阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Tuesday, February 16, 2010

UPM 16e Salon international de l'édition et du livre (SIEL).




Salon du livre
Débat autour de l'UPM
La France a eu la bonne idée en la personne de son président Nicolas Sarkozy de proposer, de concevoir et finalement de faire adopter ce projet par l'UE.L'Union pour la Méditerranée (UPM) a été longuement débattue par des intellectuels, diplomates, hommes politiques marocains et étrangers dans le cadre du 16e Salon international de l'édition et du livre (SIEL).
Intervenant lors de cette rencontre, tenue samedi à Casablanca, André Azoulay, conseiller de S.M. le Roi, a indiqué que la France a eu la bonne idée en la personne de son président Nicolas Sarkozy de proposer, de concevoir et finalement de faire adopter ce projet par l'Union européenne (UE).Est ce qu'on aura une destinée commune avec l'Europe de demain ?, s'est ainsi interrogé M. Azoulay rappelant que ce projet a validé une vision des deux côtés de la Méditerranée, le 14 juillet 2008 lors du Sommet de Paris. L'UPM, a-t-il poursuivi, constitue un projet légitime par la coresponsabilité, la co-gouvernance et la réciprocité qui va déterminer demain la vraie relation entre des millions de personnes dans les deux rives, avec chacun porteur d'espoir, de spiritualité et d'ambition de construire un destin commun à partir d'addition et non de soustraction.Lors de ce débat animé par le ministre de la Culture, Bensalem Himmich, Hassan Abouayoub, ambassadeur itinérant du Royaume a souligné que le moment est venu pour la rive Sud de faire une autocritique de la politique européenne dans la Méditerranée. Il a, par la même occasion, fait remarquer que la fermeture des frontières entre les pays constitue un obstacle de toute intégration régionale, relevant qu'il ne fallait pas oublier un grand acteur de cette région : les Etats-Unis. De son côté l'ambassadeur de la Turquie à Rabat, Haluck Ilicak, a noté que son pays a soutenu les initiatives méditerranéennes depuis le Processus de Barcelone, rappelant que l'idée de l' "Union Méditerranéenne" a été modifiée après le refus de certains pays arabes. Le diplomate turc a attribué les causes de l'échec du processus de Barcelone et la complicité du projet de l'UPM à la situation tragique de la question palestinienne, la division inter-palestinienne et la crise économique internationale. Ce qui entrave toute coopération, a-t-il poursuivi. L'écrivain marocain Tahar Benjelloun a, pour sa part, appelé "à pratiquer la culture de la Méditerranée" notant que le Royaume a cette chance d'avoir deux ouvertures maritimes : Méditerranée et Atlantique. Le Lauréat du Prix Goncourt (1987, pour "La nuit sacrée") a affirmé que la Méditerranée qui n'a pas été seulement une mer de paix et de coopération, mais un espace de guerre notamment civile (en Espagne, Grèce, Liban ) et de conflit dont le drame que vit le peuple palestinien. Pour sa part, l'universitaire Driss Alaoui Medeghri a précisé que l'UPM aidera sans doute à faire des plans, des stratégies et élaborer des visions, soulignant toutefois qu'il "faudra être raisonnablement pessimiste puisque chaque construction doit être inscrite dans la durée". Les intérêts des Etats des deux rives de la Méditerranée sont divergents et il sera difficile de construire une Union pour la Méditerranée sans une Union du Maghreb, a-t-il estimé. Pour l'économiste Lahbib El Malki, la Méditerranée est un espace en régression et de plus en plus en retard avec les transformations géographiques inhérentes notamment à la crise économique. M. El Malki a souligné que la construction d'une Union pour la Méditerranée devrait tirer sa légitimité du terrain notamment de la société civile. La crise mondiale constitue une occasion pour développer l'UPM qui devra être une plus-value du partenariat européen, a fait remarquer, de son côté, l'économiste et maire de la Ville de Rabat, Fathallah Oualalou. Il a passé en revue les obstacles qui retardent cette Union, citant notamment la compétitivité des pays de l'Europe de l'Est dans le domaine de l'agriculture, appelant à une vraie légitimité et crédibilité à travers une coopération positive. Placée sous le signe "La lecture: une clef pour la société du savoir", cette 16e édition (12-21 février) est organisée par le ministère de la Culture et le Conseil de la communauté marocaine à l'étranger (CCME), en partenariat avec le ministère chargé de la Communauté marocaine résidant à l'étranger.
Trois élèves remportent la première édition des Olympiades de récitationTrois élèves ont remporté, dimanche à Casablanca, le prix de la 1re édition des olympiades de récitation, organisées en marge de la 16e édition du Salon de l'édition et du Livre (SIEL) qui se tient jusqu'au 21 février. Les lauréats sont Ouissal Akalaâi de (l'école primaire Sakia Al Hamra-M'diq), Fatima Dalil (Lycée Allal Ben Abdellah-Laâyoune) et Lamia Sayeh (Lycée Moulay Youssef-Mediouna/Casablanca). Les distinctions leur ont été remises par le ministre de la Culture Benssalem Himmich et la secrétaire d'Etat chargé de l'Enseignement scolaire, Latifa Labida. Présidé par le critique et chercheur Abdenebi Dachine, le jury comprend également Ali Ait Ouchen et Azzedine Hamrouch. A cette occasion, M. Dachine a indiqué que pour départager les brillants candidats, le jury a pris en compte leurs talents de récitation, de diction et de prestation saluant le bon niveau des participants.Au total, 18 candidats sur 38 ont été retenus lors des présélections qui se sont déroulées du 1er au 3 février dans les différentes académies du Royaume.Les candidats restant devaient réciter six poèmes en langue arabe dont un poème de la palette de recueils proposés.

Tlemcen Algerie l'autisme




Le diagnostic et la prise en charge de l'autisme en débat




Le diagnostic et la prise en charge des enfants atteints d'autisme ont été soulignés au colloque international sur l'autisme en Algérie organisé dimanche à l'université de Tlemcen. "L'enfant autiste doit bénéficier des mêmes conditions éducatives que les autres enfants à condition que cette immersion dans le monde ordinaire soit accompagnée", a souligné le professeur René Pry (France) dans une intervention intitulée "prise en charge des enfants avec autisme". Le conférencier a indiqué que ce trouble "précoce, extensif, durable, hétérogène doit être pris en charge pour répondre aux besoins de socialisation, de santé et d'apprentissage". Le professeur Pry a, par ailleurs, souligné que les causes de l'autisme ne sont pas connues. "Aucun traitement n'existe actuellement. Il faudrait arriver à individualiser la prise en charge plutôt que de parler de programmes", a-t-il soutenu. Abordant les différents programmes de prise en charge prônés dans plusieurs pays du monde, le conférencier a mis l'accent sur l'importance d'associer les parents et les partenaires de socialisation dans toute prise en charge, en déclarant "pour l'heure actuelle, il n'existe ni panacée ni intervention miracle, mais il faut travailler sur la communication et sur le développement des aspects socio-communicatifs". Le Dr.Hacène Boucif du service de psychiatrie du CHU de Tlemcen a indiqué, pour sa part, que la prise en charge de l'autisme au service psychiatrique "est très difficile eu égard au manque d'une structure spécialisée et de personnel qualifié à assurer la prise en charge et le suivi". Les familles ayant des enfants autistes "sont livrées à elles même", a-t-il dit à ce propos. Les consultations sont basées essentiellement sur l'interrogatoire de la famille et l'observation de l'enfant autiste. "Souvent on a recours à des psychotropes que beaucoup de médecins étrangers déconseillent", a-t-il relevé. Dans son intervention intitulée "recommandations pour le diagnostic d'autisme", Mme Baghdadli Ammaria (France) a expliqué l'autisme comme étant un syndrome défini par une triade de symptômes, à savoir difficultés relationnelles avec les autres, troubles de la communication verbale et non verbale et intérêts restreints et comportements répétitifs. Après avoir abordé les différentes formes d'autisme, la conférencière s'est étalée sur les signes souvent associés à l'autisme comme les troubles anxieux, le retard mental, l'automutilation ainsi que d'autres anomalies comme l'épilepsie, les troubles de coordination motrice. Mme Baghdadli a ensuite abordé les signes d'alerte chez les bébés de 12 à 24 mois "quand ils ne font pas de gestes pour s'exprimer, ni de réponse à leur prénom, pas de mots, pas de petites phrases, ce qui pousse à l'inquiétude. Les parents doivent consulter des pédopsychiatres". La conférencière a enfin mis l'accent sur la nécessité de surveiller de façon continue tous les enfants en s'appuyant sur les partenaires que sont les médecins généralistes, les pédiatres et les professionnels comme les éducateurs de crèches. Notons que les participants au colloque ont mis l'accent sur la nécessité de former des équipes multidisciplinaires composées de pédopsychiatres, psychologues, orthophonistes, éducateurs et psychomotriciens, "pour assurer un meilleur suivi et une meilleure prise en charge des autistes". Les participants ont souligné, au terme des travaux de cette rencontre en fin d'après-midi, l'importance de prévoir des infrastructures appropriées à la prise en charge des sujets autistes "en créant des centres ressources autisme, nécessaires à l'accueil des enfants et de leurs parents qui sont partie prenante au processus de prise en charge". En plus de la réalisation de bilans et des évaluations approfondies de l'autisme en Algérie, les présents à cette rencontre scientifique ont demandé d'initier des actions de formation à l'endroit de tous les acteurs impliqués dans le diagnostic et la prise en charge de l'autisme en mettant en place une licence professionnelle pour éducateurs spécialisés, notamment à l'université de Tlemcen qui assure, depuis l'année 2008, une formation de master dans le développement cognitif typique et troublé. Les étudiants, qui ont bénéficié de cette formation, initiée conjointement par l'université de Tlemcen et celle de Montpellier (France), "peuvent assurer à leur tour la formation de ces éducateurs", ont souligné les participants. Le colloque international sur l'autisme en Algérie, qui a vu la présence d'universitaires de divers horizons (médecins généralistes, psychiatres, psychologues) algériens et français, a permis aux participants de s'informer sur différents aspects de l'autisme et les difficultés liées à sa prise en charge, tant les visions et les méthodes sont divergentes d'un pays à un autre. Le plus important, ont indiqué les participants, "est l'existence d'un consensus sur certaines bases", comme la précocité des interventions, la collaboration avec les parents, le maintien autant que possible des conditions de vie et d'éducation ordinaires et enfin la proposition d'un environnement pédagogique et éducatif très structuré basé sur la proposition d'objectifs précis et hiérarchisés avec une attention particulière portée à l'amélioration de la communication.
R.R.

Oran Algerie microentreprises 'emploi




55 exposants aux journées portes ouvertes sur l'emploi




Quelque 55 exposants dont des représentants de 22 microentreprises prennent part à des journées portes ouvertes, dimanche à Oran, sur l'emploi. La première journée de cette rencontre, dont le coup d'envoi a été donné par le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, Tayeb Louh, a été marquée par la présentation d'expériences et de performances de jeunes promoteurs qui ont bénéficié d'un financement dans le cadre du dispositif de la CNAC ou de l'ANSEJ. Le jeune Harrat Benmoussa Djelloul, qui détient un atelier de confection de tenues de travail dans la localité de "Chahid Mahmoud" (Hassi Bounif), entré en production en avril 2006, a réussi une incursion dans le marché national de ce type de produits et l'effectif de sa microentreprise est passé de 5 à 7 employés permanents. Pour sa part, Raïs Toufik, électronicien diplômé de l'USTO, est depuis quatre ans à la tête d'une micro-entreprise de fabrication de panneaux d'affichage électronique à Misserghine, à la faveur d'un crédit triangulaire dans le cadre du dispositif de l'Ansej. Malgré la concurrence de produits importés, il a réussi à placer ses produits à Alger et Tlemcen, a-t-il indiqué. La micro-entreprise d'éclairage public que dirige le jeune Negadi Houari, depuis neuf mois à haï El Othmania (Oran), est également un modèle de réussite, avec un carnet de commandes de Médéa, de Djelfa, de Laghouat et d'Alger. "J'ai eu heureusement le bon réflexe de prospecter le marché national, deux mois avant le lancement de mon activité. Le mobilier urbain que je produis, notamment les candélabres, est très prisé", a souligné ce jeune promoteur. L'installation, par la wilaya d'Oran, du comité local d'études et de financement de projets (clef) a donné des résultats "satisfaisants", a estimé le directeur de l'ANSEJ d'Oran, M. Aziz Naït Bahloul, qui a indiqué que les 58 commissions qui ont siégé depuis le 20 janvier 2008, ont validé 1.964 sur 2.506 dossiers examinés dans différents secteurs d'activités. Le bilan de 2009 fait état de 761 dossiers financés, soit le double de l'année 2008, a-t-il ajouté en rappelant que la validation des acquis professionnels a permis à 428 jeunes porteurs de projets de passer par le canal de la formation professionnelle pour bénéficier du dispositif de l'ANSEJ. L'établissement de la cartographie des métiers pour les 26 communes de la wilaya a permis, en terme d'opportunités, aux jeunes d'aller vers des créneaux jugés porteurs comme l'aviculture (engraissement de la volaille, élevage de poules pondeuses), la collecte de lait et le maraîchage. Dans le cadre de l'accompagnement des promoteurs, quelque 585 jeunes ont été initiés à la formation dans le management et le développement de l'esprit entrepreneurial, a-t-il encore indiqué.
R.R.

Environnement : Le Sommet de la mer Noire



Environnement : Le Sommet de la mer Noire s'ouvre aujourd'hui à Paris
[Fenêtre sur l'Europe]
Après la Conférence de Copenhague, Michèle Sabban, Présidente de l’Assemblée des Régions d’Europe, organise le "Sommet de la Mer Noire" à Paris les 15 et 16 février prochains.
Cette conférence sera consacrée aux problématiques environnementales de la gestion de l’eau et du tourisme durable, dans les régions du pourtour de la Mer Noire et du bassin du Danube. A la suite de l’adhésion de la Bulgarie et de la Roumanie à l’Union européenne en 2007, et dans le contexte du Partenariat oriental lancé au printemps 2009 par l’Union européenne, les pays de la Mer Noire ont quitté leur statut périphérique pour intégrer pleinement le reste de l’Europe. Stratégiquement située à l’intersection de l’Europe, de l’Asie centrale et de l’Europe de l’Est, cette région concentre de nombreuses problématiques liées au développement durable. C’est dans ce cadre que Michèle Sabban, Présidente de l’ARE, a pris l’initiative d’organiser un "Sommet de la Mer Noire" les lundi 15 et mardi 16 février à Paris. Ce sommet, qui réunira notamment des représentants des régions du pourtour de la Mer Noire, représente une occasion unique pour tisser un réseau de relations entre les régions de la Turquie, de l’Arménie, de la Géorgie, de la Russie, de la Bulgarie ou encore de la Roumanie, et les faire entrer dans un processus de coopération interrégionale.Michèle Sabban appelle ainsi les acteurs de cette région à concevoir ensemble les solutions à mettre en œuvre pour répondre aux enjeux que sont la gestion de l’eau et le tourisme durable, en partant des compétences des territoires et des initiatives de leurs citoyens. Le programme complet est disponible sur :http://www.aer.eu/fr/events/commission-permanante-des-affaires-institutionnelles/2009/aer-and-cooperation-around-the-black-sea.html