阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Tuesday, March 08, 2011

Air Arabia France



Mr le president Nicolas Sarkozy a défendu le concept des crèches d'entreprises


Par Europe1.fr avec AFP
Sarkozy vante les crèches d'entreprise
Lors d'une réunion de travail organisée mardi entre le chef de l'Etat et treize femmes chefs d'entreprises, Nicolas Sarkozy a défendu le concept des crèches d'entreprises pour favoriser l'emploi des femmes, rapporte un communiqué de l'Elysée. Cette réunion, à laquelle a également assisté Roselyne Bachelot, ministre des Solidarités et de la Cohésion sociale, s'est tenue à l'occasion de la Journée internationale de la Femme.

Au cours de la réunion ont été évoquées "les questions d'inégalité salariale, de mixité des emplois, d'orientation, d'accès aux postes à responsabilité et la loi sur les quotas dans les conseils d'administration", selon la présidence. "Rappelant que l'un des facteurs d'inégalité professionnelle reste la maternité et qu'une partie de celles qui interrompent leur activité professionnelle le font par manque de mode de garde adapté, le président de la République a indiqué que le rythme de créations de solutions de garde serait poursuivi, ainsi que leur diversification notamment en s'appuyant sur les crèches d'entreprises", a-t-on ajouté de même source.

Mr le Chef de l'etat Nicolas Sarkozy en campagne un discours de qualité


Morbihan. Sarkozy en campagne
À Beignon devant des ouvriers, puis à Josselin devant les élus morbihannais, Nicolas Sarkozy a déroulé, hier, son argumentaire préféré, celui qui lui a permis d'être élu en 2007. Un discours bien rodé mais sans surprise.

«Dans ma situation, je ne peux être contre personne». Cette petite phrase en forme de boutade sera la seule allusion de Nicolas Sarkozy, en déplacement dans le Morbihan, aux récents sondages qui installent son camp dans le doute. C'était en réponse à une question d'un élu sur le manque de médecins en zone rurale. Pas question, donc, de se payer le luxe, en ces moments difficiles, de se mettre à dos une corporation, même si sa répartition sur le territoire, comme il l'a reconnu, pose problème. Mais, hier, c'était surtout aux ouvriers que s'adressait le président de la République. Des ouvriers dont il avait su, il y a quatre ans, si efficacement capter les voix mais qui aujourd'hui semblent lui faire défaut.

«Vous comprenez?»

L'heure est à la reconquête. Juché sur une petite estrade, comme un candidat en campagne, Nicolas Sarkozy a ressorti, devant les quelque 300 salariés de l'usine FenêtreA de Beignon, le plus grand site de fabrication automatisée de menuiserie PVC d'Europe, une bonne partie des slogans qui avaient contribué à son succès de 2007. À commencer par le fameux «travailler plus pour gagner plus». Sans oublier, au passage, de clouer au pilori les 35heures que la France, a-t-il dit, a doublement payées par une chute de compétitivité et par une baisse des salaires. En ponctuant son discours de fréquents «vous comprenez?», Nicolas Sarkozy s'est également attaché à défendre ses réformes, dont celle de la suppression annoncée de l'impôt sur la fortune. Avec l'argument que ce sont les ouvriers qui en seraient finalement les principaux bénéficiaires. «Si notre fiscalité fait fuir les personnes qui ont de l'argent, est-ce que ça fait votre affaire?», a-t-il interrogé, se faisant le défenseur du capitalisme familial contre le capitalisme financier. Son auditoire a-t-il été convaincu? Difficile à dire. «On aimerait y croire. Ce que l'on veut voir, ce sont des résultats, pas que des promesses», faisait remarquer une ouvrière.

Journée de la femme: «Sympathique»

Devant les élus morbihannais, à Josselin, c'est à un tout autre exercice auquel s'est livré le président de la République en répondant, cette fois, à quelques questions qui traduisaient de grandes inquiétudes, notamment sur les moyens financiers des collectivités. Mais sur le fond, pas vraiment non plus de nouveautés. Qu'il s'agisse de la réforme territoriale ou de celle de la taxe professionnelle, le président de la République les a défendues bec et ongles. «Ça met de la cohérence. Elles vont vous donner de la simplicité et de la lisibilité». Sur les services publics menacés, il a expliqué qu'ils devaient évoluer et que La Poste est le meilleur exemple d'une adaptation réussie. Pas sûr que les maires des communes rurales aient été totalement convaincus. En ce 8mars, Nicolas Sarkozy ne pouvait pas ne pas faire allusion à la journée de la femme. C'est un Président pas très convaincu par son utilité qui a répondu à une élue. «C'est sympathique. Aujourd'hui, la vie des femmes ressemble beaucoup à celles des hommes. Il faut le faire mais, parfois, il faudrait se concentrer sur l'essentiel».

Yvon Corre

Mr le président français Nicolas Sarkozy Mr Herman Van Rompuy le président du Conseil européen Euro et Libye



Euro et Libye : Van Rompuy reçu mercredi par Sarkozy
Le président français Nicolas Sarkozy recevra mercredi Herman Van Rompuy, président du Conseil européen, pour un entretien consacré à la préparation du Conseil européen extraordinaire de vendredi, indique mardi un communiqué de l'Elysée.
L'entretien entre les deux présidents se tiendra à 11h30 (10H30 GMT).
Vendredi à Bruxelles, les chefs d'Etat et de gouvernement des Vingt-sept se réuniront pour un sommet de la zone euro. Ils examineront également la situation en Libye et en Méditerranée.
L'Union européenne veut définir une réponse commune aux bouleversements en Libye et en Afrique du Nord, aider les pays concernés et se préparer à un éventuel afflux de réfugiés.
La réunion des dirigeants de l'UE sur cette question se tiendra juste avant un sommet déjà programmé le même jour des dirigeants des seuls pays de la zone euro sur la mise en place d'un dispositif de lutte contre les crises de la dette.
AFP

Mr le President Nicolas Sarkozy s'intéresser aux vraies préoccupations des Français


Sarkozy, le terrain plutôt que les sondages
En déplacement dans le Morbihan, mardi, Nicolas Sarkozy n'a pas souhaité commenter le sondage qui le place derrière Marine Le Pen au premier tour en 2012. Le chef de l'Etat préfère s'intéresser "aux vraies préoccupations" des Français.


Rien de tel que le terrain. Loin des sondages et des remous qu'ils suscitent en plus haut lieu, Nicolas Sarkozy était dans le Morbihan mardi pour rencontrer des élus locaux. Lors de ce déplacement organisé par le président de l'assemblée des maires du département, le chef de l'Etat n'a pas dit un mot sur la polémique du moment, se refusant de commenter l'enquête qui le place derrière Marine Le Pen au premier tour de l'élection présidentielle. "Je fais de la politique depuis 35 ans. J'ai connu tous les états, j'ai connu des hauts, des bas, puis j'y suis arrivé. C'est un long chemin, un très long chemin (qui demande) beaucoup de sang-froid, beaucoup de conviction", a seulement déclaré le président devant l'assemblée générale des maires du département. Une manière de clore le débat.

Nicolas Sarkozy a souhaité mardi se concentrer sur ce qu'il considère comme l'essentiel, à savoir "répondre aux questions des Français, à leurs vraies préoccupations". Et non s'attarder sur des "préoccupations de surface, à ce qui fait l'actualité de tous les jours, qui disparaît aussi vite qu'il est apparu". Pour illustrer ses propos, le chef de l'Etat n'a d'ailleurs pas hésité à évoquer la suppression de la taxe professionnelle dont plus personne ne parle, alors que "c'était le grand sujet du congrès des maires de 2009". Ou encore la réforme des retraites. "Il y a trois mois, il paraît que la France était au bord de l'explosion sociale. Aujourd'hui, c'est moi qui mets systématiquement le sujet sur la table pour l'expliquer. Mais qui en parle?", s'est interrogé, satisfait, Nicolas Sarkozy.

"La vie des femmes ressemble à celle des hommes"
"Ainsi va la France, de crainte en crainte, et une fois que la réforme est votée, on se dit 'oh bien finalement, ce n'est pas si terrible' et on transfère ses craintes sur un autre sujet", a assuré le chef de l'Etat devant les maires. Mardi toujours, devant les 330 salariés de l'usine FenêtreA, le chef de l'Etat a parlé emploi, indiquant que sa priorité était "d'arrêter le phénomène des délocalisations" et de "réconcilier les Français avec l'industrie, les usines et les ouvriers". Une tranche de la population qu'il espère justement reconquérir en vue de 2012.

Journée de la femme oblige, Nicolas Sarkozy a également dû répondre à une question de la sénatrice socialiste du Morbihan, Odette Herviaux, inquiète de voir la parité menacée par le mode de scrutin des futurs conseillers territoriaux. Le chef de l'Etat en a profité pour dire ce qu'il pensait de la journée de la femme, célébrée mardi. "C'est sympathique, il faut le faire, enfin parfois il faudrait qu'on se concentre sur l'essentiel", a-t-il déclaré, estimant qu'aujourd'hui, "la vie des femmes ressemble à la vie des hommes".

Décès d'un militaire français en Afghanistan



Décès d'un militaire français en Afghanistan Décès d'un militaire français en Afghanistan

Le Président de la République a appris avec beaucoup d'émotion la mort, en fin d'après midi, d'un caporal-chef du RICM de Poitiers au cours d'une opération dans la région de Tagab. Il a été touché par une explosion alors qu'il se trouvait à proximité de son véhicule blindé.

Le Président de la République présente à sa famille et à ses proches ses plus sincères condoléances et s'associe à leur douleur.

Le chef de l'État réaffirme son soutien au peuple afghan et aux autorités afghanes. Il exprime la détermination de la France à continuer d'œuvrer au sein de la Force Internationale d'Assistance à la Sécurité. Cette force, mandatée par l'ONU, a reçu la mission de contribuer au retour de la stabilité, au rétablissement de la paix et au développement en Afghanistan

Mr le Président Nicolas Sarkozy se dit attentif aux vraies préoccupations des Français



Sarkozy se dit attentif aux "vraies préoccupations" des Français
Sarkozy dit vouloir "répondre aux questions des Français"
* Pas un mot sur les sondages

par Yann Le Guernigou

JOSSELIN, Morbihan, 8 mars (Reuters) - En panne de confiance dans l'opinion, Nicolas Sarkozy a affiché mardi dans la France profonde l'image d'un président qui se veut attentif aux "vraies préoccupations des Français" et qui agit sans se soucier de "l'actualité de tous les jours".

Rencontrant les maires du Morbihan, le chef de l'Etat n'a pas évoqué le sondage qui fait planer la menace de son élimination dès le premier tour de la présidentielle 2012 pour cause de poussée du Front national et de sa présidente, Marine Le Pen. (voir [ID:nLDE72716R])

Mais il l'avait sans doute à l'esprit quand il a conclu son intervention liminaire en déclarant: "Je fais de la politique depuis 35 ans. J'ai connu tous les états, j'ai connu des hauts, j'ai connu des bas, puis j'y suis arrivé".

"C'est un long chemin, un très long chemin, beaucoup de sang-froid, beaucoup de conviction", a-t-il ajouté.

Au moment où les médias multiplient les gros titres sur le sondage Harris Interactive publié par Le Parisien, Nicolas Sarkozy a encore déclaré que le rôle du président de la République était de "répondre aux questions des Français, à leurs vraies préoccupations, pas les préoccupations de surface, pas ce qui fait l'actualité de tous les jours, qui disparaît aussi vite qu'il est apparu".

Comme le mois dernier avec les maires du département du Cher, la réforme des collectivités territoriales, un problème dont on "parle si peu dans l'actualité nationale" mais qui intéresse le quotidien des Français, a été au coeur de son "dialogue républicain" avec les élus bretons
LA FRANCE "DE CRAINTE EN CRAINTE"

Nicolas Sarkozy n'a pas manqué de se féliciter que la suppression de la taxe professionnelle, la principale recette fiscale des collectivités locales, ne soit plus un sujet après avoir suscité de grandes craintes lors de son annonce en 2009.

"Aujourd'hui plus personne ne me parle de la taxe professionnelle, alors que c'était le grand sujet du congrès des maires de 2009, avec des gens qui hurlaient à la mort 'attention, on va être ruinés!'", a-t-il souligné.

Il a relevé dans la foulée que la réforme des retraites ne faisait plus l'actualité, comme si elle était désormais acceptée par les Français.

"Il y a trois mois, il paraît que la France était au bord de l'explosion sociale avec la réforme des retraites. Aujourd'hui, c'est moi qui mets systématiquement le sujet sur la table pour l'expliquer. Mais qui en parle ?".

"Ainsi va la France, de crainte en crainte, et une fois que la réforme est votée, on se dit 'oh bien, finalement, c'est pas si terrible' et on transfère ses craintes sur un autre sujet", a-t-il dit.

Interpellé sur des sujets comme la loi littoral, les services publics en zone rurale ou le mode de scrutin des futurs conseillers territoriaux, Nicolas Sarkozy a invité ses interlocuteurs à ne se laisser guider "que par une seule chose, l'intérêt général" et à ne pas avoir peur de s'attaquer aux grands problèmes.

Alors que la sénatrice socialiste du Morbihan Odette Herviaux s'inquiétait de voir la parité menacée par le mode de scrutin retenu, en cette journée internationale de la femme, il s'est interrogé sur l'utilité d'une telle manifestation.

"Aujourd'hui, la vie des femmes ressemble à la vie des hommes, les choses ont changé considérablement (...) C'est sympathique, il faut le faire, enfin parfois il faudrait qu'on se concentre sur l'essentiel. L'essentiel c'est de trouver du travail pour les hommes et les femmes, une possibilité de promotion sociale pour les deux". (Édité par Patrick Vignal)

L'Union européenne (UE) Maghreb



L'UE veut encourager le changement démocratique au Maghreb
[Fenêtre sur l'Europe]

L'Union européenne (UE) travaille à proposer des mesures incitatives financières et réglementaires aux pays d'Afrique du Nord afin de les encourager à mener des réformes démocratiques, indique le "Financial Times", mardi.


Le journal financier cite un document de travail qui entre dans le cadre d'un projet en cours d'élaboration pour le sommet européen de Bruxelles, vendredi 11 mars.

Lors de cette réunion de crise consacrée à l'Afrique du Nord, les dirigeants de l'UE vont aborder les réponses humanitaires et politiques à apporter aux événements qui se déroulent dans la région et en particulier en Libye.


Lire l'article en anglais : http://www.ft.com/cms/s/0/e89cda4e-4908-11e0-af8c-00144feab49a.html#axzz1Fz8a7x6U

L’Union Européenne célèbre la Journée de la femme




L’Union Européenne célèbre la Journée de la femme
[Fenêtre sur l'Europe]

Une date particulière en cette année 2011 car on célèbre le centenaire de cette journée. Et, depuis 100 ans, comme le rappelle Mariya Nedelcheva, eurodéputé PPE, auteure d’un rapport sur l’égalité homme-femme dans l’Union Européenne, « la situation a beaucoup évolué ».


Le principe de l’égalité hommes-femmes est l’un des principes fondateurs de l’Union Européenne. Inscrit dès 1957 dans le préambule du Traité de Rome, l’UE participe activement à la promotion de ce principe : ainsi, des initiatives inédites ont été amenées par l’Europe, comme celle d’une égalité de traitement et une lutte féroce contre la discrimination.

Une Union, qui place l’égalité entre les femmes et les hommes comme une condition sine qua non d’une croissance intelligence et durable, et qui met un point d’honneur à s’appliquer à elle-même ce principe : ainsi, d’octobre à décembre 2009, alors que la vie politique de l’UE était rythmée par les questions relatives à l’entrée en vigueur du traité de Lisbonne et au renouvellement de l’exécutif européen , le genre est apparu, au même titre que la nationalité ou le bord politique comme un critère déterminant lorsque les dirigeants européens ont négocié la répartition des « top jobs » de l’UE.

Mais malgré ces efforts, les inégalités homme-femme sont toujours présentes dans la vie quotidienne des citoyens européen(nes). Et l’UE profite de cette journée pour rappeler cet état de fait comme nous le montre le thème choisi cette année : "L'égalité d'accès à l'éducation, à la formation, aux sciences et aux technologies".

Une journée qui sera au centre de l’activité du Parlement européen en ce 8 mars 2011 : un débat autour des rapports sur l’égalité des genres et sur la pauvreté des femmes aura lieu avant une séance solennelle à Strasbourg.




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En 2012, Mr le chef de l'etat Sarkozy la révolution numérique




En 2012, Sarkozy sera-t-il le candidat des internautes?
AFP/ERIC FEFERBERG
Longtemps le Président de la République a gardé ses distances avec Internet. Les élections le feront-elles changer? L'avis d'MrY, notre chroniqueur
Quand le Président de la République avait changé sa photo de profil sur Facebook - pour l'essentiel, il avait retiré sa cravate... - les journaux s'étaient demandé dans la semaine suivante si Sarkozy n'était pas en train de devenir un Président 2.0.

En février 2010, Les services de l'Elysée ont accouché d'un nouveau site Web. Plus ergonomique, plus dans la tendance actuelle, avec une autre façon de lire l'information, le site de l'Elysée apparait depuis comme un outil de communication directe entre le président et les internautes. On aurait pu croire, néanmoins, à un coup d'épée dans l'eau.

Quelques semaines plus tard, Nicolas Sarkozy recevait les patrons de Google, avec lesquels il signait un accord important, notamment en matière d'emploi et d'investissements.

Pendant ces trois derniers mois, coup sur coup, il a déjeuné avec des patrons du Net et des blogueurs et fait développé des applications iPhone et iPad pendant que, très discrètement, l'UMP fermait ce qui n'aurait jamais dû etre ouvert: Les Créateurs de Possibles, son site à des années lumières de ce qu'on doit faire en matière de marketing et de communication politique...

Hier, Nicolas Sarkozy a fait savoir que la France, quelques jours avant le G8 qui se tiendra en Normandie, recevra à Paris tout les patrons de l'Internet mondial.

Que se passe-t-il en Sarkozie?

Impossible désormais de continuer à prétendre que le président de la République n'a pas compris la révolution numérique. Ou qu'il n'a pas constaté que 4% du PIB sont aujourd'hui générés par l'économie numérique - plus que le nucléaire...

Il y a une lente maturation sur ces questions à l'Elysée. Cette même lenteur qui fait encore dire à certains de nos concitoyens que sur "Internet, il y a des choses dangereuses et que cela fait peur".

Toutes ces annonces et tous ces actes, comme la création du Conseil national du numérique en cours de constitution, suffiront-ils à faire de Nicolas Sarkozy celui qui a le plus contribué à la cause du Net en France?

Difficile à croire quand on sait que le Président n'a toujours pas d'ordinateur. A l'heure des tablettes, il serait pourtant temps de s'y mettre...

la coopération euro-méditerranéenne.



Maroc-Malte
Le Maroc et la République de Malte ont signé, Lundi à La Valette, un accord visant le renforcement de la consultation politique et des liens de coopération entre les deux pays
Accord de consultation politique
L'accord a été signé par le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Taib Fassi Fihri et son homologue maltais, Tonio Borg.

Il prévoit l'échange de vues et la coordination des positions au sein des instances internationales au sujet de plusieurs questions d'intérêt commun.

Dans une déclaration à la presse, Fassi Fihri s'est félicité de la signature de cet accord qui va conforter et rehausser la consultation politique entre le Royaume et la république de Malte.

«Malte, un pays membre de l'Union européenne et du processus de l'Union pour la Méditerranée (UpM), jouit d'une position géographique extrêmement importante au cÂœur de la Méditerranée», a dit le ministre.

«Le Maroc et Malte entretiennent des relations d'amitié et d'estime réciproque
», a-t-il ajouté, soulignant l'importance et la portée stratégique de l'accord qui vient d'être scellé avec la République de Malte.

Cet accord permettra de conférer aux relations maroco-maltaises une nouvelle dimension et une meilleure qualité, a estimé le ministre, mettant en avant les liens privilégiés et étroits existant entre le Maroc et l'Union européenne comme en témoigne le statut avancé accordé par l'Union au Royaume.

Les Maltais comme les autres pays de l'UE soulignent la spécificité du Maroc et les avancées tous azimuts réalisées par le Royaume, sous la conduite éclairée de S.M. le Roi Mohammed VI, a dit le Ministre.

Pour sa part, le ministre maltais des Affaires étrangères s'est dit ravi de la conclusion de cet accord pour l'affermissement de la consultation politique et des relations bilatérales entre les deux pays dans le cadre la coopération euro-méditerranéenne.

Et d'ajouter que la signature de cet accord a été l'occasion pour les deux parties de passer en revue les relations de partenariat entre le Maroc et l'UE, les derniers développements dans le monde et en particulier en Libye ainsi que dans la région euro-méditerranéenne.

A rappeler que Taib Fassi se trouve actuellement à Malte où il fait partie de la délégation marocaine aux pourparlers informels de l'Onu sur le Sahara dont le 6 round se déroule dans une localité du nord ouest de l'Ile du 7 au 9 mars .





Par MAP