阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Monday, June 28, 2010

Union pour la Méditerranée une première union pour les ports de Méditerranée




Une première union pour les ports de Méditerranée



Une première rencontre des ports de Méditerranée, associant également quelques ports du Nord, est prévue fin octobre 2010 à Marseille, selon éconostrum. Pour l'heure marseillo-marseillaise, cette structure espère très rapidement fédérer les ports orientaux et ceux du Maghreb afin de bâtir une UpM version maritime. " L'objectif est de faciliter et de développer les échanges entre les différents ports de la Méditerranée et les pays européens ayant une façade maritime ", explique Claude Durand, président de l'UMM. L'ancien dirigeant de l'entreprise de réparation navale marseillaise Marine Technologies est assisté dans sa mission d'Hervé Balladur, président de l'Union Maritime et Fluviale de Marseille-Fos et de trois autres personnalités issues du monde portuaire et de la banque (Marie-Hélène Pasquier, André Tenaglia et Pascal Consales). L'Union Maritime pour la Méditerranée (UMM) est une association fondée en juin 2010 sous l'impulsion de l'adjoint au maire de Marseille Jean Roatta, représentant phocéen de la mission française Union pour la Méditerranée. Une première réunion est prévue fin octobre, début novembre à Marseille avec un premier cercle de ports du Maghreb (Casablanca, Tanger, Béjaïa, Alger, Tunis) et des représentants des ports d'Egypte, du Liban et de Syrie. " Nous souhaitons également inviter les ports de Rotterdam et d'Hambourg car nous avons besoin d'intensifier nos relations Nord-Sud", ajoute M. Durand. Lors de ce premier colloque, les membres actifs de l'UMM présenteront plusieurs dossiers à cette communauté maritime. Si le programme n'est pas encore complètement défini, " il sera notamment question avec la société MGI d'étendre le réseau d'informatique portuaire et de créer un observatoire des flux en Méditerranée à l'initiative de l'Institut Méditerranéen des Transports Maritimes (IMTM) ", détaille Claude Durand. Cet événement, organisé sur une journée, s'articulera autour d'un colloque le matin et d'ateliers de travail dans l'après-midi. " A l'issue de cette journée, nous demanderons aux partenaires de devenir membres associés de l'UMM et nous soutiendrons les projets ainsi validés en les aidant à trouver des financements. Et en ce sens, la Banque européenne d'investissement aura un rôle à jouer. Le cercle de membres devrait s'élargir l'année suivante. Nous souhaitons avancer par pallier", conclut Claude Durand.R.E.

Mr le Président Nicolas Sarkozy réduit le train de vie de l'Etat



Sarkozy réduit le train de vie de l'Etat
Le chef de l'Etat annonce des restrictions et un meilleur encadrement des dépenses de l'Etat : frais privés, garden-party, ministères, chasses présidentielles

Dans une lettre adressée au Premier ministre et rendue publique lundi 28 juin, Nicolas Sarkozy affirme que le train de vie de l'Etat va être "vigoureusement réduit". Le présidenta confirmé la suppression "cette année" de la garden party du 14 juillet à l'Elysée, et annoncé la fin des chasses présidentielles qui "seront remplacées par de simples battues de régulation". De plus 10.000 véhicules et 7.000 logements de fonction seront supprimés "d'ici 2013".Par ailleurs, le chef de l'Etat a annoncé que les ministres paieraient leurs frais privés "sur leurs deniers personnels" et qu'ils encourraient des "sanctions" en cas d'abus.
"A l'heure où nos concitoyens sont frappés par la crise, l'Etat doit, plus que jamais, faire preuve d'exemplarité", affirme Nicolas Sarkozy. Pour le chef de l'Etat, "la recherche d'économies au sein des administrations est une nécessité pour redresser nos finances publiques. Elle est également un impératif moral".
"Ceux qui incarnent l'intérêt général ne peuvent être exonérés de l'effort demandé à la Nation. Ils ont une responsabilité particulière qui découle de leur mission, celle de faire un usage irréprochable de l'argent public"a-t-il ajouté.
Un peu plus tôt le journal La Tribune avait annoncé que le chef de l'Etat devrait annoncer "au plus tard mardi" des mesures pour "moraliser les pratiques gouvernementales et tailler dans les dépenses des cabinets ministériels".
Le quotidien économique explique que "l'Etat va devoir donner des gages à une opinion publique secouée par les révélations de dépenses somptuaires de certains ministres" et affirme qu'au "plus tard mardi le chef de l'Etat devrait annoncer des mesures fortes pour réduire le train de vie gouvernemental".
"Le président de la République va donc plaider pour une république exemplaire et surtout plus modeste", ajoute La Tribune, après les révélations de ces dernières semaines concernant les excès divers quant aux logements de fonction de Christian Estrosi et Fadela Amara, à la rémunération de Christine Boutin, au permis de construire d'Alain Joyandet, aux achats de cigares de Christian Blanc, et en plein scandale Bettencourt-Woerth.

Réduction d'effectifs dans les ministères
François Fillon a d'ores et déjà annoncé vendredi de "nouvelles règles" sur les logements de fonction, les déplacements et le nombre de collaborateurs des ministres et secrétaires d'Etat, notent Les Echos. Sur ce dernier sujet, le Premier ministre a rappelé la consigne qu'il avait lui-même donnée en 2007 : un maximum de 20 collaborateurs par ministre, et 4 par secrétaire d'Etat. "Naturellement, tout cela a été bousculé au fil du temps. On va revenir à des règles plus strictes", a-t-il déclaré. Tous les secrétaires d'Etat et 6 ministres sur 20 dépassent le contingent fixé, pointent les Echos, qui accordent la palme au ministre du Développement durable, Jean-Louis Borloo, et ses 36 collaborateurs.
Matignon rappelle également une autre décision déjà prise : la réduction de 10% dès 2011 de l'enveloppe consacrée aux frais de fonctionnement des ministères.
La semaine dernière, l'entourage de Nicolas Sarkozy avait annoncé qu'il supprimait la garden party du 14 juillet organisée à l'Elysée. Le Quai d'Orsay et le ministère de l'Outre-mer lui ont emboîté le pas.

(Nouvelobs.com)

Ghardaïa Algérie la ville patrimoine vivant



Algérie: « La ville patrimoine vivant » thème d’un atelier de formation à Ghardaïa
Ghardaïa Algérie – La thématique de la ville « patrimoine vivant » est au centre d’un atelier de formation portant sur la participation citoyenne à la gestion de la ville, organisé dimanche à Ghardaïa.
Cet atelier, qui regroupe les acteurs et partenaires locaux de la vallée du M’zab (classée patrimoine universel en 1982 par l’Unesco), est initié dans le cadre du programme Euromed Héritage (IV), financé par l’Union européenne et du projet « Mountada » chargé de la réhabilitation de l’architecture des villes maghrébines, en partenariat avec l’Office de la protection de la vallée du M’zab (OPVM).
La rencontre vise à répertorier des thèmes clés devant servir de plateforme pour un programme d’action de promotion du patrimoine bâti ancien et du tissu urbain de la vallée du M’Zab, selon les explications du directeur de la culture de Ghardaïa, Zohir Balalou.

Algérie: Les anciens élèves des Beaux-arts exposent à Alger




Algérie – Une exposition, regroupant les œuvres des anciens étudiants de l’ex Ecole nationale des Beaux-arts et de l’Ecole supérieure des Beaux-arts, se tient jusqu’au 4 juillet à la galerie de la librairie « Media-Book » (Alger).
L’exposition, à laquelle ont pris part trente et un artistes, comprend des peintures à l’huile, des aquarelles, des techniques mixtes, des photographies ainsi que des sculptures.
Zahia Kaci a exposé deux tableaux réalisés selon la technique mixte (sable, peinture et plâtre) de style semi-figuratif, à travers lesquels elle a mis en exergue la richesse des signes et symboles du terroir. Nadir Guellati et Ahmed Messaoudi ont présenté des natures mortes.
source: APS

Alger l'oued El Harrach dépollué avant fin 2014



La capitale sera-t-elle débarrassée un jour des odeurs nauséabondes de l'oued El Harrach ? Le projet de dépollution et de réaménagement de cette rivière fortement polluée sera achevé avant fin 2014 avec la réalisation d'une station d'épuration des eaux industrielles usées, a annoncé dimanche le ministre des Ressources en eau, Abdelmalek Sellal. Le projet a été entamé en 2007, avec l'opération " Jasmin " qui a permis de " réduire considérablement " les mauvaises odeurs dégagées par cette rivière polluée. En 2008, la station d'épuration de Baraki, d'une capacité quotidienne de 900.000 équivalents habitants, a été mise en service. Le projet devrait connaître une nouvelle étape avec la construction d'une infrastructure capable de récupérer les eaux rejetées par les zones industrielles de la région, a indiqué M. Sellal. Le ministre, qui s'exprimait aux journalistes à l'issue d'une visite d'inspection à plusieurs chantiers de son secteur dans la région algéroise, a affirmé avoir instruit les responsables du secteur des eaux de la wilaya d'Alger pour engager "dans les plus proches délais" l'étude d'exécution relative au projet de la station d'épuration des eaux industrielles afin qu'elle soit prête en 2012. Le lancement des travaux de réalisation du projet est prévu pour la même année, tandis que la réception de l'infrastructure, dont le financement est inscrit dans le futur programme quinquennal d'investissements publics, est attendue pour 2014, a précisé M. Sellal. La mise en service de cette station, qui va absorber la totalité des eaux rejetées par les 473 unités industrielles situées, notamment, entre les communes d'El Harrach, Baraki, Gué de Constantine et Oued Smar, combinée à la poursuite de l'effort de réduire les mauvaises odeurs permettraient de réaménager et de réhabiliter l'Oued dans un délai de cinq ans, a assuré le ministre. Le recours à la réalisation de cette station a été rendu nécessaire suite au retard constaté de la part des unités industrielles de la région dans la construction de leurs propres stations d'épuration, a également expliqué le ministre. D'autre part, la sécurisation de l'alimentation en eau potable de la région ouest de l'Algérois devrait être considérablement renforcée à la faveur de la mise en service de plusieurs structures hydriques dans un linéaire allant de Bouzaréah jusqu'à Zéralda. Il s'agit, d'ailleurs, du projet de transfert d'une partie des eaux de Oued El Harrach à partir de Hammam Melouane (Blida) vers le barrage de Douera. Ce procédé permettra également de récupérer une bonne partie des eaux de l’Oued avant d'être polluées, a-t-on assuré. Une station de pompage, d'un débit de plus de 8 m3/seconde, a été mise en service ce dimanche au niveau de la localité de Chebli pour optimiser le débit des eaux transférées vers le barrage de Douera. Le système hydraulique de Bouzaréah, également mis en service ce dimanche et dont la capacité installée est de 65.000 m3 par jour, permettra, lui aussi, de renforcer davantage la distribution dans la région ouest de la capitale. Outre la sécurisation de l'AEP, l'irrigation de plus de 7.000 ha de la plaine de la Mitidja est désormais assurée grâce à la réception partielle du barrage de Douera, alors que 10.000 autres ha le seront en 2011 lorsque ce barrage sera totalement livré, selon M. Sellal. De même, les responsables du secteur de la wilaya d'Alger ont été instruits pour lever toutes les contraintes empêchant la bonne exécution du projet, notamment, le relogement de 225 familles occupant le périmètre de l'installation. Au total, la capacité installée en matière d'AEP dans toute la région algéroise est de 1,83 million de m3/jour pour des besoins exprimés à hauteur de 850.000 m3/j, explique-t-on. Cependant, la sécurisation d'une distribution en continue de la région demeure le principal défi à relever dans la capitale, a-t-on souligné.R.R.

« Les pays du Maghreb doivent bâtir un pont pour produire des films ensemble »




Nadia Cherabi. Cinéaste, productrice et universitaire


L’Avenue des palmiers blessés est le nouveau film de Abdellatif Ben Ammar. Il est le fruit d’une coproduction algéro-tunisienne. Il sera projeté le 8 juillet prochain à Tunis, avant d’être présenté au public une semaine après à Alger. C’est le cinquième long métrage de Abdellatif Ben Ammar après Le Chant de Noria, sorti en 2002. Après la réalisation de L’Envers du miroir, Nadia Cherabi a produit le film Aïchat de Saïd Ould Khelifa, une fiction inspirée de l’affaire de Hassi Messaoud, et a assuré la coproduction de L’Avenue des palmiers blessés. Nadia Cherabi, qui travaille en étroite collaboration avec le cinéaste Sid Ali Mazif dans la société Procom Internationnal, fait un plaidoyer pour la coproduction cinématographique au Maghreb.
Comment est née l’idée de coproduire le nouveau film L’Avenue des palmiers blessés ?
J’ai rencontré le cinéaste tunisien, Abdellatif Ben Ammar, au Festival du film arabe d’Oran. Nous avons discuté de la possibilité de créer une certaine synergie entre les pays du Maghreb en matière de production cinématographique. C’est de là qu’est née l’idée de la coproduction du film L’Avenue des palmiers blessés, un film d’initiative tunisienne. L’Algérie est partenaire de ce projet. Elle y participe sur les plans artistique et technique. Des comédiens algériens sont distribués dans ce film, comme Hassan Kechache, qui joue le rôle du chef d’orchestre, Rym Takoucht, Larbi Zekkal, Aïda Guechoud et Mohamed Yargi.
Il y a également la présence de techniciens algériens. La participation algérienne couvre les frais de tous ces postes, y compris celui de la musique. L’Algérien Farid Aouameur signe la bande originale de ce long métrage. Le tournage a eu lieu à Bizerte et à Tunis. Le film est prêt et sera présenté en avant-première mondiale à Tunis le 8 juillet et le 15 juillet à Alger, probablement à la salle El Mougar. Pour rappel, Abdellatif Ben Ammar a sollicité l’Algérie par le passé pour la production du film Aziza (Tanit d’or aux Journées cinématographiques de Carthage en 1980). C’était une belle expérience.
Quelle est brièvement l’histoire racontée par L’Avenir des palmiers blessés ?
C’est l’histoire d’une jeune fille qui part à la recherche de son père. Un père nationaliste qui a perdu la vie à Bizerte après une attaque brutale de l’armée coloniale française. Cette armée a commis un véritable massacre en une journée, celle du 19 juillet 1961. Le père de la jeune fille est mort dans des circonstances inconnues. Elle n’a aucune trace de lui. Il n’existe même pas une pierre tombale qui porte le nom du défunt. La fille rencontrera le chef d’orchestre algérien exilé à Tunis après le début de la violence en Algérie dans les années 1990. Le film, qui se situe dans les années 1990, au début du déclenchement de la guerre du Golfe, porte un double regard sur la guerre. Le réalisateur a voulu faire un parallèle entre l’attaque contre l’Irak et le massacre de l’armée coloniale française à Bizerte. Abdellatif Ben Ammar a lui-même écrit le scénario. Cette histoire aurait pu être algérienne aussi. Pour nous, cette coproduction ouvre la voie à d’autres projets.
Justement, existe-t-il d’autres projets de coproduction avec les Tunisiens ?
Nous avons proposé à la coproduction algéro-tunisienne un scénario écrit par Malek Laggoun, inspiré du roman de Abdelhamid Benhadouga, Djazia oua darawich. Malek Laggoun fait une adaptation libre. Le fonds du ministère de la Culture, le FDATIC, a donné son accord pour soutenir en partie le film. Nous étudions la possibilité de monter une nouvelle coproduction qui sera la suite de la première avec L’Avenue des palmiers blessés. L’important est de créer un cadre plus général qui permette à d’autres réalisateurs de faire des montages de coproduction. L’intérêt sera mutuel.
Aujourd’hui, produire un film en Algérie coûte cher. Des fonds sont engagés pour la prise en charge du tournage, de la production, de la post-production et la promotion du film. Tous ces chapitres sont extrêmement coûteux. Pour faire un bon film, il faut une moyenne de 50 à 60 millions de dinars. C’est le minimum, mais qu’on le dise, ça paraît disproportionné, énorme. Les budgets diffèrent d’un film à un autre. Il faut qu’il y ait des barèmes pour connaître le coût des productions. Les cinéastes doivent se doter d’une organisation pour ne plus aller en rangs dispersés négocier les prestations à l’étranger comme le développement des films. L’Algérie n’a pas encore de laboratoire.
Alors l’avenir appartient-il à la coproduction cinématographique entre pays du Maghreb ?
Pour des raisons économiques et culturelles, les pays du Maghreb doivent bâtir un pont pour produire des films ensemble. On aurait bien tort de ne pas essayer de faire connaître nos films dans nos territoires respectifs, mais aussi de faire connaître les films maghrébins à l’étranger. On s’est aperçus que les films algériens projetés en Tunisie ont eu un accueil favorable de la part du public. Je pense à Mascarades de Lyès Salem. Les fictions présentées lors de la semaine du film algérien à Tunis (en février 2010, ndlr) ont eu un bel écho. L’existence d’une communauté de référents culturels et de points de vue fait qu’on a tout à gagner à développer les échanges culturels avec la Tunisie et le Maroc. Des initiatives ont été prises récemment par des réalisateurs algériens pour faire développer leurs films au Maroc. Les discussions sont en cours. C’est encourageant !
Par Fayçal Métaoui

Nouara le portail de la nature et de l'écoclogie en algerie

promouvoir le tourisme en algerie

Algerie PATRIMOINE ARCHITECTURAL À GHARDAÏA



La thématique de «La ville, patrimoine vivant», est au centre d’un atelier de formation portant sur la participation citoyenne à la gestion de la ville, organisé dimanche à Ghardaïa. Cet atelier, qui regroupe les acteurs et partenaires locaux de la vallée du M’zab (classée patrimoine universel en 1982 par l’Unesco), est initié dans le cadre du programme Euromed Héritage (IV), financé par l’Union européenne et du projet «Mountada» chargé de la réhabilitation de l’architecture des villes maghrébines, en partenariat avec l’Office de la protection de la vallée du M’zab (Opvm). La rencontre vise à répertorier des thèmes-clés devant servir de plate-forme pour un programme d’action de promotion du patrimoine bâti ancien et du tissu urbain de la vallée du M’zab, selon les explications du directeur de la culture de Ghardaïa, M.Zohir Balalou.Animé par des experts étrangers, l’atelier constitue également un espace d’échange et de concertation entre les différents acteurs locaux, afin de dynamiser un processus participatif et de créer une synergie permettant une meilleure gouvernance et gestion du patrimoine de la vallée du M’zab. Selon un de ses animateurs, l’atelier déterminera également les différentes approches de restauration du patrimoine architectural en utilisant la méthode «Afom» (atout, faiblesse, opportunité et menace), pour planifier et construire des actions devant servir à une gouvernance durable ayant des impacts positifs sur le citoyen.En marge de la rencontre, une action de sensibilisation destinée aux écoliers les invitant à contribuer à l’amélioration des espaces urbains qu’ils fréquentent en vue de protéger le patrimoine architectural de la vallée du M’zab, a été lancée dans trois quartiers de Ghardaïa.La région du M’zab (Ghardaïa), composée de cinq ksour (villes forteresses), constitue un haut lieu d’architecture traditionnelle très courtisé par de nombreux spécialistes et universitaires. Cet important site architectural, édifié pour une vie communautaire respectueuse de la sociologie des habitants, qui a connu une dégradation à la suite des effets de l’homme et de la nature, notamment les dernières inondations d’octobre 2008, constitue une préoccupation majeure des instances nationales et internationales dans le but de le sauver et de le réhabiliter.
R.C

L’Algérie veut un G8 plus engagé



L’Algérie a exprimé son souhait d’un partenariat renforcé entre les pays du G8 et l’Afrique à l’occasion du sommet du G20 au Canada.lundi 28 juin 2010.
Pour l’Algérie et de la bouche même du ministre Délégué, chargé des Affaires maghrébines et africaines, le renforcement du partenariat entre l’Afrique et le G8 doit être de plus en plus concret pour obtenir des résultats en mesure de répondre mieux et réellement à l’attente africaine en matière de développement. Pour le Responsable algérien, il est à souhaiter que « le G8 s’engage davantage et qu’il accorde plus d’attention aux priorités de l’Afrique, en termes, entre autres, de Paix, de Sécurité, d’Infrastructures, d’Education et de Lutte contre les maladies ». Sur l’ordre du jour du Sommet du G8 dans son segment « Afrique », le ministre a indiqué qu’il sera consacré à l’évaluation du partenariat entre le G8 et l’Afrique, qui a démarré en 2001. « Il y a des engagements pris, de part et d’autre, notamment par le G8 à travers ses différents Sommets.
C’était vendredi, à quelques jours de l’ouverture des travaux du Sommet à Huntsville. En après-midi, ce fut autour du Premier ministre canadien de revenir sur la même question en déclarant, entre autres, « nous devons donner suite à nos engagements ». Et pour joindre le geste à la parole, au Premier ministre canadien de préciser que le Canada entend prêcher par l’exemple dans le dossier du financement des services de santé maternelle et infantile dans les pays en voie de développement. À l’ouverture du Sommet du G8, le Premier ministre Stephen Harper a annoncé que le Canada contribuera en tout, pour trois milliards de dollars au cours des cinq prochaines années à cette cause. De cette somme, 1,1 milliard est de l’argent frais. M. Harper a ainsi mis de la pression sur les autres pays membres du G8 (Canada, États-Unis, France, Grande-Bretagne, Italie, Japon, Allemagne et Russie) pour qu’ils délient aussi les cordons de leurs bourses respectives bien que leurs situations financières fassent l’objet de plans marqués par une sérieuse austérité, qui soulève bien souvent la colère de leurs peuples contraints de se serrer de plus en plus la ceinture.
Synthèse de Rayane, www.algerie-dz.com D’après Le Financier

Algérie-UE un mémorandum de coopération pour 2011-2013






Algérie-UE: Alger signe une double coopération avec l’Union européenne

Un mémorandum de coopération pour 2011-2013 de 172 millions d'euros et une convention de financement du programme d'appui de l'enseignement supérieur à hauteur de 21,5 millions d'euros ont été signé ce dimanche entre l'Algérie et l'Union européenne (UE) à Alger. Une occasion considérée par le ministre algérien des Affaires étrangères Mourad Medelci comme un « évènement solennel qui vient témoigner de la qualité des relations entre l'Algérie et l'UE ». En effet, « ce programme est doté d'une enveloppe de 172 millions d'euros, a-t-il précisé. « Les documents ont été signés par les ministres algériens des Affaires étrangères, Mourad Medelci, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Rachid Harraoubia, et le commissaire européen responsable de l'Elargissement et de la Politique européenne de voisinage, Stefan Füle », indique le site rtlinfo.be. Ces accords devront notamment recouvrir six programmes de coopération relatifs à la protection de l'environnement, la valorisation du patrimoine culturel, le développement socio-économique, le secteur des transports, la mise en œuvre de l'accord d'association ainsi que la pêche et l'aquaculture.