阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Tuesday, December 07, 2010

Tizi Ouzou: 108 millions de dinars alloués au secteur touristique



Le tourisme dans la wilaya de Tizi Ouzou a fait l’objet durant ces dernières années d’une attention particulière de la part des responsables, qui veulent relancer et développer ce secteur.
A cet effet, il est attribué cette année un budget de 108 millions dinars. Selon une source de la direction de tourisme, cette enveloppe financière va permettre la réalisation de 13 projets, dont 6 sont actuellement en cours.

Dans le cadre de la protection des zones touristiques de montagne, le ministère de tutelle a donné son accord pour programmer des études relatives à l’établissement des camps au niveau de la forêt de Yakourene dans le but d’attirer les touristes dans cette région, qui se caractérise par ses paysages magiques, en plus des camps près du barrage de Taksebt, et d’autre repartis sur la bande côtière de la wilaya dans les différentes zones comme Azeffoun et Tigzirt.

La même source a ajouté que cette direction a programmé cette année des projets inscrits dans le cadre de la préparation des études des zones touristiques, car il est recensé plusieurs sites dans les zones de montagne qui vont bénéficier d’une opération de réhabilitation. Cette opération va toucher les zones d’Azrou N’thor, Tirourda, la forêt de Yakourene et d’autres zones. La même source a expliqué que l’opération, qui entre dans le cadre du plan directoire du développement touristique de la wilaya de Tizi Ouzou, a été entamée dernièrement.

Ses études techniques ont été réalisées par deux bureaux d’études avec une enveloppe financière de 6,21 millions dinars. Cette opération comprend la réhabilitation des différents sites touristiques de la wilaya, et l’élaboration d’un rapport dans une durée qui ne dépassera pas 14 mois, et qui sera mis à la disposition de la direction du tourisme, pour choisir les sociétés qui vont être chargées de l’exploitation de ces sites, particulièrement dans la bande côtière de la wilaya.

source: Le maghreb

Le Mucem propose des projets de partenariat à l’Algérie


Il sera ouvert à l’occasion de Marseille-Provence 2013

Le Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (Mucem), basé à Marseille, propose à l’Algérie des projets de partenariat.

En visite (qui a pris fin hier) de deux jours à Alger, Bruno Suzzarelli, directeur du Mucem, accompagné de Aubin de la Messuzière, président de la Mission laïque française, et de Thierry Fabre, créateur des Rencontres d’Averroès de Marseille, a soumis des propositions de «projets communs» à la ministre de la Culture, Khalida Toumi, qui les a, selon lui, accueillies avec «intérêt». «Nous avons eu droit à un accueil chaleureux de la part de la ministre de la Culture qui s’est montrée intéressée par nos projets», a indiqué M. de Messuzière, lors d’une rencontre avec la presse, hier à Alger.


La délégation a eu à rencontrer plusieurs responsables d’établissement culturel de la capitale, dont celui du Musée des arts modernes (MaMa). Le Mucem, qui sera ouvert à l’occasion de Marseille-Provence 2013, capitale européenne de la culture, suggère divers types de partenariat avec les autorités algériennes. Ces partenariats peuvent ainsi prendre la forme d’échanges de collections, de coproductions ou d’expositions itinérantes. Ils pourraient s’étendre aux domaines de la formation aux métiers du patrimoine et à l’économie de la culture, a précisé M. Suzzarelli, qui a également évoqué la possibilité d’effectuer des échanges dans le domaine de la recherche sur le patrimoine immatériel. L’Algérie peut aussi, ajoute-il, bénéficier de la technicité des Marseillais en archéologie sub-aquatique.
La même offre de partenariat sera soumise à d’autres pays, dont le Maroc, l’Egypte, la Syrie et la Turquie. Mais la délégation a précisé qu’Alger constitue sa première étape de ce long périple. «Nous avons choisi de commencer notre périple par l’Algérie en raison de la proximité, des liens de coopération très anciens, mais aussi du fait qu’à Marseille, il y a une importante communauté algérienne et des Français d’origine algérienne», a précisé M. Messuzière pour lequel le Mucem a une vocation internationale et vise à permettre des regards croisés des deux rives de la Méditerranée.
Le Mucem va accueillir des expositions venant du Nord comme du Sud et mettra en exergue ce qui rapproche et ce qui différencie les nations du pourtour méditerranéen.


Le Mucem, tel que présenté hier par les trois responsables français, affiche une grande ambition régionale et internationale et se veut un point de rencontre et de croisement culturel et artistique. Entre ville et mer, le Mucem, musée national décentralisé en région, est installé au cœur de Marseille, à l’entrée du Vieux Port. D’après ses concepteurs, il sera une pièce maîtresse de la revitalisation de la métropole et de son rayonnement international. S’inscrivant dans la lignée du Musée des arts et traditions populaires, créé en 1937 à Paris, il constituera, comme l’a souligné Thierry Fabre, «un lieu ouvert et pluridisciplinaire». Un endroit qui permettra d’explorer les liens qui unissent l’Europe aux pays méditerranéens. Ce musée sera composé, entre autres, de deux plateaux d’exposition étalés sur 15 000 m2, d’espaces dédiés aux enfants, d’un auditorium pour la présentation de spectacles, de concerts, de cycles de cinéma et d’une librairie.


Mokrane Ait Ouarabi

L'Algérie mise sur les énergies renouvelables


Par RFI

L’Algérie se projette dans l’après pétrole. Son ministre de l’Energie Youcef Yousfi a annoncé le lancement d’un programme de développement des énergies renouvelables. Il sera notamment axé sur l’énergie solaire et éolienne.


Le ministre de l’Energie et des Mines, Youcef Yousfi, n’a pas donné de détail sur ce plan de développement des énergies nouvelles et renouvelables. Il s’est contenté de dire que « c’est un programme très ambitieux en matière d'énergies solaire, éolienne et de géothermique ». Les autorités songent à l’épuisement des réserves en hydrocarbures qui commencerait à se faire sentir vers 2030.

C’est à cette échéance, au plus tard, que l’Algérie devra avoir développé des énergies renouvelables capables de fournir, notamment, plusieurs milliers de mégawatts d’électricité produits actuellement à partir du gaz naturel. On ne veut pas être pris de court et on veut être présent sur un marché porteur, déjà investi par les grandes puissances économiques.

Dans la perspective de son après pétrole, Alger veut assurer son autonomie énergétique et exporter les énergies propres qui seront produites dans 20 ans. On sait que le gouvernement va soutenir les entreprises locales pour assurer cette transition énergétique.

Ce programme sera présenté au gouvernement dans quelques semaines. On saura alors quelle est la part qui est réservée au partenariat étranger.