阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Sunday, March 14, 2010

Algerie secteur de l’éducation en plein essor



Le secteur de l’éducation en plein essor
Les statistiques démontrent que durant ces dernières années, le nombre d’établissements réceptionnés est largement supérieur à celui existant depuis une quarantaine d’années avec une prise en charge effective de l’enseignement préscolaire. L’éducation nationale au cours de l’année 2009-2010 a démontré la volonté des autorités de la wilaya et à leur tête le wali, de consacrer à ce secteur toute l’attention voulue et l’objectif principal est de donner aux élèves et aux enseignants la possibilité d’évoluer dans un environnement adéquat. Signalons que ce secteur a bénéficie, cette année, de dix-huit milliards de dinars pour la réhabilitation de plusieurs infrastructures éducatives qui sont répartis à travers les trente-huit communes que compte la wilaya de Relizane, ainsi qu’une autre enveloppe estimée à quinze milliards pour l’achat du matériel pour les trois cycles confondus. Selon l’orateur, ces travaux portent sur la construction de deux CEM d’une capacité d’accueil de 600 places chacun dans les communes de Belacel Bouzegza (daïra d’El Matmar), et Yellel (daïra de Yellel) ainsi que quatre lycées d’un total de 1 100 places pédagogiques pour les communes de Yellel, d’Aïn Tarek, Idi Khettab et El Hmadna. Les lycées de Yelle, Aïn Tarek, Sidi Khettab, El Hmadna seront dotés, selon Bechlagham Yahia, d’internats d’une capacité de 200 lits chacun au profit des élèves habitant loin de ces établissements d’enseignement. Il est prévu également la réception de ces structures d’enseignement durant le second semestre de l’année en cours, selon la Direction du logement et des équipements publics (Dlep). Par ailleurs, plusieurs opérations sont programmées cette année au profit du secteur de l’éducation, notamment 2 CEM, 5 groupes scolaires, 7 cantines et 3 terrains de proximité. D’autre part, des opérations de réfection et d’aménagement seront lancées pour que les structures soient opérationnelles avant le début de la rentrée scolaire prochaine, a-t-il signalé. Le secteur de l’éducation de la wilaya de Relizane a été renforcé vers la fin de l’année dernière par la réception de cinq groupes scolaires dans les communes du chef-lieu de wilaya Relizane, Mazouna, Zemmoura et Yellel, en plus de l’ouverture dernièrement de six cantines pour les élèves du cycle primaire, offrant un total de 550 repas/jour, rappelle-ton. Il est attendu également l’ouverture de six cantines similaires avant la rentrée scolaire prochaine 2010- 2011 à Relizane, selon l’orateur. Par ailleurs, la Direction de l’éducation vient de bénéficier d’un nouveau siège situé à Benama, en plein centre-ville, dont les travaux de réalisation sont achevés à 100% .N. Malik
15-03-2010

Oran sociale scolaire enfants autistes




L'intégration sociale et scolaire des enfants autistes en débat



La sensibilisation aux contraintes de l'handicap quel qu'il soit et à l'importance de l'insertion des handicapés a été au cœur de diverses manifestations ayant marqué la célébration de la journée internationale de l'handicapé en Algérie. Ainsi et à Oran par exemple, une rencontre a été organisée samedi par l'association des autistes de la wilaya (ASAOR) ayant pour thème principal l'intégration sociale et scolaire des enfants autistes. Intervenant lors de cette journée d'information, ayant regroupé des parents d'autistes et des professionnels, la vice-présidente de l'association, Farida Melikèche, a indiqué que grâce à l'écoute, au soutien et à l'information des parents "de nombreux cas en sont sortis de leur isolement et de leur mutisme". Elle a également informé l'assistance de la création à Haï El Badr (ex cité petit) à Oran, en janvier dernier, d'une classe pilote de 5 enfants autistes, âgés entre 7 et 10 ans. "Une structure similaire verra le jour l'année prochaine," a-t-elle annoncé. Ces enfants jouent, parlent et communiquent comme en témoigne un documentaire sur Farouk (un enfant de 5 ans et demi), projeté samedi en cette occasion. D'autres enfants autistes comme Brahim (5 ans et demi), Houari (3 ans), Yacine et Younes évoluent positivement, a-t-on observé dans ce documentaire. Cette expérience, œuvre notamment d'une poignée de volontaires parmi des enseignants spécialisés, des psychocliniciens, a poussé les membres de cette association à penser à la création d'une structure appropriée pour démarrer des thérapies réelles dès l'âge précoce. L'objectif de l'association "ASAOR" est "d'assurer en fin de parcours une bonne thérapie aux enfants autistes en attente de leur scolarisation", a indiqué la vice-présidente de l'association. Selon des spécialistes, l'autisme est un trouble envahissant du développement qui apparaît dans les deux premières années de la vie de l'enfant. Il en résulte de cette affection notamment des altérations de la communication et autres troubles qui conduisent les enfants touchés à prendre de plus en plus de retard par rapport aux normaux du même âge, ont-ils expliqué.R.R.

Casbah d'Alger marché au profit des handicapés




Création d'un petit marché au profit des handicapés



L'insertion des handicapés dans le monde professionnel reste un défi de taille. Aussi, et comme l'adage dit que les petits ruisseaux font les grandes rivières de petites initiatives peuvent conduire à l'amélioration de situation socioprofessionnelle des handicapés. C'est dans cet esprit qu'une convention a été signée samedi à Alger entre les communes de la Casbah et Magarine (W.Ouargla) pour la création d'un petit marché au profit des handicapés au niveau de la Casbah. La convention a été signée en marge du Forum d'"El Moudjahid", qui a invité l'Union nationale des handicapés algériens (UNHA), par l'association des handicapés de la Casbah et l'association des handicapés moteurs de Magarine (Ouargla). Selon le président de l'Union, M. Mohamed Nabil Rezzag, la convention prévoit la création d'un petit marché au niveau de la commune de la Casbah pour la vente de produits réalisés par les handicapés outre l'échange entre les deux associations. M. Rezzag a en outre souligné que l'handicapé est devenu plus indépendant à la faveur des structures mises en place par l'Etat au profit de cette catégorie et de la formation. "L'insertion des handicapés dans la vie professionnelle demeure difficile, les jeunes handicapés diplômés des centres spécialisés et d'universités sont réellement confrontés au chômage en dépit de leurs compétences", a-t-il ajouté. La célébration de la journée nationale de l'handicapé " est une occasion d'évaluer les réalisations et les acquis de cette catégorie et d'examiner ses problèmes et préoccupations tels l'insertion dans le monde du travail, le logement et le transport", a-t-il indiqué . Par ailleurs, M. Rezzag a tenu à souligner "l'intérêt particulier" accordé par l'Etat à la catégorie des personnes aux besoins spécifiques en Algérie à travers la mobilisation de moyens matériels et financiers en vue d'assurer leur insertion socio-professionelle et leur permettre de contribuer activement au processus de développement national.R.R.

Tipaza un jardin littoral




Un jardin littoral sur le site de l'ex-décharge de Kabrera



Transformer les dépotoirs en espaces verts. C'est l'expérience initiée par la direction de l'environnement de la wilaya de Tipaza. Ainsi, et selon ses responsables, l'ex-décharge publique de Kabrera, dans la commune de Sidi-Ghilès, sera transformée en jardin littoral. Dans ce sens, une opération de plantation d'arbres a été organisée, hier, par les services de cette direction avec la participation des scouts musulmans algériens (SMA). Cette opération va commencer sitôt que le transfert des déchets vers le nouveau site de Koudiat El Hannafi sera achevé. L'opération de transfert des déchets ménagers de ce site de Kabrera, dont le volume est estimé à 250.000 m3, se poursuit avec un rythme d'enlèvement quotidien de 1200 m3. La décharge de Kabrera, installée depuis 1958 sur la plage aux abords de Oued El Hachem, est devenue depuis 2006 une priorité pour les responsables de la wilaya qui l'ont fermée définitivement en avril 2009, après avoir trouvé un site de transfert à 4 km du chef-lieu de daïra, en attendant la réalisation de casiers d'enfouissement dont l'étude a déjà été lancée. Cette opération de transfert s'inscrit dans l'étude globale d'éradication et de fermeture des décharges sauvages lancée en 2001 par le ministère dans le cadre du Plan national de développement durable (PNDD). L'éradication de cette décharge a nécessité un montage financier de 150 millions de DA, répartis entre 80 millions de DA sur PSD et 70 millions de DA sur PCD. Cette enveloppe a permis le transport des déchets vers le nouveau site et la réalisation d'un casier d'enfouissement technique des ordures ménagères. Celles-ci, évaluées à 250.000 m3, à raison de 40 à 50 tonnes/jour provenant des communes de Cherchell, Sidi Ghilés, Hadjret Ennouss et Sidi Semiane avaient largement débordé au-delà de la zone de stockage provoquant des dégâts sur l'environnement. La seconde phase de l'opération, qui consiste en la réalisation d'un casier d'enfouissement technique des ordures, prise en charge dans le cadre du PSD, est en phase d'étude d'impact par le bureau allemand "Ecoplan", spécialisé en la matière. Le projet sera en principe achevé en octobre avec le lancement de l'opération de plantations d'arbres sur les deux sites, en l'occurrence l'ancienne décharge qui sera transformée en jardin littoral après sa décontamination et le nouveau qui sera agrémenté d'espèces végétales adaptées à la nature du projet. Aussi, ce programme d'éradication des décharges sauvages sera suivi par la réalisation d'un centre d'enfouissement technique (CET) intercommunal (Cherchell, Sidi Ghilés, Hadjret Ennouss et Sidi Semiane) qui sera implanté au douar Aghbal sur une superficie de 6 ha dont la caractéristique principale sera le tri et le recyclage des plastiques, papier, métal et autres objets en verre.R.R.

Algerie Djezzy internet



L'accès à l'information en temps réel est aujourd'hui un besoin primordial. Dans ce sens, Orascom Télécom Algérie a mis en place une gamme de solutions complète afin de tirer le meilleur de la convergence mobile. La convergence mobile ouvre aujourd'hui la voie à des services que l'on aurait peiné à imaginer il y a quelques années. Il est vrai que la révolution internet a permis aux TIC de faire un bond en avant mais les services mobiles vont encore plus loin. Internet ouvre une fenêtre sur le monde à portée de click, la convergence mobile l'ouvre à portée de touche. Ainsi, Djezzy a développé une gamme de services dédiée à l'Internet mobile via le GPRS ou la solution Djezzy Connect. Ainsi, grâce au GPRS de Djezzy on peut surfer librement sur Internet, accéder rapidement à votre messagerie électronique, télécharger à sa convenance logos, sonneries… Le GPRS (General Packet Radio Service) est une technologie qui permet à votre téléphone de transférer des données à des vitesses modérées. Le GPRS est pré activé sur les lignes Djezzy postpaid. Le service GPRS Djezzy est facturé par palier de 1 KO indivisible. Le tarif appliqué par défaut est de 0.1465 DZD/TTC/ par KO. Il a toutefois choisi un second mode de tarification qui donne accès à trois forfaits au choix. Pour sa part, Djezzy Connect Illimité est une solution moderne d'accès à internet, simple et pratique à installer et à utiliser. La connexion est accessible instantanément n'importe où en Algérie, étant basée sur le réseau GPRS/EDGE de Djezzy. C'est aussi l'internet illimité avec un montant mensuel fixe, quel que soit le nombre ko téléchargés. Djezzy Connect illimité est destinée aux clients Djezzy Classic, Djezzy Business et Millenium. Le Pack Djezzy Connect Illimité est composé du service internet illimité à installer sur la ligne comme tout autre service à valeur ajoutée, un modem adapté à chaque type d'utilisateur avec une carte PCMICIA pour les utilisateurs qui disposent d'un ordinateur portable (Lap Top), une clé UBS pour les utilisateurs disposant d'un ordinateur de Bureau (Desk Top) et une carte Sim Data only. La Sim Data est pratique pour une utilisation DATA, sans avoir à payer le service voix, elle est étudiée pour tout type de communication, SMS, GSM Data, GPRS et MMS ainsi que le transfert de données.Samira G.

Chlef ressources en eau




Un centre national de recherche en ressources en eau



Un centre national de recherche en ressources en eau sera créé au niveau de l'université Hassiba-Benbouali de Chlef. Ce futur centre aura pour mission de développer la recherche dans le domaine des ressources en eau au niveau national, a explique la même source, en justifiant le choix de l'université de Chlef par les caractéristiques et les spécificités de la région aux potentialités hydriques avérées et par l'existence, entre autres, d'un bassin hydrographique couvrant une superficie de 43.750 kilomètres carrés. Notons par ailleurs que le projet du plan directeur d'aménagement des ressources en eau (PDARE) de la région hydrographique "Chlef - Zahrez" a été mercredi au centre des débats d'une rencontre ayant regroupé les représentants de 13 wilayas du centre-ouest et du nord du pays. Animés par le directeur Général de l'agence nationale des ressources en eau et de deux représentants du ministère des Ressources en eau, les travaux de cette rencontre ont porté sur l'examen des grands axes du projet du PDRaE, élaboré sur la base des données de l'Agence du bassin hydrographique (ABH) "Chlef - Zahrez", dont le siège de la direction générale se trouve à Chlef. Selon le rapport de synthèse de l'ABH, présenté lors de cette rencontre, sept grands axes ont présidé à l'élaboration de ce projet. Il s'agit de ceux concernant la région hydrographique "Chlef - Zahrez", la recherche d'un bilan hydrique équilibré, la qualité des eaux et les coûts économiques de la ressource, entre autres. L'examen du projet du PDARE a fait ressortir l'importance d'un tel plan dans la valorisation et l'exploitation rationnelle de la ressource en eau à moyen et long terme au niveau de cette région hydrographique qui couvre 256 communes réparties sur les 13 wilayas du centre-ouest et du nord du pays, comprises dans la région hydrographique "Chlef - Zahrez". Définie comme la plus vaste région hydrographique du nord du pays avec une superficie de 56.000 km2, cette région regroupe trois bassins hydrographiques à savoir le Chellif, le Zahrez et le côtier du Dahra, selon le même document. Il est fait état également de l'existence de 18 barrages en exploitation au niveau de cette région avec une capacité globale de 2,3 milliards de mètres cubes auxquels s'ajoutent 53 retenues collinaires, 2800 forages et plusieurs autres ouvrages hydrauliques en cours de réalisation, dont deux stations de dessalement de l'eau de mer. R.R.

Google fête aussi la Journée de Pi



Le 14 mars, écrit 3/14 en format de date américain, dérive de l'approximation habituelle à trois chiffres 3,14. Elle est généralement célébrée à 1 h 59 de l'après-midi, à cause de l'approximation de six chiffres (3,14159). Certains, utilisant une horloge à 24 heures, plutôt qu'à 12 heures, disent que 1 h 59 de l'après-midi est en fait 13 h 59, et à la place, la célèbrent à 1 h 59 du matin. Les fêtes ont lieu dans les départements de mathématiques de diverses universités à travers le monde.
En France, la journée du 10 novembre étant le 314ème jour de l'année semble être plus appropriée.
Son dicton serait : À la saint Léon, on ceint les ronds.
Le 14 mars est aussi le jour de l'anniversaire d'Albert Einstein.
Ce jour a été célébré de diverses manières. Des groupes de gens, typiquement des clubs pi racontent le rôle qu'a joué ce nombre dans leur vie et imaginent un monde sans π. Pendant ces festivités, les célébrants de pi conçoivent des valeurs alternatives pour π telles que manger pi (pie=tarte), jouer pi (piñata) ou boire pi (piña colada).

Ali-Khodja Ali chefdoeuvre

http://ali-khodja.blogspot.com/
Ali Ali-Khodja, né à Alger le 13 janvier 1923 et décédé dans sa ville natale le 7 février 2010, est un miniaturiste et peintre algérien Arrière petit-fils du Dey d'Alger, Ali Ali-Khodja est issu d'une vieille famille d'origine ottomane. Après la mort de son père en 1927, il est recueilli par ses oncles maternels dont l'un est le miniaturiste Mohamed Racim. De 1929 à 1937 Ali-Khodja fait ses études à l'école de Saint-Eugène puis à celle d'El-Biar. A partir de 1933 il est élève d'Omar Racim, son autre oncle maternel, au cours pratique de calligraphie et d'enluminure près l'École des beaux-arts d'Alger, de Mohamed Racim et d'Andrée Du Pac à l'École.
A partir de 1941 Ali-Khodja expose dans plusieurs salons et reçoit en 1942, la « Bourse Sivry », première bourse de la ville d'Alger (section miniature). Aux côtés notamment de Hemche, Temmam, Yellès et Ranem, il participe en 1944 à l'exposition des « Jeunes peintres et miniaturistes musulmans d'Algérie » organisée par Mohamed Racim. En 1945 il est dessinateur au bureau d'études du service de l'artisanat, où il retrouve Sid-Ahmed Kara. Il présente en 1946 une première exposition personnelle et reçoit de nouveau la bourse de la ville d'Alger (section miniature). Il est coopté en 1947 par la « société des artistes algériens et orientalistes » et participe à une exposition collective en Scandinavie, à Stockholm, Oslo et Copenhague, dans laquelle il présente deux miniatures (Intérieur mauresque, Environs d'Alger) et deux enluminures. En 1950 il figure dans l'exposition des peintres de la revue « Soleil » fondée par Jean Sénac. Il reçoit en 1961 la médaille d'or du « Meilleur ouvrier de France ». Nommé au Musée des arts et traditions populaires de 1948 à 1961, il est ensuite recruté comme professeur de décoration par l'École des Beaux-arts d'Alger où il enseignera jusqu'en 1994.
Ali-Khodja participe à partir de 1962 aux premières expositions organisées à Alger après l'Indépendance, est en 1963 membre fondateur de l'Union nationale des arts plastiques (UNAP) et participe en 1964 à son premier salon annuel. Il crée en 1966 pour les « Ballets algériens » un ensemble de costumes qui ne seront pas réalisés. En 1969 plusieurs de ses œuvres sont exposées au 1er Festival panafricain d'Alger. En 1970 le grand prix national de peinture lui est attribué et en 1987 la médaille du mérite national. Ali-Khodja est également membre du jury international de la première biennale internationale des arts plastiques d'Alger en 1987 et président du jury de la deuxième biennale en 1989