阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Wednesday, December 23, 2009

Algerie MUSIQUE ANDALOUSE ET DES MUSIQUES ANCIENNES



COUP D’ENVOI DE LA 4e EDITION DU FESTIVAL INTERNATIONAL DE MUSIQUE ANDALOUSE ET DES MUSIQUES ANCIENNES
Passerelles
Par : Sara Kharfi

La grâce et l’agilité étaient au rendez-vous durant la prestation de l’ensemble régional de Tlemcen ; la beauté et l’harmonie n’ont pas manqué à la prestation de Ross Daly Quartet.
Avant-hier soir, la salle Ibn Zeydoun a abrité la soirée d’ouverture de la 4e édition du Festival international de musique andalouse et des musiques anciennes, qui durera jusqu’au 30 décembre prochain. Présente et complètement émerveillée par le spectacle, la ministre de la Culture, Khalida Toumi, a insisté sur la transmission de ce patrimoine partagé par l’ensemble des pays du Maghreb. Selon la ministre, notre véritable patrimoine est l’andalou, mais il faut le transmettre, aux jeunes notamment ; et le Festival à présent pérenne, œuvre en ce sens. “Il faut bâtir des passerelles entre cette musique classique algérienne et les musiques anciennes du monde”, a-t-elle ajouté. Après une brève présentation du commissaire du festival, Rachid Guerbas, place à la musique ave l’Ensemble régional de Tlemcen, qui a animé la première partie. L’ensemble, composé de dix-sept musiciens et dirigé par le jeune violoniste Yacine Hammas, a interprété une nouba entière dans le mode zidane. Quarante-cinq minutes de pur bonheur qui ont enchanté le public. Ce dernier, réactif, a répondu aux prouesses vocales des solistes et aux solos des musiciens par des applaudissements nourris. L’interprétation de l’ensemble a donc conquis les spectateurs, très nombreux, même si certains fidèles du festival, ont estimé que leur prestation de l’année dernière était encore meilleure. Mais il n’est pas toujours évident d’inaugurer un festival, et en présence d’officiels et de connaisseurs. Ce qui importe le plus est que la grâce et l’agilité de l’école de Tlemcen étaient au rendez-vous. Après une pause de quelques minutes, Ross Daly Quartet a rejoint la scène, pour ainsi achever la soirée en beauté. Venu tout droit d’Irlande, ce quatuor mené par Ross Daly a déjà participé à ce festival dans sa deuxième édition en 2007. Avec un style inclassable, des influences multiples, des instruments originaux, des interprètes virtuoses et des compositions entraînantes et bien qu’elle ne suscite pas en le spectateur et/ou auditeur l’envie de danser, la musique crétoise de ce quartet libère l’esprit, engourdit le corps, enchante l’âme et éveille les sens. La musique crétoise de Ross Daly Quartet a eu un effet thérapeutique sur la salle. Une belle soirée somme toute, durant laquelle les amoureux de l’andalou ont trouvé du bonheur. En outre, des conférences seront organisées durant ce festival et porteront sur des thèmes relatifs à l’andalou. De plus, celles-ci seront organisées dans l’après-midi, contrairement à l’édition précédente, où les conférences et tables rondes étaient organisées le matin. Le public ne venait presque jamais à cause de ces horaires. Par ailleurs, ce festival qui se poursuivra jusqu’au 30 décembre prochain, n’a plus rien à prouver, puisqu’il est bien installé et que le public est fidèle et toujours au rendez-vous. Ce qui compte à présent, c’est de transmettre le savoir et l’expérience. Il faut que le Festival serve de passerelle, pour que la musique andalouse algérienne (et maghrébine) passe à l’universel. Si la musique est universelle par définition, elle doit donc toucher tous ceux qui l’écoutent, même s’ils ne partagent ni la langue ni la culture de ceux qui la pratiquent. La formation est importante, l’expérience aussi. Les participants et organisateurs du festival ont acquis les deux, donc à eux de les transmettre

Ksar El Boukhari (Médéa)



Aménagement de 5 ZET à Ksar El Boukhari (Médéa)
Les potentialités touristiques au service de la commune
Par : M. EL BEY

Les zones couvriront une superficie totale de 250 ha, comprenant une forêt récréative, des eaux thermales, un complexe hippique, deux quartiers anciens dont celui du vieux ksar.
La commune de Ksar El-Boukhari, qui se trouve à la porte de la zone steppique du territoire de la wilaya de Médéa, entend ne pas dépendre des subsides de l’État pour conduire son développement et renflouer son budget. Pour les élus, la réflexion menée en concertation avec les différentes parties prenantes, a été axée sur la recherche de nouvelles possibilités permettant à la municipalité de générer de nouvelles recettes et d’accroître ses capacités financières. Ce qui a donné lieu à des choix qui ont inclus la valorisation de ses atouts naturels constitués par ses multiples potentialités touristiques. L’option relative à la valorisation du patrimoine naturel a recueilli l’adhésion des responsables, compte tenu de ses effets en matière de diversification des ressources de la commune et son impact sur son développement dont l’effet d’entraînement concerne toute son aire économique proche. Il s’agira, indique-t-on, de mettre en valeur certains sites en vue de leur aménagement en zones d’expansion touristique, eu égard à leurs richesses naturelles et à la variété des paysages qu’ils recèlent.Pour ce faire, 5 zones sont identifiées à travers la commune dans le but de recevoir des travaux de valorisation sur une superficie totale de 250 ha, comprenant une forêt récréative, des eaux thermales, un complexe hippique, deux quartiers anciens dont celui du vieux ksar.Considéré comme un site à haute valeur architecturale et culturelle, le quartier du vieux ksar qui s’étend sur 12 ha fait partie du patrimoine de la ville dont la construction remonte à plus de 5 siècles. Outre la particularité de son style architectural qui présente des similitudes avec celui du M’zab, l’endroit garde encore ses constructions anciennes qui témoignent de la vie en communauté qui était organisée autour des lieux de spiritualité et de culte à travers des mosquées, des zaouïas, une synagogue, des placettes de commerce, des bains, etc.L’on reconnaît aux eaux chaudes qui se dégagent des thermes situées dans la partie ouest de la ville, la particularité de posséder de nombreuses vertus thérapeutiques dont celles relatives au traitement des maladies de la peau.La forêt de Hannacha qui s’étend sur 200 ha est d’une grande richesse en espèces forestières et garrigues, poussant dans sa partie montagneuse à une hauteur de plus de 800 m, est un endroit qui convient au traitement des maladies respiratoires. Des infrastructures d’hébergement, un camp de vacances sont prévues afin de permettre aux visiteurs des séjours qui leur donnent la possibilité de profiter de la richesse de la flore et de la faune de la région.Les amateurs de chevaux et des sports équestres ne seront pas en reste puisqu’il est prévu l’aménagement du complexe hippique qui s’étendra sur 20 ha en vue de recevoir plus d’équidés et de visiteurs, ainsi que l’organisation de courses

mont Akfadou en parc naturel regional promotion



Vers la promotion du mont Akfadou en parc naturel regional

Une procédure de classification du massif forestier de l’Akfadou, situé à 70 km à l’ouest de Bejaia, en parc naturel régional (PNR) a été engagée récemment par la wilaya en concertation avec la conservation des forêts, initiatrice d’une étude exhaustive de faisabilité, apprend-on de la wilaya. La démarche vise à préserver et valoriser ce territoire, doté d’un patrimoine naturel exceptionnel, mais qui se trouve toutefois soumis à diverses agressions dont les défrichements, la coupe d’arbres, l’extraction de pierres et les constructions illicites, assure-t-on de même source. "Le label de PNR va lui conférer un statut juridique, des moyens, et un programme volontaire d’action dont la convergence va lui permettre d'assurer une gestion adaptée des milieux naturels et des paysages, de contribuer à un meilleur aménagement de son territoire et favoriser un équilibre entre les enjeux environnementaux et son développement socioéconomique et culturel", explique-t-on. Déjà, PNR, en 1925, ce massif s’étend sur une superficie de 56700 hectares et intègre une dizaine de communes. Il jouit d’un peuplement floristique et faunistique de premier ordre, dont beaucoup d’espèces, signale-t-on, ont disparu ou classés en voie de disparition. Boisé à près de 30 %, le territoire renferme une palette d’essences dont les plus dominantes restent le chêne dans ses diverses déclinaisons (zen, afarès, liège, et vert), L’érable de Montpellier, le peuplier blanc et l’If.Quant aux autres espèces floristiques, elles concernent, le châtaignier, le sapin de Numidie et le cèdre de l’Atlas, notamment. A ce patrimoine s’ajoute également quatre zones humides (Lac Noir, Alsous, Alma, et Ouroufel) et de multiples sites historiques, dont des ruines romaines, à l’entrée de l’Akfadou, et le poste de commandement de la wilaya III historique. La région offre, par-dessus tout, des paysages naturels et variés d’une rare beauté. C’est une fenêtre ouverte autant sur la vallée de Acif El Hammam, le Djurdjura et la haute vallée du Sébaou, que sur la vallée de la Soummam. Aussi son classement, outre le fait qu’il viendra compléter le parc national de Gouraya à l’Est et celui du Djurdjura à l’ouest dont il servira, en définitive de corridor écologique, va favoriser une série d’activités touristiques et, par ricochet, l’amélioration des conditions de vie des populations riveraines.

Monsieur Mohamed Bencheneb dialogue des cultures



Colloque international sur Mohamed Bencheneb : Un pionnier du dialogue des cultures

Les participants au colloque international sur Mohamed Bencheneb ont rendu un vibrant hommage à l’érudit, l’un des premiers universitaires formés sous la colonisation. Le recteur de l’université des Lettres d’Alger dans sa lecture des recommandations à la clôture des travaux, a informé l’assistance de l’introduction prochaine des œuvres littéraires de Mohamed Bencheneb dans les programmes de l’éducation nationale.Le nom de notre académicien et chercheur sera, également, porté sur le fronton de l’une des facultés d’Alger, d’après le recteur, qui a souligné également que des efforts seront entrepris au niveau des instances internationales, pour sa reconnaissance et sa consécration comme l’un des pionniers du dialogue entre les cultures.Mohamed Bencheneb est en effet le promoteur des études sur la culture populaire dans sa diversité, traduite par ses soins en plusieurs langues, offrant ainsi l’opportunité au monde de prendre connaissance de la richesse et de la variété des productions du terroir littéraire algérien. C’est à partir de sa qualité d’enseignant-chercheur à la première faculté d’Alger, dont on célèbre, aujourd’hui, le centenaire (1909-2009), que M. Bencheneb entreprit ses activités de recherches sur les dialectes et les langues locales, s’appuyant en cela, sur les nouvelles méthodes d’approches analytiques et descriptives introduites par les orientalistes européens. Ces derniers furent d’un apport capital pour notre jeune étudiant à l’image du recteur de la faculté d’Alger de l’époque, M. René Basset, auquel Mohamed Bencheneb n’a pas manqué de rendre un grand hommage à l’occasion de ses funérailles en 1924. Baigné dans une atmosphère intellectuelle inédite, Mohamed Bencheneb a, en effet, bénéficié des méthodes et de la rigueur scientifique de la fin du 19e et du début du 20e siècle, marqué par l’explosion scientifique et philosophique.Animé par cette quête du savoir, il entreprit alors l’une des tâches difficiles d’investigation : celle de faire ressortir au monde, à travers les langues vivantes, notamment le français, ce terroir riche mais enfoui sous les décombres d’une culture qui perdit, peu à peu, sous la stagnation, son pouvoir de l’écrit.De son vivant, Mohamed Bencheneb regrettait le manque de manuscrits, au-de là du 17e siècle, le peu qu’il en pouvait acquérir dans ses longues quêtes faites de déplacements et de voyages à travers tout le Maghreb, est aussitôt codifié et analysé selon les nouvelles méthodes de lexicographie et de la lexicologie. C’est en ce sens que les lexiques de Mohamed Bencheneb, ceux des “proverbes usités en Afrique du Nord” par exemple, ou le lexique “des mots et expressions turques et persannes dans les dialectes algériens” (par lequel il obtint son doctorat en 1921) entre autres, sont d’une importance académique reconnue. “Cet académicien de renom, dira l’un des intervenants au colloque, a remué dans l’un de ses travaux toute l’histoire humaine de l’Algérie du Maghreb, en publiant entre autres sa critique d’une chronique de l’époque mérinide!”.Il fut pour ainsi dire, l’initiateur des lettres comparées, à travers ses recherches et traductions multiples, propulsant ainsi des facettes entières du patrimoine oral et écrit au devant de l’universalité culturelle, et, partant, la consécration de l’homme comme pionnier, parmi tant d’autres intellectuels, du dialogue entre les cultures.A. M.

Voyage solidaire en terre algérienne


La Chapelle-Saint-Luc

Les jeunes de l'expédition entourent le père Félix, en blanc, à droite
Dix-sept jeunes de l'association Osons la solidarité ont participé, l'été dernier, à un voyage en Algérie. Retour sur cette aventure
Les jeunes de l'association Osons la solidarité possèdent une belle expérience des voyages. Accompagnés par le père Félix, dix garçons et sept filles de religions, nationalités et d'horizons différents, se sont envolés pour l'Algérie, l'été dernier. Samedi soir, ils étaient à nouveau réunis à la salle Sainte-Gisèle, à La Chapelle-Saint-Luc, pour se remémorer leur voyage.« J'ai été marqué par mon premier périple en Algérie il y a longtemps. Depuis, j'organise tous les deux ans un voyage, souvent dans les pays arabes », raconte le père Félix.Partie de France le 3 août, la délégation regroupant des jeunes de l'agglomération troyenne et de toute la France, a posé ses valises à Oran. Là-bas, les jeunes ont participé à la réhabilitation d'un bâtiment délabré censé servir de local pour une association militant pour la réinsertion des jeunes en échec scolaire.
Méharée
Une semaine après et 1 900 km en bus plus loin, le groupe débarque, sous la chaleur à Tamanrasset (sud).C'est le début de la méharée, une randonnée organisée dans le
désert rocailleux à dos de dromadaires, qui mènera la cohorte pendant trois jours vers l'ermitage de l'Assekrem, construite par Charles de Foucault, au sein du massif du Hoggar (ouest du Sahara).Après ce pèlerinage, c'est l'arrivée à Alger, la capitale, où la délégation terminera son séjour et prendra l'avion le 29 août.« Ce que nous retenons de ce voyage, c'est la fusion avec les Algériens », expliquent les jeunes voyageurs.Le prochain périple les conduira, en 2011, en Syrie.

Béchar désertification




Le palmier dattier et l'olivier pour freiner l'avancée du désert
Un million de palmiers et 300.000 oliviers ont été plantés depuis 2002 à travers la wilaya de Béchar dans le cadre de la lutte contre la désertification, selon la direction des services agricoles (DSA) de la wilaya. L'opération de plantation de ces palmiers dattiers sur 10.000 ha et des oliviers sur plus de 1200 ha, constitue un moyen efficace de lutte contre la désertification à travers les 21 communes de la wilaya de Béchar, a estimé la DSA. Cette réalisation, qui se poursuivra à l'avenir avec d'autres programmes portant sur les mêmes espèces et actuellement proposés à l'inscription, a pu avoir lieu grâce à la conjugaison des efforts des services agricoles et de la conservation des forêts, au titre des actions de lutte contre la désertification, a-t-on précisé. Ces dernières ont été appuyées par des financements du fonds national de régulation et de développement agricole et des actions de développement et d'intensification de l'oléiculture auxquelles le secteur des forêts a apporté aide et soutien technique, soutient-on de même source. En plus de la lutte contre la désertification et la préservation du sol de l'érosion et d'autres phénomènes naturels, la plantation du palmier dattier et de l'olivier vise deux autres objectifs. Sur le plan économique, la commercialisation de la datte est une source de gain importante dans la région et constitue jusqu'à 60 % des revenus des agriculteurs spécialisés dans la filière, explique le responsable de la DSA. Au plan environnemental, le palmier dattier et l'olivier vont constituer la structure de base de l'agriculture saharienne de par la création d'un microclimat indispensable au développement de cultures sous-jacentes, tels l'arboriculture fruitière et les maraîchages, notamment dans les régions proches de l'erg occidental, à savoir Beni-Abbès, Igli, El Ouata, Ouled-Khodeir et Kerzaz, dit-il. La mise en valeur des terres sahariennes qui concerne actuellement plus de 41.000 ha, dont 23.732 ha sont en exploitation, a été aussi un facteur de stabilisation de l'avancée du désert, dans plusieurs localités sensibles de la wilaya, grâce aux efforts des agriculteurs pour arracher ces terres au désert, soutient-il. R.R.

Nations Unies economie sociale



Economie sociale : Les Nations Unies proclament 2012 année internationales des Coopératives
[Fenêtre sur l'Europe]
La résolution que les Nations Unies viennent d’adopter est un véritable plaidoyer pour les coopératives. Les Etats Membres l'ont approuvée le 18 décembre à la 64ème session de l’Assemblée Générale des Nations Unies.
La résolution des Nations Unies reconnait que le modèle économique coopératif est un facteur de développement économique et social majeur qui soutien la participation la plus complète possible des personnes dans le développement économique et social autant dans les pays développé qu’en développement et qu’en particulier, les coopératives contribuent à l’éradication de la pauvreté. La résolution encourage également tous les gouvernements à créer un meilleur environnement de soutien pour le développement des coopératives.La Confédération Européenne des Coopératives de Production et de Travail Associé, des Coopératives Sociales et des Entreprises Sociales et Participatives,(CECOP – CICOPA Europe) se réjouit d'une telle décision onusienne qu'elle considère comme un véritable plaidoyer pour les coopératives.L’Année Internationale des Coopératives en 2012 va, en effet, mobiliser le Mouvement coopératif au niveau mondial et l’Alliance Coopératives Internationale (ACI) par la mise en place d’une campagne qui comprendra une série d’évènements à travers le monde et des messages ciblés que toutes les coopératives seront à même d’utiliser afin de promouvoir le modèle coopératif.La CECOP – CICOPA Europe englobe lees secteurs d’activité principaux comprennent l’industrie du métal, les industries mécanique, la construction et les travaux publics, l’industrie du bois et de l’ameublement, l’électroménager, le textile et les vêtements, le transport les activités liées aux medias, les services sociaux, l’éducation et la culture, les activités liées à l’environnement, etc.La plupart d’entre elles sont caractérisées par le fait que les employés sont des membres propriétaires tandis que certaines d’entre-elles sont des entreprises de second degré pour les PME’s. De plus, environ 4000 de ces entreprises sont spécialisées dans la réintégration de travailleurs désavantagés ou marginalisés (handicapés, chômeurs de longue durée, ex prisonniers, drogués, etc.Pour plus d'informations : http://www.cecop.coop/