PATRICK LE BERRIGAUD EUROPE fédérale/UNION POUR LA MEDITERANNEE consultant ingenieur conseil
tél 33 06 16 52 52 46 France Paris
tel mobil 07 82 30 52 81 France Paris
consultant Urbanisme Europe Algerie communication alger quatier de la marine plbdeu@gmail.com Développeur de Réseaux VIADEO
Hakim Arous La Cimade fait un « constat élogieux » de la procédure française de délivrance des visas selon le Consul général de France à Alger, Michel Dejaegher. Au cours d’une conférence de presse organisée, lundi 12 juillet, en réaction au rapport « Visa refusé » publié par la Cimade le 8 juillet dernier, et aux articles parus dans la presse algérienne reprenant les critiques de cette association, le Consul général a défendu le travail de son administration en insistant longuement sur les points positifs contenu dans ce rapport.
Pour Michel Dejaegher , « leur constat est élogieux », notamment sur l'externalisation de la procédure de demande de visas via VisasFrance. Il a détaillé les différentes étapes de la procédure, modernisées depuis l'entrée en service de VisasFrance. «Des listes précises de pièces à joindre au dossier (…) sont diffusées sur le site internet du prestataire. Les formulaires de demandes peuvent être téléchargés. Le système de prise de rendez-vous (…) est gratuit. (…) Un SMS est envoyé au demandeur dès que VisasFrance reçoit le passeport du Consulat ».
Concernant le taux de refus très élevé en Algérie, le Consul général a confirmé les explications données par La Cimade de risques migratoire et médical. Un risque « pas seulement théorique », a-t-il affirmé. Il a ainsi déclaré que « chaque jour des préfectures prennent contact avec le consulat pour signaler le dépôt d'une demande de titre de séjour par des ressortissants algériens auxquels le consulat avait délivré un visa pour une courte visite familiale. Chaque semaine, les hôpitaux nous signalent des impayés ». Si le taux de refus en Algérie est supérieur à la moyenne mondial c'est parce que les risques sont « plus importants » pour l'Algérie qu'ailleurs, « même si on n'a aucune statistique précise » sur la réalité des fraudes, a-t-il reconnu.
Le Consul général français a également défendu ses services en réfutant l'accusation de délivrance « arbitraire » des visas faite par La Cimade. « Depuis le 5 avril 2010, le consulat applique le Code communautaire des visas (pays européens de l'espace Schengen, ndlr) qui précise les contrôles à effectuer. Ce sont des règles appliquées partout dans le monde par tous les consulats de tous les Etats Schengen ». Il a aussi noté que « le taux de refus a baissé en grande partie grâce à l'externalisation ». Il est passé à Alger, de 43,98% en 2006, à 29,68% en 2009.
Sur le volet des motivations des refus, il a confirmé qu'à partir du 5 avril 2011, la France, en vertu d'un accord décidé en 2009 par le Parlement européen et la Commission européenne, les raisons du refus des visas seront notifiées. En revanche, il a totalement démenti les informations du rapport concernant le fait que les visas étudiants soient délivrés trop tard pour permettre aux étudiants de débuter l'année universitaire en France. Même chose pour la conservation des données personnelles des demandeurs. La Cimade indiquait qu'elles étaient gardées trois mois, « c'est inexact. Elles sont effacées du système dès que le passeport est rendu au demandeur », a répondu le Consul général.
Nicolas Sarkozy annonce la création d'une commission pour éviter les conflits d'intérêtsTout en renouvelant sa confiance au ministre du travail, Eric Woerth, mis en cause dans l'affaire Bettencourt, Nicolas Sarkozy a conseillé à son ministre d'abandonner son poste de trésorier de l'UMP et annoncé la création d'une commision pour éviter "toute forme de conflits d'intérêts", lundi 12 juillet au soir dans un entretien sur France 2.Eric Woerth est "lavé de tout soupçon par le rapport de l'IGF, je n'ai aucune raison de m'en séparer" a-t-il indiqué. C'est "un homme honnête, c'est un homme compétent, c'est un homme qui a toute ma confiance et celle du premier ministre", a dit le chef de l'Etat. "Il sera donc le ministre qui défendra cette réforme si nécessaire des retraites selon le calendrier qui était prévu", a-t-il poursuivi. "Le 13 juillet, demain, le conseil des ministres adoptera le texte de réforme, le 6 septembre le Parlement en discutera en séance plénière, les commissions travailleront dès le mois de juillet et à la fin du mois d'octobre, ce texte sera voté", a ajouté Nicolas Sarkozy. "MON CONSEIL C'EST PLUTÔT QU'IL ABANDONNE CETTE RESPONSABILITÉ" Il a par ailleurs dit que c'était "une honte" d'avoir accusé Eric Woerth d'avoir "ramassé des enveloppes" d'argent chez Mme Bettencourt, comme l'avait rapporté le site Mediapart citant des premières déclarations, partiellement démenties ensuite, de l'ex-comptable de la patronne de L'Oréal. Ces présumées enveloppes auraient été distribuées avant la victoire de Nicolas Sarkozy en 2007. Certains ont suggéré qu'elles auraient pu servir au financement de sa campagne présidentielle. Eric Woerth est accusé de "conflit d'intérêts", d'abord pour avoir été au même moment ministre du budget (de 2007 à mars 2010) et trésorier du parti présidentiel l'UMP, mais aussi parce que dans le même temps, son épouse, Florence, gérait une partie de la fortune de Liliane Bettencourt, l'héritière des cosmétiques L'Oréal. Alors que de nombreuses voix se sont élevées pour critiquer la double casquette d'Eric Woerth, le président de la République a indiqué qu'il avait conseillé à son ministre d'abandonner son poste de trésorier : "Je lui ai dit que je souhaitais qu'il se consacre exclusivement à cette importante réforme des retraites, que son honneur maintenant était lavé, que les soupçons étaient levés, et que mon conseil c'est plutôt qu'il abandonne cette responsabilité", a-t-il dit. "Je ne suis pas en charge du fonctionnement de l'UMP, c'est Xavier Bertrand qui en est en charge", a-t-il ajouté pour signifier que la décision formelle ne lui appartenait pas. Et pour éviter à l'avenir "toute forme de conflit d'intérêts", le président a annoncé la mise en place la semaine prochaine d'une "commission représentant toutes les familles politiques". "Sur cette question de conflit d'intérêts, j'ai entendu qu'il y avait des propositions des uns ou des autres sur le sujet et je suis très attentif à ces propositions", a expliqué le président. "Je demanderai à une commission représentant toutes les familles politiques de réfléchir dès la semaine prochaine à la façon dont on doit ou non compléter ou modifier la loi pour éviter dans l'avenir toute forme qui pourrait intervenir de conflit d'intérêts", a-t-il annoncé. "Je précise que ça ne concernera pas que les ministres, cela doit concerner aussi les parlementaires, et pourquoi pas telle ou telle personne qui exerce une responsabilité", a-t-il ajouté. "CE SERAIT INDÉPENDANT DE DIRE 'CE SERAIT BIEN QU'ON CHANGE DE JUGE' ? Nicolas Sarkozy a par ailleurs défendu la conduite des enquêtes dans l'affaire Woerth-Bettencourt par le procureur de Nanterre, Philippe Courroye, soupçonné par des syndicats de magistrats et l'opposition d'avoir une approche partiale de l'affaire. "Comme c'est curieux, lorsqu'au début de la semaine dernière les éléments étaient à charge contre Eric Woerth, personne ne posait cette question, comme par hasard les juges étaient indépendants", a estimé M. Sarkozy. "Maintenant que les témoignages s'effondrent les uns après les autres, que l'honnêteté d'Eric Woerth éclate en plein jour, le même juge devient quelqu'un dont il faut soupçonner la partialité", s'est-il étonné. Placé sous l'autorité hiérarchique du ministre de la justice, le procureur Courroye est réputé proche du chef de l'Etat. Il a rappelé que le procureur était "compétent" dans cette affaire "parce qu'il a été saisi en son temps d'une procédure pour abus de faiblesse engagées par la fille de Mme Bettencourt à l'endroit de Mme Bettencourt". Le président a rejeté l'idée de changer de cadre procédural alors que de nombreuses personnes, dont Dominique de Villepin et François Bayrou, demandent qu'un juge d'instruction – magistrat indépendant et inamovible – soit saisi des enquêtes dans l'affaire Bettencourt. "Vous croyez que ce serait indépendant de dire 'ce serait bien qu'on change de juge', qu'on en mette un autre ? Ce n'est pas ma conception de l'indépendance de la justice", a-t-il martelé. 1 2suivant
Interrogé en direct lundi soir, le chef de l'Etat a notamment déclaré que c'était une "honte" de l'avoir accusé d'avoir touché de l'argent des Bettencourt. Sur les retraites, il s'est montré ferme sur les 62 ans, ouvert sur d'autres points à la marge
le Président Nicolas Sarkozy a affirmé lundi 12 juillet sur France 2 que c'était "une honte" de l'avoir accusé d'avoir "ramassé des enveloppes" d'argent chez Liliane Bettencourt, comme l'avait rapporté le site Médiapart citant des premières déclarations, démenties ensuite, de l'ex-comptable de l'héritière de l'Oréal.J'ai été élu pour résoudre les problèmes de la France et des Français, des problèmes qui n'ont pas été résolus depuis des années parce qu'ils sont très difficiles (...) notamment la réforme des retraites", a-t-il ajouté. Selon lui, quand on met en forme des réformes, on "bouscule des intérêts, des situations acquises", on "gêne un certain nombre de gens. La réponse, c'est bien souvent la calomnie". "On l'a connu il y a trois mois: ma femme et moi, on a subi les pires racontars, mensonges. Il y a quatre ans, lorsque j'ai pris la présidence de l'UMP, j'ai eu à faire face à l'invraisemblable affaire Clearstram. Et voilà qu'avec la réforme des retraites, on me décrit comme quelqu'un qui, depuis 20 ans, irait chez Mme Bettencourt pour ramasser des enveloppes. C'est une honte!", s'est exclamé M. Sarkozy. "Il ne s'agit pas pour moi d'être victime de quoi que ce soit. J'étais prêt" mais "c'est une perte de temps par rapport à ce que les gens attendent de moi. Et ils attendent une chose très imple: +sortez-nous de la crise", a-t-il ajouté. "J'ai lu dans la presse le témoignage du maître d'hôtel de Mme Bettencourt qui travaillait chez eux depuis 17 ans. Il a dit: +en 17 ans, j'ai vu Nicolas Sarkozy au domicile de M. et Mme Bettencourt deux fois, peut-être trois fois+. Et à chaque fois, dit-il, c'était soit pour un déjeuner, soit pour un dîner, avec plusieurs personnes", a encore dit M. Sarkozy. "Vous m'imaginez, pendant un dîner, devant les convives à table, repartant avec de l'argent?", a-t-il demandé.
Au secours de Courroye Le président a par la suite défendu la conduite des enquêtes dans l'affaire Woerth/Bettencourt par le procureur de Nanterre, Philippe Courroye, soupçonné par des syndicats de magistrats et l'opposition d'avoir une approche partiale de l'affaire. "Comme c'est curieux, lorsqu'au début de la semaine dernière les éléments étaient à charge contre Eric Woerth, personne ne posait cette question, comme par hasard les juges étaient indépendants", a estimé Nicolas Sarkozy "Maintenant que les témoignages s'effondrent les uns après les autres, que l'honnêteté d'Eric Woerth éclate en plein jour, le même juge devient quelqu'un' dont il faut soupçonner la partialité", s'est-il étonné. Il a rappelé que le procureur était "compétent" dans cette affaire "parce qu'il a été saisi en son temps d'une procédure pour abus de faiblesse engagées par la fille de Mme Bettencourt à l'endroit de Mme Bettencourt". Le président a rejeté l'idée de changer de cadre procédural alors que de nombreuses personnes, dont Dominique de Villepin et François Bayrou, demandent qu'un juge d'instruction -magistrat indépendant et inamovible- soit saisi des enquêter dans l'affaire Bettencourt. "Vous croyez que ce serait indépendant de dire +ce serait bien qu'on change de juge+, qu'on en mette un autre? Ce n'est pas ma conception de l'indépendance de la justice", a-t-il martelé. Placé sous l'autorité hiérarchique du ministre de la Justice, le procureur Courroye est réputé proche du chef de l'Etat. Il dirige trois enquêtes préliminaires ouvertes à la suite de la révélation d'enregistrements pirates suggérant un blanchiment de fraude fiscale et un conflit d'intérêt pour les époux Woerth, ainsi que des accusations d'une ancienne comptable de Liliane Bettencourt suggérant un financement politique illégal au profit de l'UMP. "Ce procureur (Philippe Courroye, ndlr) est réputé d'abord parce qu'il a été pendant des années juge au pôle anticorruption (pôle financier, ndlr) et qu'il a mis en prison ou a envoyé devant la Cour de justice de la République des personnalités de droite", a plaidé Nicolas Sarkozy, faisant référence à l'ancien ministre RPR de l'Intérieur Charles Pasqua.
République irréprochable Nicolas Sarkozy a affirmé que "la France n'est pas un pays corrompu", et que "la classe politique, gauche/droite confondue, est en général honnête" alors que Ségolène Royal a dénoncé "un système Sarkozy corrompu". "La France n'est pas un pays corrompu", a affirmé le président de la République. "La classe politique gauche-droite confondue est en général honnête. Les fonctionnaires français sont des gens d'une grande rigueur", a ajouté Nicolas Sarkozy. Mais le chef de l'Etat a reconnu qu'"il y avait, dans notre pays, des habitudes, c'est incontestable, un certain laisser-aller, trop d'appartements de fonction, trop de voitures de fonction, trop de mauvaises habitudes. C'est exact et je le reconnais bien volontiers". "Ces mauvaises habitudes, il faut y mettre un terme", a-t-il dit en rappelant qu'il avait décidé des mesures pour réduire les avantages dont bénéficient les ministres. "J'ai promis une République irréprochable, c'est ce que nous faisons", a martelé le président de la République.
Retraites : 62 ans ferme Sur les retraites, Nicolas Sarkozy a réaffirmé qu'il n'accepterait pas de revenir sur le recul de l'âge de départ à la retraite à 62 ans ni sur l'alignement des cotisations retraites public/privé, mais qu'il était ouvert sur le reste. "Je dis : les 62 ans, nous n'y toucherons pas. Je dis : l'équilibre des cotisations public/privé, c'est une question de justice. On ne peut pas y toucher", a déclaré le chef de l'Etat. "Sur le reste, nous serons très à l'écoute de ce que nous diront nos interlocuteurs", a-t-il ajouté. Le chef de l'Etat a précisé qu'il aurait des contacts pendant l'été avec les partenaires sociaux. Nicolas Sarkozy a ajouté qu'il s'attendait à ce qu'il y ait des manifestations mais qu'elles n'auraient aucune influence sur la version finale de la réforme des retraites. "Je m'attends à ce qu'il y ait des manifestations. Je sais qu'il y a de la souffrance. Ce qui aura une influence, c'est l'idée que nous nous ferons de la justice. Ce n'est pas l'importance des manifestations", a-t-il dit. Une journée de grève et de manifestations pour la défense des retraites est prévue le 7 septembre, quand l'Assemblée nationale commencera l'examen du projet de loi du gouvernement.
L’Algérie a signé un contrat avec le groupe européen EADS pour la fourniture de satellites d’observation capables de founir des images de très haute qualité.lundi 12 juillet 2010. Astrium développe les deux satellites d’observation optiques du système ALSAT-2 sous contrat du Centre National de Technologie Spatiale de l’Algérie. Ce système permettra à l’Algérie d’obtenir des images de très haute qualité qui seront utilisées dans une large gamme d’applications : cartographie, gestion des ressources agricoles, hydriques, forestières, minières et pétrolières, lutte antiacridienne, gestion des catastrophes naturelles, aménagement du territoire. Les satellites ALSAT-2 sont les premiers satellites d’observation de la famille AstroSat100 basés sur la plate-forme Myriade mis au point par Astrium en coopération avec le Centre National d’Etudes Spatiales (CNES). Le premier des deux satellites, ALSAT-2A, a été intégré et testé par Astrium France et lancé le 12 juillet 2010 ; l’Algérie se charge elle-même de l’intégration du second, ALSAT-2B, à Oran. Ce programme prévoit également la réalisation de deux segments sol et d’un terminal image pour l’exploitation et le pilotage des satellites depuis le territoire algérien. ALSAT-2 dispose d’une charge utile de dernière génération capable de fournir des images de 2,5 m de résolution en mode panchromatique et de 10 m de résolution sur chacune des 4 bandes couleur du mode multispectral. Synthèse de Rayane, www.algerie-dz.com D’après EADS
L’Algérie s’est dotée du nouveau satellite Alsat-2A lancée hier en orbite avec le lanceur indien PSLV-C15.lundi 12 juillet 2010. Satellite d’observation optique intégré et testé par Astrium France au profit de l’Algérie, le satellite Alsat-2A a été lancé en orbite aujourd’hui avec le lanceur PSLV-C15 développé par l’agence spatiale indienne. Le satellite Alsat-2A qui est capable de fournir des images d’une résolution de 2,5 m, permettra à l’agence spatiale algérienne d’obtenir des images de grande qualité de l’Algérie et ces dernières serviront dans divers domaines notamment dans la cartographie et la gestion des ressources naturelles de l’Algérie. Par la rédaction, www.algerie-dz.com
http://lci.tf1.fr/culture/cinema/2010-07/24h-de-la-vie-sur-terre-le-projet-fou-de-ridley-scott-5918479.html Par Axel CONSTANTINOFF, Le cinéaste va produire un documentaire sur la vie sur Terre pendant une journée, celle du 24 juillet prochain. Derrière la caméra, la planète entièreRidley Scott vous attend. Le célébrissime cinéaste, connu notamment pour des films comme Gladiator ou Thelma et Louise s'est lancé dans un nouveau projet titanesque : documenter 24 heures de la vie de la planète Terre. Mais derrière la caméra, ce ne sera pas lui, mais vous, nous, n'importe qui... Ridley Scott appelle en effet les internautes du monde entier à filmer un "instantané" de leur vie - ou même toute leur journée - le 24 juillet prochain, et seulement ce jour-là. Les clips doivent être mis en ligne sur le channel YouTube dédié avant le 31 juillet. Tout est bon à filmer "Vous pouvez filmer l'ordinaire - un lever de soleil, le trajet pour aller au travail, un match de foot dans le quartier- ou l'extraordinaire: les premiers pas d'un enfant, votre réaction au décès d'un proche, même un mariage", explique Google, propriétaire de YouTube, sur son blog. Kevin Macdonald sera chargé de faire le montage, et le long-métrage qui en résultera, produit par Ridley Scott, sera diffusé au festival de cinéma de Sundance en janvier prochain, à Park City, aux Etats-Unis. Tous les internautes dont les clips seront retenus seront répertoriés comme co-réalisateurs, et 20 d'entre eux assisteront à la première. A vos caméras ! Par Axel CONSTANTINOFF le 08 juillet 2010 à 11:06
Algérie – Le recours à la monnaie scripturale (chèques ou cartes bancaires) pour tout paiement supérieur à 500 000 DA entrera en vigueur le 31 mars 2011, selon un projet de décret examiné hier par le Conseil des ministres. La date du 31 mars 2011 a été retenue pour l’entrée en vigueur de cette mesure, de sorte à garantir que les banques de la place seront entièrement en mesure de répondre à la demande du public pour l’ouverture de comptes et pour l’obtention rapide de chéquiers », indique le communiqué du Conseil, repris par l’APS. Le seuil de 500 000 DA fixé à ce stade tend à familiariser la société au recours au chèque en lieu et place des espèces, étant donné que ce montant sera à l’avenir graduellement abaissé jusqu’à atteindre le niveau en usage dans les économies modernes à travers le monde, précise la même source. « Cette mesure, découlant d’une disposition de la loi de février 2005 relative à la prévention et à la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme, a été précédée par la modernisation des systèmes de télécompensation des instruments de paiement au niveau du système bancaire », ajoute le communiqué. Désormais, ce sont des opérations totalisant plus de 700 milliards de dinars qui sont mensuellement traitées par voie de chèque, avec toutes les garanties voulues et une grande célérité au niveau interbancaire, souligne le communiqué. source: Elwatan
Algérie – L’Agence nationale de valorisation des résultats de la recherche et du développement technologique (ANVREDET) a sélectionné 26 projets de recherche sur 174 susceptibles de contribuer à la création de micro-entreprises innovantes
Le directeur de l’ANVREDET, M. Mohamed Taibi a affirmé, à ce propos, à l’APS, que l’Agence a valorisé 544 projets d’innovation dont 174 ayant une relation directe avec l’économie nationale, ont été retenus par les commissions technologiques spécialisées. Les 26 projets innovants susceptibles de contribuer à la création de micro-entreprises technologiques innovantes concernent plusieurs secteurs, dont le transport, les produits alimentaires manufacturés, les énergies renouvelables, la santé humaine, animalière et environnementale et le traitement des eaux. source: APS
Mariage à Tlemcen: Le burnous, le haïk, le cheval… et des youyous ! Une virée dans la cité des Zianides nous fait découvrir l’attachement des Tlemcéniens à leurs traditions, comme c’est le cas avec les fêtes de mariage. Les traditions à Tlemcen sont pérennes. En dépit des vicissitudes de la vie et des influences, la cité de Sidi Boumediène reste égale à elle-même. Et les festivités de mariage n’ont pratiquement pas changé d’un iota. Description d’une nuit de noces à Tlemcen : emmitouflée dans un haïk de soie, laissant entrevoir un kaftan doré et un diadème royal, la mariée, accompagnée d’une proche, pénètre son nouveau domicile sous les youyous. Du sucre en poudre est essaimé à partir du toit de la maison. Une manière de souhaiter une vie de miel aux futurs époux. Ailleurs, le marié est pris en charge par ses amis. Après la séance de coiffure et le banquet, organisé dans un salon de thé, Moulay soltane, en burnous, est monté sur un cheval, généralement blanc. Le cortège pédestre prend la direction du foyer conjugal sous le son de la zorna et de la ghaïta. Sur le seuil, un cercle se forme pour une danse en solitaire de l’aâriss. Tout se mêle ensuite dans un tohu-bohu de youyous et de pétards, avant de permettre à Moulay de s’engouffrer dans la chambre nuptiale… Sur la terrasse, les invités se trémoussent sous le son mélodieux de la musique andalouse… source: Elwatan
renforcement du réseau d'Algérie Poste Le directeur général d'Algérie Poste, M. Boutheldja Amari, a annoncé, hier, que son entreprise a créé des centres de distribution du courrier dans le but d'améliorer et de développer ce service.En marge de la conférence régionale sur le développement et l'amélioration de la qualité du courrier express international dans la région, arabe, M. Amari a précisé que ces centres sont pourvus de facteurs chargés de distribuer le courrier dans différentes régions contrairement à l'ancienne pratique de distribution du courrier dans le territoire émanant d'un seul centre. A cet effet, ce même responsable a rassuré que ces centres sont dotés de facteurs expérimentés qui transmettent leur savoir aux nouveaux pour mieux faciliter le travail et satisfaire le client. Dans cette perspective, M Bouthelja a expliqué que l'objectif de ces centres visait à regrouper les adresses des clients, régler les problèmes des erreurs d'adresses auxquels sont souvent confrontés les facteurs. Pour autant, M. Amari a, dans cette démarche, mentionné la base de données des adresses mise en place par Algérie Poste depuis deux ans, dans le but de regrouper les adresses des clients de cette entreprise, notamment après les opérations de relogement. L'entreprise Algérie Poste comprend 3 357 bureaux de poste et 10 661 guichets, avec un bureau de poste pour chaque 10 265 habitants. L'entreprise compte également 4 centres postaux pour le courrier express international, 4 centres pour les colis postaux et 6 centres régionaux pour les cheques postaux. Concernant les comptes postaux, Algérie Poste en dénombre 12,3 millions, dont 1,3 million ouverts en 2009, ainsi que 5,8 millions de clients pourvus de carte de retrait et 6955 clients porteurs de carte à puce. La même source affirme que les bureaux de poste sont visités par un grand nombre de clients atteignant jusqu'à 1 million par jour au niveau de tous les bureaux de poste nationaux, indiquant que l'entreprise a mis à la disposition de ses clients 630 guichets automatiques de retrait à travers le pays.Fawzi K.
Décidé à renforcer la prise en charge des personnes âgées dans un cadre familial convenable, le Conseil des ministres, réuni hier sous la présidence du chef de l’Etat, Abdelaziz Bouteflika, a examiné et approuvé le projet de loi relative à la protection des personnes âgées. Ce texte rappelle, en premier, les obligations légales des descendants directs de cette catégorie avant de faire part, ensuite, du principe d’une aide de l’Etat aux familles démunies pour la prise en charge de leurs membres âgés. Il étend, enfin, le soutien aux familles d’accueil sans lien de parenté avec les personnes âgées démunies qui n’ont plus de proches. Le président Bouteflika a, à ce propos, affirmé que «nos valeurs spirituelles et civilisationnelles exigent de l’Etat qu’il ne ménage aucun effort pour mettre un terme à l’abandon des personnes âgées dans des centres de vieillesse, en faisant observer par les enfants leur devoir de prendre soin de leurs ascendants, en apportant une aide publique aux familles des personnes âgées lorsque celles-ci sont démunies, ou même en encourageant, y compris financièrement, des familles disposées à accueillir des personnes âgées démunies qui n’ont plus de proches». Le projet de loi conforte également la protection et l’assistance de l’Etat au bénéfice des personnes âgées en situation de vulnérabilité, ainsi que leur assistance en matière de soins, d’aide sociale et d’activités spécifiques. Enfin, il précise davantage les conditions d’ouverture et de gestion des établissements spécialisés, publics ou privés, destinés aux personnes âgées. «Dans le même temps, l’allongement de l’espérance de vie qui progresse dans notre pays dicte aux pouvoirs publics de renforcer le réseau des centres publics spécialisés de soins et d’accompagnement des personnes âgées, de former en nombre suffisant un personnel d’accueil et de soins de qualité, et d’encourager les intervenants privés et la société civile à s’investir dans ce domaine qui doit être régulé et contrôlé par la puissance publique», a déclaré le président Abdelaziz Bouteflika. Rappelons que le ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Communauté nationale à l’étranger, M. Djamel Ould Abbes, avait annoncé, en avril dernier, que le projet de loi portant protection des personnes âgées entrera en vigueur avant la fin de l’année 2010. Il est important de souligner que certaines dispositions contenues dans ce texte prévoient des peines d’emprisonnement et des amendes à l’encontre des personnes qui abandonnent leurs parents. Une décision importante, eu égard au fait que cette catégorie de citoyens, qui représente aujourd’hui plus de deux millions de personnes, atteindra six millions dans deux décennies selon les prévisions. Dans sa politique à long terme, l’Etat prévoit la création de 32 centres dotés de médecins et de psychologues pour la prise en charge de cette catégorie. Il consacre actuellement un montant de 20 000 DA/mois à la prise en charge de chaque personne âgée dans les centres existants. Mais, il ne faut pas se leurrer, l’aide sociale de l’Etat en faveur des personnes âgées demeurera insuffisante eu égard à l’importance de la famille, facteur essentiel de quiétude morale et psychologique.
je suis passionné par l'Algerie communiquer expliquer asssister les entreprises locales et les entreprises européennes interessées par le marché Algerien sont mes devises.Vous êtes une entreprise qui recherchez des distributeurs en Algérie,vous souhaitez connaître les particularités du marché algérien,P.Leberrigaud Freelance sera en mesure de vous donner toutes les informations économiques développer vos activités sur le territoire algérien.établir un partenariat avec les pmi pme algeriennes et françaises très étroites ,pour les 20 années à venir nous devons travailler ensemble, pour créer des centres d'interets communs, pour les petites et moyennes entreprises tel O6 16 52 52 46