PATRICK LE BERRIGAUD EUROPE fédérale/UNION POUR LA MEDITERANNEE consultant ingenieur conseil
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L'expérience du Maroc en matière de gestion de l'écosystème forestier a été présentée lors de la 19e session de la Commission des forêts pour le Proche-Orient (Cepo), qui a clos ses travaux à Hammamet en Tunisie Ahmed Azeroual, responsable au Haut commissariat aux Eaux et Forêts et à la lutte contre la Désertification, qui a représenté le Maroc à cette rencontre, a indiqué que l'approche suivie au Maroc dans ce domaine répond aux exigences du patrimoine sylvestre, qui reste sensible aux facteurs humains et naturels. Il a mis l'accent sur les mesures de gestion stratégique en vigueur dans le domaine forestier et le type de gouvernance adopté au Maroc, basée notamment sur la responsabilité, la contractualisation et le suivi. Le responsable marocain a évoqué, par ailleurs, l'aménagement des bassins hydrauliques et la protection du sol en tant que facteurs essentiels de production respectant la biodiversité. Il a cité également les mesures d'accompagnement relatives à cette opération visant à susciter l'adhésion de toutes les parties concernées par l'exploitation des ressources forestières, pour réussir le pari de la préservation de la forêt et son développement durable. Les participants à la 19e session de la Cepo, qui relève de l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (Fao), ont débattu de plusieurs sujets se rapportant notamment à la gestion durable des forêts et pâturage, aux politiques forestières et aménagement durable, à la faune, à la protection des forêts contre les incendies, à la biodiversité et aux changements climatiques.En marge de cette conférence, les représentants du Maroc, de l'Algérie et de la Tunisie ont tenu une rencontre avec le représentant de l'Agence espagnole de la coopération étrangère consacrée à l'examen de la possibilité de financement d'un projet visant la préservation et le développement des forêts de Chêne.
Samir Azzoug-http://www.latribune-online.com Journées d’information sur la préservation et la biodiversité aux parcs de Tamanrasset
La première phase du projet « conservation et utilisation durable de la biodiversité dans les deux parcs de l’Ahaggar et du Tassili » terminée, l’heure est à l’évaluation et à l’élaboration d’une nouvelle étape. « La phase préparatoire, dite de renforcement des instruments de gestion de la biodiversité a traversé une longue période de maturation et de reformulation des objectifs en fonction des intérêts stratégiques de notre pays dans ce domaine », explique M. Mourad Batrouni, directeur de la protection légale et de la valorisation du patrimoine culturel, à l’ouverture, hier, des journées sur la préservation de la biodiversité d’intérêt mondial dans les parcs de l’Ahaggar et du Tassili, à Tamanrasset. Lors de son allocution, le représentant de la ministre de la Culture a brossé un tableau général sur les efforts consentis en matière de prise en charge de la protection de la biodiversité dans les parcs de l’Ahaggar et du Tassili en Algérie, mettant en relief les bons diagnostics, les meilleurs choix ainsi que la bonne négociation des projets « d’importance mondiale et d’enjeux planétaires » par les experts algériens, d’un côté. Et de l’autre, il a mis en exergue la complexité, pour les spécialistes justement, d’application d’un plan classique pour la protection du patrimoine dans cette zone où les repères historiques, naturels, culturels et socio-économiques sont imbriqués et indissociables. Dans ces parcs, « la diversité biologique, animale et végétale, recouvrent des significations qui ne sauraient être perçues sous le seul prisme de l’écosystème. Toutes ces valeurs sociales, culturelles et économiques portées par des communautés, profondément attachées à leur territoire et à leur identité, ne se voient pas traduites objectivement dans le calcul de l’effort de développement, car elles sont de caractère coutumier et de nature le plus souvent tangible », poursuit M. Batrouni. L’orateur a ainsi mis le doigt sur l’inadaptation d’un schéma classique de parc naturel tel que dessiné dans le cadre logique du Fonds l’environnement mondial (FEM) et cela principalement pour trois raisons, liées à la notion de population autochtone, à la participation de la femme aux affaires de la collectivité ainsi qu’à celle de l’indissolubilité des patrimoines naturels et culturels. Sur un autre volet, M. Batrouni mettra en garde contre le phénomène de la « biopiraterie » ou « impérialisme vert » qui se manifestent par la convoitise des gravures et peintures rupestres par des « collectionneurs amateurs et autres touristes échantillonneurs travaillant pour le compte de quelques laboratoires spécialisés ». Revenant sur la convention ratifiée par l’Algérie et le PNUD en matière de préservation de la biodiversité, le projet en totalité est étalé sur 8 ans et comprend deux phases. La première (terminée) de trois ans a été lancée en 2005 et a bénéficié d’une enveloppe de plus de 3,5 millions de dollars par le FEM. Pour l’heure, les résultats enregistrés sont : le renforcement des capacités dans les deux parcs qui comptent plus de 500 agents, l’élaboration de textes législatifs actualisés, la mise en place d’un système de suivi de la biodiversité ainsi que l’appui à l’éco-développement. « Je me réjouis des résultats », déclarait, lors de la cérémonie d’ouverture de ces journées, le représentant permanent du PNUD en Algérie Mamadou M’baye. « Ce projet a été évalué par un groupe d’experts indépendant et je tiens à rendre hommage aux directeurs pour le travail extraordinaire effectué », poursuit-il. La seconde phase du projet devra s’étaler sur cinq ans et sera destinée à la mise en œuvre opérationnelle avec une enveloppe dédiée de près de 5,4 millions de dollars du FEM. Les journées d’information sur la préservation de la biodiversité d’intérêt mondial dans les parcs de l’Ahaggar et du Tassili se dérouleront jusqu’à jeudi prochain à Tamanrasset. Des conférences et des ateliers y sont prévus. S. A
La Biodiversité est la diversité naturelle des organismes vivants. Elle s'apprécie en considérant la diversité des écosystèmes, des espèces, des populations et celle des gènes dans l'espace et dans le temps, ainsi que l'organisation et la répartition des écosystèmes aux échelles biogéographiques.Le maintien de la biodiversité est une composante essentielle du développement durable Journal officiel du 12 avril 2009. Le mot « biodiversité » est un néologisme composé à partir des mots biologie et diversité. Au Sommet de la Terre de Rio (1992), sous l'égide de l'ONU, au travers d'une convention mondiale sur la biodiversité, tous les pays ont décidé de faire une priorité de la protection et restauration de la diversité du vivant, considérée comme une des ressources vitales du développement durable. Puis le sommet européen de Göteborg en 2001, dans l’accord sur une Europe durable pour un monde meilleur s'est fixé (pour l'Europe) un objectif plus strict : arrêter le déclin de la biodiversité en Europe d’ici 2010 (année mondiale de la biodiversité pour l'ONU) Le Programme des Nations unies pour l'environnement a annoncé le 12 novembre 2008 la création (au printemps 2010 ?) d'un groupe intergouvernemental d'experts sur la biodiversité, qui sera probablement nommé Intergovernmental Science-Policy Platform on Biodiversity and Ecosystem Services (IPBES), sur le modèle du GIEC qui, lui, s'occupe du climat.
Biodiversité : la Commission corrige le tir [Fenêtre sur l'Europe] A peine 38% des Européens connaissent le terme "biodiversité". Pire : seuls 17% d’entre eux se disent "préoccupés" par les pertes de biodiversité. Inquiète des résultats du dernier sondage Eurobaromètre "Attitudes envers la biodiversité" diffusé le 9 avril, et alors que 2010 a été consacrée par les Nations unies "année internationale de la biodiversité", la Commission européenne va tenter de corriger le tir. Elle a ainsi lancé, le même jour, une campagne de sensibilisation du public sur la biodiversité
Sidi bel-AbbÈs Le miel local prisé En Europe Après examen des différents paramètres déterminant la qualité et la traçabilité du miel, un laboratoire français spécialisé dans l’analyse physico-chimique et pollinique des miels vient de confirmer la labellisation du miel produit par de jeunes apiculteurs de la zone Mohamed Belmokhtar, relevant de la daïra de Telagh à 50 km de Sidi Bel-Abbès et qualifié de “Qualité supérieure”. Selon les critères de qualité du miel figurant dans une directive européenne, le miel de la wilaya de Sidi Bel-Abbès est de meilleure catégorie et de qualité et ce, en dépit des difficultés que rencontrent les jeunes apiculteurs pour le suivi et l'entretien de leurs 120 ruches. Ces derniers se disent prêts à faire fructifier leur production, mais cela nécessite une aide et un appui des pouvoirs publics. “Le miel algérien est très apprécié en Algérie et à l’étranger et nous ferons de notre mieux pour lever le moindre doute sur la qualité de notre produit et ce afin de restaurer la confiance entre nous et le consommateur”, indique-t-on. B. AZIZ
Competition.dz A la demande des responsables de la télé algérienne, une équipe de Canal +, la chaîne cryptée française, est actuellement en Algérie. Dans cette équipe, on retrouve Philippe Doucet que les Algériens ont l’habitue de suivre sur le studio de Canal +, avec sa célèbre rubrique «La palette.» Notre confrère français était au stade du 1er-Novembre de Tizi Ouzou pour l’affiche JSK-Club Africain. Il chapeautait déjà le travail de l’équipe de l’ENTV qui assurait le direct du match. Philippe Doucet nous a appris qu’il est chez nous depuis quelques jours avec l’objectif de perfectionner les journalistes sportifs de l’ENTV en perspective du Mondial 2010. Les journalistes de l’ENTV étaient nombreux pour cette double grande circonstance. «On procède à un test dont l’avantage est qu’il se déroule en direct. C’est une bonne chose puisque les journalistes travailleront dans les mêmes conditions en Afrique du sud», nous a confié Doucet avant d’ajouter : «Pour moi, c’est aussi une occasion de connaître la ville Tizi Ouzou que je visite pour la première fois.» Philippe Doucet a chapeauté la mission JSK-C. AfricainLe journaliste de Canal + a été très actif durant sa mission à Tizi. Avant le match, il n’a pas arrêté d’orienter ses confrères algériens moins aguerris en leur prodiguant de précieux conseils. On l’a vu plusieurs fois intervenir pour corriger la manière avec laquelle le sujet devait être traité ou pour préciser le temps qu’il fallait lui accorder. On l’a même vu recommander à Samy Noureddine d’interviewer les entraîneurs de la JSK et du Club Africain en même temps, ce qui ne se fait souvent pas dans notre pays. Prié de donner son avis sur la manière de travailler de la rubrique sportive de l’ENTV, Philippe Doucet nous a dit : «Ils ont une bonne base mais il leur reste à mieux cerner les prérogatives que chacun doit avoir pendant une rencontre ou une émission et assurer, ainsi, une bonne répartition des tâches de travail.» Si les Verts n’effectueront leur stage de préparation qu’à partir de la mi-mai, l’équipe de l’ENTV s’y emploie dès maintenant. Elle a fait appel à un grand entraîneur étranger. L’été prochain, elle sera peut-être en mesure de nous émerveiller.
Le ministre de l’Aménagement du territoire, de l’Environnement et du Tourisme a insisté sur l’impératif d’amorcer une nouvelle stratégie d’après-pétrole. Le ministre de l’Aménagement du territoire, de l’Environnement et du Tourisme, Chérif Rahmani, a procédé, hier au siège de son département à Alger à l’installation officielle de la Commission de l’autorité nationale désignée (AND) pour l’application des mécanismes de développement propres (MDP) en référence au protocole de Kyoto. Il s’agit du principal instrument de mise en oeuvre de la Convention- cadre des Nations unies portant sur les changements climatiques. Le ministre a indiqué dans son allocution que «l’AND est l’autorité chargée de suivre les projets initiés par les promoteurs dans le domaine des changements climatiques. Au nombre de 70, ces projets conçus selon les standards internationaux seront présentés pour financement dans le cadre du mécanisme de développement propre aux bailleurs de fonds bilatéraux et multilatéraux». Et de poursuivre, «couvrant plusieurs secteurs, notamment l’énergie et les transports, c’est avec ces projets que nous comptons investir le marché international afin de renflouer nos caisses en devises».A noter que cette démarche consiste à aider des pays en développement à réaliser le développement durable tout en contribuant à l’objectif final de la convention- cadre sur les changements climatiques. D’autre part, il s’agit d’aider les pays développés à être en conformité avec leurs engagements quantifiés de limitation et de réduction des émissions de gaz à effet de serre.L’accord de Kyoto, a rappelé le ministre, «prévoit la réduction des effets de serre de 5, 2% de 2008 à 2012». Et d’enchaîner: «Les projets porteront sur l’atténuation des émissions de gaz à effet de serre ainsi que l’adaptation aux effets prévisibles des changements climatiques.» Selon M.Rahmani, ces projets viseront l’ensemble des secteurs impliqués dans les changements climatiques, à savoir les activités énergétiques, les procédés industriels, les travaux publics, le bâtiment, l’agriculture, les forêts, les déchets et la santé. Il a tenu à préciser que «les domaines porteront, entre autres, sur le transfert technologique, à travers l’efficacité énergétique et les énergies renouvelables et sur le transport pour être mieux organisé». Le budget de fonctionnement de la commission de l’AND- MDP sera assuré par le département de Chérif Rahmani et une ponction d’un pourcentage des transactions des projets MDP. Le secrétaire permanent de l’autorité cherchera à consolider ce budget par le biais d’aides et de dons au niveau bilatéral et multilatéral ou toute autre source de financement. Chérif Rahmani a longuement insisté sur l’impératif d’amorcer une nouvelle stratégie d’après-pétrole. Lynda BEDAR
Installation de l’autorité nationale pour le mécanisme de développement propre “L’Algérie doit élaborer des projets bien ficelés” Par : DJAZIA SAFTA
Dans le cadre de la stratégie nationale de changement climatique, le ministre de l’Environnement et de l’Aménagement du territoire et du Tourisme, Chérif Rahmani, a présidé hier, au siège de son département, à Alger, à l’installation de la commission de l’autorité nationale désignée pour les mécanismes de développement propre. “L’autorité nationale désignée a pour objectif de mettre en place des mécanismes pour la prévention de l’environnement et l’étude des différents projets pour diminuer les gaz à effet de serre (GES) proposés par les partenaires. L’autorité est en train d’étudier 70 dossiers et nous allons en proposer trois au marché international”, car le Protocole de Kyoto (PK) a mis en place un marché international pour la vente et l’achat des projets et programmes dans le cadre de la lutte contre le changement climatique.“Le marché existe et les projets se vendent en dollars, c’est une bonne source de revenus pour l’Algérie”, a précisé le ministre. Cette autorité présidée par M. Bachir Slimani est également appelée à mettre sur pied un canevas pour ses activités et des programmes dans le but de choisir les projets susceptibles d'être concurrentiels sur le marché international.Le ministre qui a rappelé que le Protocole de Kyoto avait mis en œuvre des mécanismes pour permettre aux pays en voie de développement de mettre des permis d'échange sur le marché international afin d'attirer des clients à des projets “mûris et ficelés” sur tous les plans, a déploré le fait que “ces pays, notamment les pays africains et l'Algérie en particulier, n'ont pas pu investir ce marché, ni vendre des projets ou des programmes, à l'instar de pays qui possèdent des moyens comme la Chine, l'Inde et le Brésil”. Il a expliqué ce constat par “le manque de moyens et l'absence ou la faiblesse des potentialités humaines et techniques dans les pays sous-développés”. “Il est temps d'élaborer en Algérie des projets bien ficelés”, a-t-il souligné, appelant les ministères et les différents secteurs à s'y impliquer pour attirer l'intérêt des organismes internationaux à l'instar de la Banque mondiale. Pour le ministre, l'Algérie “doit s'investir dans ce marché prometteur et générateur de devises et qui permet de diminuer les coûts des projets”. Il a cité, dans ce cadre, le cas de cimenteries en Algérie qui se sont dotées d'équipements leur permettant de se conformer aux exigences de l'environnement et qui sont éligibles, a-t-il dit, à des contrats avec d'autres partenaires. M. Rahmani a également mis en avant d'autres exemples de projets qui peuvent être éligibles au marché international, à l'instar du projet de la décharge publique de Oued Smar qui est en voie de réalisation, susceptible, a-t-il précisé, de proposer son permis sur le marché international, citant dans le même cadre le cas des gaz torchés d'Arzew.
L’Algérie participera au sommet de la sécurité nucléaire
Le ministre Mourad Medelci représentera l’Algérie au sommet de la sécurité nucléaire prévu Etats-Unis à partir de demain.dimanche 11 avril 2010. Sur invitation du président américain Barack Obama, auteur de l’initiative, l’Algérie sera présente au sommet de la sécurité nucléaire qui se tiendra demain et après-demain à Washington. Le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, représentera le président Abdelaziz Bouteflika à cette rencontre. Les travaux de ce sommet porteront sur le renforcement de la coopération internationale en matière de sécurisation des matériaux nucléaires et de prévention du terrorisme nucléaire. L’Algérie étant un maillon fort dans la lutte internationale contre le terrorisme, sa présence à ce sommet était primordiale pour son initiateur, le président Barack Obama. Cette réunion à laquelle sont conviés 47 pays, dont l’Algérie, ainsi que les grandes puissances que sont la Russie, la Chine, le Royaume-Uni, la France, aux côtés du Pakistan et de l’Inde, intervient à la veille de la conférence d’examen du traité de non-prolifération des armes nucléaires (TNP) qui devrait avoir lieu en mai prochain à New York. L’Algérie qui ambitionne de développer un programme nucléaire à des fins civiles, et de produire de l’énergie électrique pour réduire sa dépendance au gaz naturel et au pétrole, a signé des accords avec les Etats-Unis, la Chine et la France dans ce domaine, et reçu le soutien du pays de Barack Obama, après avoir été accusée d’être un pays à risque en la matière. Synthèse de Mourad, www.algerie-dz.com D’après le Jeune Indépendant
Les paléontologues de l'université de Witswaterland, en Afrique du Sud, ont découvert un fossile d'une grande rareté grâce au site de géonavigation de Google. Google Earth permet aux internautes de visiter virtuellement le monde entier, de son domicile à l'autre côté de la Terre, en passant par la Lune. Mais le site de géonavigation ludique et pratique de Google peut également permettre de faire des découvertes scientifiques. Ainsi, grâce au logiciel de la firme de Mountain View, les paléontologues de l'université de Witswaterland, en Afrique du Sud, ont découvert un fossile datant de 1,78 à 1,95 million d'années. Cet «homidité d'une grande rareté» pourrait être «une des plus importantes découvertes paléontologiques des temps modernes, révélant au moins deux squelettes partiels d'hominidés remarquablement conservés», affirme Google. Cartographier des grottes pour en découvrir d'autres Le groupe, qui retrace cette découverte dans un communiqué, explique que Lee Berger, un professeur de l'université, s'est servi du site de géonavigation à partir de mars 2008 pour cartographier plusieurs grottes et dépôts de fossiles, connus et identifiés au cours des décennies précédentes. Grâce à l'imagerie satellite haute résolution du site, il a découvert près de 500 grottes et dépôts non identifiés auparavant, dans une zone pourtant très explorée. Dans l'un de ces dépôts, le professeur a découvert une nouvelle espèce. Baptisée «australopithèque sediba», elle se tenait debout et partageait de nombreux traits physiques avec la plus ancienne espèce connue du genre homo. Cette découverte pourrait permettre de répondre à certaines questions clés sur nos plus vieux ancêtres en Afrique, et devrait permettre de révéler une nouvelle étape de l'évolution humaine. Les travaux viennent d'être publiés dans la revue américaine «Science». Un outil à part entière des scientifiques Conçu initialement comme une application de géonavigation ludique et pratique, Google Earth est devenu un outil à part entière des scientifiques. Il a en effet permis, ces dernières années, plusieurs découvertes, aussi bien géologiques, archéologiques, zoologiques… JULIEN POMPEY, LES ECHOS
L'Espagne est en discussion avec la France et l'Egypte pour lancer une initiative politique afin de faire redémarrer le processus de paix au Moyen-Orient dans le cadre de l'Union pour la Méditerranée (UPM), a déclaré samedi à Paris le ministre espagnol des Affaires étrangères Miguel Angel Moratinos. Le chef de la diplomatie espagnole a fait ces remarques lors d'un colloque international du forum de Paris, intitulé "l'Europe, les Etats-unis et la Méditerranée", qui a eu lieu les 9 et 10 avril dans la capitale française sous le haut patronage du président français Nicolas Sarkozy. Le ministre espagnol a fait savoir que plus de quarante pays de la Méditerranée participeront le 7 juin au deuxième sommet de l'UPM à Barcelone (Espagne). M. Moratinos, cité par l'AFP, a annoncé que les dirigeants israélien Benjamin Netanyahu, palestinien Mahmoud Abbas et syrien Bachar al-Assad y sont notamment attendus. L'UMP a été créée en 2008 à Paris à l'initiative du président français et rassemble 43 pays riverains de la mer Méditerranée et la Ligue arabe, dont 27 membres de l'Union européenne. Le siège de l'UPM se trouve à Barcelone.
Méditerranée - Médias: Les dix projets de la COPEAM I - La chaîne de la Méditerranée En janvier 2010, une délégation de la COPEAM a présenté le projet d’une chaîne euro-méditerranéenne aux ambassadeurs de l’Union pour la Méditerranée (UPM), réunis à Bruxelles. Cette proposition a été accueillie favorablement, et les représentants des pays adhèrent à l’UPM ont chargé la COPEAM d'élaborer un cahier des charges concernant le développement du projet. Cette chaîne de télévision multiculturelle et multilingue, que la COPEAM appelle de ses voeux, devra produire, exploiter et valoriser les émissions de divertissements et la diffusion de documentaires culturels, scientifiques et économiques et les reportages à "vocation méditerranéenne et culturelle" dans un esprit de service public.Ont adhéré à ce projet de nombreux diffuseurs, parmi lesquels France Télévisions, EPTV/Algérie, Télévision Tunisienne, TVE/Espagne, RAINEWS24/RaiMed. En 2010, ARTE France et PBS/Malte les ont rejoint. Skylogic/Eutelsat est partenaire technologique. II - MeD MeM : au carrefour des mémoires MeD MeM (Mémoires Audiovisuelles de la Méditerranée), qui sera lancé fin 2011, est un site Internet trilingue (français, anglais, arabe) dédié au patrimoine matériel et immatériel des pays de la Méditerranée proposant un accès aux archives audiovisuelles méditerranéennes à vocation culturelle, éducative, scientifique et professionnelle. Il regroupe 18 partenaires et associés*, dont 10 télévisions de la méditerranée, des institutions scientifiques et des organismes professionnels de l’audiovisuel. * COPEAM, Ina (France), RAI (télévision italienne), EPTV (Entreprise publique de télévision algérienne), SNRT (Société Nationale de Radiodiffusion et de Télévision marocaine), JRTV (télévision jordanienne), ERTU (Egypte), LJBC (Libye), IBA (Israël), PBC (Palestine), ERT (Grèce), HRT (Croatie), CMCA, UER (Union Européenne de Radiotélévision), MMSH (Maison méditerranéenne des Sciences de l’Homme), Bibliotheca Alexandrina, UNINETTUNO (Italie), Bibliothèque virtuelle pour la Palestine. III - L’Université audiovisuelle de la méditerranée (UAM) L’UAM envisage la création d’un espace de partage des compétences et des pratiques professionnelles, dont la formation initiale aux métiers de l’audiovisuel et du cinéma. Des écoles et universités dédiées aux métiers de l’image et du son, sont d’ores et déjà intégrées au comité de pilotage du projet : Algérie : Ministère de la Culture, Institut Supérieur des Métiers des Arts du Spectacle et de l’Audiovisuel, Alger (ISMAS) Espagne : Universidad Carlos III, Madrid Fundacion para la Investigacion del Audiovisual, relevant de l’Universidad Internacional Menendez Pelayo, Valence France : Ina Sup et le Pôle de recherche et d’enseignement supérieur (PRES) Paris-Est, Paris Université de Provence (Aubagne et Aix-en-Provence) Université de Nice Maison Méditerranéenne des Sciences de l’Homme, Aix-en-Provence Liban : Ecole de Cinéma de l’Académie Libanaise des beaux-Arts, Beyrouth Maroc : Ecole Supérieure des Arts Visuels, Marrakech Tunisie : Ecole Supérieure de Cinéma et d’Audiovisuel, Gammarth, relevant de l’Université du 7 Novembre de Carthage Italie : Uninettuno (Università Telematica Internazionale) IV - Le renforcement des échanges d'information avec le développement des projets EuroMed News et ERN-Med - EuroMed News (initié en janvier 2009), est une initiative de la Commission européenne tendant à valoriser le partenariat audiovisuel euro-méditerranéen. Il vise à produire et échanger des flux d'informations, de magazines et de documentaires à caractère régional et à informer les populations du sud de la Méditerranée des actions soutenues par l’Union européenne au bénéfice de la zone de voisinage. Cette initiative contribue au renforcement du dialogue inter-culturel entre les deux rives. L’objectif est de produire et diffuser 300 news, 40 magazines et 9 documentaires d’ici fin mai 2010. Aujourd'hui, les deux tiers des objectifs ont été atteints: 210 reportages d'actualité et 23 magazines ont été diffusés, souvent co-produits et échangés entre télévisions publiques. Un consortium a été créé à cet effet : il réunit autour du chef de file, France Télévisions, trois organisations internationales (ASBU, COPEAM, UER), et six télévisions publiques du sud de la Méditerranée (EPTV en Algérie, SNRT au Maroc, JRTV en Jordanie, ERTU en Egypte, ORTAS en Syrie et Téléliban au Liban) qui se sont engagées à produire des reportages, magazines et documentaires illustrant le partenariat euroméditerranéen sous toutes ses formes, et à diffuser ces produits audiovisuels sur leurs propres antennes. V - Appui au transfert de compétences et renforcement d’une politique de formation et de dialogue entre les professionnels de la région. Le transfert de compétences, entre les professionnels de l’audiovisuel du Nord et du Sud de la Méditerranée, ainsi que leur formation, constituent une des bases du succès de la construction d’un espace de dialogue interculturel et interprofessionnel. Les projets sont : - établir une cartographie des besoins de formation des journalistes, monteurs, cadreurs... méditerranéens dans plusieurs domaines (ex. archives, production, journalisme, etc.), d’ici 2011, - pérenniser l’Université de la COPEAM, la formation consacrée aux nouveaux formats télévisuels et l’élargissement des partenariats par l’adhésion de nouveaux acteurs régionaux, - développer des projets de formation impliquant l’utilisation des nouvelles technologies et des outils web 2.0 (ex : e-journalism, blogs, social networks, etc.). VI - Favoriser la mise en place d’un cadre juridique partagé La COPEAM souhaite favoriser la mise en place de règles juridiques partagées dans le domaine de la diffusion, de la production et de la protection des programmes audiovisuels et radiophoniques ; ainsi que le développement d’un cadre harmonisé de régulation par la mise en oeuvre des textes adoptés par le RIRM (Réseau des instances de régulation méditerranéennes), en novembre 2008. Il s’agit de : - garantir la liberté de transmission de services audiovisuels sans considération de frontières, - élargir les garanties de régulation d’ores et déjà apportées par les normes européennes aux pays méditerranéens situés hors de leur champ d’application, tout en ménageant leurs différences culturelles, - définir la mission de service public, - élaborer des lignes directrices de régulation des médias relatives aux nouveaux moyens de contrôle du contenu, - promouvoir la création audiovisuelle méditerranéenne et son patrimoine au moyen de quotas de diffusion et de production. VII - La création d'un Observatoire méditerranéen des médias L’objectif de l’Observatoire méditerranéen des médias est d’avoir une bonne connaissance de la réalité du paysage audiovisuel méditerranéen pour en renforcer la cohérence et le dynamisme. VIII - L'élaboration d'un accord-cadre visant à multiplier les projets de coproduction multilatérale Les membres de la COPEAM souhaitent développer un outil juridique commun comportant un ensemble de règles de propriété intellectuelle qui offre à l’audiovisuel méditerranéen une stabilité juridique. Des accords-cadre devront être élaborés, offrant des modèles, des références juridiques et économiques qui permettent d’établir les bases de la production audiovisuelle dans le Bassin méditerranéen. Ces conventions favoriseront tous les genres : documentaires, fictions, films d’animation, magazines, reportages et nouveaux formats d'écriture. Cet ensemble de règles en matière de propriété intellectuelle doit offrir à l’audiovisuel méditerranéen une stabilité qui constitue une des conditions préalables à son développement. Des accords bilatéraux existent entre professionnels méditerranéens mais portent, pour l’essentiel, sur la création et la production cinématographique. Un contrat-type de coproduction entre partenaires euro-méditerranéens a vocation à être adopté. Il tiendra compte des accords bilatéraux existants et des règles communautaires auxquelles sont liés de nombreux membres de la COPEAM. IX - Soutenir la production en développant les coproductions multilatérales. Création d’un outil professionnel d’aide à la production. La COPEAM soutient la production audiovisuelle en coordonnant la mise en oeuvre de coproductions multilatérales. Elle s’attache à identifier des projets d’intérêt commun, du documentaire, au magazine et au reportage, jusqu’à la création d’un groupe d’étude de nouveaux formats. Pour soutenir la production et développer les coproductions bilatérales ou multilatérales, il est nécessaire de créer un fonds de soutien au financement de production méditerranéenne. X - L'adoption d’une politique tarifaire favorisant l'accès aux archives méditerranéennes La COPEAM, à partir d'une analyse exhaustive et fine des pratiques tarifaires existantes, proposera une grille homogène et opposable garantissant à tous ses membres, aux acteurs audiovisuels et à ses partenaires un accès facilité aux archives et une juste rémunération des détenteurs de fonds et leurs ayants-droit. La circulation de ces archives, qui permet la valorisation d’un véritable patrimoine commun aux pays de la Méditerranée, est freinée par l’absence d’un accord-cadre précisant les conditions contractuelles et par des pratiques commerciales disparates.
L’université de Tizi Ouzou se dote d’une station de calculs informatiques L’université Mouloud-Mammeri de Tizi Ouzou vient de se doter, en termes de structures de recherche, d’une station «ultra sophistiquée» de calculs informatiques, réalisée au niveau du centre de calcul du campus universitaire Hasnaoua I, a-t-on indiqué au vice-rectorat chargé de la recherche scientifique et de la post-graduation. Cette station de calculs informatiques sera dotée de processeurs ultrarapides, a-t-on précisé de même source. Des équipements de haute technologie devant permettre aux enseignants chercheurs d’effectuer des calculs de simulation à même d’établir les scénarios à expérimenter. Parallèlement, les responsables de l’université comptent inaugurer une nouvelle structure devant abriter les 20 centres ou laboratoires de recherche jusque-là localisés sur les différents campus universitaires. Lesquels laboratoires de recherche seront regroupés, dès l’achèvement de cette infrastructure, selon les mêmes responsables, précisant qu’un budget de 100 millions de DA y a été dégagé pour la concrétisation de ce projet. Une fois mis en service, il permettra «une meilleure rationalisation des moyens de recherche, affectés, jusque-là, sur plusieurs laboratoires et/ou unités de recherche inadéquates. Sur un autre registre, et en vue d’assurer une meilleure fonctionnalité de cette nouvelle infrastructure de recherche scientifique, le département de Rachid Harraoubia a décidé de réaliser sur le même site, «une plateforme technique de recherche et d’essai des différents types de matériaux», un projet inscrit et retenu pour une enveloppe financière de 50 millions de DA. Par ailleurs, 500 millions de DA ont été alloués à l’université pour l’équipement de cette structure en «matériel lourd» pour, a-t-on indiqué, «les besoins d’une recherche de haute précision», citant, entre autres, les microscopes électroniques à balayage et les microscopes atomiques. R. M.
Exploiter les potentialités naturelles d'Aïn El kerma
Les efforts de développement menés à Ain El Kerma (wilaya d'Oran) visent surtout l'amélioration du cadre de vie des citoyens et l'exploitation des potentialités naturelles pour faire de cette commune côtière un pôle touristique par excellence, selon les responsables de cette collectivité locale. La commune, située à 45 km à l'extrême ouest du chef-lieu de wilaya, et qui englobe cinq agglomérations (Cap blanc, Sidi Bakhti, Ain Tassa, Msila et Bakouk), a déjà concrétisé 25 opérations dans le cadre des plans communaux de développement (PCD) ayant touché plusieurs secteurs, notamment l'aménagement urbain, l'assainissement, et la santé, pour une enveloppe estimée à 198 millions de dinars, selon le bilan de l'exercice 2009. L'aménagement du lotissement 51 dans la localité de Ain Tassa, et celui de l'agglomération de Bakouk, l'aménagement et la réfection des routes au niveau de ces deux localités et de la commune mère Ain El Kerma, en plus de la généralisation de l'électrification rurale, qui constituait l'une des préoccupations de la population d'Ain Tassa, figurent au nombre de ces opérations. Le président de l'APC, M. Sardi Souleimane, a indiqué que toutes les fermes éparses à travers les agglomérations de la commune disposent désormais de l'éclairage. Les travaux de réalisation de 40 logements sociaux locatifs au niveau de la commune mère, et de 80 unités du même type et 100 habitations rurales réparties entre les exploitations rurales Hamdoun Kouider et Bouachkha, sont en cours d'exécution, a-t-il ajouté. La concrétisation d'une polyclinique, projet qui progresse à un rythme "soutenu", soulagera la commune d'Ain El Kerma, car cette structure, explique-t-on, contribuera non seulement à améliorer la couverture sanitaire, mais réduira aussi la pression sur la clinique de la commune de Boutélis, sachant que tous les centres ruraux de la municipalité sont dotés de salles de soins. Par ailleurs, le transport des élèves vers le CEM de la commune mère et le lycée de Boutlélis ne pose pas problème pour cette année, malgré les difficultés nées de l'éparpillement des centres d'habitation, mais la prochaine rentrée scolaire s'annonce difficile en raison de la détérioration des routes entre Cap blanc et le chef-lieu de daïra de Boutlélis, a estimé pour sa part le vice-président de l'APC. R.R.
Création d'espaces de loisirs et de détente à la forêt de Nesmoth
L'Algérie dispose d'un couvert végétal luxuriant qui attire de nombreux citoyens en quête de lieux de détente. Néanmoins, les infrastructures d'accueil font défaut. C'est dans ce contexte que la forêt limitrophe de la commune de Nesmoth dans la daïra de Hachem (60 km au sud du chef-lieu de la wilaya de Mascara) a bénéficié de la réalisation de structures de loisirs et un espace touristique et de détente réservé aux familles. Selon l'attaché de presse de la wilaya, l'objectif de ce projet, qui entre dans le cadre du partenariat algéro-espagnol ayant un rapport avec le transfert de l'expérience espagnole dans le domaine du développement rural, est de créer un espace touristique en milieu naturel, afin de sensibiliser la population sur l'importance de l'environnement et du développement de la forêt. Il a été réalisé dans ce sens des aires de jeux et de divertissement sur une surface de 1,5 ha, en vue d'attirer les citoyens en quête de détente pour profiter du paysage naturel de la région. Les travaux, qui ont nécessité un montant de 4,463 millions de DA ont porté sur des espaces de confort équipés de tables en bois et de moyens de distraction et de jeux pour enfants, ainsi que l'aménagement de 15 hectares de forêts, l'ouverture de pistes et le renforcement de la signalisation pour guider les visiteurs. Une cafétéria et un espace réservé à des expériences botaniques, une espèce de réserve protégée contenant des plantes médicinales et d'ornement, ont été également réalisés. A noter que les travaux se poursuivent pour l'achèvement de ce projet, avec l'objectif de concrétiser un musée où seront exposés des produits de la vie rurale, des moyens de travail de la terre tels que les charrues, les moulins à vent et des produits artisanaux de laine et d'Alfa, en plus des ustensiles en bois et celles fabriqués à base de peau de chèvre comme la "Chekoua" et "Guerba" (bouillotte) pour faire refroidir l'eau. Le programme de coopération algéro-espagnol, qui concerne l'introduction d'une forme de développement rural mené depuis 2007 au profit de la daïra de Hachem, compte six projets pour accompagner l'activité agricole et le développement rural dans cette région sélectionnée en tant que daïra pilote. Ce programme, dont la gestion est prise en charge par le centre espagnol des études de développement rural et agricole, est financé par l'agence espagnole de coopération internationale et de développement, a indiqué le coordonnateur dudit programme, Benarba Brahim. Une enveloppe de plus de 1,2 million d'euros a été consacrée à ces opérations portant sur la réalisation d'une unité de production de fromage de chèvre, d'un espace pour cultiver les plantes médicinales et d'une unité de transformation et de commercialisation dans la commune de Zelamta, alors que la commune de Nesmoth a bénéficié de l'équipement de ses terres en système d'irrigation goutte-à-goutte et de la réalisation d'une unité de conservation des olives réputés dans cette région. Une unité de production de couscous, entrée en phase de commercialisation de ses produits, a été créée également au profit des femmes de la daïra. Il a été procédé également à l'installation de panneaux d'information des sites naturels et historiques de la région de Hachem. R.R.
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