PATRICK LE BERRIGAUD EUROPE fédérale/UNION POUR LA MEDITERANNEE consultant ingenieur conseil
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L'art rend visible C'est une floraison de couleurs et de formes diverses et fragmentées qui se dégage de l'exposition de Mohamed Lerari Arslane, qui s’est tenue du 13 au 29 mai au Palais de la culture. Si l'on est peu habitué à l'art contemporain, cet impressionnisme abstrait, qui a fait de son temps de nombreux adeptes, comme Jean Bazaine, Vassili Kandinsky, Paul Klee et Robert Delaunay, semble être du goût d’Arslane dont la quarantaine de toiles s'inscrit dans ce mouvement pictural. Cet art plastique qui plaide pour l'attrait des tons, des émotions et des sensibilités nous donne un splendide aperçu du travail d’Arslane en titillant nos sens et en aiguisant notre regard. L'exposition de l'artiste se décline en un réseau de teintes tantôt sombres tantôt criardes où dominent le noir et le rouge. Dans cette exposition intitulée «Papillon et horizon», l'artiste tente d'explorer par la technique des tons aux figures fractales et symboliques le règne de la nature et l'humain. Il crée une œuvre d'une puissante originalité et d'une grande créativité. Les titres originaux de ses toiles, notamment D'une fleur à l'autre, Papillons et papillonnes, En deçà et au-delà de l'horizon, Virevoltant vers l'ailleurs, Métamorphoses du papillon, reflètent cette recherche et vision du monde animal. «Dans ce vide sidéral, la vie se transforme et évolue à son rythme de l'infiniment petit à l'infiniment grand, les grands mystères se côtoient comme une symphonie bien orchestrée au rythme d'un tempo infaillible», semble dire l'artiste qui, en observateur averti, a saisi au vol chaque envolée de ce petit insecte vers un horizon nouveau et vers des ailleurs divers. Une grande inventivitéPour Arslane, tout le vulgum pecus ne perçoit pas ce battement d'ailes de ce lépidoptère. Il l'imagine mais ne le voit pas. Cela nous rappelle la formule de Paul Klee : «L'art ne copie pas le visible, il rend visible.» C'est de cette tentative extrêmement aboutie d'Arslane que l'on arrive à mieux appréhender son message à travers tous ces aplats de couleurs. Dans cet agencement de formes diffuses et de couleurs susceptibles d'éveiller l'émotion esthétique, Arslane renvoie une image de ces tableaux aux délicats coloris lumineux. Sa technique extrêmement fine est d'une grande inventivité. De ses toiles aux formats différents, petits, moyens et grands, émanent un suprême degré de spontanéité et une imagination merveilleuse, féconde et débordante résultant d'une analyse profonde de sa vision des choses de la vie. Cette exposition qui éveille la sensibilité et traduit de nombreuses impressions montre le talent indéniable de l'artiste qui est au summum de son art. Artiste consacré, il a plus d'une corde à son arc. Arslane slalome aisément, entre arts plastiques et cinéma. Par Kheira Attouche
La PME constitue un tissu très important en nombre mais aussi dans son rôle dans la reconstitution de la chaîne des valeurs économiques . Les grandes entreprises ont besoin de développer leurs activités mais elles ont aussi besoin de relais. Les PME sont des relais fondamentaux dans tous les pays car la PME est l'élément fondamental de création de valeur et l'innovation comme dans la sous-traitance et la cotraitance dans des secteurs qui ne peuvent pas être exploités par la grande entreprise compte tenu des coups de structure.
Boualem Aliouat, professeur à l'université de Nice et directeur de recherche au CNRS :
Boualem Aliouat, professeur à l'université de Nice et directeur de recherche au CNRS : «Les dispositifs d'aide à la création d'entreprises n'ont pas eu d'impact significatif»Une enquête a été réalisée auprès des entrepreneurs algériens membres du Forum des chefs d'entreprise et autres pour déterminer leur profil. Elle est menée par Boualem Aliouat, professeur à l'université Sophia Antipolis de Nice et directeur de recherche au CNRS, qui estime que les dispositifs mis en place par l'Etat sur la création d'entreprises et d'absorption du chômage en Algérie comme l'Andi, l'Ansej , la Cnac, l'Angem et autres n'ont pas eu d'impact sur les entrepreneurs algériens, tout en abordant les autres défaillances du système de financement à la PME. Il s'est exprimé dans cet entretien accordé au Temps d'Algérie en marge du 9e symposium sur l'entrepreneuriat, organisé par MDI Business School. Une enquête a été réalisée en Algérie auprès des entrepreneurs algériens. Quel était son objectif ?L'enquête était adressée essentiellement à des dirigeants d'entreprises du FCE en ligne. Une centaine ont répondu au questionnaire qui a permis de définir le profil de dirigeants de très petites entreprises (TPE), de PME et de grandes entreprises pour établir ensuite des comparaisons avec des profils d'entrepreneurs canadiens, français, belges, italiens et tunisiens. Nous avons une idée claire des attentes et des comportements, ainsi que sur les obstacles que vit au jour le jour l'entrepreneur algérien. Parmi les 100 entrepreneurs, certains ne sont pas membres du FCE qui compte lui 250.Parmi les entreprises ayant répondu, y a-t-il celles du secteur public ?Qu’importe qu’elle soit publique ou privée. C'est le profil de l'entrepreneur qui nous intéresse. Quels sont les résultats obtenus de cette enquête ?Les résultants sont tout à fait surprenants. L'enquête a permis aujourd'hui de distinguer deux profils, celui des très petites et des très grandes entreprises où les entrepreneurs se ressemblent beaucoup et celui des PME où les entrepreneurs sont excessivement fragilisés par le système. Les PME vivent surtout du système bancaire défaillant comme étant un véritable obstacle au développement de l'entreprise alors que les grandes entreprises subissent plus négativement les obstacles juridiques et fiscaux tandis que la TPE vit la défaillance du système d'aide générale avec une véritable carence à la création d'entreprises. En dehors de ces contraintes, nous avons deux ensembles : les TPE et les grandes entreprises avec un profil entrepreneurial homogène et les PME qui sont traitées de manière très spécifique en Algérie. La PME constitue un tissu très important en nombre mais aussi dans son rôle dans la reconstitution de la chaîne des valeurs économiques en Algérie. Les grandes entreprises ont besoin de développer leurs activités mais elles ont aussi besoin de relais. Les PME sont des relais fondamentaux dans tous les pays car la PME est l'élément fondamental de création de valeur et l'innovation comme dans la sous-traitance et la cotraitance dans des secteurs qui ne peuvent pas être exploités par la grande entreprise compte tenu des coups de structure.Dans les résultats de votre enquête, vous avez évoqué la faiblesse des aides de l'Etat à l'entreprise...Cela est caractéristique à l'entrepreneur algérien comparé à son confrère à l'international car toutes les études récentes font part du rôle fondamental de l'Etat dans l'émergence et la création de la société et son développement. Précisément en Algérie, dans la perception des managers, il semble que l'Etat n'ait pas été présent. Que peut-on dire des différents dispositifs mis en place par l'Etat pour la création d'entreprises ? Il faut avoir une analyse en deux temps. Dans le cadre de l'enquête nous avons interrogé des entrepreneurs qui ont créé leur entreprise eux-mêmes (fonds propres). Il est probable que nous relançons l'enquête dans cinq ans peut-être que ce qui a été initié durant les années 2000 a eu un impact. Ces formules existent depuis plus d'un quinquennat. Pensez-vous que durant tout ce temps, nous devrions percevoir les premiers résultats ? Pour toute cette durée, nous pourrons dire clairement que ces dispositifs n'ont pas eu d'impact significatif auprès des entrepreneurs, notamment pour la TPE dont l'âge est de moins de cinq ans. Elles sont concernées par ces mesures mais elles ne les ont pas perçues comme suffisamment incitatives.Le résultat du comité ad hoc installé auprès du Cnes (Conseil national économique et social) fait état de problèmes d'investissement. Pensez-vous que c'est le cas ?Non seulement je le pense mais je l'observe à travers l'étude réalisée. Je dirai même que c'est une catastrophe l'encadrement financier, les supports financiers et le système d'aide financière est d'abord très défaillant pour la TPE qui en a besoin de manière déterminante. C'est aussi une catastrophe pour la PME qui subit de plein fouet ces défaillances tandis que la grande entreprise s'en sort un peu mieux parce qu'elle a des capacités de ressources en interne. Pour la TPE, les systèmes d'aide de l'Etat pourraient compenser les défaillances bancaires ou du marché financier. Mais pour la PME, c'est une catastrophe car elle ne peut compter sur les systèmes d'aide de l'Etat et elle n'a pas suffisamment de ressources pour se développer seule.Qu'en est-il donc du financement à travers le capital investissement et le leasing ?Ce ne sont pas des outils véritablement adaptés à la PME. Propos recueillis par Fella Midjek Bio expressBoualem Aliouat est professeur à l'université Sophia Antipolis de Nice et directeur de recherche au CNRS, spécialisé dans les clusters et les pôles de compétitivité, les parcs d'activités, l'innovation, l'entrepreneuriat et la stratégie d'entreprise. Il est aussi directeur scientifique de MDI Business School. Il est auteur de plusieurs ouvrages sur la stratégie de coopération industrielle et les alliances stratégiques en matière d'entrepreneuriat et aussi dans le domaine des stratégies de l'entreprise. Détenteur d'un doctorat en sciences de gestion obtenu en France à l'université de Lille 2. Enfin, il a une double formation en graduation de juriste et de management. F. M.
Le tronçon de l’autoroute Est-ouest, reliant Zaghloul (Mascara) à Sidi Ali Bousidi (Sidi Bel Abbès), sur une distance 70 Km, a été mis en circulation, ce lundi 31 mai, par le ministre des travaux publics, Amar Ghoul, en présence de son Excellence l’ambassadeur de Chine à Alger, M. Liu Yuhe. En effet, lors de son déplacement à Mascara, Amar Ghoul, a procédé en premier lieu à la mise en servie du tronçon reliant la localité de Zaghloul, relevant de la commune de Zahana, aux frontières de la wilaya de Sidi Bel Abbès, sur une distance de 13 Km. Ce tronçon, a-t-on appris, compte trois viaducs, d’une longueur de 205, 322 et 513 mètres. En second lieu, le ministre fera son déplacement à Sidi Bel Abbes pour inaugurer le tronçon menant vers la localité de Sidi Ali Bensidi, sur une distance de 57 Km. La mis en service du dernier tronçon, reliant Sidi Ali Bensidi (Sidi Bel Abbès), traversant la wilaya de Tlemcen, à la frontière marocaine, d’une distance de 113 Km, est prévue au cours du mois de juin 2010, a tenu à annoncer le ministre. Celui-ci a tenu à préciser par ailleurs, que l’autoroute Est-ouest, d’une distance de 1 720 Km, compte 3 000 ouvrages d’arts, 16 tunnels et 200 grands viaducs.
Tartuffe du théatre régional de Constantine au TNA : L’éternelle jeunesse de l’imposture Tartuffe, du Théâtre régional de Constantine, a été présentée dimanche soir au Théâtre national Mahieddine Bachetarzi, à la faveur du 5e Festival national du théâtre professionnel (FNTP), dont la clôture est prévue pour le 7 juin. La reliogisté tactique est un signe des temps modernes. Cette forme sophistiquée de l’imposture avait été mise en avant par Jean-Baptiste Molière, il y a plus de trois siècles dans sa comédie Tartuffe. Mais comme les humains n’ont pas changé depuis 1664, date de la première présentation de la pièce, les adaptations n’ont jamais cessé. Dimanche soir, le Théâtre régional de Constantine (TRC) a présenté sa version de Tartuffe, traduite par Saïd Boulmerka et mise en scène par Mohamed Tayeb Dehimi. Des dialogues en dialecte constantinois tout en rimes, sans doute pour respecter la force poétique du texte du dramaturge français. La mise en scène est classique, au décor statique et une lumière presque mécanique. La musique est peu sollicitée, laissant place au jeu presque continu des comédiens. Mais, parfois la musique a manqué pour accentuer la trame dramatique. Tout se passe dans une maison style mi-mauresque, mi-andalou, mi- maghrébin, la demeure d’Orgon, joué par Allaoua Zermani, qui accueille chez lui Tartuffe, interprété par Ahcène Benaziz, est fasciné par sa dévotion. Son père, Monsieur Parnelle, incarné par Hocine Boulekhrouf, personnage inventé puisqu’il remplace celui de Madame Parnelle de la pièce originale de Molière, est, lui aussi, ébloui par la croyance de Tartuffe. Malgré les protestations d’Elmire, jouée par Samia Tebbouche, épouse d’Orgon, Damis, son fils, interprété par Islem Boukrousif et sa fille, Marianne, incarnée par Karima Hamdi, Orgon persiste à croire à la sincérité de Tartuffe et à sa fidélité à Dieu. Il veut même que Marianne épouse le faux dévot. Dorine, campée par Chahinaz Negouache, servante au franc-parler cherche à l’en dissuader. Rien à faire. Orgon est entêté, excessif, ne peut pas douter d’un homme aussi « vertueux » (le mariage forcé des filles était en vogue dans l’Europe du XVIIe siècle). « Voyons, il passe son temps à prier ! », crie-t-il à la face de Cléante, joué par Zoubir Izzam, son beau-frère qui tente de lui ouvrir les yeux sur la duperie. Orgon est tellement obnubilé par Tartuffe, qu’il décide de lui léguer ses biens. Il a fallu un petit stratagème d’Elmire pour que Tartuffe tombe dans le piège, aveuglé par son attirance charnelle vers la maîtresse de maison. « Ce n’est pas pécher que pécher en silence », dit-il à Elmire. Orgon va lui aussi tomber dans le traquenard de Tartuffe. L’hypocrisie sera enfin découverte. « Sors de ma maison ya el rkhiss ! », lance-t-il. « Ta maison, tu veux rire. Tu as oublié que j’ai tout hérité », réplique le pique-assiette. Orgon ne veut plus croire aux gens de religion. « Ce n’est pas parce qu’il y a des hypocrites qu’on doit haïr la religion », fait remarquer Cléante. Il y a dans la pièce du TRC des passages qui renvoient à une certaine moralité. A l’origine, Molière entendait, à travers Tartuffe, dénoncer l’hypocrisie de la société d’alors. La religion n’était qu’un accessoire, pas une thématique centrale. En dépit de cela, les catholiques de la Compagnie du Saint-sacrement, qui étaient ciblés par l’œuvre de Molière, avaient réussi à censurer la pièce. Le dramaturge était obligé de « revoir » son texte original pour le faire accepter par la cour royale. « Le sujet de l’hypocrisie est d’actualité. Il y a quelque part de l’escroquerie par la religion. Les gens ont tendance à sympathiser et à faire confiance à des personnes qui montrent des signes de dévotion. Il y a beaucoup de Tartuffe parmi nous », a relevé à la fin du spectacle, Ahcène Benaziz, qui a reconnu la complexité du rôle de Tartuffe (Molière lui même avait évité d’incarner ce personnage, préférant celui d’Orgon). Pour Mohamed Tayeb Dehimi, l’adaptation des textes de Molière n’est pas difficile. « Il suffit d’y mettre du cœur. On peut faire passer beaucoup de choses à travers l’humour, même s’il y a de la tragédie dans Tartuffe. Nous avons un projet d’adapter Les femmes savantes de Molière et Les cavaliers d’Artistophane », nous a-t-il déclaré. Selon Mohamed Tayeb Dehimi, le TRC entend mettre en valeur, en 2011, des textes écrits par des femmes. « Il n’y a pas une crise de textes. Il y a une crise d’intelligence. Il y a des problèmes dans le rapport à la création que peut apporter un artiste de par son talent et son expérience. Ce n’est pas lié au courage, car les artistes ne sont pas des hommes politiques. Nous procédons à des approches plus humaines », a-t-il souligné. Il a évoqué l’action commune au sein du TRC entre les comédiens de différentes générations. Ramzi Lebiadh, qui a joué le rôle de Valère, amant de Marianne, et Aïssa Redaf, qui a interprété le rôle de Monsieur Royal, en sont la preuve. Par Fayçal Métaoui
Google publie la liste des 1 000 sites les plus visités du Web
Le moteur, via sa régie publicitaire DoubleClick, a dressé la liste des sites les plus fréquentés. Facebook arrive en tête avec 540 millions de visiteurs pour le mois d'avril.
Au cours du mois d'avril 2010, 540 millions d'internautes sont allés sur Facebook pour être sûrs de ne rater aucun des potins publiés par leurs amis. Cette curiosité vaut au réseau social de décrocher la palme du site le plus visité au monde. Google, ou plutôt sa régie publicitaire DoubleClick, vient en effet de publier la liste des 1 000 sites ayant attirés le plus de visiteurs uniques au cours du mois d'avril (1). C'est une première, qui va lui servir à commercialiser de nouveaux services aux annonceurs souhaitant développer leur notoriété
Ce classement est monopolisé par les réseaux sociaux, les moteurs de recherche et les portails. Ainsi, derrière Facebook arrive Yahoo.com (490 millions de visiteurs), suivi de Live.com (370 millions), de l'encyclopédie Wikipedia (310 millions), puis de MSN (280 millions). Un top 5 qui s'avère 100 % américain, origine de la majorité des sites qui figurent dans cette liste. La Chine est l'autre pays à s'imposer, avec notamment le portail Sina.com.cn (11e position), le cybermarchand Taobao.com (16e) ou le site de divertissement Soso.com ( 17e). Pour voir arriver le premier site français, il faut descendre à la 71e place, détenue par Dailymotion. Le suivant, le fournisseur d'accès Free, arrive en 119e position. Et si vous poussez la curiosité et feuilletez les pages qui suivent, vous y découvrirez 01net., qui décroche la très honorable 519e place. (1) Les sites de la galaxie Google (le moteur de recherche, mais aussi Gmail et Youtube) sont exclus du classement. Idem pour les sites pour adultes ou les réseaux publicitaires
La 2e édition du salon algérien de l'exportation, "Djazaïr export," se tiendra du 3 au 6 juin au Palais des expositions des Pins maritimes, avec la participation d'une centaine d'entreprises exportatrices nationales. Après le grand succès de la première édition du salon " et face à la nécessité de pérenniser les efforts visant à impulser une dynamique à l'export, l'Agence algérienne de promotion du commerce extérieur (Algex) organise, sous le parrainage de Monsieur le ministre du Commerce, la 2e édition du "Djazaïr Exportavec la collaboration du programme Optimexport et d'autres institutions et organismes d'appui au commerce extérieur. Cette 2e édition du Salon placée sous le thème " sur le chemin de l'international, " sera une occasion pour les entreprises algériennes exportatrices ou disposant d'un potentiel à l'export, de promouvoir leurs productions auprès des visiteurs et professionnels étrangers intéressés par le produit algérien.Ouvert à tous les secteurs d'activités, " Djazaïr Export 2010 " a pour objectifs, entre autres, de développer les relations entre les professionnels, les entreprises et les institutions et auxiliaires du commerce extérieur ; améliorer le standing du pavillon algérien à l'étranger, mettre à la disposition des exportateurs algériens et visiteurs étrangers un espace convivial de rencontres de nouveaux partenaires, faire connaître le produit algérien aux visiteurs et professionnels étrangers, connaître les possibilités qu'offrent les marchés étrangers au produit algérien. Enoutre, la manifestation aura pour objectif de développer des relations entre les professionnels, les entreprises et les institutions auxiliaires du commerce extérieur, améliorer le standing du pavillon algérien à l'étranger et mettre à la disposition des exportateurs nationaux et visiteurs étrangers un espace convivial de rencontres de nouveaux partenaires. Le salon vise aussi à faire connaître le produit algérien aux visiteurs et professionnels étrangers et à évaluer les possibilités qu'offrent les marchés étrangers au produit algérien, ont souligné les organisateurs. D'un autre côté, la présence de représentants d'institutions et auxiliaires du commerce extérieur durant cet évènement apportera sur place des réponses adéquates aux sollicitations des exportateurs sur des questions telles que les régimes économiques douaniers à l'export, les dispositions financières et fiscales, les aspects bancaires et de financement des opérations d'exportation, la logistique à l'export, les normes et certification ainsi que les soutiens de l'Etat aux exportations. D'ailleurs, le programme d'animation économique prévu lors de ce salon comprendra des conférences thématiques, animées par des experts nationaux et étrangers sur la sécurisation financière des opérations d'exportation ainsi que sur la conquête des marchés internationaux, les régimes douaniers à l'export et les outils de veille et d'intelligence économique dans la promotion des exportations. Pour conclure, un "Trophée export 2009" sera attribué dans la soirée du 6 juin à l'occasion de la clôture de cette 2e édition du salon "Djazaïr export".Klilya B.
La période 2010/14 va se manifester par une grande ardeur pour déclencher davantage d'essor. En allant énergiquement de l'avant, le programme présidentiel ouvre de plus en plus la voie de la prospérité. Les moyens mobilisés sans précédent mettent pleinement en œuvre la force morale et les richesses du pays pour opérer un tournant décisif à une " victoire " certaine et solide du développement de tous les secteurs. Les efforts entrepris ont absolument participé à aplanir les nombreuses difficultés. Aussi est-il constaté que l'intervention économique de l'Etat reste pertinente en liaison avec l'attractivité du territoire pour attirer et maintenir les ressources humaines, financières, une meilleure qualité et un niveau élevé du capital social au sens d'une vision stratégique de développement offrant de meilleures opportunités. Cette conception renforce le rôle catalyseur de l'Etat en osmose avec la contribution du secteur privé productif en vue de définir et créer un environnement nécessaire à la croissance économique, mais aussi visant l'instauration d'une société plus juste qui préserve la dignité et la liberté de l'homme, garantissant son droit au travail et lutte contre toute forme d'inégalité et d'injustice et, par conséquent, l'intensification des bienfaits. Affecté à des domaines vitaux, place l'accent sur la diversification des secteurs les plus performants de l'économie, le programme quinquennal cible surtout les secteurs hors hydrocarbures, avec beaucoup d'attention. La rentabilité devrait donc constituer le nœud de l'allégement, voire la solution des problèmes et de la réalisation des objectifs d'un programme politique qui " booste " de manière significative les changements et les mutations préconisés pour moderniser la société algérienne. Pour faire bref, cela se matérialise par de nouveaux acquis qui seront réalisés grâce à une détermination conditionnée par l'effectivité et à un recours à la technoscience considérée comme base du développement économique et comme clef du grand essor. L'important est que tout le monde s'y mette pour réaliser ce programme quinquennal. L'engagement de tous est de rigueur afin qu'il constitue le vecteur premier de la réussite. Ainsi dans l'intérêt des populations et du pays, il devient possible d'éviter les faux clivages, les conflits afin de ne point porter atteinte à la bonne marche de l'économie nationale et à la paix sociale. B. Chellali
ANIMA Investment Network, plate-forme pour le développement économique de la Méditerranée, a présenté fin mai, à l’occasion du forum de l’Union pour la Méditerranée qui s’est déroulé à Marseille, un nouvel outil destiné aux investisseurs et aux institutions financières. Il s’agit d’un atlas disponible gratuitement en ligne, qui recense plus de 5.000 projets d’investissement dans les pays de la rive Sud de la Méditerranée (Maroc, Algérie, Tunisie, Egypte, Lybie, Turquie, Liban…). Ce dernier a été élaboré dans le cadre du programme européen « Invest in Med ». Les 15 cartes thématiques de cet atlas ont été élaborées grâce aux données rassemblées par l’Observatoire Anima-Mipo. Mis en place en 2003, cet observatoire recense les annonces d’investissements directs étrangers (IDE) et de partenariats noués par des investisseurs dans les pays de la Méditerranée. Plus d’informations sur le site www.medmaps.eu.
L’Agence internationale de l’énergie renouvelable (IRENA, International Renewable Energy Agency) est une organisation intergouvernementale dont la mission est la promotion des énergies renouvelables à l’échelle mondiale. Elle est appelée à jouer un rôle de premier plan en matière de transferts technologiques (coopération nord/sud) et de conseil au niveau des politiques incitatives facilitant la sortie des énergies fossiles (pétrole, charbon, gaz) et leur remplacement par les énergies renouvelables (éolien, solaire, hydroélectricité, géothermie, énergie marémotrice, etc.). L’IRENA a donc une mission à la fois technique, juridique, économique et politique. L’objectif premier de l’Agence est de combler le fossé existant entre le potentiel des énergies renouvelables et leur faible part dans le marché aujourd’hui. C’est aujourd’hui la seule organisation internationale focalisée sur l’exploitation des énergies renouvelables dans le monde développé comme dans les pays en voie de développement. La principale activité de l’IRENA sera de conseiller ses pays membres en créant les cadres juridiques, techniques et financiers permettant le transfert de technologie et de savoir-faire autour des énergies renouvelables. L’IRENA est prête à coopérer étroitement avec les autres organisations et institutions internationales actives sur le développement des énergies renouvelables
L’Afrique participe au sommet de Nice pour défendre ses positions et faire entendre sa voix, a affirmé dimanche soir M. Abdelkader Messahel, ministre délégué chargé des Affaires Maghrébines et Africaines. ’’L’Afrique participe à ce genre de forums pour défendre ses points de vues et ses positions et pour qu’elle soit entendue’’, a déclaré à la presse M. Messahel à la veille du 25e sommet Afrique-France dont l’ouverture est prévue lundi. Au sujet de la participation du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, à ce sommet, le ministre délégué a indiqué que le président de la République ’’a toujours été présent dans les grands rendez-vous qui concernent les relations de l’Afrique avec le reste du monde’’. ’’Il est partie prenante dans toutes les rencontres que ce soit dans le cadre du partenariat Afrique-G8 ou celui de l’Afrique avec ses autres partenaires comme la Chine, l’Inde et le Japon’’, a-t-il précisé. ’’A l’instar d’autres chefs d’Etat, le président de la République est présent dans tous les forums qui s’intéressent à l’avenir du continent’’, a encore ajouté M. Messahel, soulignant que l’Afrique ’’vient dans ce genre de réunions avec une position commune concertée, dans la mesure ou des décisions ont déjà été prises par les chefs d’Etat africains sur l’ensemble des grands dossiers d’actualité comme, par exemple, la question du G20’’ ou, a-t-il dit, ’’notre continent réclame son élargissement pour que l’Afrique soit partie prenante dans tous les processus des négociations et de décisions’’. Au sein des instance financières internationales, l’Afrique demeure également sous-représentée, même si la Banque mondiale lui a attribuée un poste supplémentaire. D’autre part, l’Afrique réclame une présence plus active au sein du G20. "L’Afrique, c’est dix fois l’Europe", avait déclaré le président de la Commission africaine, Jean Ping, lors d’une réunion avec des pays européens, exigeant de la communauté internationale que l’Afrique soit désormais associée aux décisions engageant son avenir. Le sommet de Nice verra la tenue de trois réunions à huis clos avec l’ensemble des chefs d’Etat et de gouvernement sur les enjeux politiques majeurs du 21ème siècle, a savoir la place de l’Afrique dans la gouvernance mondiale, le renforcement de la paix et la sécurité et le climat et le développement. Par ailleurs, les ministres à compétence économique français et africains, ainsi que les représentants des entreprises et des syndicats, travailleront sur cinq sujets économiques : l’environnement des affaires, le financement des entreprises en Afrique, la formation professionnelle, la responsabilité sociale et environnementale des entreprises, les sources d’énergie de demain. Le sommet de Nice mettra également en valeur le rôle de l’entreprise privée dans le développement économique et l’emploi en Afrique. APS
Une prime sera octroyée aux chercheurs "qui contribuent au développement économique du pays", a annoncé samedi M. Aourag Hafidh, Directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique (DG-RSDT) auprès du ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique. M. Aourag n’a pas précisé le montant de cette rémunération, mais il sera d’un niveau "conséquent", a-t-il affirmé en présidant à Oran les travaux d’une journée d’études nationale pour la mise en place d’un Système national d’évaluation et de valorisation de la recherche scientifique. La prime en question intervient dans le cadre de "la contractualisation de l’acte de recherche" qui figure parmi les mesures incitatives prévues dans le nouveau Système national, a-t-il expliqué au cours de cette rencontre regroupant les présidents des Conférences régionales des universités de l’Est, du Centre et de l’Ouest. M. Aourag a insisté, dans ce contexte, sur le fait que "la rémunération sera allouée pour des activités de recherche externes à celles des établissements universitaires des intéressés qui seront assujettis à la seule condition de mener leur travaux dans des laboratoires mixtes, c’est-à-dire en partenariat avec des experts des différents secteurs économiques". Cette forme de collaboration a pour objectif de promouvoir "la recherche utile qui apporte des solutions adéquates aux besoins spécifiques de chaque secteur et de chaque zone du pays", a-t-il ajouté en signalant que les laboratoires mixtes peuvent être domiciliés au sein des établissements universitaires ou des structures des secteurs socio-économiques concernés. L’instauration de cette prime vient en appoint à d’autres mesures comme le Fonds d’incitation aux thèses mis en place par le ministère en charge du secteur industriel pour la création des Zones de développement industriel intégré (ZDII). Une nouvelle dynamique sera insufflée au domaine de la recherche, notamment avec la mise en place, prochainement, d’un Conseil national de la recherche scientifique et technique (CNRST) dont la première réunion est prévue fin juin sous la présidence du Premier ministre et d’un Conseil national d’évaluation de la recherche (CNER), a-t-il annoncé en précisant qu’il s’agit de "deux organes neutres ayant vocation de donner les orientations adéquates pour la priorisation des Programmes nationaux de recherche (PNR)". M. Aourag a rappelé qu’une enveloppe de 5 milliards de dinars a été consacrée à la réalisation de 3.000 projets inscrits au titre des 34 PNR préconisés dans le quinquennat 2008-2012, dont un financement moyen de 3 à 10 millions DA à chaque projet pour les deux années de fonctionnement à venir (2011 et 2012). L’Algérie compte 38.000 enseignants universitaires dont 16.280 font de la recherche, soit en moyenne 520 chercheurs par million d’habitants, a fait savoir M. Aourag qui a jugé ce taux "insuffisant en comparaison avec celui recommandé par les normes internationales (2.000 chercheurs/million d’habitants)". En Algérie, le taux en question pourra être porté à terme à 1.400 chercheurs/million d’habitants, a-t-il indiqué en observant que "si des pays sont logés à meilleure enseigne dans ce domaine, comme la Tunisie (2.200 ch./m. hab.), la France (4.200 ch./m. hab.) ou le Japon qui détient le record planétaire (5.300 ch./m. hab.), c’est parce que leurs universités recrutent sur le profil de la recherche, alors que l’université algérienne mise uniquement sur le profil pédagogique". La vision à moyen terme consiste à mettre sur pied les mécanismes à même de permettre à tous les enseignants algériens de participer à l’activité de recherche, a-t-il dit, rappelant, dans ce contexte, que les conditions d’ouverture de laboratoires ont été assouplies et que la stratégie est orientée vers leur regroupement en pôles d’excellence dédiés aux grands thèmes de recherche. L’Algérie a les possibilités de se classer en pôle d’excellence à l’échelle Africaine, a estimé M. Aourag en se référant à une étude menée en partenariat avec les experts d’un organisme étranger (Thomson Reuters) qui positionne, dans son dernier rapport, l’université nationale au 3ème rang dans quatre disciplines (Physique, Chimie, Sciences des matériaux et Géo-science) et au 5ème rang dans les Mathématiques et l’Informatique. S’agissant d’autres échelles de classement à l’international qui relèguent. l’Université algérienne à des positions peu enviables, M. Aourag a indiqué que nombre de pays développés, dont ceux de l’Union Européenne, "ont remis en cause ces systèmes qui ne correspondent pas à la réalité puisque basés sur des indicateurs obsolètes à l’image de celui tenant compte du Prix Nobel même si son octroi remonte à plusieurs décennies". Tous les moyens matériels et financiers sont mobilisés pour la valorisation de la recherche scientifique et mettre en synergie les compétences en Algérie, la DG-RSDT proposant chaque année 600 postes budgétaires tout en dotant en équipements les laboratoires de recherche universitaire, a-t-il souligné en ciblant la création, à la fin 2012, de 50 nouveaux Centres de recherche et la formation de 3.000 chercheurs en plus des 20 centres existants et des 1.200 scientifiques qui y travaillent actuellement. M. Aourag a également annoncé la mise en place, dès la prochaine rentrée et au sein de chaque établissement universitaire, de deux cellules chargées, l’une de la valorisation de la recherche, et l’autre du transfert de technologie. Ces deux cellules auront le rôle de mettre sur pied, dans les campus, un incubateur devant donner naissance à des PME et PMI start-up qui soient le fruit même de l’université.
J’ai assisté, le 27 mai dernier à Marseille au for’UM, Union pour la Méditerranée. Cet événement réunissait un très grand nombre de représentants de sociétés privées et d’institutionnels, tous impliqué ou souhaitant l’être dans le développement des projets de l’UpM. Sans vouloir être trop naïf sur les réalisations concrètes de l’UpM, force est de constater que la France comme d’ailleurs l’Egypte (co-présidente de l’UpM jusqu’en juillet 2010) n’ont pas ménager leurs efforts pour que ce projet devienne réalité. De nombreux fonds ont d’ores et déjà été mis en place pour financer notamment, dans les 43 pays de la zone, les projets d’énergies renouvelables. Certains pays ont déjà lancé de grands projets photovoltaïques comme par exemple le Maroc avec le Plan Solaire Marocain. Quelques chiffres : - 67 projets ont d’ores et déjà été identifiés dans le cadre du Plan Solaire Méditerranée ; - 14 projets (parmi les 67) apparaissent rentables immédiatement ; - 1 MGW de capacité correspondrait, en création d’emploi, à 40 emplois ; - Dans les 18 derniers mois, le prix de l’électricité photovoltaïque aurait diminuée d’environ 60% (selon les pays et les technologies utilisées) ; - D’ici 2020, le mix énergétique devrait passé de 45 à 66% d’électricité dé-carbonée par rapport à l’électricité carbonée. Les entreprises privés ne sont bien entendu pas en reste. Ainsi, Lafarge achète d’ores et déjà de l’électricité issue d’éolienne dans certaines de ses cimenteries. Pour que cet approvisionnement soit rentable, la cimenterie doit être installée à proximité de points d’eau et surtout à proximité des éoliennes. Cela réduit les problématiques de transport de l’électricité et surtout son coût d’achat. Pour revenir sur l’éolien, grand sujet de débat récent en France, il faut savoir que le Maroc, l’Egypte mais également la Turquie se sont beaucoup développés ces dernières années dans ce secteur et ce, d’autant plus que ces pays bénéficient d’un taux d’exposition au vent important, qu’ils sont sujets (pour l’instant) à moins de contraintes réglementaires et légales qu’en Europe, que le coût d’utilisation des terrains est faible et que les Gouvernements de ces pays soutiennent activement cette filière. A l’évidence, l’UpM recèle pour les PME françaises de grandes opportunités de marché. A elles d’aller les chercher rapidement car la concurrence s’annonce rude !
[Fenêtre sur l'Europe] L'Union européenne fournira son expertise aux Etats-Unis dans le cadre de la lutte contre la marée noire dans le Golfe du Mexique, a annoncé la Commission européenne le 28 mai. Le Centre d'information et de monitoring de la Commission européenne a répondu positivement dans les heures qui ont suivi la demande de Washington en équipements spécialisés pouvant être attachés aux navires pour pomper le pétrole à la surface de l'eau.
Algérie – Les travaux du colloque scientifique sur l’utilisation du patrimoine dans le théâtre maghrébin, organisé dans le cadre du 5e festival national du théâtre professionnel, ont débuté samedi à la bibliothèque nationale (Alger). Le colloque met l’accent sur la relation du patrimoine, en tant que mémoire interactive de la nation et témoin de la relation de la société avec le théâtre, « où cette mémoire doit être présente et active », selon les organisateurs. Les chercheurs arabes et étrangers ont commencé tôt à s’intéresser à cette question, en témoignent les nombreuses tentatives, expériences et études visant à consolider la relation entre le patrimoine et le théâtre dans le monde maghrébin et arabe », a indiqué Abdelhamid Bourayou, président du colloque. source: APS
Algérie – L’avant-projet du Plan permanent de sauvegarde et de mise en valeur du secteur sauvegardé de la Casbah d’Alger a été présenté dimanche lors d’une conférence organisée à Alger
Ont assisté à cette séance de concertation, les responsables des différentes directions de la wilaya, les représentants de walis délégués de Bab-El-Oued et de Sidi M’Hamed, les présidents d’APC d’Alger-centre, Bab-El-Oued et la Casbah ainsi que des responsables d’associations. Le Plan permanent de sauvegarde et de mise en valeur du secteur sauvegardé de la Casbah d’Alger a pour but de fixer les règles générales et les servitudes d’utilisation des sols, les conditions architecturales selon lesquelles sont assurées la conservation des immeubles et du cadre urbain et les mesures particulières de protection, notamment celles relatives aux biens culturels immobiliers protégés situés dans le secteur sauvegardé. source: APS
Symboles de la victoire et du mérite Ce résistant des sables brûlants du désert qui a le pieds dans l’eau et la tête dans le brasier, a été décrit comme un don de Dieu et c’en est un, indiscutablement, au vu des précieux services qu’il a rendus à l’homme, à la végétation, à l’animal.C’est au pied d’un palmier que Sidna Aïssa (QSSSL), fils de Meriem (QSSSE) est venu au monde et qu’il s’est adressé à sa mère pour lui dire de secouer l’arbre pour avoir de quoi se nourrir et reprendre des forces. Miracle divin aussi que celui des régimes de dattes produites au milieu des sables chauds du désert pour servir d’aliment complet. Une autre particularité du palmier, c’est la persistance de la verdure des longues palmes et toute l’année, hiver comme été. Des palmiers aux palmesLes palmiers sont connus pour être des protecteurs et créateurs d’oasis. C’est à l’ombre de ces grands arbres que la menue végétation et des animaux se maintiennent en vie, à l’abri du soleil ardent.Pour leur étanchéité et leur résistance aux écarts de température, les sédentaires des régions désertiques ont, depuis toujours, choisi les palmes pour couvrir leurs maisons. La première mosquée à La Mecque n’a-t-elle pas été couvertes de palmes.En plus de son côté utilitaire, la palme a cette qualité singulière d’être majestueusement belle et admirable pour sa grandeur et sa force de résistance contre la flétrissure qui emporte facilement toutes les feuilles des autres végétaux, y compris les grandes feuilles du bananier. C’est la palme qui, depuis les origines, a attiré l’attention des penseurs, esthéticiens, politiciens. Ils l’ont adoptée pour son envergure, sa capacité à être chargée d’histoire liée à celle de l’homme. La palme, des symboles et des mythesDu désert qui est son milieu naturel et de sa place dans le Coran, arbre béni qui produit un fruit d’une valeur nutritive inégalée, le palmier a suscité de l’admiration chez les connaisseurs des miracles de la nature. En plus des dattes, l’arbre peut vous procurer une boisson quand vous avez soif sous la température cuisante du désert. Il vous suffit de couper l’écorce et de laisser couler sa sève dans un récipient. C’est pour toutes ces qualités que la palme, feuille du palmier, a été choisie comme modèle pour décorations en or qu’on offre aux meilleurs des artistes, hommes ou femmes de lettres ou de sciences.On a d’abord adopté sa forme pour inventer une nageoire en caoutchouc pouvant servir à la propulsion en mer du nageur. Les palmes d’or offertes, à l’occasion d’un concours aux meilleurs réalisateurs de films ou de toute autre œuvre d’art, sont des reproductions miniaturisées en métal précieux qui existent depuis des millénaires d’histoire. Ceux qui ont choisi la palme pour récompenser des lauréats, ont opté pour des symboles forts de victoire, de supériorité , d’émergence. Dans les croyances anciennes, la branche de palmier sur laquelle on grimpe sert à faire partir des serpents. Chez les Egyptiens anciens, la verdure permanente fait de la palme le symbole de la vie heureuse, et de la fertilité. Les caractères d’écriture représentant la palme gravés sur les pierres tombales servent à perpétuer la mémoire d’un grand disparu. Et les tombeaux sur lesquels on a sculpté des palmes sont ceux des martyrs qu’on a le devoir de garder en mémoire. Le même symbole de fertilité de la palme d’or, on le trouve chez les anciens comme les Grecs et les Romains qui la remettaient aux vainqueurs des compétitions. Chez ces mêmes anciens, on accueillait les soldats victorieux qui revenaient des guerres, à l’aide d’immenses palmes. Les espagnols parlaient de «palme florida» qu’ils ont gardée pendant 3 siècles d’occupation avant de vendre le pays aux Etats-Unis sous le nom de «Floride». Et jusqu’à nos jours, en entend parler de palmes académiques qu’on remet à tous ceux qui se sont distingués dans divers domaines d’activité comme la politique, l’économie, la science. On ne peut pas terminersans rappeler que le mot «palmares» est dérivé de «palme» et qu’il signifie une liste de lauréats dans un établissement d’enseignement, un concours, une rencontre comme celle de Canne qui a organisé un festival des films au cours duquel on remet des palmes d’or aux meilleurs réalisateurs en cinématographie. Cela n’est pas été le cas pour Bouchareb par son film qui a retracé les évènements de 1945 que nous connaissons bien pour les 45 000 Algériens morts d ces manifestations à Sétif, Kherrata et ailleurs. Mais l’objectif des membres du jury sous la pression des nostalgiques de la colonisation n’est pas du côté algérien.Boumediene A.
Prenant part au 25e Sommet France-Afrique, le président de la République compte mettre l’accent, lors des entretiens avec ses homologues africains présents à Nice ou avec le président français, sur les questions clés permettant un partenariat effectif. Selon le communiqué de la Présidence, les chefs d’Etat et de gouvernement «se concentreront sur les voies et moyens à mettre en œuvre pour renforcer le rôle de l’Afrique dans la nouvelle architecture de la gouvernance mondiale», une opportunité pour le président algérien et ses homologues africains de mettre en exergue les voies à même de porter ce partenariat à un niveau permettant d’atteindre les objectifs fixés par l’Afrique sur bon nombre de questions, dont les changements climatiques – pour rappel, l’Algérie a présidé la délégation africaine qui a eu à mener les discussions au sommet de Copenhague – et celle ayant trait aux voies assurant la consolidation de la paix et la sécurité en Afrique via l’architecture africaine s’y référant dont la prévention des conflits, leur résolution et la consolidation des situations post-conflits. S’agissant du partenariat économique, le président de la République ne manquera pas de mettre l’accent sur la meilleure voie à emprunter pour un partenariat gagnant-gagnant, surtout au vu de la présence à ce sommet de chefs d’entreprises privées et publiques d’Afrique et de France, d’autant que beaucoup de produits africains ont des difficultés à atteindre le marché européen. Alger et ses partenaires africains ne cessent de tirer la sonnette d’alarme quant aux conséquences du refus de transfert technologique, accentuant la dépendance de l’Afrique vis-à-vis du Nord. Autant de préoccupations et de questions déterminantes qui seront débattues lors de ce sommet, même si on n’escompte pas de résultats concrets. K. B. 31-05-2010
Lancement officiel de la campagne moissons-battages
La production céréalière s'annonce sous de bons auspices cette année. Aussi, la campagne moissons-battages a officiellement été lancée samedi, dans la wilaya de Biskra, où elle concernera, cette saison, une superficie totale de 25.000 hectares. La cérémonie de lancement de cette campagne, organisée dans une exploitation agricole de la commune de Doucen (82 km à l'ouest de Biskra), a été présidée par le directeur général de l'Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC), Noureddine Kehal, en présence des autorités locales et des opérateurs du secteur. Selon les données fournies sur place, tous les moyens ont été mobilisés pour la réussite de la campagne, dont l'ouverture de dix points de collecte dans les communes de Doucen et de Zeribet El-Oued. M. Kehal a souligné que Biskra se place en tête des wilayas céréalières du sud du pays avec un rendement moyen de 40 quintaux à l’hectare. Ses agriculteurs ont bénéficié d'un total de 50 millions DA au titre du crédit Rfig, a-t-on noté. La céréaliculture est concentrée, dans les Ziban, sur les plaines de Loutaya et de Branis ainsi qu'à Doucen, Lioua, M'lili, Oumèche, Meziraâ, Zéribtet El-Oued, Faïdh et Khenguet Sidi Nadji. La production attendue à l'issue de la présente saison devrait avoisiner les 550.000 quintaux, selon les prévisions des services agricoles qui expliquent le recul de la production comparativement à l'année dernière (1 million de quintaux récolté) par les faibles précipitations durant la période des labours-semailles.R.R.
Une trentaine de projets en chantier dans le secteur du tourisme
La promotion du tourisme est l'une des priorités du gouvernement. Aussi, dans le cadre du remaniement ministériel opéré vendredi, le tourisme a été institué en un département indépendant. Celui-ci devra mener à terme les nombreux projets touristique. Il est utile de relever, dans ce sens, qu'un total de 33 projets relevant du secteur du tourisme est en chantier dans la wilaya de Sétif, afin de booster ce secteur en augmentant les capacités d'accueil de plus de 2.900 lits, a indiqué samedi le directeur du tourisme. Selon Belkheir Gharsallah, le développement des établissements hôteliers, en conformité avec les normes internationales, permet en particulier d'améliorer la qualité du service. Celle-ci est devenue, a-t-il estimé, "une nécessité plus qu'urgente" compte tenu de la situation géographique de cette région charnière dans les échanges économiques et où le nombre de visiteurs est en constant accroissement. Les projets en cours de réalisation concernent des hôtels, des appartements de tourisme, des résidences meublées et des hôtels adaptés aux stations thermales. Ils sont répartis sur les communes de Sétif, El Eulma, Ain Oulmane, de Ain Azel, Ouled Saber, Hammam Sokhna, Ouled Tebbane et de Hammam Guergour, a précisé M. Gharsallah, relevant que trois parmi ces projets sont achevés, 18 autres en cours de travaux, 10 attendant la délivrance du permis de construction et un dernier soumis à l'agrément du ministère de tutelle. L'ensemble de ces investissements, destinés aussi à créer 993 emplois permanents, avoisine les 9,5 milliards de DA, a également fait savoir le même responsable. La wilaya de Sétif est riche d'un potentiel "considérable" en matière de tourisme, a encore affirmé M. Gharsallah, rappelant qu'en plus des stations thermales de Hammam Guergour et de Hammam Sokhna, la région offre de réelles possibilités pour les tourismes de montagne, culturel et cultuel, avec les monts des Babors, les sites archéologiques de Djemila et de Ain Lahnèche, en plus des nombreuses zaouias. L'augmentation du nombre de touristes étrangers en visite chaque année dans la wilaya de Sétif a incité les investisseurs privés à opter pour ce secteur qui bénéficie en outre d'encouragements et de mesures incitatives des pouvoirs publics, a encore indiqué le même responsable. La wilaya de Sétif qui reçoit quelque 200.000 visiteurs par an, dont 5 % d'étrangers, compte 41 hôtels pour une capacité d'accueil de 1.115 chambres et 2.199 lits, dont 5 hôtels au chef-lieu de wilaya et 7 établissements classés, a conclu le directeur du tourisme.R.R.
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