阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Saturday, June 19, 2010

Coopération Mr le Président Nicolas Sarkozy en Russie pour pousser les pions des firmes françaises



Coopération
Nicolas Sarkozy en Russie pour pousser les pions des firmes françaises


Le président Nicolas Sarkozy a appelé l’Europe et la Russie à intensifier leur coopération, hier, à l’occasion d’une visite à Saint-Pétersbourg, destinée à plaider la cause des entreprises françaises sur le marché russe.


Nicolas Sarkozy a réaffirmé que l’Europe et la Russie devaient « travailler ensemble » sur la régulation financière et la réforme de la gouvernance mondiale, dans un discours concluant le XIV e Forum économique de Saint-Pétersbourg.
« La guerre froide, c’est fini. Le Mur (de Berlin), c’est fini. La Russie est une grande puissance, nous sommes des voisins, nous avons vocation à être des amis, nous devons nous rapprocher, a-t-il ajouté, pour travailler ensemble de façon stratégique, de façon très proche et dans un rapport de confiance. »
Le président français a également redit sa confiance en son homologue russe Dmitri Medvedev, ayant « apprécié de pouvoir travailler avec lui à des moments où on n’était pas spontanément d’accord », en allusion à la crise russo-géorgienne de l’été 2008.
« J’apprécie la relation personnelle particulière que j’ai avec Nicolas Sarkozy », a répondu un peu plus tard M. Medvedev.
Les deux hommes se sont entretenus en privé, avant d’assister à la signature officielle d’une vingtaine de contrats et accords commerciaux entre leurs deux pays, dont la plupart étaient en préparation depuis de longs mois.
Dans le secteur de l’énergie, GDF-Suez a annoncé, hier, avoir finalisé sa prise de participation dans le gazoduc North Stream, aux côtés du géant russe Gazprom, des entreprises allemandes Eon et BASF et de la néerlandaise Gasunie.
Locomotives Alstom pour les Russes
M. Sarkozy et M. Medvedev ont également paraphé le protocole d’accord, conclu dès vendredi, entre l’italien ENI et Gazprom, consentant à l’entrée d’EDF dans la société South Stream AG, pour participer au projet de construction de l’autre gazoduc destiné à approvisionner l’Europe, qui doit, lui, passer sous la mer Noire.
Dans les transports, Alstom va s’allier avec le constructeur russe de trains Transmashholding (TMH) pour fournir 200 locomotives aux chemins de fer russes et autant aux chemins de fer kazakhs, pour un montant évalué par l’Élysée à un milliard d’euros.
D’autres contrats sont espérés dans l’agro-alimentaire ou l’espace, dont l’achat par Arianespace de dix fusées Soyouz à lancer de Kourou (Guyane).
Avec ces accords, la France répond à l’appel pressant de Moscou à investir plus massivement en Russie.
Vendredi, M. Medvedev s’était en effet livré à une opération séduction en direction des Occidentaux, assurant que son pays était résolument engagé sur la voie de la modernisation et qu’il ne fallait plus craindre d’y investir.
« La Russie change, et pour elle-même et pour le reste du monde », a-t-il déclaré, ajoutant que son pays devait parvenir un jour à attirer « des gens du monde entier désireux de réaliser leurs rêves ».
La modernisation est un thème cher au président russe, qui insiste pour sortir le pays de sa forte dépendance aux exportations d’hydrocarbures. Mais pour réussir dans cette tâche, la Russie a un besoin criant de capitaux étrangers.
« Il est évident que les investissements sont l’un des principaux facteurs de développement en termes d’innovation et de modernisation réussie. La Russie a besoin d’un véritable boom des investissements », a reconnu dans son discours le locataire du Kremlin.

Groupe des 20



Le Groupe des 20 (ou G20) est groupe de 19 pays plus l'union européenne dont les ministres, les chefs des banques centrales et les chefs d'Etats se réunissent régulièrement. Il a été créé en 1999 après la succession de crises financières dans les années 1990. Il vise à favoriser la concertation internationale, en intégrant le principe d'un dialogue élargi tenant compte du poids économique croissant pris par un certain nombre de pays.
Le G20 représente les deux tiers du commerce et de la population mondiale et plus de 90 % du produit mondial brut (somme des PIB de tous les pays du monde).
Le 15 novembre 2008, pour la première fois de son histoire, ce sont les chefs d'État ou de gouvernement qui se sont réunis et non uniquement les ministres des finances. Actuellement le G20 se réunit sous trois formes : les G20 regroupant des chefs d'État et de gouvernement, les G20 finance regroupant les ministres des finances et les gouverneurs des banques centrales et, depuis les 20-21/avril 2010, des G20 sociaux, réunissant les ministres de l'emploi

Le G20 a été créé en marge du G7 du 25 septembre 1999 de Washington, à l'initiative du ministre de l'économie canadien Paul Martin, lors d'une réunion des ministres des finances du groupe. Le but de ce nouveau groupe est alors de favoriser la stabilité financière internationale et de créer des possibilités de dialogues entre pays industrialisés et pays émergents, ce que les réunions des ministres des finances du G7 ne permettaient pas.
Pour Fareed Zakaria, « la gouvernance mondiale ne pourra évoluer qu'à travers le G20 ». Plusieurs raisons expliquent ce point de vue. D'une part, le Conseil de sécurité des Nations unies est paralysé par le droit de veto. Ses missions pourraient être mieux remplies par le G20 assez représentatif des rapports de force mondiaux. D'autre part, si les États-Unis n'ont plus la force d'imposer seuls leurs vues, ils peuvent par le biais de cette instance jouer un rôle positif de catalyseur

wikipedia

France Russie promouvoir le rôle du G-20



La France et la Russie s'engagent à promouvoir le rôle du G-20
SAINT-PETERSBOURG, Russie (AP) — Le président français Nicolas Sarkozy s'est engagé samedi à travailler avec la Russie pour donner un plus grand rôle aux pays en développement dans la régulation de l'économie mondiale.
A l'occasion d'un déplacement à Saint-Pétersbourg, M. Sarkozy a réaffirmé que les institutions financières internationales comme la Banque mondiale et le Fonds monétaire international (FMI) étaient dépassées et que le fonctionnement des Nations unies empêchait de réformer rapidement le système financier mondial.
Le président français a estimé que le G-20 était donc le forum le plus efficace pour mener à bien cette tâche, le G-8 n'accordant pas suffisamment d'attention aux positions des pays en développement.
A ce titre, Nicolas Sarkozy a expliqué qu'il travaillerait avec Moscou lors du sommet du G-20 la semaine prochaine au Canada pour restreindre les zones financières offshore et abolir la "loi de la jungle" qui gouverne à ses yeux l'économie internationale.
Son homologue russe Dimitri Medvedev a souligné son accord avec Nicolas Sarkozy, affirmant lui aussi que le G-20 était l'institution la plus prometteuse et la plus efficace du XXIe siècle.
Le président français était en visite en Russie à l'occasion de la clôture du 13e Forum économique international de Saint-Pétersbourg. En marge de ce forum, la Russie et la France ont signé plusieurs contrats, notamment dans les secteurs de l'énergie et de l'espace. GDF-Suez va ainsi acquérir 9% du projet de gazoduc russe Nord Stream.
Nicolas Sarkozy devait prendre part samedi soir à un dîner offert par son homologue russe dans la soirée. AP
cr/v/jp/v

Google souhaite une joyeuse fête à tous les papas




papa ton fils qui t'aime

Une grande partie de la France a vibré pour l'equipe d'Algerie


samedi, 19 juin 2010
Algerie française?
Une grande partie de la France a vibré pour l'equipe d'Algerie qui d'ailleurs a fait un super match plein de talent et d'envie contre l'Angleterre.Qui sont ces français qui ont soutenu une autre équipe que la leur?On se rappelle qu'apres la qualification a l'arraché de l'Algerie le 18 novembre(le meme jour que la France) de nombreux jeunes français d'origine algerienne ont bruyamment fété cet exploit.Il y eu meme quelques incidents.Certains responsables politiques ,Le pen au premier rang,et certains commentateurs en ont deduit qu'ils n'etaient pas tout a fait Français puisqu'ils se felicitaient de la victoire d'un pays etranger.Comme si on avait une identité unique.Je ne suis en rien choqué que des jeunes d'origine algerienne s'enthousiasment pour les Fennecs.Cela ne les empeche pas non plus de supporter la France,et le dilemne de choix ne se pose qu'en cas de confrontation directe entre les deux.Bizzarement cette question de la double allegeance footballistique n'est pose que pour les Français d'origine maghrebine.On ne pose jamais la question aux français d'origine portugaise,espagnole,armenienne etc.Je faisais une emission jeudi avec Nikos Aliagas.Il etait heureux d'avoir vu la victoire grecque et sincerement triste de la defaite française.
Mais nos esprits ronchons vont a mon sens avoir un autre motif de vituperer.En effet ,hier avant meme l'excellente demonstration de football des Fennecs il n'y avait pas que des jeunes d'origine algerienne qui les soutenaient.Partout dans les villes des Gaulois pure souche,sans doute meme d'authentiques Auvergnats en faisait de meme.Auraient ils perdu l'amour du bleu blanc rouge?Non!Le font ils parcequ'ils soutiennent des joueus algeriens evoluant en France,et dans le club de leur coeur?Pour une toute petite partie seulement.NOn tous ces gaulois ne sont pas devenus apatrides mais tout simplement ils soutiennent,outre le faible contre le fort supposé,l'equipe de leurs potes.Dans nos colleges nos lycées nos facs chacun a au moins un copain d'origine algerienne.Et ils pratiquent un supporterisme de solidarite,ils soutiennent l'equipe de leur copains.J'ai vu des français d'origine algerienne abattus par la defaite de la France ,reconforte par le bon match de l'algerie.Et de nombreux français"de souche"(la proportion etant plus grande chez les jeunes) exactement dans le meme etat d'esprit.En 2002, les Français elimines par le Senegal ont ensuite soutenu cette équipe.Gageons que si l'Algerie se qualifie et que la France soit eliminée une grande partie d'entre nosu soutiendrons l'Algerie. Et jusqu'ici ils supportaient les deux


Mr Pascal Boniface

Mr le Président Abdelaziz Bouteflika(عبد العزيز بوتفليقة,)

http://www.youtube.com/watch?v=ALc2vByUS-s
Mr le Président Abdelaziz Bouteflika (en arabe عبد العزيز بوتفليقة, ), né le 2 mars 1937 à Oujda (nord-est du Maroc), est un homme d’État algérien.
Il exerce les fonctions de président de la République depuis le 27 avril 1999. Président d'honneur du Front de libération nationale (FLN), il est réélu dès le 1er tour de scrutin des élections présidentielles de 2004 (84,99 %) et 2009 (90,24 %)

À l'indépendance de l'Algérie, en septembre 1962, il devient, à 25 ans, ministre de la Jeunesse et du Tourisme dans le gouvernement du président Ahmed Ben Bella. Membre de la première Assemblée constitutionnelle, il est élu député de Tlemcen aux première et deuxième Assemblées législatives. Après le congrès du FLN d’avril, il est nommé membre du Comité central et du bureau politique du FLN.
À partir de l’année 1963, il est appelé à effectuer de nombreuses missions à l’étranger comme ministre des Affaires étrangères par intérim. En juin 1963, il est confirmé dans ses fonctions. Dès lors il s’en suit une période durant laquelle le jeune ministre des Affaires étrangères (à l’époque plus jeune ministre de ce département au monde) dirigea la diplomatie algérienne, une diplomatie qui faisait de l’Algérie un pays porte-parole du tiers monde et l’interlocuteur privilégié dans les rapports entre le Nord et le Sud, au cours de la même période il obtint sa plus grande consécration en présidant la 29e session de l’Assemblée générale des Nations unies en 1974]. Il conclut avec la France, au nom de la République algérienne, l’accord du 27 décembre1968 relatif à la circulation, à l’emploi et au séjour en France des ressortissants algériens et de leurs familles, pierre angulaire de la politique de grande émigration algérienne. Il conserva son poste jusqu’à la mort du président Houari Boumédiène.
Le président Chadli Bendjedid le nomme ministre d’État en 1979. Bouteflika est néanmoins peu à peu écarté de la scène politique, qu’il quitte en 1981 ; il est traduit devant le conseil de discipline du FLN. Il choisit alors de s’exiler pendant six ans dans un contexte politique hostile et d’incrimination par la Cour des comptes de sa gestion du ministère des Affaires étrangères. De retour en Algérie en janvier 1987, il prend part au congrès du FLN de 1989, qui l’élit membre du Comité central. Pressenti pour occuper des fonctions de ministre, il décline ces propositions, comme il ne donne pas suite, en 1994, aux sollicitations dont il est l’objet en vue de son accession aux fonctions de président de la République.

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