阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Wednesday, October 27, 2010

RELATIONS ALGÉRO-FRANÇAISES


Alger porte un regard d’espoir


Pour Mourad Medelci, les relations bilatérales ont pris une nouvelle tournure, ces derniers temps, caractérisée par une ambiance nouvelle et un nouveau dynamisme.

L’Algérie a une vision porteuse d’espoir sur l’avenir de ses relations avec la France. Le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, estime que les relations algéro-françaises ont pris une nouvelle tournure, ces derniers temps, caractérisée par une ambiance nouvelle et un nouveau dynamisme. «J’ai espoir que cette nouvelle ambiance souhaitée par les deux parties soit porteuse d’avancées sur plusieurs plans», a déclaré le ministre, lors de son passage avant-hier à l’émission Question d’Actu, diffusée sur la chaîne de télévision Canal Algérie. Reconnaissant que les deux capitales ne sont pas parvenues «probablement à régler tous les problèmes», le ministre souligne l’intérêt objectif liant les deux pays. «Nous avons des intérêts objectifs avec la France. Des intérêts sociaux également, dans la mesure où une communauté algérienne importante a apporté une contribution extrêmement considérable au développement de la France», a déclaré M.Medelci. Le ministre se dit optimiste en ce que les intérêts socio-économico-historiques permettront aux deux pays d’aller vers un développement conjoint dépassant le volet commercial.
Par la même occasion, le ministre a révélé que les dirigeants français ont donné leur accord de principe à ce que la communauté algérienne établie en France puisse bénéficier des dispositions du droit commun. Sur cette question, le ministre annonce la reprise, prochainement, des négociations entre les deux pays. «J’espère que le prochain rendez-vous du groupe conjoint algéro-français sur cette question pourra nous permettre de confirmer cette bonne disposition», a souhaité le ministre. Notons que la communauté algérienne en France est régie par un accord bilatéral de 1968. Lequel accord a fait l’objet de plusieurs rounds de négociation en vue de sa révision. Sollicité pour commenter la déclaration de Bernard Kouchner, ministre français des Affaires étrangères, selon laquelle les relations entre Alger et Paris «ne pourraient être normales tant que la génération de l’indépendance algérienne est encore au pouvoir», M.Meldeci estime que «chacun est responsable de ses déclarations et je n’ai pas à faire de commentaire là-dessus. Nos relations ne sont pas endossées à une déclaration d’un responsable. Elles sont beaucoup plus importantes que cela».
A propos de la visite à Alger de l’ancien Premier ministre français, Jean-Pierre Raffarin, le chef de la diplomatie algérienne affirme que l’envoyé spécial français et le ministre algérien de l’Industrie, de la Petite et moyenne entreprise et de la Promotion de l’investissement, Mohamed Benmeradi, «ne sont pas désignés pour régler des problèmes ponctuels». L’autre signe qui annonce l’apaisement entre les deux pays est le non-lieu prononcé en faveur du diplomate Hasseni. L’invité de l’émission Question d’Actu a souhaité, par ailleurs, que les deux pays trouvent une solution à la question d’accès aux archives politiques et surtout à la question de mémoire. «Personne ne peut effacer la mémoire», a déclaré le ministre.

«Pas de sous-traitance au Sahel»
Abordant la question du Sahel, le ministre a réitéré la position de l’Algérie. Dans son intervention, Mourad Medelci a souligné qu’il appartient aux pays de la région d’assumer leurs responsabilités et d’assurer la sécurité de leurs citoyens. «Chacun des pays doit prendre sa responsabilité. On ne peut pas la sous-traiter avec les autres. La sécurité dans le Sahel est indivisible», a déclaré le ministre. Interrogé sur les vélléités d’ingérence de certains pays extra-sahéliens, M.Medelci répond: «Si d’autres pays hors du Sahel souhaitent apporter leur contribution pour atteindre les objectifs en matière de développement des pays qui ont en besoin, cette intervention doit être transparente. Elle doit porter sur des actions de développement. Mais elle ne doit en aucun cas remplacer les institutions» de nos pays, a-t-il indiqué. Sur sa lancée, le ministre dira que la surmédiatisation du Sahel par ces pays ne fera que jeter plus le trouble dans la région. D’ailleurs, il regrette que la résolution 1904 de l’ONU, sur le paiement de rançons et la prise d’otages, ne soit pas respectée. «Les raisons sont simples. Les pays dont les ressortissants sont pris en otage préfèrent payer. Payer la rançon c’est encourager le prise d’otages», a-t-il conclu sur ce chapitre.

Blocage de l’UPM et de l’UE
Sollicité sur la situation de stagnation qui caractérise l’Union pour la Méditerranée, M.Medelci affirme que la prochaine réunion prévue pour le mois de novembre est vouée à l’échec en raison de la situation au Moyen-Orient. «On ne peut pas parler d’avancement de ce processus ni de la concrétisation des projets alors qu’Israël continue dans sa politique de massacre du peuple palestinien», a déclaré le ministre. Concernant l’Accord d’association de l’Algérie avec l’Union européenne, le ministre annonce qu’un nouveau round entre l’Algérie et l’UE est prévu dans une quinzaine de jours à Alger pour discuter encore la révision du démantèlement fiscal.

Tahar FATTANI

Tourisme: les premiers groupes de touristes étrangers à Djanet Algerie



Les premiers groupes de touristes étrangers de la saison sont arrivés samedi à Djanet, a-t-on appris auprès de la direction du tourisme de la région d’Illizi.

Près de 220 touristes venus d’Europe, amoureux du désert algérien, arrivent samedi à l’aéroport international « Tiska » de Djanet, par des vols réguliers, soit directs ou via Alger, en provenance de Lyon, Frankfurt et Paris, pour séjourner dans le Tassili, a-t-on précisé. « La saison touristique 2010-2011, qui s’ouvre aujourd’hui, s’annonce de bonne augure et devrait donner un nouveau souffle aux activités artisanales et commerciales dans la région », a-t-on estimé de même source. Toutes les dispositions ont été prises avec les partenaires du secteur du tourisme (douanes, Office du Parc National du Tassili, banques et PAF) pour faciliter le séjour des touristes dans la région, a-t-on indiqué. « On ne s’attendait pas à recevoir par voie aérienne autant de touristes pour cette première journée de la nouvelle saison touristique », s’est-on félicité.



Elephant d'Illizi dans le désert algérien.
« Il appartient d’ajouter à ces touristes ceux venus par voie terrestre et qui ont déjà rallié plusieurs sites touristiques, depuis le 15 octobre dernier », a-t-on souligné. A la direction du tourisme de la région d’Illizi, on estime que le tourisme saharien est appelé à connaître, cette saison, « un nouvel élan, à la faveur des nouvelles orientations de coordination entre les opérateurs et la direction du tourisme pour développer le produit touristique local ». « De larges espoirs sont fondés sur la contribution des agences de voyage dans le développement du tourisme saharien, à travers la parfaite prise en charge des hôtes de la région et l’exploitation optimale des atouts touristiques de la région », a-t-on souligné.

Trente-sept agences de voyages, dont sept au chef-lieu de région, sont opérationnelles durant la saison touristique 2010/2011 dans la région du Tassili, selon la direction du tourisme qui a précisé que les compagnies aériennes Air Algérie et Aigle Azur assurent le transport des touristes vers Djanet, à partir de plusieurs villes européennes.

Le Parc national du Tassili, classé patrimoine universel depuis 1982, regorge de sites naturels et de vestiges archéologiques remontant très loin dans le temps, notamment des gravures et peintures rupestres de scène de chasse et autres.

L’Algérie compte devenir un important producteur d’électricité verte



Mercredi 27 octobre 2010.
Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES
D’après les perspectives du secteur, les sources d’énergies renouvelables permettront de produire entre 6 et 8% d’électricité d’ici 2020 et jusqu’à 35% à l’horizon 2040. .

D’après les perspectives du secteur, les sources d’énergies renouvelables permettront de produire entre 6 et 8% d’électricité d’ici 2020 et jusqu’à 35% à l’horizon 2040. Avant la fin de l’année, il est prévu que le département de l’énergie et des mines présente au gouvernement, un « ambitieux programme » pour le développement des énergies renouvelables, c’est ce qu’a annoncé, jeudi , son ministre Youcef Yousfi. Selon lui, « ce programme comprend un certain nombre de projets ». Des projets dont certains seront réalisés en partenariat, a-t-il dit, soulignant que, « nous allons demander trois choses à nos partenaires étrangers, telles que l’acquisition de technologies en ce qui concerne les laboratoires de recherche et l’expertise, la fabrication des équipements nécessaires au développement des énergies renouvelables en Algérie, car le coût de leur importation serait excessif et l’exportation des excédents d’électricité produite à partir de ces énergies vers des marchés extérieurs, notamment européens ». Ces déclarations interviennent alors que le Salon international de la gestion de l’énergie, le SIEREME vient de fermer ses portes après cinq jours intenses à Tamanrasset, et a attiré une quarantaine d’entreprises algériennes et étrangères concernées par les questions liées à la maîtrise des énergies diversifiées. Il faut dire que le gouvernement veut mettre le paquet sur cette nouvelle option, puisqu’il est question d’élaborer un Programme national de maîtrise de l’énergie (PNME) sur la période 2010-2014. Ce programme vise à réduire de manière significative la consommation d’électricité en distribuant cinq millions d’ampoules électriques à faible consommation, en facilitant les prêts subventionnés, en augmentant l’efficacité énergétique et en mettant en place de nouvelles mesures de contrôle de l’énergie. Il lancera également une campagne de sensibilisation et un programme spécial à destination des plus gros consommateurs. Le plus important de ces projets est la première centrale à énergie solaire hybride de ce genre à Hassi R’mel, dont l’achèvement est prévu avant la fin de l’année. « Cet ambitieux projet énergétique, le premier de ce type dans le pays, nous aidera à étudier les technologies utilisées afin que nous puissions évaluer les implications financières de la possible utilisation future de ce type de technologie dans d’autres projets de centrales », avait, dans ce contexte, affirmé le ministre de l’Energie et des Mines. Pour sa part, l’Agence nationale de rationalisation de l’énergie, plus connue sous le nom de l’APRUE a mis en place une série de projets sur la période 2007-2011, notamment la construction de 600 foyers HPE (haute performance énergétique), connus sous le nom d’« Eco- Bât », ainsi que de 10 000 systèmes de chauffage solaire d’eau et 22 000 mètres carrés de panneaux solaires qui seront installés dans des centres de santé, des hôtels et des thermes..

Le groupe de production et de commercialisation d’électricité Sonelgaz lui aussi envisage d’investir dans la production de l’énergie solaire, en lançant son premier programme de production d’électricité photovoltaïque comme alternative à la production par les hydrocarbures fossiles. Il s’agit entre autres, d’alimenter en électricité les villages isolés du Sud du pays. Pour ce, l’entreprise a même acquis les actifs d’une société d’éclairage afin de transformer celle-ci en unité de production de panneaux photovoltaïques..

On nous annonce que le prototype du premier panneau photovoltaïque « made in Algeria » quittera les laboratoires de l’Unité de développement de la technologie de la silice (UDTS) en juin 2011. Pour le choix de la ville de Tamanrasset (2.000 km au sud d’Alger), il est utile de dire que celui-ci n’est pas fortuit puisque elle constitue l’une des villes les plus ensoleillées du monde, avec une durée d’ensoleillement d’environ 3.500 heures/an..

Huit villages de la wilaya, caractérisés par leur isolement, ont bénéficié, dans le cadre du programme spécial de développement des wilayas du Sud, d’une installation d’électrification via le photovoltaïque et les énergies renouvelables, raccordant 555 foyers. La capitale du Hoggar ambitionne ainsi de devenir le nouveau lieu d’échanges des professionnels des énergies renouvelables, de la maîtrise de l’énergie, de l’éco construction et du développement durable..

El Moudjahid.
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Algerie l’ouverture officielle de l’année universitaire 2010-2011


lgerie
Le Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, présidera à l’université Kasdi-Merbah, l’ouverture officielle de l’année universitaire 2010-2011. Le Chef de l’Etat procédera à l’inauguration d'importants projets à caractère socio-économique et culturel. Dans le domaine de l'enseignement supérieur, le Président Bouteflika procédera à l'inauguration de 6.000 places pédagogiques au niveau de l'université Kasdi-Merbah de Ouargla. Concernant le secteur de la santé, le Président de la République inaugurera une clinique ophtalmologique algéro-cubaine, qui comprend notamment 40 lits et trois salles d’opérations ainsi q'un centre de lutte contre le cancer, au niveau de l'hôpital Mohamed-Boudiaf, qui permettra d'étendre la couverture médicale spécialisée aux régions du Sud du pays.
La wilaya de Ouargla bénéficiera, à la faveur de la visite du Président Bouteflika, d'une station d'épuration, de traitement et protection de la vallée de Ouargla contre le phénomène de la remontée des eaux. Le Chef de l'Etat posera également la première pierre du projet de réalisation d'une station de déminéralisation pour l'amélioration de la qualité de l'eau potable dans la wilaya. Par ailleurs, le Président Bouteflika inaugurera une cour de justice, dotée notamment de 77 bureaux d'administration,
4 salles de délibérations, d'une bibliothèque et d'un centre des archives. Enfin, le Chef de l'Etat procédera, au niveau de la 4e région militaire, à l'inauguration d'un centre satellitaire.

Forêt de Djebel El-Ouahch : un bijou à revaloriser



Le rapport élaboré par une commission de l’APW constituée de six vices-présidents, appuyé par un documentaire filmé, a décrit sans complaisance la situation «peu reluisante de ce patrimoine sylvicole», notamment dans sa partie destinée à servir d’espace récréatif.
Cette dégradation qui a commencé avec la dissolution, au début de la décennie 1990 de l’ex-Egilco, l’entreprise de wilaya qui gérait le parc d’attraction de Djebel El Ouahch, s’est accentuée au fil des ans pour atteindre un «stade affligeant» au bout de près de «deux décennies d’abandon et de laisser-aller», souligne-t-on dans ce rapport.
Le document écrit et le film décrivent ce qu’il est advenu de cet espace qui fut le plus beau joyau forestier de la ville. «Décharges sauvages, constructions délabrées ou saccagées, murs envahis par les ronces et les herbes sauvages, portes et fenêtres arrachées ou cassées, clôture en fer forgé volée», est-il déploré par les élus qui ont proposé la constitution d’une commission intersectorielle pour engager une «réflexion sérieuse» pour parvenir à une «solution viable et de fond».
Des intervenants ont relevé «les échecs des deux tentatives précédentes d’adjudication» du parc de loisirs de Djebel El Ouahch à des gestionnaires privés tout en estimant qu’«aucune entreprise relevant du secteur privé national ne possède la compétence et les moyens requis» pour administrer un tel patrimoine. Ils ont recommandé la constitution d’un «organisme étatique pour le suivi et le contrôle horizontal» de la gestion du parc ainsi que la mise en place d’une commission d’enquête pour déterminer les responsabilités dans la dilapidation de ce précieux bien public, magnifique site touristique et premier poumon de la ville de Constantine.
Le wali de Constantine a, pour sa part, exprimé son adhésion à la proposition de la constitution d’une commission intersectorielle pour l’étude, «dans un cadre réglementaire», de ce dossier qui, a-t-il dit, «ne nous effraie nullement», malgré l’interpénétration des secteurs dont il relève.
Agence