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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Friday, November 07, 2008

Union Européenne Position commune sur la crise





Crise: l'UE veut des résultats rapides sur la réforme du système financier
Il y a 12 heures
BRUXELLES (AFP) — Les Européens ont adopté vendredi une "position commune" en vue du sommet mondial de Washington la semaine prochaine sur la réforme du système financier et en attendent des résultats rapides, dès début 2009, a annoncé la présidence française de l'UE.
"Je puis dire qu'il y a une position commune assez détaillée de l'Europe" sur les changements à apporter après la crise financière, a déclaré le chef de l'Etat français Nicolas Sarkozy, à huit jours du sommet le 15 novembre dans la capitale américaine des pays industrialisés et émergents du G20,
Il s'exprimait devant la presse à l'issue d'un sommet européen extraordinaire visant à préparer cette réunion du 15 novembre sur la réforme du système financier.
"L'Europe ira donc à Washington avec la volonté de défendre une ligne, celle de la transparence et de la refondation", a ajouté M. Sarkozy, soulignant que la réunion devrait aboutir à des résultats "ambitieux".
"Nous demandons à être écoutés et entendus et vite", a ajouté le chef de l'Etat français. "Je ne viens pas participer à un sommet de mondanités, les Européens ne se contenteront pas de quelques principes vagues", a-t-il dit.
L'Union européenne souhaite des résultats concrets pour renforcer le contrôle des marchés financiers dans les "cent jours" suivant le sommet de Washington, soit fin février, selon un texte de la présidence de l'UE.
A partir de cette date, "nous proposerons qu'un nouveau sommet se réunisse", ajoute le document.
Le président américain élu Barack Obama aura d'ici là pris ses fonctions à la Maison Blanche. Le démocrate s'est montré plus ouvert durant sa campagne électorale à un renforcement de la régulation des marchés que son prédécesseur républicain George W. Bush.
Par ailleurs, M. Sarkozy a exprimé "l'inquiétude de tous les Etats européens devant la gravité de la situation économique", alors que le chef de file des ministres des Finances de la zone euro, le Luxembourgeois Jean-Claude Juncker, jugeait "probable" une récesssion en zone euro en 2009.
Le président français a assuré que les 27 chefs d'Etat et de gouvernement de l'UE étaient "tous d'accord sur la nécessité absolue d'une coordination des politiques économiques en Europe", y compris l'Allemagne, qui avait exprimé de sérieuses réserves durant les travaux préparatoires au sommet.
Le ministre allemand des Finances Peer Steinbrück avait rejeté un projet de document prônant une plus grande "coordination macro-économique internationale" face à la crise, en soupçonnant Paris de vouloir par ce biais promouvoir son idée de gouvernement économique européen.
"Le ministre des Finances n'est pas tout à fait du même avis que la chancelière. Il est parfois moins aimable", a ajouté M. Sarkozy.

Economie Union Européenne mars 2009





Economie
L'Union européenne veut réformer la finance mondiale avant mars
AP 07.11.2008 18:04
Les 27 se sont entendus vendredi pour demander "d'une même voix" au reste du monde de renforcer concrètement les règles de la finance mondiale dans les 100 jours qui suivront le G-20 de Washington, dans l'espoir d'éviter la survenue de nouvelles crises.
"L'Europe ira à Washington avec la volonté de défendre une ligne, celle de la transparence et de la refondation", a affirmé Nicolas Sarkozy à l'issue de la réunion informelle des chefs d'Etat et de gouvernement de l'Union européenne qui s'est tenue à Bruxelles, à une semaine du G-20 du 15 novembre à Washington.
Selon les conclusions de la réunion, les Européens proposeront aux autres grandes puissances mondiales d'engager rapidement des réformes importantes, et notamment d'imposer une régulation "ou au moins (une) surveillance" à toutes les institutions financières. Les grands groupes financiers internationaux, les fonds spéculatifs, les agences de notation et les paradis fiscaux, dont certains sont sous le contrôle de pays européens, seraient tous concernés.
L'Europe souhaite également convaincre ses partenaires de renforcer le rôle du Fonds monétaire international (FMI) pour en faire "le pivot d'un système international rénové". Il serait en particulier chargé de prévenir les crises financières. L'Union réclame "un système d'alerte précoce" pour identifier les risques de crise ou de "bulles".
Les 27 défendent enfin une "convergence des normes comptables" et un "code de bonne conduite pour éviter la prise de risque excessive" dans la finance, y compris par le biais des rémunérations.
"Nous ne voulons pas passer d'une absence de réglementation à trop de réglementation, mais nous voulons changer la règle du jeu financier", a commenté Nicolas Sarkozy devant la presse.
Les Européens, qui demanderont l'adoption d'"orientations concrètes" dès le 15 novembre, seront représentés à Washington par la France, qui assure la présidence tournante du Conseil européen ce semestre, ainsi que la Grande-Bretagne, l'Allemagne et l'Italie.
Le président français a ajouté qu'il trouverait "tout à fait normal" que l'Espagne et les Pays-Bas y participent aussi. Il s'est dit prêt à céder à Madrid un des deux sièges français (celui de la France et celui de la présidence de l'UE), assurant que l'argument avait "été aisément plaidable auprès du président (américain George) Bush, puissance invitante". Quant aux Pays-Bas, "le problème n'est pas réglé mais je plaiderai pour qu'ils puissent y participer".
L'Union devra en tout cas rallier à ses propositions les Etats-Unis et la Chine, ce qui s'annonce bien compliqué. Le Brésil, l'Inde, la Russie, la Corée du Sud, l'Argentine, l'Australie, la Chine, le Mexique, l'Arabie saoudite, la Turquie et l'Afrique du Sud participeront également au sommet.
L'Union proposera que le G-20 organise une "méthode de travail" et se donne "une période de 100 jours", jusqu'au 24 février, pour préparer l'application des principes qu'elle défend. Un nouveau G-20 se réunirait alors. Le président-élu américain Barack Obama, qui prendra ses fonctions à la Maison Blanche le 20 janvier, n'a pas l'intention de participer au G-20 de novembre, selon son entourage. AP

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Le congrès de la Haye


http://www.fenetreeurope.com/php/page.php?section=videos&id=0296
En mai 1948 se réunissait, à La Haye, le Congrès de l’Europe regroupant des responsables politiques, économiques et sociaux ainsi que des intellectuels, des militants venant des différents pays de notre Continent. Au cours de ce rassemblement historique, présidé par Winston Churchill, les participants ont échangé leurs vues sur l’avenir de l’Europe alors que commençait le Guerre froide. Aujourd’hui toujours, le Congrès de La Haye et ses conséquences demeurent mal connus.Jean-Pierre GOUZY, Ancien Président de l’Association des Journalistes européens, Vice-Président de la Maison de l’Europe de Paris (jeune journaliste et militant européen, présent à ce Congrès) a présenté les tenants et aboutissants de ce Congrès, le 23 septembre, lors d'un dîner débat organisé par Aries sur le thème : « Pourquoi le Congrès de La Haye, son déroulement, ses conséquences dans la construction européenne ».

Union pour la méditérranée





Union pour la Méditerranée : Accord difficile sur les points clés de l'organisation
[Fenêtre sur l'Europe]
La France, initiatrice du "Processus de Barcelone : Union pour la Méditerranée" a obtenu le 4 novembre un accord global à l'arraché sur l'organisation du nouveau projet de coopération, sous-tendu par le conflit israélo-palestinien.
Trois mois après son lancement à Paris le 13 juillet, les 43 pays membres du "Processus de Barcelone : Union pour la Méditerranée" se retrouvaient les 3 et 4 novembre à Marseille pour une Conférence chargée de mettre au point l'organisation du nouveau projet lancé par Nicolas Sarkozy. Les points clés consistaient notamment en l'attribution du siège de la nouvelle organisation et à la place réservée à à la Ligue arabe. Après le désistement de la candidature de Tunis, "forcé" par la Syrie, au siège de la nouvelle organisation, c'est Barcelone qui accueillera donc le secrétariat de l'UPM.La place de la ligue arabe au sein de la nouvelle institution posait problème en raison de l'interprétation divergente des arabes et des israéliens sur les modalités de sa présence. Finalement le ministre français des affaires, Bernard Kouchner, dont on connaît les remarquables qualités de négociateur, a réussi in-extrémis à arracher un accord. Il a obtenu, en effet, que la Ligua arabe puisse participer à toutes les réunions en échange de l'octroi à Israël d'un poste de secrétaire général adjoint.Enfin dernier, point positif, le projet lancé le 13 juillet s'appellera désormais "Union pour la Méditerranée" tout court.Cet accord met l'Union pour la Méditerranée, co-présidée pour deux ans par la France et l'Egypte, en état de fonctionner. Il restera maintenat à son secrétariat général à identifier clairement les projets que doit porter l'UPM dans des domaines tels que la dépollution de la Méditerranée, du plan solaire ect...