阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Tuesday, September 21, 2010

Mr Slim Othmani, le Président du conseil d’administration de NCA-Rouiba, à El Khabar :



« Nous exportons nos produits aux marchés africains et nous comptons les diversifier »



Le président du conseil d'administration de NCA-Rouiba, Slim Othmani, vient de révélé un projet prometteur adopté par son entreprise, ayant pour objet la diversification et l’exportation de ses produits vers des marchés étrangers, poursuivant que 30 produits sont manufacturés par son entreprise, dont une partie a été exportée. Dans le même sillage, M. Othmani, a indiqué que sa boite fait face à quelques difficultés liées à la rude concurrence.

Le budget alloué par la compagnie pour l’appui et la diversification de la production pendant les toutes dernières a atteint 10 millions d’euros, a-t-il ajouté, soulignant que son entreprise a déjà exporté vers quelques marchés africains, au Canada, en Angleterre, en France et en Suisse. Abondant dans le même contexte, M. Othmani a précisé que sa compagnie fait face à quelques difficultés liées à l’exportation à l’instar de la majorité des boites algériennes, notamment en ce qui concerne l’ouverture des lettres de crédit, ce qui augmente le coût des produits et cause des retards dans l’exportation. Selon le même interlocuteur, uniquement en 2009, NCA-Rouiba a exporté plus de 120 millions de boites de jus.

Parmi les projets dans lesquels compte s’engager l’entreprise à cours terme, l’entrée à la Bourse d’Alger, la diversification des produits et leur mise en conformité avec les normes internationales en vigueur.

Les brésiliens relancent les négociations concernant l’exploitation de Ghar Djbilet



La visite effectuée par la délégation d’hommes d’affaires Brésilienne en Algérie, conduite par le ministre de l’Industrie, du développement et du commerce extérieur, M. Miguel Georgi a permis de relancer les contacts entre le numéro un brésilien dans le domaine minier « VAL » et les responsables du secteur des mines en Algérie.
Les responsables de la compagnie brésilienne ont réaffirmé leur intérêt de participer au projet de développement du gisement de fer de Ghar Gbilet à Tindouf, au sud ouest de l’Algérie en plus du gisement de Machri Abdelaziz et de permettre à l’Algérie d’exploiter sa plus grande réserve de fer, après plusieurs années d’expérimentation.
Le ministre brésilien de l'Industrie, du Développement et du Commerce extérieur, M. Miguel Jorge a précisé que cette visite lui permettra, grâce aux rencontres prévues avec plusieurs responsables algériens, de "discuter des stratégies mises en place par la partie algérienne pour développer les relations économiques bilatérales".
Il a ajouté que la délégation regroupait des d'hommes d'affaires et de chefs d'entreprises brésiliennes activant dans plusieurs secteurs notamment la construction, le génie civil et les industries militaire et agroalimentaire et présentes dans de nombreux pays.
Le ministre brésilien a indiqué que cette visite était sa deuxième en Algérie, après celle de 2009 au cours de laquelle il était accompagné d'une délégation composée de 30 opérateurs brésiliens spécialisés dans différents domaines, précisant que cette visite avait "permis de définir les secteurs de coopération et de partenariat bilatéral". M. Jorge est arrivé à la tête d'une délégation composée de 14 entreprises brésiliennes activant dans les secteurs de la construction, des travaux publics et des industries agroalimentaire et militaire.
Cette visite s'inscrit dans le cadre de la mise en oeuvre des recommandations de la commission mixte algéro-brésilienne qui a tenu sa dernière réunion en juillet dernier au brésil.
MM. Jorge et Mohamed Benmeradi, ministre de l'Industrie, de la petite et moyenne entreprise, et de la promotion de l'investissement, présideront, jeudi, l'ouverture des travaux du forum qui réunira les hommes d'affaires des deux pays. Le ministre brésilien devrait être reçu par plusieurs responsables algériens notamment les ministres du commerce, de l'agriculture et du développement rural et des travaux publics.

Algerie Quels objectifs pour l'Afrique ?



L'ouverture du Sommet sur les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD), qui vient de s'ouvrir au siège des Nations unies, en marge de la tenue de l'Assemblée générale de l'organisation, va se pencher sur les huit thèmes appelés OMD décidés en 2000 pour soi-disant lutter contre la pauvreté et la misère dans le monde. La majorité de ces objectifs, voilà dix ans de depuis leur lancement, sont loin d'être atteints, notamment pour nombre de pays africains. Les maigres progrès réalisés, notamment dans la lutte contre la misère, la santé, le SIDA, l'éducation, ne sont nullement encourageants. Le suivi et les moyens mis à la disposition de cette opération à l'horizon 2015 ne sont pas à la hauteur des ambitions des populations africaines, tant il y a des péripéties qui continuent de compromettre les promesses de dons et d'aide. A titre de comparaison, l'OCDE indique que laide publique au développement a beaucoup augmenté dans les dernières années, pour atteindre des niveaux quasi historiques et atteindre 120 milliards de dollars. Ainsi, certains pays de l'OCDE, qui réunit les 31 pays les plus riches de la planète, sont arrivés à un seuil d'aide de 0,7 %, alors d'autres en sont encore loin. Il y a une moyenne de 0,5 % pour les pays de l'Union européenne. Le continent africain n'en a pas moins été ciblé dans aucun plan de " sauvetage " précis, les engagements notamment ceux pris au G8 à Gleneagles en juillet 2005, sont devenus presque lettre morte. Il manque 18 milliards de dollars à débloquer et c'est bien sûr l'Afrique qui en pâtit et qui continue à vivre dans le désespoir. Si le sommet sur les OMD, organisé par l'ONU, couronne une initiative d'une décennie à cinq années de sa clôture, les Etats africains attendent toujours que la communauté internationale et les pays riches, plus particulièrement, tiennent leurs promesses, et manifestent concrètement leur volonté d'aide envers le continent meurtri par beaucoup de phénomènes. L'atteinte de ces objectifs du Millénaire, appelle dès lors, une action universelle, car l'Afrique a le droit à la prospérité et au bonheur comme tous les autres continents du monde. Cet objectif dicté par les principes du NEPAD, interpelle en premier lieu les Africains eux-mêmes à répondre aux attentes réelles des populations et ne peut se réaliser qu'avec leur participation active. Il repose d'abord et avant tout sur la mobilisation et la valorisation des ressources naturelles dont dispose le continent. Et comme souligné à chaque forum international par le président Abdelaziz Bouteflika : " l'accompagnement de ces efforts par les partenaires au développement et par la communauté internationale en général reste, évidemment, une exigence incontournable. Pour être réellement effectif, cet accompagnement devrait être centré sur les priorités définies par les Africains eux-mêmes".
Aujourd'hui, le défi des peuples africains, c'est d'entrer dans l'histoire de la mondialisation. Il s'agit de prendre conscience de cette précarité " noire " et de puiser dans des énergies avec force envie d'épouser la place que doit tenir le continent sur la scène internationale. C'est peut-être tout à la fois, tant il y a impatience à sortir de la misère et de la pauvreté, mais il y a réserves et imprécisions de l'autre côté du Nord. Le Nord et le Sud sont mal " charpentés ". On reproche déjà suffisamment à la communauté internationale et aux pays riches de tirer un peu trop la " couverture " à eux seuls, l'idée qui prévaut depuis des décennies est de traiter le continent avec compréhension dans cette universalité. L'ampleur des défis à relever n'est pas à souligner, car dans les conditions actuelles, l'Afrique sera très probablement le seul continent à ne pas atteindre les Objectifs du Millénaire à l'horizon 2015.
Le moment est venu pour la communauté internationale et l'ONU d'agir vite et d'agir ensemble, car les activités du Millénaire en direction de l'Afrique restent limitées dans leur portée. Les partenaires du continent devraient être plus disposés à cette œuvre. Et puis ce serait plus intéressant d'agir ainsi pour cette universalité du développement. Pourtant on sait, dans le Nord, que dans l'Afrique pèse un poids démographique et économique plus important qu'ailleurs. Les peuples africains sont de plus en plus conscients de leur sort. Ils aspirent à s'approprier la paix, la liberté, les droits de l'homme, la démocratie, l'égalité, la civilisation des hommes. Voilà pourquoi le sommet sur les OMD devrait être beaucoup plus porté sur la conception d'un ensemble de rapports entre les Etats africains, la communauté internationale et l'ONU afin de trouver l'occasion de " réanimer " les sources d'aide et les promesses en faveur de l'Afrique avec des ressources complémentaires, et une certitude que, dans les cinq années à venir le continent compensera ses retards d'intégration successive.
B. Chellali

Une nouvelle vision du commerce au Maghreb et en Europe



Maghreb Boutique
Maghreb Boutique se veut être un point d'attache pour les Maghrébins du monde entier à leurs pays d'origine. C'est ainsi qu'après avoir investit le domaine du e-commerce intermaghrébin avec grand succès, durant la coupe du monde 2010, l'enseigne lance et commercialise une nouvelle collection de vêtements 100% traditionnels. Au programme, des djellaba et gandroua femme, des babouches en cuir pour hommes et pour femmes, des tuniques, des sarouel, des porte-monnaie touareg en cuir et plein d'autres choses encore. L'objectif de Maghreb Boutique est de promouvoir les produits d'Algérie, du Maroc et de Tunisie, et de se positionner comme la première boutique e-commerce auprès de la diaspora maghrébine.
Il faut rappeler, dans ce sens, que Maghreb boutique a lancé les tee-shirts Maghreb Boutique lors de la coupe du monde de football et la participation de l'Algérie. Le top départ a été donné quelques jours avant la Coupe du monde pour fêter le retour des Fennecs dans le football mondial. Maghreb Boutique est la première boutique e-commerce dédiée à la fois aux produits traditionnels maghrébins (gandouras, babouches …), et aux produits plus modernes (tee-shirts, écharpes …) sérigraphiés aux couleurs algériennes, marocaines et tunisiennes. Qu'ils soient en France, en Belgique ou au Canada, ils peuvent désormais acquérir des produits du Maghreb, sans avoir à attendre l'été et le retour au bled. Par ailleurs, Maghreb Boutique a été présente durant toute la Coupe du monde pour faciliter l'achat aux supporters des Fennecs et sera présente à chaque événement maghrébin. Les produits de Maghreb Boutique intéressent aussi bien les Algériens, Marocains et Tunisiens, que les Européens et Canadiens. Signe qu'il existe de part, le monde des amoureux de l'Afrique du Nord de toutes les nationalités. Maghreb-boutique.com est une boutique en ligne spécialisée dans les produits algériens, marocains et tunisiens. Du prêt-à-porter aux objets de décoration en passant par les produits culturels, Maghreb Boutique offre aux Maghrébins d'Europe la possibilité de garder un lien avec leurs pays à travers des produits de qualité.
K.B.

Algerie miser sur les entreprises locales


Programmes de développement

L'Algérie cherche à changer sa façon de faire des affaires : elle voudrait accorder davantage la priorité aux entreprises nationales et durcir les critères relatifs aux sociétés étrangères qui cherchent à obtenir une part du gâteau de cette économie en croissance rapide. Néanmoins, "on ne sait pas encore si ces nouvelles réglementations seront appliquées de façon stricte, sachant que le gouvernement avait fait appel à des entreprises d'Europe, de Russie, des Etats-Unis et d'Asie pour qu'elles investissent dans l'économie algérienne. De plus, bien que le gouvernement accélère le développement de grandes entreprises dans le secteur privé, ce processus prend du temps et, du moins dans certains domaines, les fournisseurs de services locaux ne pourront pas répondre aux exigences établies par l'Etat", note le dernier rapport du cabinet de consulting britannique Oxford Business Group. Celui-ci rappelle que quelque 130 milliards de dollars du programme d'investissement de 2010-2014 doivent être dépensés dans des domaines d'envergure, tels que les infrastructures de transport et de services. Le reste du budget doit être utilisé pour d'autres travaux publics et pour des projets de logement, ainsi que pour des programmes d'appui aux secteurs de l'agriculture, de l'éducation, de la formation et de l'aide au commerce. Ce programme, d'une durée de cinq ans, représente une occasion en or pour les entreprises, et de nombreuses sociétés étrangères ont déjà manifesté leur intérêt. En effet, certains des anciens projets algériens d'infrastructures avaient été accordés à de grandes sociétés internationales provenant de pays allant de l'Espagne à la Chine. Aussi, Oxford business Group note que "pour que le gouvernement atteigne tous les objectifs qu'il s'est fixés dans le cadre de ce programme, il faudra qu'il réussisse à trouver ce délicat équilibre qui consiste à encourager l'engagement des entreprises étrangères qui apporteront leur savoir-faire tout en amplifiant le rôle joué par les sociétés locales dans l'expansion de l'économie".
Il rappelle, dans ce contexte, que dans le cadre de nouvelles règles annoncées à la mi-juillet, les sociétés locales bénéficieront d'un traitement préférentiel lors des appels d'offres publiques, dans la mesure où leurs propositions ne dépassent pas plus de 25% celles des entreprises étrangères. Les anciennes règles fixaient cette limite à 15%. Les réglementations prévoient également que tous les contrats publics doivent faire l'objet d'un appel d'offres à l'échelle nationale auquel seules les sociétés algériennes peuvent répondre. Les sociétés étrangères ne seront invitées à effectuer leur soumission que si le contrat n'est pas accordé à une entreprise locale. Le changement doit être consolidé par le gouvernement au moment où il remettra un budget supplémentaire, ce qu'il devrait faire au courant du mois d'août. Le ministre des Finances, Karim Djoudi, a annoncé que la loi extrabudgétaire mettra l'accent sur la volonté du gouvernement à acheter local. "La loi budgétaire de 2010 correspond à ce qui a déjà été décidé : les sociétés nationales représentent une priorité", a expliqué M. Djoudi le 22 juillet dernier. En plus des efforts visant à favoriser l'engagement à l'échelle locale par le biais des soumissions et des projets, le gouvernement considère également l'adoption d'une loi qui prévoirait la manière dont l'Etat déterminerait le prix des entreprises possédées par les étrangers qu'il voudrait acheter. Si cette loi est édictée, lorsque l'Etat voudra acheter des actions d'entreprises algériennes possédées par des sociétés étrangères, le prix sera fixé par l'évaluation d'un expert et non par la valeur sur le marché. Cette mesure permettrait à l'Etat de combattre la spéculation, de faciliter l'accès à l'investissement international aux sociétés locales et de "protéger l'économie nationale des effets négatifs de la crise financière mondiale". OBG note enfin que ces nouvelles réglementations sont loin d'être exclusives à l'Algérie : on a recours à la passation de marchés et aux règles d'appel d'offres préférentielles partout dans le monde, que ce soit aux Etats-Unis, en Afrique du Sud ou au Brésil.
Klilya B.

Algérie : miser sur le local


Poste par Sat

Algérie : miser sur le local
Poste par Sat

L’Algérie cherche à changer sa façon de faire des affaires : elle voudrait accorder davantage la priorité aux entreprises nationales et durcir les critères relatifs aux sociétés étrangères qui cherchent à obtenir une part du gâteau de cette économie en croissance rapide.

Dans le cadre de nouvelles règles annoncées à la mi-juillet, les sociétés locales bénéficieront d’un traitement préférentiel lors des appels d’offres publiques, dans la mesure où leurs propositions ne dépassent pas de plus de 25% celles des entreprises étrangères. Les anciennes règles fixaient cette limite à 15%.

Les réglementations prévoient également que tous les contrats publics doivent faire l’objet d’un appel d’offres à l’échelle nationale auquel seules les sociétés algériennes peuvent répondre. Les sociétés étrangères ne seront invitées à effectuer leur soumission que si le contrat n’est pas accordé à une entreprise locale.

En annonçant les nouvelles mesures, le président Abdelaziz Bouteflika a expliqué que si les sociétés étrangères avaient un rôle à jouer en Algérie, les changements des réglementations nationales étaient nécessaires pour aider les entreprises du pays et réduire le chômage, notamment parmi les jeunes.

« C’est à nos hommes d’affaires qu’il revient de saisir les occasions offertes par le programme d’investissement public, ainsi que de profiter du traitement préférentiel qu’on leur accorde », a déclaré M. Bouteflika. « [Par ailleurs], il revient aux entreprises étrangères intéressées par le marché algérien de se joindre à nous sur le chemin d’un partenariat gagnant et, en échange des contrats qu’elles obtiendront, de prendre part à la modernisation de nos propres entreprises », a-t-il ajouté.

Le changement doit être consolidé par le gouvernement au moment où il remettra un budget supplémentaire, ce qu’il devrait faire au courant du mois d’août. Le ministre des Finances, Karim Djoudi, a annoncé que la loi extrabudgétaire mettra l’accent sur la volonté du gouvernement à acheter local.

« La loi budgétaire de 2010 correspond à ce qui a déjà été décidé : les sociétés nationales représentent une priorité », a expliqué M. Djoudi le 22 juillet dernier.

En plus des efforts visant à favoriser l’engagement à l’échelle locale par le biais des soumissions et des projets, le gouvernement considère également d’ une loi qui prévoirait la manière dont l’Etat déterminerait le prix des entreprises possédées par les étrangers qu’il voudrait acheter. Si cette loi est édictée, lorsque l’Etat voudra acheter des actions d’entreprises algériennes possédées par des sociétés étrangères, le prix sera fixé par l’évaluation d’un expert et non par la valeur sur le marché.

Selon le projet de loi cité par Reuters le 20 juillet dernier, cette mesure permettrait à l’Etat de combattre la spéculation, de faciliter l’accès à l’investissement international aux sociétés locales et de « protéger l’économie nationale des effets négatifs de la crise financière mondiale ».

Ces nouvelles réglementations sont loin d’être exclusives à l’Algérie : on a recours à la passation de marchés et aux règles d’appel d’offres préférentielles partout dans le monde, que ce soit aux Etats-Unis, en Afrique du Sud ou au Brésil. Cependant, les réformes limiteront la capacité des sociétés étrangères à concurrencer les sociétés locales pour les appels d’offres lancés dans le cadre d’un programme d’investissement massif du gouvernement. Ce programme, annoncé au milieu de l’année, prévoit l’injection par l’Etat de quelque 286 milliards de dollars dans des projets visant à élargir et à diversifier la base économique du pays, de façon à créer des centaines de milliers d’emplois et à encourager et à appuyer les entreprises du secteur privé.

Quelque 130 milliards de dollars du programme d’investissement de 2010-2014 doivent être dépensés dans des domaines d’envergure, tels que les infrastructures de transport et de services. Le reste du budget doit être utilisé pour d’autres travaux publics et pour des projets de logement, ainsi que pour des programmes d’appui aux secteurs de l’agriculture, de l’éducation, de la formation et de l’aide au commerce.

Ce programme d’une durée de cinq ans représente une occasion en or pour les entreprises et de nombreuses sociétés étrangères ont déjà manifesté leur intérêt. En effet, certains des anciens projets algériens d’infrastructure avaient été accordés à de grandes sociétés internationales provenant de pays allant de l’Espagne à la Chine.

On ne sait pas encore si ces nouvelles réglementations seront appliquées de façon stricte, sachant que le gouvernement avait fait appel à des entreprises d’Europe, de Russie, des Etats-Unis et d’Asie pour qu’elles investissent dans l’économie algérienne. De plus, bien que le gouvernement accélère le développement de grandes entreprises dans le secteur privé, ce processus prend du temps et, du moins dans certains domaines, les fournisseurs de services locaux ne pourront pas répondre aux exigences établies par l’Etat.

Pour que le gouvernement atteigne tous les objectifs qu’il s’est fixés dans le cadre de ce programme, il faudra qu’il réussisse à trouver ce délicat équilibre qui consiste à encourager l’engagement des entreprises étrangères qui apporteront leur savoir-faire tout en amplifiant le rôle joué par les sociétés locales dans l’expansion de l’économie.

Oxford Business Group

La stratégie commerciale et industrielle de l’Algérie est « légitime », selon Anne-Marie Idrac



« Nous voulons investir à long terme en Algérie », a affirmé Anne-Marie Idrac, en visite à Alger, les 19 et 20 septembre. La secrétaire d’Etat française au Commerce extérieur a qualifié de « légitime » la volonté de l’Algérie de substituer la production nationale aux importations et de développer un tissu industriel pour préparer l’après-pétrole.

Selon les Douanes algériennes, les importations ont légèrement fléchi, en reculant de 21 milliards de dollars au premier semestre 2009 à 19,7 milliards pendant la période correspondante de 2010. D’après la base de données GTA de la société GTIS, la France arrive en tête des pays fournisseurs, avec une part de marché de 16,5 %, devant la Chine (11,8 %). « L’objectif du gouvernement de stabiliser le niveau d’importations est atteint », jugeait ainsi Jérôme Le Hec, responsable chez KPMG Algérie, lors d’un séminaire à Paris, le 17 septembre, sur l’impact de la récente Loi de finances complémentaire (LFC 2010).

La loi de finances complémentaire 2010 (dont on attend encore les décrets d’application) renforce la LFC 2009, dont les mesures les plus emblématiques sont la double règle du 70-30 % (30 % de capital détenu obligatoirement par des actionnaires algériens dans une société d’importation) et du 51-49 % (51 % de capital détenu obligatoirement par des actionnaires algériens dans tout nouvel investissement).

En effet, constate Amine Sator, conseil juridique chez CMS Bureau Francis Lefebvre, « la nouvelle loi de finances complémentaire instaure la rétroactivité de la loi, tant pour les investissements que pour les sociétés d’importation, ce qui n’était pas prévu dans la LFC 2009 ». Par conséquent, les sociétés immatriculées avant la publication de la LFC 2009 vont devoir aussi s’adapter à la nouvelle réglementation, sauf dans certaines conditions bien précises : pas de changement d’actionnariat et de répartition du capital, suppression ou ajout d’une activité connexe, etc.

Deuxième disposition majeure de la loi de finances complémentaire de cette année, le droit de préemption de l’Etat et des entreprises publiques pour toute cession d’actifs à des étrangers. Non seulement l’Etat dispose d’un délai d’un mois pour répondre à toute demande de cession déposée par l’entreprise étrangère, mais il conserve pendant un an son droit de préemption s’il juge que le prix de vente est sous-évalué. Enfin, « un troisième verrou a été installé par le gouvernement », explique Amine Sator. En l’occurrence, toute cession à l’étranger de parts ou d’actions de sociétés détenant des participations dans des entreprises de droit algérien doit être notifiée, quand ces dernières ont bénéficié de facilités ou d’avantages délivrés notamment par l’Andi (Agence nationale de développement de l’investissement).


François Pargny

UPM: Mission de l’Elysée au Maroc



La mission Union pour la Méditerranée de l’Elysée fera une visite explo-ratoire au Maroc les 22 et 23 septembre.

Cette mission a deux objectifs: le premier est d’envisager l’implantation de l’agence UPM pour l’habitat durable au Maroc et le deuxième est d’agréer le projet HQE «la Boiseraie de Benslimane», élaboré par le groupe Aixor comme étant un projet pilote d’Eco Quartier méditerranéen soutenu par l’UPM.

L'Economiste - Mardi 21 septembre - 14h08

Festival national de la photographie d’art au MaMa



Plus de deux cents photos exposées


Onze photographes professionnels présenteront plus de deux cents clichés lors de la tenue de ce premier Festival national de la photographie d’art. Un festival qui a vu le jour suite au succès de la tenue de différentes expositions de photos qui ont été organisés au niveau du MaMa. En effet, le succès de ces expositions de photos a amené le ministère de la Culture à demander à ce que le festival soit institutionnalisé. Une révélation faite, avant-hier, par le directeur du MaMa lors d’une conférence de presse, tenue au siège de son établissement, à la rue Larbi-Ben M’Hidi. «Notre politique est de développer la photographie et développer ce genre artistique de manière à ce que le maximum d’Algériens puissent s’exprimer sans aucun complexe et avec un minimum de matériel» dira-il. Pour les organisateurs, le thème de cette édition Voyage a été choisie à la suite de la réflexion suivante : La photo est une des meilleurs utilisations de la connaissance de l’autre. C’est ainsi qu’il a été demandé aux onze photographes exposants puissent montrer des photos qu’ils ont réalisés à l’extérieur, en l’occurrence, à l’étranger. Les dix artistes algériens seront accompagnés par une invitée d’honneur, en la personne de la photographe allemande Marion Bauckhsser. Cette dernière présentera des photos sur les Algériens. A chacun son voyage. A chacun sa rencontre. A chacun son regard sur l’autre. M.Mohamed Djehich soutiendra que : «Nous avons essayé de trouver des artistes ayant une certaine reconnaissance. Nous faisons appel aussi bien aux Algériens en Algérie quaux Algériens vivant à l’étranger. Nous essayons de rassembler les regards et les points de vue de manière à ce qu’il est partage.» Le conférencier ne manquera pas de rappeler que les activités de la 2e édition du Festival, l'année prochaine, seront enrichies par des conférences et ateliers à l'intention, particulièrement, des jeunes talents. Cette première édition du Festival national de la photographie se tiendra au niveau de trois niveaux du MaMa. Dix artistes algériens présenteront un ensemble de 200 photographies récentes, réalisées en couleur et en noir et blanc. Parmi ces photographes, il y a lieu de citer, entre autres, Fayçal Baghriche, Noury Belabès, Djamal Nadir, Omar Meziani, Halim Zenati, Hamid Seghilani, El Hadi Hamdikène, Sid-Ali Djenadi. Cependant, le voyage initiatique se poursuivra avec l’exposition intitulée «Attente de l’association culturelle artistique Chrysalide. En effet, parallèlement à l’exposition de photographies, huit autres artistes dévoileront leur dernières oeuvres. Des œuvres qui ont été réalisées en juillet 2009 lors de résidences créatives à Jijel. Il s’agit de Fayçal Baghriche, Halida Boughriet, Ammar Bouras, Mustapha Khedjati, Amina Menia et la vidéaste Sandrine Picherit de Lyon. Pour demain, il est prévu une lecture de deux textes, écrits à la résidence Afris de Jijel, en présence des auteures, Mariette Navarro avec Nous les vagues et Hajar Bali avec Sitôt la souffrance surgit. Lamia S.



21-09-2010

Ouverture du 4éme Salon international "Alger Industries"



La quatrième édition du salon international "Alger Industries" ouvrira lundi ses portes au Palais des expositions (Pins maritimes, Alger) avec la participation de 120 exposants, dont 75 étrangers, a-t-on appris dimanche auprès des organisateurs.
Coorganisé par "Batimatec Expo" et la Chambre de commerce et d'industrie Marseille Provence, cette manifestation économique de cinq jours "constitue une plate forme idéale pour les opérateurs désirant faire connaître leurs procédés, produits et services dans les secteurs industriels".
Ce salon permettra "d'explorer les opportunités d'investissement, de développer les relations commerciales et de consolider des partenariats et de s'informer des tendances dans les secteurs en pleine mutation", ont souligné les organisateurs.
Alger Industries 2010 est un espace privilégié de rencontres permettant aux industriels algériens et étrangers des différents secteurs d'activités, d'échanger leurs expériences et de discuter des derniers développements liés à l'innovation.
En marge du salon, une conférence sur la normalisation et la certification est programmée et sera animée par des responsables de l'Institut Algérien de la normalisation (IANOR)
.(APS)

Une nouvelle étape dans la relation France-Algérie


Arezki Aït-Larbi

Au point mort depuis deux ans, les relations franco-algériennes commencent de nouveau à se réchauffer.

La dernière crise a commencé en août 2008, par l'arrestation du diplomate algérien Mohammed Ziane Hasseni, mis en examen par la justice française pour son implication présumée dans l'assassinat, en avril 1987 à Paris, d'André-Ali Mécili, avocat au barreau de Paris. Plaidant l'homonymie, Alger hausse le ton, dénonce une violation des us diplomatiques, et exige le non-lieu.

En juin 2009, les déclarations d'officiels français imputant la mort, en 1996, des sept moines de Tibéhirine à une probable bavure de l'armée algérienne ont fait le reste pour brouiller la ligne Alger-Paris. La visite d'État que devait effectuer le président Bouteflika en France est alors reportée sine die.

En toile de fond, les séquelles de la guerre d'Algérie s'invitent de manière récurrente dans le débat. Aux blessures mal cicatrisées de part et d'autre de la Méditerranée se sont greffées des manœuvres politiciennes autour du «devoir de mémoire». Si la France a fini par renoncer à glorifier «le caractère positif de la colonisation», les caciques du FLN brandissent encore la menace d'une loi sur les «crimes coloniaux».

Depuis le 20 juin dernier, la visite de Claude Guéant à Alger, où il a été reçu par le président Bouteflika, a amorcé une normalisation feutrée. Alger retrouve le sourire avec la sortie du film Des hommes et des dieux, de Xavier Beauvois, qui a sanctifié la vie des moines de Tibéhirine, sans se perdre sur la piste des auteurs de leur exécution. Le non-lieu, accordé le 31 août par la cour d'appel de Paris à Mohammed Ziane Hasseni, ouvre la voie à la reprise du dialogue. «Un verdict dicté par la raison d'État» dénonce l'opposition algérienne, qui craint de voir le dossier remis sous le coude. Selon des sources crédibles, Abdelmalek Amellou, l'assassin présumé de Me Mecili, coulerait des jours tranquilles au Club des Pins, la station balnéaire sécurisée de la nomenklatura, sur la côte ouest d'Alger.


Raffarin chargé de mission

Exit donc les sujets qui fâchent, place au négoce. Et c'est Anne-Marie Idrac, la secrétaire d'État au Commerce extérieur, qui a ouvert, dimanche, le bal des retrouvailles, accompagnée d'une forte délégation d'hommes d'affaires. Sa mission est de baliser le terrain à Jean-Pierre Raffarin, chargé par le président Sarkozy «d'identifier et de lever les obstacles entre la France et l'Algérie pour leurs investissements économiques respectifs». Premier partenaire économique de l'Algérie, la France a été taclée ces dernières années par plusieurs concurrents, d'Europe et du Moyen-Orient, qui ont raflé de nombreux marchés.

Dans ces retrouvailles qui risquent d'occulter la violation des libertés et la répression pour «délit de culte», c'est un vieil «ami de l'Algérie», Jean-Pierre Chevènement, qui risque de jouer les trouble-fête. Au Centre culture français d'Alger, il anime, ce mardi, une conférence sur le thème: «démocratie, religion et laïcité».

Batna se met à l’énergie solaire


Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES

Avec plusieurs Projets inscrits : Batna se met à l’énergie solaire

Les programmes nationaux en matière de développement des énergies renouvelables (DER), solaire notamment, ne sont pas centrés uniquement dans les régions enclavées du Sud, bien qu’elles aient la part de lion en termes de projets, vu les conditions climatiques. En effet, un bon nombre de projets d’installation de sites d’énergie solaire dans la région Est du pays sont envisagés par le centre du développement des énergies renouvelable (CDER). Des projets ambitieux, fait savoir le CDER dans un communiqué rendu public, pour répondre aux besoins énergétiques des citoyens et des usagers résidant dans des zones et endroits où l’énergie conventionnelle est un luxe dont ils peuvent avoir l’accès. La wilaya de Batna est en tête de liste des projets d’énergie solaire dans la région Est, dans le cadre des programmes solaires photovoltaïque. Huit systèmes photovoltaïques, destinés à l’électrification des logements d’enseignants, sont d’ores et déjà installés ainsi que quatre mini-centrales de capacités photovoltaïque variantes. Par ailleurs, cinq conservateurs médicaux photovoltaïques sont mis en place au niveau des dispensaires de campagne. La wilaya d’Oum El Bouaghi, concernée par ce programme, a bénéficié de projets plus modestes par rapport à Batna. Pour le moment, seulement des systèmes de pompage ont été installés en attendant que le programme relatif à l’électrification de deux sites à l’aide de systèmes photovoltaïques aboutisse. La wilaya de Tiaret a sollicité, d’après le CDER, le Centre pour la fourniture, et l’installation de systèmes photovoltaïques pour des besoins de l’électrification rurale, du pompage solaire, et du froid solaire. Le Centre fait savoir, à ce propos, que des équipements solaires, tels les kits d’éclairage, les pompes solaires, ont été implantés dans la région par des techniciens locaux que le Centre a pris le soin de former. Enfin, la wilaya de Tipaza a bénéficié d’une installation et d’une mise en service d’équipements solaires destinés à l’alimentation en énergie de huit relais de téléphonie rurale..

Horizons.
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L’Algérie sera le premier fournisseur de GNL dans le monde en 2015


Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES
Les complexes industriels énergétiques généreront 5,2 milliards d’euros par an à partir de 2012 : L’Algérie sera le premier fournisseur de GNL dans le monde.

La capacité algérienne d’exportation de produits énergétiques va s’accroître à partir de 2012, date d’entrée en service des complexes industriels énergétiques actuellement en cours de réalisation dans la zone industrielle d’Arzew, selon une source proche du ministre de l’Energie et des Mines. Le complexe GNL3 d’Arzew qui devrait produire 4,8 millions de tonnes de GNL par an contribuera à générer des recettes supplémentaires de 6 à 7 milliards de dollars, soit 4,44 à 5,2 milliards d’euros par an à partir de 2012. La réalisation de ce mégatrain de GNL à Arzew vient en complément de celui du mégatrain de GNL de Skikda qui produira 4,5 millions de tonnes par an à partir de 2011. Les travaux avancent considérablement, selon la même source. Ce qui placera l’Algérie comme le premier fournisseur de GNL dans le monde en 2015, selon le cabinet d’intelligence Oxford Business Group qui met en évidence les importants projets d’infrastructures de gaz. L’Algérie se positionne, fait-il remarquer, dans son dernier rapport, au cœur de la future politique énergétique de l’Union européenne..

Horizons.
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Le ministre des PTIC l’a annoncé : Internet exonéré de la TVA


“Le défi, c’est le contenu », a annoncé hier le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication à la radio Chaîne III.


“Le défi, c’est le contenu », a annoncé hier le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication à la radio Chaîne III. Invité de la rédaction, M. Moussa Benhamadi, a estimé que les nouvelles dispositions de la loi de finances complémentaire 2010 portant suppression de la TVA sur le service internet, la production de logiciels et l’hébergement des sites internet sur le domaine.dz devraient encourager les jeunes promoteurs à investir dans les data centers et la production de contenus et de logiciels. Un créneau qui s’avère très rentable au vu de l’importance des factures des importations en ERP et autres grands systèmes informatiques dans un pays qui forme chaque année entre
Ce potentiel qui doublera à l’horizon 2014 pour atteindre les 20.000 universitaires formés aux métiers de l’informatique devrait être valorisé pour assurer un retour sur l’investissement dans leur formation, explique M. Benhamadi. A la lumière de l’exonération de la TVA des contenus informatiques, le ministre de la Poste et des Technologies de l’information annonce, également, la relance du dossier de la 3G, en cours d’élaboration au niveau de son département, qui sera proposé au gouvernement d’ici la fin de l’année.
Il apprend par là même que le cahier des charges relatif à l’attribution de la licence 3G sera élaboré au début 2011 et le service sera lancé au cours de la même année. « Nous espérons lancer la licence 3G à partir de 2011 en tenant compte de tous les paramètres permettant d’optimiser l’investissement déjà consenti par les opérateurs algériens afin d’assurer le succès du service sur le marché national », a-t-il soutenu. 3G ou 4G ? M. Benhamadi affirme que face à ce dilemme, sujet d’affrontement entre les deux écoles des informaticiens et des spécialistes des télécoms, le projet algérien de passage à la 3G tient compte de la possibilité d’évoluer vers la 4G.
«Dans l’approche que nous présenterons au gouvernement, nous proposerons une innovation en matière de déploiement de la 3G », fait-il savoir en mettant l’accent sur la nécessité d’optimiser les investissements déjà consentis et de densifier le réseau des antennes pour garantir le haut débit. Plusieurs opérateurs étrangers ont d’ores et déjà exprimé leur intérêt pour la licence 3G algérienne, note le ministre.
Interrogé, par ailleurs, sur la qualité des services proposés aux clients, tout en reconnaissant que les objectifs tracés ne sont pas encore atteints, l’invité de la rédaction fait état de la mise en place prochaine d’un système d’information qui sera appelé « Observatoire de la Poste et des Tic ». Ce système de collecte d’information, doté de capteurs à travers le territoire national qui seront représentés par des structures du ministère et des représentants des associations et des citoyens, permettra de relever les dysfonctionnements et de les signaler sur la base de données ainsi que de gérer les défaillances et mesurer la qualité de service. Dans le souci d’améliorer la qualité de service une priorité, Algérie Télécom actuellement en phase de déploiement de deux importants réseaux d’accès à internet haut débit ( MSAN et FTTH), prévus dans son programme quinquennal de 230 milliards de dinars, travaille en outre de concert avec le ministère de l’Habitat et de l’Urbanisme pour amener les promoteurs immobiliers à pré-câbler les nouvelles cités.
Concernant le dossier de rachat de Djezzy par l’Etat, le ministre rappelle que sur une décision politique le processus est engagé et le dossier ouvert se développe naturellement.
«Le gouvernement veut conserver l’entreprise telle qu’elle est, avec son réseau, son encadrement, son personnel et son portefeuille clientèle. Il n’est pas question de déstabiliser Djezzy, bien au contraire, nous voulons la préserver dans les meilleures conditions possibles », précisera-t-il.
A propos du différend entre l’EEPAD et Algérie Télécom qui a conduit au gel des activités du fournisseur des services d’accès à internet, le ministre souligne que la justice a désigné un expert qui devrait remettre incessamment ses conclusions. Il n’écartera pas, cependant, l’éventualité de la reprise de l’EEPAD par Algérie Télécom. « Tout est possible », a-t-il lancé.
Hamida B.