阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

retrouver ce média sur www.ina.fr

commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Thursday, July 02, 2009

Bornéo, la forêt assassinée Chanee




Bornéo, la forêt assassinéeUn reportage de Stéphane Haussy et Vincent ReynaudC’est un nom qui évoque l’exotisme, les explorateurs et le bout du monde, l’île de Bornéo en Indonésie. Mais la forêt tropicale est menacée de disparition. En Indonésie, selon les experts, toutes les 15 secondes, la forêt diminue de l’équivalent d’un terrain de football. A coups de tronçonneuses et de bulldozers, elle est détruite par des industriels, qui remplacent les arbres par de gigantesques plantations d’huile de palme. C’est l’huile la moins chère du monde, elle est très prisée par l’industrie agro-alimentaire, on la retrouve dans les pâtisseries, les chips, les croûtons, les soupes lyophilisées… L’huile de palme est aussi un excellent carburant dans les moteurs diesels. L’Indonésie produit 20 millions de tonnes de cette huile végétale chaque année, pour alimenter le monde entier. Mais la déforestation fait d’autres victimes, les espèces animales. Dans cette jungle inhospitalière, un Français, Aurélien Brûlé, a décidé de dédier sa vie à protéger les animaux menacés par la déforestation, notamment les gibbons, une espèce de singe. Il s’est installé à Bornéo il y a 11 ans, tout le monde l’appelle Chanee. Originaire de Fréjus dans le Var, il a créé une ONG pour recueillir les gibbons. Avec la forêt qui disparaît, les singes se retrouvent au sol à la merci des braconniers. Ils attrapent aussi des maladies. Le gibbon pourrait être la première espèce de grand singe à disparaître définitivement. Stéphane Haussy et Vincent Reynaud ont rencontré les populations dont les terres ont été réquisitionnées par les grandes compagnies d’huile de palme. Ceux qui se sont opposés à la déforestation, sont en prison. Certains villageois souffrent aussi de maladies, les eaux d’un lac de Bornéo sont contaminées par les déchets toxiques des plantations. Des camions citerne d’eau potable alimentent les villages. L’équipe d’Envoyé Spécial a aussi enquêté sur les conditions dans lesquelles les usines produisent l’huile de palme.

Tunisie energie solaire



Le rêve solaire d’Ahmed Friaa
Par Moncef Mahroug
Le mathématicien et ancien ministre voudrait faire du sud-est de la Tunisie un pôle d’activités bâti autour de l’énergie solaire rayonnant à l’échelle régionale, voire internationale.
«Le Village Eco-Solaire Zarzis-Djerba a ouvert ses portes depuis peu. Une équipe d’ingénieurs y a domestiqué les technologies de dessalement pour produire de l’eau douce à partir de l’eau de mer à un coût inférieur à celui de la Sonede. Distribuée aux agriculteurs, cette eau leur a permis d’intensifier et de diversifier leur production, notamment de plantes médicinales. De nombreuses entreprises mondiales demandent à pouvoir s’installer au Village. Un métro léger alimenté par l’énergie solaire est mis en circulation dans la région. Le Port de Djerba-Zarzis regorge de navires attendant leur tour pour charger ou décharger de la marchandise».

Comme Martin Luther King, dans les années soixante, Ahmed Friaa a aujourd’hui un rêve. Le pasteur baptiste afro-américain –qui a prononcé sa célèbre phrase «I have a dream» le 28 août 1963, lors d’une «Marche pour le travail et la liberté», à Washington- rêvait d’une Amérique meilleure permettant aux Noirs et Blancs de vivre ensemble, égaux et en harmonie, M. Friaa caresse, quant à lui, le rêve de faire de Zarzis-Djerba un pôle dédié à l’énergie solaire.
«Ce projet a germé dans la tête de son promoteur en partant de l’idée qu’il appartient aux enfants de la région d’impulser son développement», explique l’architecte Hamza Attallah qui a élaboré le concept urbanistique du village. «Ce projet exprime l’ambition des habitants de la région d’accéder à de meilleures conditions de vie –même le niveau déjà atteint est appréciable grâce à la sollicitude du président Ben Ali- et peut aider à l’atteindre», complète M. Friaa.
Ce mathématicien –reconnu à l’échelle internationale-, ingénieur et ancien ministre voudrait créer un «village éco-solaire» où seraient menées des activités de recherche, de formation, d’expérimentation et de production –notamment via des «industries non polluantes».
Ahmed Friaa est convaincu de la possibilité de réaliser ce rêve, grâce, en particulier, à «la volonté politique et le leadership sage du président Ben Ali», et à «l’appui d’investisseurs et de l’écrasante majorité» des habitants de la région.
Un autre facteur joue, d’après le promoteur, en faveur du projet : le «grand intérêt qu’on porte en Tunisie au secteur de l’énergie et qui s’est manifesté à travers les programmes d’économie», souligne M. Abdelaziz Rassaa, secrétaire d'Etat auprès du ministre de l’Industrie, de l’Energie et des PME, chargé de l’Energie renouvelable et de l’Agroalimentaire.
Le projet a été présenté dans ses grandes lignes et ses différentes composantes –par le promoteur, avec l’assistance de MM.Yassine Allani, Amor Mtimet et Hamza Attallah, qui en ont mis en exergue le pari technologique, agronomique et écologique, urbanistique et d’aménagement- lors d’un séminaire organisé les 27-28 juin 2009, à Zarzis. Il a été discuté par des experts et des représentants d’entreprises et d’institutions financières de Tunisie, d’Italie, de France, de Suisse et d’Arabie Saoudite qui se sont déclarés prêts à étudier sérieusement la possibilité de s’y impliquer et d’y investir, une fois l'étude de faisabilité réalisée.

Maroc Énergies renouvelables




Énergies renouvelables
Le Maroc propose à Charm al-Cheikh un fonds international
Comité préparatoire de la création de l'Agence internationale pour les énergies renouvelables
Publié le : 01.07.2009 13h55




Le Maroc a proposé la création d'un fonds international pour l'encouragement et la promotion de la recherche en matière d'énergies renouvelables.

Dans une allocution prononcée, début de semaine à Charm al-Cheikh, devant la 2ème réunion du Comité préparatoire relatif à la création de l'Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA), Amina Benkhadra, ministre de l'Énergie, des Mines, de l'Eau et de l'Environnement du Maroc, citée par l'agence MAP, a appelé à un encouragement international pour la promotion de la recherche dans le domaine des énergies renouvelables, notamment l'énergie solaire où le coût d'accès à la technologie est onéreux. La ministre a également plaidé pour le développement d'une industrie pour les énergies renouvelables, citant à ce propos l'initiative du Maroc relative au développement de pôles industriels, dont celui situé à Oujda destiné au développement des énergies renouvelables. A. Benkhadra a également rappelé la nécessité du développement des réseaux de connexion électrique afin de faciliter le transport et l'échange des énergies propres, appelant dans ce sens à accorder l'importance requise aux échanges et au transfert de technologies et d'expertises entre les Etats membres. La voix du Maroc était aussi pour que l'IRENA œuvre à l'ouverture de marchés de l'électricité afin d'exporter les énergies propres et les faire bénéficier de toutes les mesures incitatives appliquées dans les pays importateurs. La création de l'IRENA permettra de promouvoir l'utilisation des énergies renouvelables et de relever les défis liés à la concrétisation du développement socio-économique durable. Lors de cette conférence internationale constitutive de l'IRENA à laquelle ont pris part 129 Etats, il a été procédé au choix du pays où siègera l'organisation (parmi les trois Etats candidats à savoir les Emirats Arabes Unis, l'Allemagne et l'Autriche) ainsi que son directeur général (choisi parmi les candidats de quatre pays, en l'occurrence l'Espagne, la France, la Grèce et le Danemark). Finalement, l'IRENA sera basée à Abou Dhabi (en attendant l'inauguration de la ville écologique de Masdar, en construction dans les Emirats) et dirigée par la Française Hélène Pelosse, sa mission est de donner du poids et de la visibilité aux formes d'énergies alternatives aux fossiles.A l'issue de la séance inaugurale de la conférence, 14 nouveaux Etats ont signé la charte fondatrice de l'IRENA, dont notamment les Etats-Unis, l'Australie et le Japon. L'organisation regroupe à ce jour 136 pays. Elle devra favoriser une transition mondiale rapide vers les énergies issues du vent, de l'eau ou du soleil, au détriment du pétrole, du gaz ou du charbon, gros émetteurs de gaz à effet de serre responsables du changement climatique. A la différence de l'Agence internationale pour l'énergie (AIE), qui groupe 28 pays industrialisés depuis le premier choc pétrolier de 1973-1974, l'IRENA est "une organisation Nord/Sud qui entend partager son expertise sur les renouvelables avec le monde entier, en particulier les pays les plus démunis qui ont besoin de soutien et conseils", a insisté mardi Mme Pelosse, jointe à Charm-el-Cheikh (Egypte) par l'agence AFP. En outre, le programme de la conférence comprenait des exposés sur des thèmes portant sur les applications des énergies renouvelables ainsi que le transfert et les échanges des expertises et des technologies. Le Maroc, qui était représenté à cette conférence de deux jours, par une délégation présidée par Amina Benkhadra, avait participé vendredi dernier à Charm al-Cheikh aux réunions du Centre régional pour l'énergie renouvelable et l'efficience (RCREEE) qui regroupe dix pays membres fondateurs : l'Egypte, le Maroc, l'Algérie, la Tunisie, la Libye, la Syrie, le Liban, la Palestine, la Jordanie et le Yémen, outre trois partenaires qui sont l'Allemagne, le Danemark et l'Union européenne.-----------------------------------------------------------------
IRENA : une structure dédiée...Portée depuis deux ans par l'Allemagne, la création de l'IRENA a été validée fin janvier à Bonn par une cinquantaine de pays. "Jusqu'ici, tout le monde s'occupait un peu des énergies renouvelables et personne sérieusement. Nous avons désormais une structure dédiée qui va pouvoir dessiner les scénarios de croissance des énergies vertes", souligne Pelosse. "La création de l'IRENA arrive au bon moment", remarque-t-elle, à six mois du nouvel accord mondial contre le changement climatique qui devra intervenir en décembre à Copenhague. En outre, face à la crise économique et financière, de nombreux pays ont adopté des plans de relance appuyés sur une croissance des énergies et des emplois verts. L'IRENA devra défendre la cause des énergies renouvelables dans les grandes enceintes de régulation du commerce mondiale, comme l'OMC, afin de faciliter le transfert de la technologie.






Par Réda BENNIS LE MATIN

Algerie énergie




L’Algérie a besoin d’un nouveau modèle énergétique

L’Algérie doit se doter d’un nouveau modèle énergétique en développant d’autres sources d’énergie pour préparer l’ère de l’après-pétrole.mardi 30 juin 2009.
L’Agence internationale de l’énergie (AIE) vient de repousser ses prévisions pour le quatrième choc pétrolier dont le spectre hante toujours les tableaux du Nymex. La cause, c’est la récession économique mondiale qui ampute fortement la demande de pétrole, ce qui aurait un impact sur les prix. Conséquence négative pour les économies des pays essentiellement pétroliers comme l’Algérie. Les experts économistes s’interrogent sur la solidité et la détermination de la politique économique nationale pour faire face aux moroses perspectives économiques mondiales, notamment les fluctuations des prix du baril. Pour le docteur Abderrahmane Mebtoul, contacté par « Le Financier », l’Algérie est en « retard » dans ses réformes économiques dont la politique doit, à présent, s’orienter vers un nouveau modèle de consommation énergétique. Il faut savoir que la demande internationale de pétrole recule, tandis que les prix se stabilisent autour des 70 dollars. Pour l’Algérie, ces 70 dollars ont une valeur de 61 à 62 dollars, selon le docteur Mebtoul qui parle en termes de parité euro/dollars en y indexant les échanges commerciaux du pays qui sont essentiellement en euro (60%).
L’Algérie qui a pu engranger autour des 80 milliards de dollars lors du précédent choc pétrolier (2008), n’est pas prête à revoir cette rente. Plus explicitement, et selon le rapport prospectif annuel à moyen terme de l’AIE publié hier, la récession économique mondiale ampute fortement les perspectives de demande de pétrole et repousse les risques de choc pétrolier à 2013/2014 au plus tôt. La demande pétrolière La demande mondiale de pétrole va augmenter de 0,6% par an entre 2008 et 2014, estime l’AIE. Cette demande était prévue à 1,6% et a donc été révisée à la baisse. Elle est de plus en nette baisse par rapport à l’annonce de 2008, alors que le cours du brut dépassait 140 dollars le baril. L’Agence prévoyait alors une croissance annuelle de la demande de 1,6% entre 2007 et 2013. Cette révision s’explique principalement par la récession économique mondiale qui devrait faire chuter la consommation d’or noir de 3% en 2009. Toutefois, l’AIE prévoit qu’après 2009, la demande devrait progresser de 1,4% par an. Le monde produira 93,6 mbj en 2014 contre 89,4 mbj en 2008, avance-t-elle en estimant que les risques de « choc pétrolier » n’apparaîtront pas avant 2013/2014. Concernant l’Algérie, le docteur Mebtoul a rappelé que le manque à gagner se situe autour des 5 milliards de dollars suite aux dernières baisses de production Opep. En somme, le risque de choc pétrolier a été repoussé et l’Algérie doit anticiper un nouveau modèle de consommation énergétique (en terme d’alternatif et d’efficacité), lever les contraintes bureaucratiques aux entreprises et à l’investissement en misant sur les intelligences et le facteur humain.
Synthèse de Samir, www.algerie-dz.com D’après Le Financier

Algerie Union européenne transport



Algérie-UE : Le commissaire européen aux transports en visite en Algérie
Taille du texte:
Le commissaire européen aux transports, M. Antonio Tajani, effectuera à compter d’aujourd’hui une visite de travail de deux jours en Algérie, indique hier, un communiqué du ministère des Transports. M. Antonio et la délégation qui l'accompagne seront reçus vendredi par le ministre des Transports, M. Amar Tou, au siège de son département ministériel, précise la même source. Les deux parties auront des entretiens notamment sur "l'état de la coopération actuelle entre l'Algérie et l'Union européenne dans le secteur des transports", ajoute le communiqué