阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Saturday, January 09, 2010

Réchauffement climatique by Google Earth



Le réchauffement climatique by Google Earth

Déjà Google nous avait épatés en nous proposant de voir notre « Chez-nous » et notre quartier vu du ciel. Saviez-vous qu’il nous permet aussi de suivre les impacts du réchauffement climatique sur la planète bleue ? Rivers deep, mountain high ! A la base, Google Earth a été créé pour diffuser via Internet des images satellites du monde entier, des informations sur les fonds et la surface des océans présentées par des experts maritimes, des cartes du globe, d’une ville, ou même visiter la Lune ou Mars. Il est aussi possible de trouver un restaurant, une boutique… Toutes ces images sont enregistrées par satellites, ce qui nous permet d’avoir une vue aussi bien à 2cm du sol que de l’espace. On oriente la caméra de droite à gauche de haut en bas, à notre guise ! Google Earth est entièrement réalisé en 3D. On peut annoter les cartes, envoyer une photo satellite par courrier électronique ou encore effectuer des mesures au centimètre près. « Climate Change in Our World” La nouvelle option de Google Earth s’appelle : « Climate Change in Our World ». Elle permet de visualiser deux vues de la terre. Ainsi, on peut voir une animation montrant la prévision des changements de températures dans le monde sur les 100 prochaines années en tenant compte des émissions de gaz à effet de serre actuellement observées ainsi que visualiser au fil des ans la fonte des glaces en Antarctique, depuis les années 50. De même, on accède à des informations sur les actions menées pour lutter contre le changement climatique. C’est une sorte de « thermomètre global » qui visualise la situation actuelle de la dégradation de la planète due à la pollution et en montre les effets futurs… Cette fonctionnalité a été créée pour sensibiliser les responsables de la planète sur la montée des eaux et la fonte des glaces des pôles. Pour télécharger Google Earth

Des projets entre les deux rives


Assemblée des Chambres méditerranéennes
Des projets entre les deux rives
Les 19 et 20 novembre, à Beyrouth, la 20e assemblée générale de l’Ascame (Association des chambres de commerce méditerranéennes), sous le titre « Le moment pour l’Union, le moment pour la Méditerranée », a été ouverte par le Premier ministre libanais Saad Hariri au côté de Murat Yalçintas, le président de l’Ascame, Adnan Kassar, président de l’Union des chambres de commerce d’industrie et d’agriculture des pays arabes et Philippe de Fontaine Vive, vice-président de la Banque européenne d’investissement (BEI).La grande agitation autour de cet événement a prouvé que malgré le gel temporaire de l’intégration politique, l’Union pour la Méditerranée n’est pas empêtrée dans une voie de garage et que le secteur privé reste porteur de nombreux projets. Lors de son discours d’inauguration, Saad Hariri a souligné le rôle crucial du secteur privé dans la dynamisation des relations entre les deux rives, « moteur principal de toute opération de complémentarité commerciale et économique ». Au chapitre des résolutions adoptées : la réélection de Murat Yalçintas, président de la Chambre d’Istanbul pour un second mandat à la tête de l’Ascame. La quasi-totalité des présidents de commission ont également été reconduits pour un nouveau mandat. Mais, cette continuité institutionnelle s’accompagne également d’une refonte du fonctionnement des commissions de travail destinées « à devenir de réels think tanks dans leur domaine respectif (…) en intégrant en leur sein, des membres de l’Ascame, des experts et des représentants d’entreprises et d’associations de chaque secteur ». De nouvelles commissions de travail ont d’ailleurs été créées afin de développer des projets dans des domaines clés (culture et propriété intellectuelle, innovation et TIC, énergie renouvelable, jeunes entrepreneurs). En ce qui concerne le volet financier, tandis qu’économistes et chefs d’entreprises plaident de plus en plus pour l’avènement d’une banque méditerranéenne de développement afin de financer les projets des PME installées dans la région, l’Ascame a obtenu un compromis en signant un accord de coopération avec la BEI. Les modalités de ce partenariat seront connues courant janvier. Cette manne financière devrait permettre de mettre en œuvre un nouveau plan d’actions afin de soutenir le rapprochement des acteurs économiques des deux rives. L’Ascame présentera son programme d’actions pour l’année 2010 dans les prochains jours.
Arnaud Boularand

AIN TEMOUCHENT (Algérie)



Algérie: Un objectif de 1.120.000 hectares de superficie irriguée en 2013
AIN TEMOUCHENT (Algérie) – Un objectif de 1.120.000 ha de superficie irriguée est visée, d’ici 2013, par le ministère de l’Agriculture et du Développement rural (MADR), a annoncé mardi à Ain Temouchent un cadre à l’Institut national des sols, de l’irrigation et du drainage (INSID).
S’insérant dans le cadre du programme spécifique de l’économie de l’eau élaboré par le MADR en matière de renouveau agricole et rural, cet objectif exige un effort particulier de la part de l’ensemble des intervenants du secteur.
Il nécessite, essentiellement, la mise en place d’équipements économiseurs d’eau, soit par aspersion (goutte à goutte), irrigation localisée ou la réduction de 50 % de l’irrigation gravitaire, a indiqué M. Zareb Djamel, à l’occasion d’un regroupement régional sur ce thème.
source: APS

Djurdjura




Mise en œuvre d'un programme de repeuplement des zones forestières


Un programme de repeuplement des zones forestières ravagées par les incendies au niveau du Parc national du Djurdjura a été mis en œuvre, selon la conservation des forêts. Outre le repeuplement de ces zones, ce programme prévoit également la préservation du couvert végétal jusque-là épargné par les incendies. Il s'agit, selon la même source, d'opérations de nettoiement de toutes les surfaces brûlées (70 ha), dont une partie sera clôturée pour la protéger du pacage et favoriser la régénération des ressources naturelles de ce Parc dont notamment le cèdre, considéré comme une "espèce protégée". Selon le responsable de la circonscription de Tikjda, Haddad Moussa, "il est également prévu la mise en terre de plants de cèdres sur une surface de 88 ha, en plus de l'ouverture de nouvelles pistes qui faciliteront l'élimination des végétaux brûlés ainsi que les interventions en cas d'incendies". Ces ouvertures de pistes permettront également le développement du tourisme de montagne, a-t-il indiqué. M. Haddad a, en outre, fait part du lancement, d'une étude relative aux feux de forêts et leurs conséquences sur l'équilibre écologique, en plus de la mise en place d'un plan de gestion et d'intervention pour identifier les incendies et leurs causes. Par ailleurs, le programme en question prévoit des travaux sylvicoles sur une superficie de 150 ha, ainsi que la réalisation de tranchées pare-feux pour éviter la propagation des incendies. Une surface globale de 627 ha dont 469 de forêts a été la proie des flammes en 2009, selon un bilan des services des forêts de la circonscription de Tikjda, dans lequel l'on relève la destruction de 88 ha de cèdres, 199 ha de chêne vert et 78 ha d'arbres fruitiers. Une superficie de quatre hectares a été également détruite au niveau de la station d'essais scientifiques de "Thala Rana", située dans la zone du Parc national du Djurdjura, a ajouté ce responsable. Il est à rappeler qu'un important incendie s'est déclaré le 31 août 2009 au niveau de la station climatique de Tikjda, causant la perte de 220 ha de couvert végétal, dont 40 ha de cèdre et 90 ha de chêne, selon la même source. R.R

Algerie El-Tarf




La commune du Lac des oiseaux mise sur les atouts touristiques


Les efforts consentis pour la mise en valeur des "immenses" potentialités naturelles de la commune du Lac des oiseaux (El-Tarf) "contribueront à son développement et à l'essor du tourisme", a assuré mercredi le président de l'Assemblée populaire communale (APC). Selon Hocine Rahal, cette commune adossée au mont Bouabed qui culmine à plus de 900 mètres d'altitude, les pieds dans le lac éponyme, tout à côté de la plaine marécageuse de "la Mekhada", peut "s'enorgueillir de posséder de nombreux atouts pouvant faire d'elle une véritable contrée touristique". La commune, a indiqué cet élu, a préconisé, en élaborant le Plan directeur d'aménagement urbain (PDAU), la réservation de terrains d'assiette qui accueilleront des infrastructures touristiques "adaptées à la nature du décor lacustre et forestier". Il ressort de l'identification des potentialités touristiques existantes dans cette région, notamment la source thermale de "Hammam Sidi Djaballah", un "grand retard à rattraper pour espérer promouvoir le tourisme" qui reste, au Lac des oiseaux, l'un des plus importants vecteurs de développement socioéconomique, a révélé M. Rahal. Pour l'heure, a-t-il dit, "seule la source thermale de Hammam Sidi Djaballah où coule une eau d'une température de 37 degrés, de bonne qualité bactériologique, est exploitée, quoique d'une manière archaïque, par un particulier". Indiquée pour le traitement des affections veineuses et gynécologiques, cette source thermale, malgré son faible débit, doit faire l'objet, a soutenu le même élu, d'une "attention particulière" devant se traduire, en premier lieu, par des études approfondies sur la teneur de son eau. La commune du Lac des oiseaux et la plaine marécageuse de la Mekhada qui couvrent une zone humide de plus de 18.000 hectares sont un autre atout pour le développement du tourisme dans cette partie de la wilaya d'El-Tarf. Zone humide par excellence, classée "Ramsar", le Lac des oiseaux attire chaque année des milliers d'espèces ornithologiques qui y nichent ou y transitent dans leur voyage vers le lac Tonga. Il peut être ainsi observé, selon M. Rahal, des canards colvert, des oies cendrées, des foulques, des poules d'eau, des érismatures à tête blanche et autres espèces ornithologiques. L'exploitation de ces atouts est d'autant plus indiquée, selon le même responsable, que cette étendue d'eau, site de prédilection pour la recherche scientifique, attire de nombreux touristes avides de découvertes d'oiseaux d'eau ainsi que des chercheurs en ornithologie. Non loin de là, le mont Bouabed pourra servir de cadre à des randonnées pédestres au milieu des châtaigniers ou dans les forêts de chêne-liège où le touriste peut rencontrer, fortuitement, certains animaux sauvages aussi beaux que rares, a encore souligné le président de l'APC. En matière d'investissements touristiques, il a ajouté que les "règles du jeu" qui seront définies de concert avec l'administration locale et l'ensemble des secteurs concernés, prendront en compte les données environnementales. R.R