阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Sunday, March 28, 2010

Transgreen,réseau de lignes électriques partenariat Afrique Europe


La France veut développer un réseau de lignes électriques sous la Méditerranée

La France travaille à la constitution d'un consortium d'entreprises chargé de développer un vaste réseau de lignes électriques sous la mer Méditerranée, afin d'acheminer l'électricité solaire produite en Afrique vers l'Europe, selon des sources proches du dossier.Ce projet, baptisé Transgreen, rassemblerait des fournisseurs d'électricité, des gestionnaires de réseau électrique et des fabricants de matériel haute tension sous l'égide d'EDF, selon ces mêmes sources, confirmant des informations du quotidien spécialisé Enerpresse.

Le lancement de Transgreen, qui s'inscrit dans le cadre du "plan solaire méditerranéen", devrait être annoncé lors d'une réunion des ministres de l'Energie des 43 pays de l?Union pour la Méditerranée (UPM) prévue le 25 mai au Caire.Le consortium Transgreen serait dans un premier temps (2010-2012) chargé de mener des études de faisabilité en vue de la construction d'un vaste réseau de lignes électriques haute tension sous-marines en courant continu.Actuellement, l'Europe n'est reliée à l'Afrique que par une double ligne en courant alternatif d'une capacité de 1.400 mégawatts (MW) traversant la mer sous le détroit de Gibraltar.Mais plusieurs projets existent pour installer des câbles sous-marins entre l'Algérie et l'Espagne, l'Algérie et la Sardaigne, la Tunisie et la Sicile...L'objectif de Transgreen serait de fournir un "schéma directeur pour les investisseurs", dans l'optique d'une augmentation de la production d'électricité renouvelable, en particulier solaire, sur le pourtour méditerranéen.Le Plan solaire méditerranéen, lancé dans le cadre de l'UPM, prévoit la construction de capacités de production d'électricité "bas carbone", notamment solaire, de 20 gigawatts (GW) à horizon 2020.Une partie de cette électricité (5 GW) a vocation à être exportée vers l'Europe.Les énergies renouvelables sont encore peu exploitées sur le pourtour méditerranéen (4% du bilan énergétique des pays de la région), malgré des conditions d'ensoleillement extrêmement favorables et de vastes espaces libres pouvant accueillir des capacités de production d'électricité de taille importante.Le développement du solaire au Sud permettrait de "réduire les coûts, ce qui constitue l?un des enjeux majeurs de cette technologie", remarquait dans Enerpresse l'économiste Christian Stoffaes, qui a remis un rapport sur le projet Transgreen à la demande des ministres chargés de l?Énergie, de l?Industrie et des Affaires européennes.Transgreen serait complémentaire avec le projet allemand Desertec, selon ses initiateurs.Desertec vise à créer d'ici 40 ans un vaste réseau d'installations éoliennes et solaires en Afrique du nord et au Moyen-Orient, afin de fournir jusqu'à 15% de la consommation d'électrité de l'Europe.Le consortium Desertec compte déjà 17 partenaires, comme l'italien Enel et le français Saint-Gobain.André Merlin, le président du conseil de surveillance de RTE, filiale d'EDF gérant les lignes haute tension, pourrait prendre la présidence non exécutive de Transgreen, selon une source proche du dossier
AFP

Algerie semaine du film Turc à Alger



Semaine du film Turc à Alger: Des films, une expérience et des perspectives
Publier le 28.03.10
Film Turc à Alger – Une semaine durant, le public algérien a eu à découvrir le cinéma turc à travers dix-huit productions, représentatives d’une vivacité et d’un dynamisme cinématographiques, dus à l’émergence d’une génération de jeunes créateurs, qui essaient (et réussissent) à filmer les contradictions de la société turque, créant par la même du divertissement.
De la comédie au drame, en passant par le thriller et la romance historique, cette semaine, organisée à Ibn Zeydoun, par l’ambassade de Turquie en Algérie sous le patronage du ministère de la Culture algérien et avec le soutien de l’Office de Riadh El Feth, a été riche en découvertes. Car le cinéma est une autopsie à la fois de l’âme humaine et de la société.
Après la projection à l’inauguration du blockbuster Mon père et mon fils de Çagan Irmak (en sa présence), qui a fait pleurer toute la salle, les spectateurs ont apprécié des films qui reflètent les questionnements de toute une génération de cinéastes, qui s’inscrivent dans le cinéma d’auteur ou le commercial, notamment de Nuri Bilge Ceylan, Yusuf Kurçenli ou encore Atif Yilmaz et Reha Erdem.
Çagan Irmak dont les réalisations, notamment Mon père et mon fils, oscillent entre le cinéma commercial et le cinéma d’auteur, représente un équilibre entre les deux tendances, et prouve que les deux tendances peuvent se fondre sans se confondre. Nuri Bilge Ceylan qui s’inscrit de son côté, dans le cinéma d’auteur, a fait son cinéma à Alger, avec la projection de trois de ses emblématiques productions : Kasaba, le petit chef-d’œuvre Nuages de mai et Lointain. Ceylan, devenu le plus représentatif du cinéma turc dans le monde, démarre de ses propres caractéristiques, de ce qu’il connaît déjà pour le transcender et se laisser dépasser par la création. Lors de son passage par Alger, l’écrivain haïtien, Lyonel Trouillot, a déclaré que “l’universel n’existe pas”.
Le créateur démarre toujours du local et décrit ce qu’il connaît déjà. Après, les critiques qui aiment bien caser et cataloguer les œuvres de création, font des parallèles et classent une œuvre comme étant universel. Nuri Bilge Ceylan démarre lui aussi du local, mais il y a une sensibilité “universelle” dans son œuvre. Car l’homme est le même ; il a des faiblesses et aspire toujours à être meilleur. Le mal est en lui, tout comme le bien, mais la vie lui joue des tours.C’est un peu ce qui est arrivé à Mustafa, le héros du long-métrage Toutes les choses sur Mustafa de Çagan Irmak. Dans Lettres non envoyées de Yusuf Kurçenli, la “sultane” du cinéma turc – qui s’est essayé à la réalisation elle aussi – Türkan Soray a brillé dans ce drame romantique qui dit l’échec d’un amour si fort à cause des convenances et de la brutalité de l’existence.
Coproduction avec l’Algérie : chimère ou perspective ?En marge de cet évènement, une rencontre entre Çagan Irmak et les membres de l’Association des femmes de l’audiovisuel a été organisée pour un débat autour des perspectives de partenariat et de coproduction entre les deux pays. Même si la coproduction est un excellent moyen de faire du cinéma – c’est d’ailleurs ce qui a “sauvé” le cinéaste Reha Erdem – il y a lieu de signaler que le cinéma turc s’appuie sur le fond de soutien Eurimages du Conseil de l’Europe, sur le Bureau général du cinéma et des droits d’auteurs, créé en 2005 par le ministère de la Culture et du Tourisme turc, et sur des financements indépendants. Les partenaires privés en Algérie boudent le cinéma, qui dans l’imaginaire de tous, coûte beaucoup d’argent et demande beaucoup de moyens.
Le cinéma turc a un parcours périlleux, mais il a aussi une histoire qui date de 1911, année de la sortie du premier film turc. La Turquie dispose de centaines de salles de cinéma, alors qu’en Algérie, ils sont une dizaine sur plus de deux millions de kilomètres carrés. Il serait éventuellement intéressant de profiter de l’expérience turque pour (re)lancer, effectivement et réellement, le cinéma algérien.
-Aujourd’hui à 14h, projection de Troisième Page de Zeki Demirkubuz ; à 17h, projection de Toutes les choses sur Mustafa de Çagan Irmak ; à 19h30, projection de Mon père et mon fils de Çagan Irmak.
source: Liberte

Tunisie Le réseau MedBusiness Network




Tunisie – Entreprises : Le réseau MedBusiness Network se présente
En octobre 2009, le réseau MedBusiness Network a été conjointement fondé par la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) de Marseille, la Chambre tuniso-française de commerce et d’industrie (CTFCI) , la Chambre française de commerce et d’industrie au Maroc, et son homologue en Algérie.
Cette plate-forme de services business en ligne pour les entreprises en France et au Maghreb mutualise dans son ‘'guichet Méditerranée’' les informations et les services d’accompagnement disponibles pour les entreprises intervenant sur les marchés méditerranéens.
Nous vous en dirons plus sur ce réseau d'affaires en Tunisie suite à la conférence de presse qui sera organisée le 2 avril 2010, avec les responsables de la CCI de Marseille et de la CTFCI (Chambre tuniso-française de commerce et d'industrie).
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Parité des femmes au pouvoir



Parité : Le sommet européen "des femmes au pouvoir"
[Fenêtre sur l'Europe]
Les ministres et représentantes politiques des plus hautes sphères de l'UE participent, ce mercredi à Cadix, au "Sommet européen des femmes au pouvoir", inauguré par la première vice-présidente du gouvernement espagnol, María Teresa Fernández de la Vega, la ministre de l'Égalité, Bibiana Aído, et la ministre des Femmes et présidente de la chambre des Communes du Royaume-Uni, Harriet Harman.
Lors de ce sommet est prévue la signature d'une déclaration politique qui devrait donner une "impulsion définitive" à l'égalité entre les femmes et les hommes au sein de l'UE, selon les déclarations de la ministre Mme Aído en date du 27 janvier dernier.Les ministres analyseront les politiques nationales mises en œuvre dans le contexte économique actuel et essaieront d'inscrire l'égalité entre les femmes et les hommes dans l'agenda de tous les États membres. Le lendemain s'ouvrira, également à Cadix, le Forum européen des femmes Pékin + 15, au cours duquel sera analysé le degré de respect des objectifs stratégiques et des mesures fixées lors de la IVe Conférence mondiale sur les femmes de l'ONU, qui s'est tenue à Pékin en 1995. Lors de ce forum, qui aura lieu les 4 et 5 février, sera présenté le rapport élaboré par la présidence tournante suédoise de l'UE sur le respect, de la part des États membres, du Plan d'action approuvé lors de la Conférence de Pékin il y a quinze ans. Ledit document constitue la troisième étude réalisée sur le développement à l'échelle communautaire des douze volets faisant l'objet d'une préoccupation particulière de la part de la plate-forme d'action de Pékin, effectuée à partir du rapport de suivi élaboré par l'UE en 2000 et de celui qui a été effectué par la présidence du Luxembourg en 2005. Le Forum européen des femmes Pékin + 15 sera marqué par la présence des ministres et représentantes des gouvernements de l'UE, ainsi que du Parlement européen, du Fonds de développement des Nations unies pour la femme (UNIFEM) et d'organisations de femmes d'Espagne et d'Europe.

Algérie programme 2013 Italie



Les Italiens intéressés par le programme e-Algérie 2013
? Le marché algérien des technologies de l’information et de la communication intéresse de plus en plus de sociétés étrangères activant dans ce domaine. Preuve en est, l’ambassadeur italien en Algérie, Giampaolo Cantini, a mis en relief, hier, l’intérêt porté par les entreprises italiennes vis-à-vis de ce secteur, surtout dans le domaine de la réalisation du programme e-Algérie. Cette déclaration a été rendue publique dans un communiqué du ministère de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, après une rencontre avec le premier responsable du secteur, Hamid Bessallah. Durant cet entretien, précise la même source, le diplomate italien a «exprimé tout l’intérêt des entreprises italiennes à contribuer activement à la réalisation des grands projets inscrits à la faveur du programme e-Algérie». Profitant de l’occasion, M. Cantini a souligné la «nécessité de mettre les opérateurs des deux pays en contact en vue d’explorer les différentes possibilités d’investissement et de partenariat». De son côté, M. Bessalah a saisi cette occasion pour réitérer la disponibilité du secteur à coopérer avec les entreprises italiennes afin de construire un partenariat privilégié, précise-t-on de même source. Le premier responsable du secteur a, également, relevé que «l’effort d’édification de la société de l’information et de l’économie numérique nécessite un transfert réel de technologies et de savoir-faire». Le e-Algérie, notons-le, est considéré comme le cheval de bataille du département de Bessalah, puisqu’il permettra à l’Algérie de rattraper un retard jugé par des spécialistes du secteur comme «considérable». Ainsi, ce programme ambitieux, qui sera concrétisé à l’horizon 2013, est aperçu comme une stratégie visant à rattraper le retard en matière d’acquisition de nouvelles technologies. Cette stratégie, selon les explications fournies par des responsables du projet, est basée principalement sur l’accélération de la couverture en accès en haut et très haut débit à l’internet, l’accélération de l’usage des technologies de l’information et de la communication par l’administration, et leur intégration dans l’activité économique comme le e-éducation, le e-banking et le e-commerce. Le programme e-Algérie touchera également le développement des mécanismes pour permettre aux petits ménages et aux petites entreprises d’accéder aux équipements et réseaux à haut débit.Raouf A.
28-03-2010Raouf A.

Algerie Adrar animaux du désert



AdrarA la découverte des animaux du désert
Certaines espèces se sont hélas éteintes, d’autres sont menacées plus que jamais, non pas victimes de prédateurs mais plutôt de la perfidie de l’homme qui ne mesure pas l’étendue de ses dégâts et continue à le faire pour des sommes dérisoires, portant atteinte à la flore, ce qui entraîne irrémédiablement la disparition de la faune.Parmi les poissons qui vivaient dans les oueds et certaines étendues d’eau, on retrouvait le barbeau d’Antinoir qui a disparu en 1939.D’autres animaux tels que la gazelle dorcas, la gazelle blanche des sables ou de montagne et le mouflon à manchettes subsistent encore mais les apercevoir, les filmer ou les prendre en photo relève du domaine de l’impossible. Des journées et des nuits entières d’observation sont nécessaires et une passion et une patience pour peut-être réaliser cette envie. D’autres carnivores plus connus, tels que l’hyène rayée, le renard famélique, le chacal doré, le fennec, sont présents et confrontés régulièrement au problème de suivie. Des animaux moins connus mais qui ont totalement disparu, on dénombre le caracal berberorum (1892), le chat des sables (1858), le chat ganté (1780) et le lièvre du Sahara (1899).On rencontre souvent au cours de randonnées pédestres le porc épic, le hérisson du désert, le ratel et le scorpion dont la piqûre occasionne chaque année des dégâts considérables.Le scorpion est connu pour sa résistance légendaire. En effet, il peut rester plusieurs jours sans se nourrir et supporter des inhalations de gaz. La gestation de la femelle dure 18 mois. D’ailleurs, en 1960, lors de la triste explosion de la première bombe nucléaire française à Reggane, des scorpions furent placés à proximité de l’impact afin d’étudier l’effet des radiations. Ils s’en sont bien sortis.D’autres rongeurs : gerboise du désert, goundi du Sahara, petite gesbille, mérion du désert, rat des sables, le dob, le varan, le scinque, la vipère à cornes sont souvent présents sur les routes qu’ils n’hésitent pas à traverser et, parfois, aveuglés par les phares des véhicules. Ils se plantent et sont écrasés par des conducteurs peu prudents.Des oiseaux aussi peuplent cette vaste région du Sahara car les zones humides sont très prisées et recherchées : on note le héron cendré, la tadorne, l’outarde, le hibou moyen duc, la brise féroce, le percnoptère genre de rapace, le pigeon, la tourterelle, la huppe fascinée, le corbeau et le moineau. Tous ces animaux offrent une certaine résistance à cette région aride où le mercure dépasse les 50°C.Tous, hélas, demeurent méconnus du grand public. Le Sahara vit et respire.Leurs abris et leurs nids sont souvent tissés ou creusés près d’arbres tels que le takaout, le botm, l’acacia. Des plantes utilisées à des fins médicinales : le tatm, le ram’th, connu pour son efficacité contre le venin. Oum l’bina et le chou fleur de Bouhmama, le khoubiz, ghrtoufa (camomille), le chih recherché par les grands amateurs de café. Le cèdre, le laurier-rose, le tamaris, la coloquinte permettent aux animaux et particulièrement le dromadaire d’en faire son mets de choix. Randonneurs, en route ! M. E.
28-03-2010

Le “SICOM-2010



Le “SICOM-2010” à partir du 15 avril au Palais des expositions
Une plus grande ouverture aux entreprises étrangères



La 19ème édition du Salon international de l'informatique, de la bureautique et de la communication (SICOM-2010) se tiendra du 15 au 21 avril aux palais des expositions des Pins maritimes (Alger), a-t-on appris lundi auprès de la Société algérienne des foires et expositions (SAFEX), initiatrice de cette manifestation. Cette édition sera marquée par une plus grande ouverture aux entreprises étrangères activant dans le domaine des nouvelles technologies de l'Information et de la communication (TIC), a-t-on précisé. Ce salon est destiné aux professionnels du matériel informatique et bureautique qui proposeront des équipements performants dans ce domaine ainsi que des solutions technologiques efficaces, a-t-on précisé. Cette manifestation consacrera aussi un espace aux professionnels de l'audiovisuel, du multimédia et de la presse écrite. Cette édition concernera notamment les fabricants, fournisseurs et distributeurs d'équipements et consommables dédiés à la création et aux productions graphiques, ainsi que les agences prestataires dans le domaine de la communication et arts graphiques (agences de publicité, imprimeurs, spécialistes d'impression numérique, supports presse, magazines et revues spécialisées).Plus de 2 000 m2 ont déjà été réservés à cette manifestation par les opérateurs activant dans les domaines concernés, ce qui atteste " de l'intérêt accordé à cette 19e édition de ce salon", selon les organisateurs. Cette année, la nouveauté réside dans le fait que deux sociétés spécialisées en communication et en informatique (Mira Cards Edition et RK. Com.Events) se sont jointes à la SAFEX dans l'organisation de ce salon afin de " redimensionner l'événement et l'adapter aux fulgurantes avancées des NTIC dans le monde et en Algérie ", a-t-on précisé. Au cours de cette 19e édition, les espaces communications et télécommunications seront particulièrement déployés pour en faire le clou de l'exposition. En marge de l'évènement , les organisateurs prévoient la tenue d'animations scientifiques et techniques ainsi que des débats sur des sujets tels l'utilisation des NTIC dans la vie moderne ainsi que les libertés et les opinions face aux défis technologiques sans cesse croissants. Le SICOM, organisé annuellement par la SAFEX est l'événement majeur dédié aux Nouvelles Technologies de l'Information et de la communication en Algérie, non seulement par sa longévité et la réussite de ses 18 éditions précédentes, mais aussi par la richesse et le dynamisme de ses composantes tels l'organisation, les exposants et les visiteurs professionnels et grand public. Cette manifestation reflète toute l'actualité et tendances du marché IT, Sécurité, Réseaux, Virtualisation, Mobilité, VOIP... cette édition sera marquée par plus d'exposants dans tous les secteurs des NTIC ainsi que des espaces ateliers, animations et démonstrations interactives. Les exposants pourront ainsi, présenter leurs produits et leur gamme de services à plus de 100 000 visiteurs. Ils pourront également rencontrer des partenaires potentiels et nouer des accords de partenariat stratégiques, participer à des conférences ou communications pour approfondir vos connaissances. Les visiteurs pourront de leur côté, s'informer, découvrir de nouvelles Technologies et tendances du marché IT , échanger avec les autres visiteurs et professionnels, assister gratuitement aux conférences et ateliers sur diverses tendances du marché IT, rencontrer des experts et bénéficier de conseils pour approfondir vos connaissances, rencontrer des partenaires potentiels et nouer des accords de partenariat stratégiques, bénéficier de plusieurs offres promotionnelles et programmes de fidélisation pour Grand public.Klilya B.

Khenchela Cap sur la relance du tourisme




Cap sur la relance du tourisme



La relance du tourisme est désormais inscrite dans l'agenda des priorités dans la wilaya de Khenchela. Ainsi et selon les propos du directeur du tourisme de la wilaya, une enveloppe financière de 90 millions de dinars a été mise en place, au titre de la tranche 2010 du programme quinquennal 2010-2014, pour la promotion du secteur du tourisme dans la wilaya de Khenchela. Se faisant plus précis, M. Mourad Bachiri indiquera que les propositions formulées par la wilaya en 2009 ont été avalisées au niveau central, permettant à Khenchela de bénéficier des ''plus importants projets jamais accordés au secteur''. Ces projets devront, a-t-il ajouté, favoriser la mise sur pied, sur le long terme, d'une ''stratégie de développement des riches atouts touristiques locaux''. Il s'agit notamment de l'élaboration d'un schéma directeur d'aménagement touristique appelé à déterminer les potentialités de chaque zone en fonction de ses spécificités climatiques, naturelles et historiques. Une étude portant sur la revalorisation de la station climatique du mont Chelia qui culmine à Ras Kelthoum à 2.823 mètres au-dessus du niveau de la mer, sera également lancée dans le cadre de la stratégie d'encouragement du tourisme de montagne. Enveloppé dans un tapis verdoyant à longueur d'année, le site accueille, entre autres essences botaniques, plusieurs peuplements de majestueux cèdres de l'Atlas. La neige ne fond que vers la fin du printemps dans cette région où un établissement hôtelier en préfabriqué vient d'être réalisé pour renforcer les capacités du vieil hôtel qui s'y trouve. Une autre étude mobilisant 40 millions de dinars a été inscrite pour la réhabilitation de la station thermale de Hammam Leknif. Elle porte sur le renforcement des capacités d'accueil de la station. Les panneaux présentant les potentialités de chaque site thermal, naturel ou historique, seront également mis en place, en plus de l'étude des possibilités d'extension d'Hammam Essalihine par la construction, entre autres, de 23 chalets pour l'accueil des curistes, a précisé le directeur du tourisme. Cette station thermale, déjà exploitée à l'époque romaine, a été proposée, rappelle-t-on, pour être classée zone d'extension touristique. Elle se prête notamment, selon le même responsable, à la réalisation d'hôtels, d'un centre de kinésithérapie, de piscines et d'autres structures touristiques et d'artisanat.R.R.

Algerie Bouira Tikjda tourisme de montagne




Tikjda au printemps ou la nature au sommet de sa majesté



Tikjda est l'exemple type du site climatique qui pourrait pousser et faire évoluer le tourisme de montagne. Le voyage touristique commence par la ville de Bouira, à 32 km de là, à la croisée de deux routes nationales en direction de Hizer, une localité enchanteresse toute de vert vêtue où les oliveraies, les fermes arboricoles et les bois s'étendent à perte de vue.Au carrefour d'Asselim, le visiteur qui commence à peine à apprécier le voyage, devra choisir entre deux chemins ne manquant pas d'atouts naturels, le plus connu étant l'ancienne piste, actuellement en réhabilitation. Son attrait tient à l'existence d'une source naturelle dont les eaux pures et fraîches jaillissent directement des entrailles des montagnes du Djurdjura. Après la source, le visiteur arrive sur le site des cabines téléphériques, sur les hauteurs du Djurdjura, vers lequel afflue un nombre considérable de touristes, les sportifs notamment. L'autre route pour aller à Tikjda suit les hauteurs de Semach, à plus de 1000 m d'altitude, d'où l'on peut apercevoir le grand Barrage de Tilesdit, et surtout des vestiges historiques prêtés à un village qui aurait été construit dans les temps anciens sur le chemin de Tikjda. Une fois arrivé à destination, après un si apaisant voyage, un vrai plaisir pour les yeux et pour les sens, tout visiteur de Tikjda commencera par apprécier à sa juste valeur le Centre national de sport et de détente, implanté au cœur d'une nature flamboyante avec une capacité d'accueil de 254 lits, et des prestations de service haut de gamme, au même titre que l'hôtel "Djurdjura" (200 lits) actuellement en cours de restauration. Le directeur du tourisme de Bouira, Abdelhamid Boukhelkhal, rappellera volontiers que les "amis" de Tikjda pourront tout aussi bien trouver gîte et couvert au Chalet El Kef (80 lits), qui doit être fin prêt à l'entrée de l'été prochain outre l'auberge de jeunes (72 lits) et le Chalet vert (16 lits). "Toutes ces structures seront opérationnelles à la prochains saison estivale", assure M. Boukhelkhal, qui estime à un millier de lits la capacité d'accueil de l'ensemble des établissements de la station climatique de Tikjda, soit "de quoi répondre largement à la demande exprimée sur ce site tout au long de l'année", selon lui. Ce responsable fera savoir, dans la foulée, que cette station, située au cœur du Parc national du Djurdjura, classé patrimoine mondial de la biosphère par l'Unesco, sera proposée pour son classement en "zone d'extension touristique", étant "parfaitement adaptée au tourisme et aux sports de montagne". L'afflux sans cesse grandissant sur la station de Tikjda, y compris de touristes étrangers, a conduit à la naissance, début 2007, d'une équipe d'intervention et de sauvetage en zones difficiles, la première du genre à l'échelle nationale, composée de 25 éléments de la Protection civile dont la formation a été assurée par la Fédération algérienne de ski et sports de montagnes. A en croire le directeur de la Protection civile de la wilaya, le capitaine Midate, plusieurs promotions d'équipes d'intervention et de sauvetage au profit de nombreuses wilayas du pays ont pu être formées par sa structure, forte de cette expérience. R.R.