Thursday, October 15, 2009
Programme Averroès
Programme Averroès :Des universitaires d’Europe et du Maghreb à Marrakech pour consolider leur partenariat
Ce sont une soixantaine d’universitaires et de chercheurs en provenance de pays européens et du Maghreb qui ont fait le déplacement du 12 au 14 octobre à Marrakech, dans le cadre du programme Averroès, un nouveau dispositif d’aide à la mobilité, piloté par l’Université de Montpelier II, et financé par la Commission européenne dans le cadre du programme européen “Erasmus Mundus”. Ce programme ambitieux qui vise à consolider le partenariat académique et universitaire entre les deux rives de la Méditerranée est de nature à permettre de promouvoir l’excellence universitaire et scientifique au sein des pays méditerranéens. Il permet aussi d’accorder une attention particulière à l’amélioration de la gouvernance des universités afin de mutualiser les bonnes pratiques et le savoir-faire et de renforcer des liens économiques, politiques, culturels et éducatifs entre les pays de l’UE et du Maghreb. Ce programme réunit 20 universités du Maroc, France, Belgique, Espagne, Italie, Tunisie et Algérie, outre une quarantaine de partenaires associés (acteurs socio- économiques locaux, nationaux et internationaux) qui participent activement à l’organisation et à l’accueil des mobilités étudiantes ou académiques. Ce Forum, dont l’initiateur est l’Université Cadi Ayyad (UCAM), en partenariat avec l’Université de Montpelier II, est le cinquième du genre tenu, après ceux organisés à Montpellier (France), Bejaia (Algérie), Sousse (Tunisie) et Perpignan (France). L’un des moments forts de cette grande manifestation étant le discours prononcé par Michel Dumas, coordonnateur du programme Averroès et dans lequel, il a tenu à indiquer que la rencontre de Marrakech est une occasion pour réfléchir ensemble sur le rôle du programme Averroès dans le processus d’édification de l’Union pour la Méditerranée (UPM). Elle se veut aussi une étape décisive pour dresser un bilan des échanges estudiantins mais aussi définir, préalablement, les objectifs escomptés des appels d’offres qui seront présentés par l’UE dans le domaine de la construction universitaire euro-méditerranéenne. Le président de l’Université Cadi Ayyad, Mohamed Merzak, a mis l’accent sur le rôle du programme Averroès notamment en matière d’établissement des rapports de coopération sociale et culturelle entre les deux rives du pourtour méditerranéen. « Le rôle du programme Averroès ne se limite pas uniquement aux volets académique et universitaire, mais les dépasse pour contribuer, de manière directe, au développement des liens de coopération sociale et culturelle entre les deux rives de la Méditerranée ». La mobilité des jeunes que le programme Averroès tente de consolider, permettra, sans nul doute, à cette catégorie sociale, de mieux se connaître et se faire connaître notamment par le biais de l’ouverture sur d’autres cultures et le développement de l’esprit de tolérance et du respect d’autrui, a souligné également M. Merzak. Et de conclure que pour s’acquitter au mieux de son rôle dans l’activation du programme Averroès, l’Université Cadi Ayyad ne ménage aucun effort pour mobiliser, à cette fin, un dispositif humain et matériel conséquent. Quant à M. Yanick Prost du pôle Enseignement supérieur, formation professionnelle et recherche auprès de la présidence de la République Française et en évoquant l’UPM, il a fait savoir qu’elle a été pensée et créée dans le but de combler « les lacunes du Processus de Barcelone », de donner une nouvelle impulsion politique et de mettre en œuvre une bonne gouvernance, de manière à ce que la coopération entre les deux rives de la Méditerranée soit orientée dans le bon sens. Il a axé également son intervention autour d’une énumération de projets conjoints à réaliser. Source : http://www.libe.ma/Programme-Averroes-Des-universi...
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L'UE carbone
L'UE veut industrialiser la séquestration de carbone
(Src : Commission Européenne)
Les dirigeants de 22 pays du monde ont étudié les meilleurs moyens d'accélérer la commercialisation du captage et du stockage du carbone (CSC) lors du forum CSLF** qui s'est tenu à Londres, mardi dernier.
Le captage et le stockage du carbone consistent en une technologie permettant de réduire les émissions résultant de la combustion de sources d'énergie fossiles par les grands émetteurs (tels que les centrales électriques au charbon ou au gaz et la sidérurgie) au moyen du captage du CO 2 et du stockage souterrain."Les autorités publiques doivent continuer de favoriser le développement et l'utilisation des technologies CSC si nous voulons lutter avec succès contre le changement climatique. Toutefois, il convient également que le secteur privé investisse de manière significative dans ce domaine pour que les projets de démonstration soient commercialisés et que les technologies CSC atteignent la faisabilité économique" a déclaré M. Andris Piebalgs, membre de la Commission européenne chargé de l'énergie.Le forum a adopté une déclaration ministérielle portant sur le soutien aux projets, l'échange de connaissances, le renforcement des capacités et d'autres priorités du CSLF. Les activités du forum s'inscriront dans le cadre général des actions en faveur de l'énergie et du climat, qui comprend le processus de mise en œuvre de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques.Des projets de démonstration sont actuellement financés à hauteur d'1,05 milliard d'euros suite au plan européen pour la relance économique. L'évaluation des propositions de projets est en cours.
De plus, ces projets bénéficient de 300 millions de quotas au titre du système européen d'échange de quotas d'émission. Ces quotas auront une valeur monétaire en fonction du prix du carbone; ils pourront donc être vendus aux enchères par les États membres sur le marché du carbone européen.Sur le plan industriel, la Commission se prépare à créer un réseau de projets de pionniers européens qui participent à des projets de démonstration CSC à grande échelle. L'initiative européenne industrielle sur le CSC vient compléter le tableau. Son objectif consiste à exploiter le développement et l'utilisation de technologies telles que le CSC pour réduire considérablement les émissions de CO 2 résultant de la production d'électricité en Europe.** CSLF : Carbon Sequestration Leadership Forum. Le forum directif pour le piégeage du carbone est une initiative internationale dans le domaine du changement climatique axée sur le développement de technologies améliorées et rentables pour la séparation et le piégeage du dioxyde de carbone (CO 2), son transport et son stockage sûr à long terme.
(Src : Commission Européenne)
Les dirigeants de 22 pays du monde ont étudié les meilleurs moyens d'accélérer la commercialisation du captage et du stockage du carbone (CSC) lors du forum CSLF** qui s'est tenu à Londres, mardi dernier.
Le captage et le stockage du carbone consistent en une technologie permettant de réduire les émissions résultant de la combustion de sources d'énergie fossiles par les grands émetteurs (tels que les centrales électriques au charbon ou au gaz et la sidérurgie) au moyen du captage du CO 2 et du stockage souterrain."Les autorités publiques doivent continuer de favoriser le développement et l'utilisation des technologies CSC si nous voulons lutter avec succès contre le changement climatique. Toutefois, il convient également que le secteur privé investisse de manière significative dans ce domaine pour que les projets de démonstration soient commercialisés et que les technologies CSC atteignent la faisabilité économique" a déclaré M. Andris Piebalgs, membre de la Commission européenne chargé de l'énergie.Le forum a adopté une déclaration ministérielle portant sur le soutien aux projets, l'échange de connaissances, le renforcement des capacités et d'autres priorités du CSLF. Les activités du forum s'inscriront dans le cadre général des actions en faveur de l'énergie et du climat, qui comprend le processus de mise en œuvre de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques.Des projets de démonstration sont actuellement financés à hauteur d'1,05 milliard d'euros suite au plan européen pour la relance économique. L'évaluation des propositions de projets est en cours.
De plus, ces projets bénéficient de 300 millions de quotas au titre du système européen d'échange de quotas d'émission. Ces quotas auront une valeur monétaire en fonction du prix du carbone; ils pourront donc être vendus aux enchères par les États membres sur le marché du carbone européen.Sur le plan industriel, la Commission se prépare à créer un réseau de projets de pionniers européens qui participent à des projets de démonstration CSC à grande échelle. L'initiative européenne industrielle sur le CSC vient compléter le tableau. Son objectif consiste à exploiter le développement et l'utilisation de technologies telles que le CSC pour réduire considérablement les émissions de CO 2 résultant de la production d'électricité en Europe.** CSLF : Carbon Sequestration Leadership Forum. Le forum directif pour le piégeage du carbone est une initiative internationale dans le domaine du changement climatique axée sur le développement de technologies améliorées et rentables pour la séparation et le piégeage du dioxyde de carbone (CO 2), son transport et son stockage sûr à long terme.
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Algerie l’éclairage à partir de l’énergie solaire
Cap sur l’éclairage à partir de l’énergie solaire
? Lors de sa visite, le ministre des Travaux publics a fait savoir que le projet de la deuxième rocade Sud a atteint un taux d’avancement qui dépasse les 89%. Selon lui, ce projet sera, sans aucun doute, livré avant la fin de l’année 2009. Le ministre a inspecté une nouvelle technique d’éclairage à partir des énergies solaire et éolienne, dont des prototypes ont déjà été installés au niveau du tronçon Zéralda-Douéra. A ce sujet, le ministre a indiqué que «si les résultats de cette expérience sont satisfaisants, elle sera généralisée sur l’ensemble de la rocade», l’objectif, selon lui, étant à la fois économique et écologique. La rocade Sud, d’une longueur totale de près de 66 km, est destinée à réduire la densité du trafic que connaît la première rocade d’Alger reliant Ben-Aknoun à Dar El-Beïda, et de désenclaver de nombreuses régions situées dans les wilayas d’Alger, Blida et de Boumerdès. Elle fera partie d’un réseau de plus de 200 km, une fois raccordée à plusieurs échangeurs et pénétrantes assurant sa liaison avec plusieurs infrastructures, notamment l’autoroute Est-Ouest, la rocade Sud d’Alger (Zeralda-Ben Aknoun), la zone industrielle de Rouiba, ainsi que le pôle technologique de Sidi Abdallah. Elle absorbera, ainsi, près de 70 % des véhicules empruntant actuellement la rocade reliant Ben Aknoun à Dar El-Beida. Quant à sa réalisation, elle est confiée au groupement algéro-luso-espagnol Gotera. R. A.
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