阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Tuesday, February 02, 2010

L'Union européenne microcrédit



Emploi : L'Union européenne va développer le microcrédit
[Fenêtre sur l'Europe]
La préoccupation quant aux taux de chômage élevés dans l'Union européenne a dominé la réunion du Conseil informel sur l'emploi et la sécurité sociale, qui s'est tenue les jeudi 28 et vendredi 29 janvier à Barcelone.
Les ministres se sont accordés sur le besoin de chercher des stratégies plus concrètes et à court terme afin de répondre à ce problème, sans pour autant négliger la réflexion de fond en vue des politiques générales de la décennie, a expliqué le ministre espagnol du Travail, Celestino Corbacho, après avoir présidé les réunions."Le défi consiste à passer à l'action de façon immédiate et la Commission européenne (CE) travaille dès à présent sur une mesure concernant les microcrédits destinés aux jeunes entrepreneurs. Il existe une certaine possibilité d'arriver à un accord immédiat, le plus rapidement possible", a notamment M. Corbacho.L'idée est de destiner près de 100 millions d'euros sous forme de petits crédits à des personnes en difficulté, comme les jeunes et les chômeurs de longue durée, en fonction de critères non pas économiques, mais sociaux.

Algerie festival international pour les arts de l'Ahaggar



Du 15 au 20 février à Tamanrasset : Festival international pour les arts de l'Ahaggar

Les préparatifs de la 1ère édition du festival international Abalessa-Tin Hinan pour les arts de l’Ahaggar prévue du 16 au 20 février "vont bon train" à Tamanrasset, a-t-on appris hier, des organisateurs. Selon les responsables de l’Office du Parc National du Parc de l’Ahaggar (OPNA), ce festival, qui s'inscrit dans le cadre de la mise en valeur du patrimoine immatériel de la région, prévoit des communications et des conférences-débats autour du legs oral en matière de musique, de patrimoine artisanal local mais aussi d’usage des plantes médicinales du Hoggar. Ces rencontres, à être animées par des chercheurs algériens et étrangers, se dérouleront à la maison de la culture de Tamanrasset. Parallèlement, un concours national d’écriture sous la thématique de "Contes et légendes du patrimoine culturel saharien" a été lancé, à l’initiative du ministère de la Culture en direction des jeunes, des amateurs et des professionnels. Des concerts de chant sont également programmés dans des genres adulés et consacrés par les mélomanes de la région, à l’exemple de l’Imzad et du Tindé, avec des ténors algériens dont la majestueuse Baddy Lalla, très appréciée à Tamanrasset, ainsi que des invités de Djanet, Beni Abbès et Tindouf, et d'autres qui viendront spécialement pour l'évènement du Mali et du Niger. L'un des volets importants de la manifestation sera constitué par le "village d’ateliers" qui sera établi à Abalessa, une commune distante de quelque 120 km du chef-lieu de wilaya de Tamanrasset, et connue pour abriter le célèbre monument de la Reine touarègue Tin Hinan. Le "village" d'Abalessa sera consacré à des activités diverses et variées, dont des ateliers en bronze, en cuir, en argent et de multimédia. Il sera aussi le théâtre de soirées dédiées au "Conte et musiques africaines", animées par le "griot" femme (conteur africain) Beika Pakora et un méga-tindé avec la participation de la talentueuse Baddy Lalla. L’édition originelle du festival d'Abalessa s’est tenue du 23 au 25 février 2009, sous forme de rencontres, sous l'égide de la ministre de la Culture et du wali de Tamanrasset, a-t-on rappelé. "Suite à la demande des élus locaux d'Abalessa, ces rencontres ont été promues au rang de festival annuel institutionnalisé par le ministère de la Culture, avec pour objectif de faire la promotion du patrimoine culturel immatériel des nomades touareg et de constituer un lien de rencontre entre ces nomades et les chercheurs", a expliqué M. Ahmed Aouadi, directeur-adjoint de l’OPNA.

Algerie PMI PME



Industrie et développement : Le cap est mis

On ne le répètera jamais assez : l’économie mondiale traverse l’une des crises les plus sérieuses de son histoire contemporaine. La litanie des indices à la baisse ressurgit tel un serpent de mer. L’inquiétude s’installe et ce ne sont pas les formules alambiquées, mais guère rassurantes des économistes qui nous contrediront.Le contexte économique mondial est perturbé, chahuté par des turbulences tenaces. Fort heureusement, cette crise n’a pas eu d’impacts sur notre pays. Le processus de développement, entamé depuis une décennie, se poursuit avec la même persévérance et le même rythme à travers des plans quinquennaux concertés et structurés. Les résultats obtenus incitent à l’optimisme et instaurent la nécessité de poursuivre les efforts. Les indicateurs économiques sont positifs. La croissance économique est stable et soutenue. Le chômage recule de manière drastique, le niveau important des réserves de change, les aménagements apportés au cadre législatif et réglementaire, l’aisance financière, des avoirs logés au niveau du fonds de régulation des recettes, une inflation maîtrisée représentent une énumération non exhaustive des progrès importants enregistrés dans le domaine économique. L’Algérie a lancé de vastes chantiers de reconstruction et d’édification qui vont très certainement bouleverser le visage du pays, procéder à une nouvelle reconfiguration du paysage économique. Ce sont des projets de large envergure auxquels l’Etat a alloué des investissements publics colossaux. A titre d’exemple, le plan quinquennal 2010-2014 se voit doté d’une enveloppe budgétaire de 150 milliards de dollars pour maintenir le rythme de développement.Entre autres objectifs visés, on cite la création d’un million de logements supplémentaires et de trois millions de postes de travail pour combattre et en finir avec le chômage. L’effort de développement se maintient donc, malgré la baisse du prix du pétrole. Il est heureux aujourd’hui de constater qu’un débat s’instaure au sujet de la stratégie à adopter en matière de réindustrialisation du pays.La reconstruction d’un tissu industriel, novateur et innovant fait partie du programme présidentiel. Pour des raisons, qu’il est inutile d’évoquer, tant elles sont connues, l’Algérie a dû stopper pendant des années durant, son processus d’industrialisation qu’elle avait entamé au début de la décennie 70.Le retour de la croissance économique aidant, la stabilité recouvrée, se pose désormais la nécessité d’industrialiser le pays en ciblant des segments et des secteurs porteurs de plus-value et générateurs d’emplois. Le réflexion et les débats qui s’instaurent rendent compte d’un certain nombre de préalables indispensables au succès de cette politique de réindustrialisation du pays. Tout d’abord, veiller à s’éloigner du “gigantisme” budgétivore mais inefficace. L’Algérie a eu à payer rubis sur l’ongle une telle vision. L’option des PME-PMI est la plus envisagée, car elle facilite la gestion et la maîtrise des unités de production. En tout état de cause, les modèles d’industrialisation ne manquent pas. Il suffit juste de privilégier celui qui est le plus apte à garantir à notre processus de réindustrialisation, les meilleures conditions de son émergence et les bases les plus pérennes de sa consolidation. C’est d’autant plus perspicace, que l’Algérie s’attelle à sortir définitivement de sa dépendance vis-à-vis du secteur des hydrocarbures, en diversifiant son économie et ses sources de revenus hors hydrocarbures, dont l’épuisement ou le tarissement à longue échéance relèvent désormais de la certitude absolue. Les spécialistes et les experts se mettent au chevet d’une industrie pour lui assurer les fondements d’un essor incontestable, d’un développement durable. C’est aussi, une preuve supplémentaire que le pays ne veut plus marcher sur une seule jambe, au risque d’hypothéquer ses perspectives d’avenir.Mohamed Bouraïb

Algerie économie


COPEAM



17e Conférence de la COPEAM du 8 au 11 avril 2010 à Paris
Du 8 au 11 avril 2010, La Conférence Permanente de l'Audiovisuel Méditerranéen (COPEAM) se réunira à Paris du 8 au 11 avril prochain. Co-organisée par l'Institut National de l'Audiovisuel (INA), et placé sous le haut patronage de M. Nicolas Sarkozy, Président de la République, cette 17e Conférence générale aura pour thème : « Le pari de la Méditerranée ». Ce projet s'inscrit dans la perspective de la réunion des Ministres de la Culture puis des chefs d'Etat ou de gouvernement réunis en sommet de l'Union pour la Méditerranée en juin prochain. Elle a reçu le soutien du ministère des Affaires étrangères et du ministère de la Culture et de la Communication.La COPEAM est un acteur majeur de l'espace culturel méditerranéen et un partenaire privilégié des projets audiovisuels développés dans le cadre de l'Union pour la Méditerranée. Cette année, la Conférence de la COPEAM aura un caractère exceptionnel puisqu'elle présentera notamment trois projets phares adoptés en avril 2009 lors de sa conférence du Caire :
la chaîne pour la Méditerranée : première chaîne de télévision méditerranéenne, multiculturelle et multilingue, diffusée par satellite ;
MeD MeM : premier portail Internet sur le patrimoine audiovisuel méditerranéen ;
l'Université Audiovisuelle de la Méditerranée : premier réseau d'universités et d'écoles d'enseignement audiovisuel et de cinéma du bassin méditerranéen.La COPEAM, présidée par Emmanuel Hoog, PDG de l'Ina, réunit annuellement les opérateurs de l'audiovisuel et de la culture de la région euro-méditerranéenne. Son ambition est de regrouper l'ensemble des acteurs - publics comme privés - des médias (télévision, radio, Internet, producteurs), mais aussi de contribuer à l'organisation de manifestations culturelles et de festivals.Créée au Caire en 1996, la COPEAM est aujourd'hui un interlocuteur reconnu des instances dirigeantes des institutions européennes et arabes. Elle s'est affirmée, au fil des années, comme le « réseau des réseaux » en matière d'audiovisuel méditerranéen. Elle réunit plus de 130 entreprises audiovisuelles de 25 pays, parmi lesquels les principaux radio-diffuseurs publics de la région, ainsi que les deux grandes Unions de Radiotélévision européenne, UER (Union Européenne de Radio-Télévision), et arabe, ASBU (Arab States Broadcasting Union