chefs d'entreprises français et 150 chefs d'entreprises africains, ainsi que des représentants syndicaux.
Cela dit, les chefs d'Etat et de gouvernement se concerteront sur les voies et moyens à mettre en œuvre pour renforcer le rôle de l'Afrique dans la nouvelle architecture de la gouvernance mondiale et se pencheront sur les modalités d'un appui plus conséquent au système de sécurité collectif mis en place par l'Union africaine pour relever les défis de la stabilité, de la paix et de la sécurité sur le continent.
Pour faire face au phénomène de la «mondialisation», l'Afrique devra consolider sa place au sein des instances internationales et engager le débat sur la réforme du Conseil de sécurité de l'Onu. La présence de l'Algérie à cette rencontre a été saluée.
Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a été accueilli hier en début d'après-midi par son homologue français, Nicolas Sarkozy, à son arrivée au palais Acropolis de Nice où se déroulent les travaux du 25e sommet France-Afrique.
Les deux chefs d'Etat ont échangé quelques propos et posé pour les photographes de presse avant que le président Bouteflika ne prenne sa place parmi les chefs d'Etat et de gouvernement participant au sommet.
Pour le chef de la diplomatie algérienne, la présence de l'Algérie au sommet Afrique-France contribuera à approfondir les discussions sur les questions africaines et bilatérales.
Synthèse F. B.
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