PATRICK LE BERRIGAUD EUROPE fédérale/UNION POUR LA MEDITERANNEE consultant ingenieur conseil
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Un labyrinthe (λαβύρινθος en grec, labyrinthus en latin) est un tracé sinueux, muni ou non d'embranchements, d'impasses et de fausses pistes, destiné à perdre ou à ralentir celui qui cherche à s'y déplacer. Ce motif, apparu dès la préhistoire, se retrouve dans de très nombreuses civilisations sous des formes diverses. Son étymologie reste incertaine. Il désigne dans la mythologie grecque une série complexe de galeries construites par Dédale pour enfermer le Minotaure. De nos jours, le terme de labyrinthe désigne une organisation complexe, tortueuse, concrète (architecture, urbanisme, jardins, paysages...) ou abstraite (structures, façons de penser...), où l'homme peut se perdre. Le cheminement du labyrinthe est difficile à suivre et à saisir dans sa globalité.
L'impact des biocarburants en Asie http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/59918.htm Dans le cadre de son programme "Environmental Cooperation-Asia Clean Development and Climate Program", l'US Agency for International Development (USAID) a financé une étude qui vient de donner lieu à la publication d'un rapport intitulé "Biofuels in Asia: An Analysis of Sustainibility Options". Après quelques généralités sur les biocarburants et la demande asiatique, ce document étudie le potentiel de ces pays pour la production de biocarburants, évalue la soutenabilité environnementale, économique et sociale puis dresse un inventaire des mesures à prendre pour parvenir à une production durable de biocarburants en Asie, ainsi qu'un classement des différentes cultures en fonction de leur durabilité. Le rapport se termine par une mise en garde des décideurs publics sur les défis inhérents à cette activité économique. Si la mise en oeuvre à grande échelle des biocarburants en Asie s'avère plus destructrice que bénéfique (disparition de surfaces importantes de forêts et de tourbières, impacts sociaux négatifs), ce rapport montre qu'un développement décentralisé, à plus petite échelle des biocarburants de première génération pourrait en revanche contribuer à l'amélioration de la situation économique et environnementale de ces pays. Selon ces experts, la mise en place de petites unités de productions gérées au niveau communautaire serait source d'amélioration des conditions de vie des populations, de soutien à l'industrie locale et représenterait aussi un outil d'ajustement au changement climatique. Les premiers résultats issus d'initiatives pilotes en cours en Asie du Sud Est (Jatropha, Pongamia et palmier à huile) sont d'ailleurs très encourageants avec des rendements effectifs de 0,6 à 4,1 tonnes fruits/ha pour de jeunes plantations de Jatropha (1 à 2 ans) ; Ce qui laisse envisager à terme l'obtention de 440 à 2220 L huile/ha (en fixant le taux d'extraction à 75%). De nombreuses voix s'élèvent cependant dans la communauté scientifique comme au niveau des instances internationales pour mettre en avant les impacts négatifs des biocarburants dans les pays en voie de développement. Olivier De Schutter, professeur à l'Université catholique de Louvain (Belgique) et rapporteur aux Nations Unies pour les questions de droit à l'alimentation estime que la politique adoptée par l'Union Européenne en matière d'énergies renouvelables, contribue à l'acquisition de surfaces importantes de terres agricoles dans les pays du Sud par des industriels, au détriment de leurs propriétaires initiaux. L'institut international de recherche sur les politiques alimentaires, IFPRI, a publié un rapport en avril 2009, qui va également dans ce sens, recensant les surfaces acquises de la sorte pour la période 2006-2009 : 5 millions d'hectares au minimum à l'échelle mondiale. Plante de la famille des Euphorbiaceae, originaire d'Amérique du Sud, le Jatropha Curcas, parfois qualifié "d'or vert du désert", illustre tout à fait ce débat. Peu exigeante en eau : 300 à 1000 mm par an et donnant des fruits non comestibles riches en huile : 30 à 40% de la masse du noyau, le Jatropha présente également l'avantage d'avoir une croissance assez rapide, de permettre une mise en valeur des sols érodés ou dégradés et d'être peu sensible aux parasites. Ces qualités sont à l'origine de l'engouement dont il fait l'objet au Sud comme au Nord : essais en champs en Californie menés par l'University of California Davis, programme de formation en Inde (Jatrophaworld Training Programme), projet de plantations sur 10 millions d'hectares d'ici à 2012 en Inde, partenariat BP et D1 Oils pour cultiver environ 1 million d'hectares répartis dans différents pays, etc. Or derrière cet "or du désert" une autre réalité apparaît. De récentes études menées entre autres par l'Université de Twente (Pays Bas), remettent en question ces performances et notamment l'empreinte-eau du Jatropha. Comme toute culture, des apports en eaux et en engrais sont nécessaires pour atteindre un certain rendement. De l'avis même du centre de promotion du Jatropha (CJP en Inde), les rendements sont multipliés par 4 lorsque les parcelles sont irriguées. De même, bien que la récolte du Jatropha soit manuelle et mobilise des ressources humaines importantes (0,25 travailleurs/ha contre 0,07 pour le soja par exemple), ces perspectives favorables se traduisent parfois in fine par une exploitation des travailleurs et un non respect du droit du travail. Des études supplémentaires reliant rendements, contenu en huile, quantités d'engrais apportées, irrigation et conditions agro-climatiques sont nécessaires afin de mieux évaluer la faisabilité économique et environnementale de projets de ce type. Et comme le souligne le rapport de l'USAID, il est également nécessaire d'inciter à une meilleure valorisation des co-produits du Jatropha : glycérine, tourteaux, etc. Le débat est ouvert sur les potentialités du jatropha et de l'avis de toutes les parties concernées, la nécessité de mettre en place des mécanismes de régulation, par le biais de politiques publiques harmonisées, pour assurer l'aspect durable et économiquement viable de la production de biocarburants à petite échelle dans les pays du Sud est incontournable. Par ailleurs, l'accent est également mis vers un soutien renforcé à la recherche agronomique, afin d'aboutir à une standardisation de cette espèce semi-sauvage et une augmentation de ces performances, ex : développement de variétés résistantes au gel (société SG Biofuel en partenariat avec l'University of California San Diego), obtention de variétés produisant jusqu'à 2 tonnes d'huile/hectare (société D1 Oils plc). [BE Etats-Unis numéro 173 (10/07/2009) - Ambassade de France aux Etats-Unis / ADIT - http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/59918.htm]
Une douzaine de groupes industriels ont signé lundi un accord, qui marque la première grande étape du projet Desertec. Cette initiative promet d'approvisionner l'Europe en électricité à partir d'énergie solaire captée dans le désert nord-africain. 15% des besoins énergétiques européens pourraient être assurés par la technologie solaire thermique, déployée à grande échelle dans le désert nord-africain. Le surplus d'énergie pourrait servir localement au dessalement d'eau de mer. Un projet évalué à 400 milliards d'euros, qui pourrait être mis en oeuvre entre 2020 et 2050. Lundi à Munich, 12 entreprises, allemandes en majorité, ont signé le protocole d'accord pour la création du bureau d'études Desertec Industrial Initiative (DII). Parmi les principaux objectifs du bureau d'étude figure l’élaboration de plans d’exploitation concrets et des projets de financement associés, ainsi que le lancement des préparatifs industriels pour la construction d’un grand nombre de centrales solaires thermiques interconnectées et réparties dans toute la région MENA. Il analysera et permettra la mise en oeuvre d'un cadre technique, économique, politique, social et écologique et sera doté d'un budget d'1,8 million d'euros. Les activités de DII sont orientées vers l’élaboration de plans d’investissement réalisables dans un délai de 3 ans suivant sa création. Le bureau d’études sera fondé au plus tard le 31 octobre 2009 sous forme de GmbH (Sarl) régie par le droit allemand, prévoit l'accord. Une fois créé, il pourra être rejoint par d’autres entreprises. « Les partenariats qui se formeront à travers les régions grâce au projet Desertec vont ouvrir un nouveau chapitre dans les relations entre les peuples de l’Union européenne, de l’Asie occidentale et de l’Afrique du Nord », s'est félicité le Prince Hassan bin Talal de Jordanie. « La création de Desertec Industrial Initiative est une étape clé dans le projet de la Fondation Desertec concernant la sécurité énergétique, aquatique et climatique, au niveau mondial » a déclaré pour sa part le Dr. Gerhard Knies, Président du conseil d’administration de la Fondation Desertec.* Les sociétés fondatrices de DII, principalement concentrées en Europe, au Proche-Orient et en Afrique du Nord (MENA), sont les suivantes : ABB, ABENGOA Solar, Cevital, Deutsche Bank, E.ON, HSH Nordbank, MAN Solar Millennium, Münchener Rück, M+W Zander, RWE, SCHOTT Solar, SIEMENS. Voir en ligne : le site de Desertec
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