阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Wednesday, March 09, 2011

Mr Le président français, Nicolas Sarkozy,l’Union pour la Méditerranée emploie toute son énergie réalité politique



Nicolas Sarkozy et l’Union pour la Méditerranée
Le président français, Nicolas Sarkozy, croit sincèrement à l’Union pour la Méditerranée et emploie toute son énergie pour la réalisation de ce projet. Quarante-trois chefs d’Etats et de gouvernements, représentant les pays candidats pour cette union, seront conviés à un sommet le 13 juillet 2008, et qui va probablement aboutir à une déclaration constituante de cette union. Pour donner une valeur symbolique à ce projet, il a été convenu de tenir cette conférence au Grand Palais, haut lieu de la capitale française construit en 1900, à l’occasion de l’exposition universelle.

Actuellement les préparatifs relatifs à ce projet sont pilotés, sous les regards attentifs du président de la République, dans le palais Marigny, par l’ambassadeur en charge du projet, Alain Leroy.

Qu’est-ce que l’Union pour la Méditerranée (UPM) ?

La Méditerranée se situe au cœur de la vision stratégique du nouvel exécutif français. Dans son discours de Tanger, le président français a même précisé que « la Méditerranée n’est pas le passé de l’Europe, mais son avenir ». En d’autres termes, il considère que la plupart des principaux problèmes européens ne peuvent être résolus que par une politique de concertation avec les pays du sud de la Méditerranée, ce qui l’a amené à effectuer des visites officielles à certains de ces pays.

La plupart des problèmes posés ont déjà été largement abordés : il s’agit du terrorisme, de l’immigration clandestine, des problématiques environnementales ainsi que des inégalités chroniques du PIB entre les deux rives. Plusieurs responsables politiques et chercheurs spécialistes de ces questions ont montré que la sécurité de l’Europe et son développement passe par une stabilisation politico-économique de ses voisins du Sud. Certains analystes, notamment ceux originaires des pays du Sud, ont reproché à l’Union européenne de délaisser sa frontière Sud en consacrant l’essentiel de son aide financière aux pays de l’ancien bloc de l’Est.

Au moment du lancement de l’idée, l’UPM a été critiquée par la chancelière allemande Angela Merkel, qui voyait dans le projet une politique de coopération renforcée excluant, de facto, les pays de l’union n’ayant pas de lien direct avec les états du sud de la Méditerranée. Ce différend franco-allemand a été résolu en intégrant dans le projet, la totalité des pays de l’Union européenne. L’UPM serait formée ainsi de quarante-trois pays dont la Jordanie et la Mauritanie, deux Etats non-riverains de la Méditerranée. La méfiance de la Turquie à l’égard de ce projet, considéré comme une barrière à son entrée dans l’Union européenne, a été relativement affaiblie. Elle a été associée à plusieurs grands projets économiques souhaités par le président français, Nicolas Sarkozy.

Les échecs de Barcelone

Le processus de Barcelone a été lancé en 1995 avec un objectif précis : utiliser l’aide publique européenne dans la résolution des conflits de la région du Proche-Orient et du Maghreb et mettre en place les bases d’une solution à l’épineuse question de l’immigration clandestine.

Loin d’atteindre ses objectifs, le processus de Barcelone n’a pas produit des effets significatifs. Certains milieux osés ont même qualifié le processus de tentative d’intégration maladroite. Quoi qu’il en soit, les raisons de cet échec sont à chercher dans la nature ambitieuse du projet et à cause de l’instabilité géopolitique de la région. L’échec de la conférence de Madrid en 1991, le blocage du traité d’Oslo en 1993, l’assassinat du Premier ministre israélien Yitzhak Rabin en 1995, la relance de l’Intifada en 2000, les événements tragiques du 11-Septembre 2001 et la guerre d’Irak en 2003 sont autant de facteurs de crises qui ont mis en échec un processus censé éradiquer ou, du moins, affaiblir les tensions politiques régionales.

Pour compléter ce schéma, il faut ajouter l’incapacité du Maroc et de l’Algérie à s’entendre sur la question du Sahara occidental, ainsi que la perception de l’opinion publique des pays de la rive Sud qui a vu dans le processus de Barcelone un énième outil de puissance de l’Union européenne, qui regroupe les anciens colonisateurs.

UPM : un renversement des objectifs

L’approche du président français s’avère réaliste ; il s’agit de renverser les objectifs de Barcelone. En d’autres termes, la stratégie française consiste à développer de grands projets économiques à forte valeur ajoutée, qui pourrait, à long terme, aboutir à une stabilisation politique.

La dépollution de la Méditerranée à l’horizon de 2020 figure en première place de la liste des programmes économiques étudiés qui contient aussi la construction d’une autoroute reliant Alexandrie à Tanger, accueillie très favorablement par l’Egypte. Par ailleurs, le gouvernement français est particulièrement attaché à la création d’un espace commun scientifique et universitaire. Enfin, la création d’une banque méditerranéenne et d’une agence de développement des petites et moyennes entreprises serait la matrice de cette nouvelle approche de coopération.

Contrairement au processus de Barcelone, l’UPM devrait associer non seulement les gouvernements des pays riverains, mais aussi le secteur privé et les acteurs de la société civile. Selon l’éditorialiste britannique Patrick Seals, de multiples sources de financements sont à l’étude : les concepteurs du projet veulent associer les monarchies du Golfe, parallèlement à une participation des entreprises et des fonds communautaires européens.

Cette nouvelle coopération Euromed-Pays du Golfe donne au projet une finalité géopolitique : les concepteurs du projet, fidèle à l’héritage gaulliste de la politique étrangère française, espère à travers le développement économique, affaiblir les tensions politiques et jouer un rôle prépondérant dans la résolution des conflits du Proche-Orient. Cette approche stratégique est confirmée par les propos d’Alain Leroy, ambassadeur français en charge du dossier, dans le quotidien londonien panarabe, Al-Hayat : « les objectifs de l’UPM sont politiques, mais les motivations sont économiques. On ne peut pas attendre la résolution des conflits pour lancer des projets économiques, par contre, on peut espérer que la dynamique économique provoque une stabilité politique ».

Le président français souhaite faire de l’Union pour la Méditerranée une des importantes réalisations de son quinquennat. La présidence française de l’Union européenne devrait nous montrer si la volonté politique pouvait transformer ce projet ambitieux en une réalité qui fera oublier les échecs du processus de Barcelone.
par Jamil Abou Assi

Il a affirmé que le rapprochement fécond entre la France et l’Algérie est «en marche


ALGÉRIE- FRANCE
Les certitudes de Chevènement

Il a affirmé que le rapprochement «fécond» entre la France et l’Algérie est «en marche».

«Ecouter des deux côtés, les demandes, les projets, les aspirations et d’y répondre avec la volonté de privilégier tout ce qui est porteur d’avenir», voilà ce qui suffit, aux yeux de Jean-Pierre Chevènement, président de l’Association France-Algérie (AFA), pour booster les relations entre les deux pays.
«Efforçons-nous d’encourager, dans notre soutien, tout ce qui est bénéfique aux deux pays et aux populations des deux rives de la Méditerranée. La relation spontanée entre Français et Algériens donne à nos liens économiques leur force, leur facilité, par la proximité des décideurs», a-t-il suggéré dans un entretien accordé hier à l’APS.
Pour autant, M.Chevènement a affirmé que le rapprochement «fécond» entre la France et l’Algérie est «en marche».
Cette déclaration s’inscrit en faux contre toutes celles qui affirmaient que les relations entre les deux pays sont au plus bas de leur niveau depuis au moins trois ans lorsque les affaires de l’assassinat des moines de Tibhirine en 1994 et l’assassinat d’Ali Mecili en 1987 ont été déterrées en France. Mais pour M.Chevènement, l’idée même de créer l’AFA est «magnifique» et est une avancée en matière de rapprochement entre les deux pays. «C’est une initiative qu’il faut poursuivre et enrichir», a-t-il estimé s’interrogeant sur «ce qui pourrait changer un tel programme d’amitié et de reconnaissance entre nos deux peuples». Pour lui, l’AFA n’est pas là pour jeter de l’huile sur le feu mais pour faire avancer les choses. Il a annoncé, dans ce contexte, la tenue d’un colloque à Paris sur le thème «L’Algérie et la France au XXIe siècle», d’ici à la fin de l’année en cours, à l’initiative de l’association. M.Chevènement a cité également, la Conférence franco-algérienne sur les relations dans les domaines universitaire et de la recherche, organisée de «manière remarquable» par le ministère algérien de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, conjointement avec les services culturels de l’ambassade de France, en octobre 2010.
Il a relevé que l’association appelle les deux pays à «s’atteler à un travail de définition et de reconnaissance» qui peut, selon lui, être «passionné et passionnant», soulignant que ce qu’il y a de commun entre les deux pays «c’est certainement une mémoire douloureuse pour tous, mais pas seulement, et certainement aussi, beaucoup de choses souvent indéfinissables que les peuples savent».
M.Chevènement a annoncé, par ailleurs, qu’il compte se rendre en Algérie au mois de mai, en tant que président de l’association, souhaitant prendre tous les «contacts utiles» en privilégiant la «dimension économique», avec un «intérêt précis» à accorder aux PME.

Karim AIMEUR

Aigle Azur des promotions entre l’Algérie et la France



Aigle Azur : des promotions entre l’Algérie et la France
Publié le 9 mars 2011 à 17h00 par Elsa Lecautec dans Actualité, Tourisme - 0 commentaire
La compagnie aérienne française propose des tarifs réduits jusqu’au 28 mars 2011 sur toutes ses lignes entre l’Algérie et la France.

Nouvelle vague de promotion chez Aigle Azur. La compagnie du groupe Gofast propose jusqu’au 28 mars 2011, des promotions au départ de toute l’Algérie vers ses 7 destinations françaises, pour tout voyage effectué entre le 8 mars et le 25 mai 2011.

En Algérie, Aigle Azur est présente, en fonction des saisons, à Alger, Annaba, Batna, Bejaia, Biskra, Chlef, Constantine, Djanet, Hassi Messaoud, Oran, Sétif, Tamanrasset et Tlemcen. Elle relie ces villes algériennes depuis Lille, Lyon, Marseille, Mulhouse, Paris et Toulouse.

A titre d’exemples, un aller / retour Lille – Alger est proposé à 205 euros TTC (20 533 dinars algériens), un Lyon – Sétif à 175 euros (17 528 dinars algériens), un Marseille – Tlemcen à 165 euros (16 529 dinars algériens) ou encore un Mulhouse – Oran à 205 euros (20 533 dinars algériens).

Grand Forum algéro-français



Algérie - En prévision du grand Forum algéro-français
Deux cents entreprises françaises en quête de partenariat Des entreprises françaises de divers secteurs d?activité seront à Alger les 30 et 31 mai prochains pour nouer des partenariats de type «gagnant-gagnant» avec les PME algériennes. C?est ce que nous avons appris auprès de l'agence Ubifrance qui parraine cette initiative. Ce voyage de prospection sera aussi suivi d?un forum algéro-français

Buzz politique Mr le President Nicolas Sarkozy



Le classement des personnalités les plus cités par les blogs politiques est marqué, cette semaine, par les différentes stratégies pour la présidentielle, en particulier celle de Mr le président Nicolas Sarkozy.

Mr le Président Nicolas Sarkozy pour la modernité de toute l'europe


Mr le President Nicolas Sarkozy élu 6è Président de la 5è République pour la modernité de toute l'europe,c'est mon amble avis,6 mai 2007

l'Union pour la Méditerranée (UpM, nécessité de Partenariat



Partenariat de l'UpM
Nécessité d'accélérer la mise en œuvre
Radi souligne la nécessité d'accélérer la mise en œuvre des projets de partenariat et de coopération de l'UpM».Le président de la Chambre des représentants, Abdelouahed Radi a souligné, mardi à Rabat, la nécessité d'accélérer la mise en œuvre des projets de partenariat et de coopération programmés par l'Union pour la Méditerranée (UpM), notamment la création d'une banque euro-méditerranéenne.

Radi, qui a assuré la présidence de l'Assemblée parlementaire de l'UpM (AP-UpM) depuis la 7e session de l'Assemblée qui s'est tenue 4 et 5 mars à Rome, a, également, insisté sur la nécessité urgente de renforcer la coopération dans divers domaines entre les deux rives de la Méditerranée et d'accompagner les aspirations des peuples de la région à davantage de démocratie, au respect des droits de l'Homme, à vivre dans la dignité et à asseoir les fondements d'un Etat de droit, a indiqué un communiqué de la Chambre des représentants.

Cela ne peut se réaliser qu'à travers la recherche, le plus tôt possible, d'une solution juste et définitive à la crise au Moyen-Orient, l'application des résolutions internationales relatives à cette région, et l'établissement d'un Etat palestinien avec comme capitale Al-Qods Acharif, a ajouté le document.

Les travaux de la 7e session ont examiné les recommandations et les rapports des cinq commissions permanentes de l'Assemblée, à savoir la commission des Affaires politiques, de Sécurité et des droits de l'Homme, la commission des Affaires économiques, financières et sociales, et la Commission chargée d'améliorer la qualité de vie et des échanges entre les sociétés civiles et culturelles, la commission des droits de la Femme et la commission de l'énergie, de l'eau et de l'environnement.

Les évènements qui secouent le monde arabe figuraient également à l'ordre du jour de cette session. En marge de cette session, une réunion extraordinaire a été tenue par le Bureau de l'Assemblée parlementaire, qui comprend les parlements des pays méditerranéens.

Lors de cette session, qui a été consacrée à l'examen du poste de la présidence vacant suite à la dissolution du parlement égyptien, Radi a été nommé président de l'AP-UpM jusqu'à la tenue de la prochaine session.

Le communiqué a, par ailleurs, relevé le rôle essentiel joué par Radi, dans les forums parlementaires méditerranéens, au niveau de la création et la présidence de la première session de l'AP-UpM, ainsi que sa contribution effective dans le processus de la mise en place de l'UpM.

Ce grand événement diplomatique parlementaire «est une autre reconnaissance de la part des parlementaires méditerranéens de la place distinguée du Maroc et du respect dont il jouit au niveau parlementaire méditerranéen», a estimé la même source.

L'Assemblée parlementaire de l'UpM se compose des Parlements des pays de la rive sud, ceux des pays membre de l'Union européenne et le parlement européen.




Par MAP

La Commission stratégie pour la Méditerranée du Sud




La Commission dévoile sa nouvelle stratégie pour la Méditerranée du Sud
[Fenêtre sur l'Europe]

La Commission européenne propose un ensemble de mesures incitatives en faveur des pays de la rive sud de la Méditerranée, notamment un assouplissement du régime de visa, un soutien accru à la société civile et une coopération économique plus étroite.


Il s’agit d’une nouvelle stratégie visant encourager les réformes
démocratiques dans la région, qui sera présentée au Conseil européen extraordinaire du 11 mars."L’Europe doit se tenir aux côtés de ceux qui aspirent à la liberté politique et à la justice sociale", a déclaré le président de la Commission européenne José Manuel Barroso en présentant cette communication au Parlement européen à Strasbourg le 8 mars.