阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Monday, February 07, 2011

Algerie UPM Union pour la méditerranée 2011



par Khalil Hedna
L’université de Sétif associée au projet e-OMed

Ce projet, proposé dans le cadre de l’Union pour la Méditerranée (UPM), est une extension des réalisations existantes dans les campus virtuels, les universités numériques thématiques, les établissements d’enseignement supérieur...

Conscient de la nécessité de construire progressivement un espace numérique entre les pays du Pourtour méditerranéen et progressivement ouvert à l’Afrique sub-saharienne, le projet e-OMed porte l’ambition de mutualiser, valoriser et développer les contenus numériques des établissements d’enseignement supérieur et des universités numériques nationales, ainsi que leur usage, autour d’un espace numérique ouvert à tous, à l’échelle de l’ensemble des pays de la Méditerranée. C’est ainsi que l’université Ferhat Abbas de Sétif a pris part au projet e-OMed qui se veut une communauté d’échanges, de partage et de mutualisation des ressources numériques, notamment à des fins de formation et de recherche, dans le respect de la diversité culturelle et linguistique. Ce projet, proposé dans le cadre de l’Union pour la Méditerranée (UPM), est une extension des réalisations existantes dans les campus virtuels, les universités numériques thématiques, les établissements d’enseignement supérieur... dans le domaine des TICE dans tous les pays du pourtour méditerranéen. Il vise la construction graduelle d’un espace numérique ouvert à tous, alimenté par des projets issus de collaborations entre différents pays de l’UPM (Nord-Sud, Sud-Sud) et qui ciblent, à la fois, la culture, la formation, la recherche et l’innovation ; ceci afin de contribuer au développement socioéconomique et culturel de la région méditerranéenne. D’autre part, cet ambitieux projet, officiellement lancé depuis la conférence inaugurale de mars 2009 par les professeurs Abdelfdil Bennani, coordonnateur du Campus virtuel marocain et président de l’Université d’Agadir, et Gilbert Touzot, président de l’Université numérique ingénierie et technologies (UNIT), comporte les campus virtuels, les universités numériques thématiques, les établissements d’enseignement supérieur de tout le bassin et qui sont désireux de renforcer la visibilité des cultures et celle de l’activité académique, notamment lorsqu’elle s’exprime à travers des innovations pédagogiques permettant la diffusion des connaissances et les formations supérieures vers de plus larges publics. Il ambitionne également de promouvoir une « solidarité numérique » susceptible de contribuer à la résorption du fossé entre les rives nord et sud et de favoriser l’émergence d’une société de l’information au bénéfice des pays et des peuples de l’espace méditerranéen et ouvert à l’espace sub-saharien. Ces institutions scientifiques affiliées à ce projet sont attachées aux principes de solidarité humaine et désireuses de développer une coopération équilibrée dans l’intérêt mutuel des institutions de formation et de recherche en coopération avec les structures socioéconomiques du Nord et du Sud.

Qui participe à l'Ap-UpM l'Union pour la Méditerranée 2011


contacts rompus avec la Tunisie et L'egypte

LUXEMBOURG - Les relations avec des pays qui font la révolution, comme au Maghreb, ne sont pas aisées
La semaine prochaine, la commission de l'économie de l'Assemblée parlementaire de l'Union pour la Méditerranée (Ap-UpM) se réunit à Luxembourg. Le président de ladite commission est égyptien.

«Pour l'instant, il est inscrit et on prévoit de le voir. Mais on s'attend à tout, les choses peuvent aller très vite», affirme Martine Mergen, députée CSV, qui participe à l'Ap-UpM. Les Tunisiens, eux, n'ont pour l'instant inscrit personne à cette réunion. «Il y a deux semaines à Lisbonne, il n'y avait ni Tunisiens ni Égyptiens», rapporte la socialiste Claudia Dall'Agnol.

Il faut dire que les remous politiques au Maghreb changent la donne diplomatique. «Il n'y a tout simplement plus de contacts, on attend de voir ce qu'il se passe», précise Robert Steinmetz, du ministère des Affaires étrangères.

Quant à un dialogue avec des opposants susceptibles de former un gouvernement, il n'y en a pas eu non plus. «Le ministre des Affaires étrangères, Jean Asselborn, ne veut pas interférer. Ce sont les peuples qui déterminent leur avenir».

Jérôme Wiss

Mr le Président Nicolas Sarkozy une actualité internationale lui est favorable


Cote de popularité: Sarkozy gagne deux points, Fillon en perd deux

POLITIQUE - Ils atteignent respectivement 38% et 49% d'opinions favorables...
Ça se resserre entre le Président et son Premier ministre, même si le chef de l’Etat est en difficulté vis-à-vis de son électorat et peine à conquérir des soutiens au-delà. La cote de popularité de Nicolas Sarkozy progresse de 2 points en février et atteint 38% d'opinions positives, pour revenir au niveau du début de l’année 2010. A l’inverse, si l’image de François Fillon reste positive pour près de la moitié des Français, sa popularité recule de 2 points à 49%, selon un sondage LH2/ nouvelObs.com publié ce lundi.

Une actualité internationale qui bénéficie à Sarkozy
L’enquête précise que ce regain de popularité du Président intervient au moment où l’actualité est peu chargée sur le plan intérieur, mais plutôt tournée vers l’international, avec les soulèvements populaires en Tunisie et en Egypte, ce «qui lui aura permis de bénéficier d’une certaine indulgence».

Cependant, les sondeurs s’inquiètent de voir que c’est auprès de ses soutiens traditionnels que Nicolas Sarkozy pert le plus en popularité: il perd 2 points (52%) chez les 65 ans et plus, 3 points (48%) chez les retraités, et 2 (85%) chez les sympathisants UMP. A l’inverse, il gagne en opinions positives auprès des 18-24 ans (+12 points à 37%), chez les ouvriers (+15 points, 34%), ou encore chez les sympathisants des Verts (+5 points à 24%).

Fillon toujours autour des 50%
Du côté de François Fillon, les opinions favorables passent de 51% à 49%, soit une popularité en légère baisse. C’est auprès des 18-24 ans (34%, -14 points), des 25-34 ans (39%, -8 points), des employés (42%, - 10 points) et des habitants de la région parisienne (46%, -10 points) que les opinions positives baissent le plus nettement.

A l’inverse, la cote de popularité du chef du gouvernement reste stable auprès des individus âgés de 65 ans et plus (66%) ou des sympathisants UMP (93%, + 1 point).

—B.D.

Johann Sebastian Bach youtube

Maroc Communiqué facebook 2011


Maroc : Appel à une marche le 20 février

Imitant les activistes du Mouvement du 6 avril en Egypte, des jeunes Marocains appellent, sur le réseau social facebook, à une manifestation le 20 février pour arracher «une large réforme politique» dans le royaume. Il s’agit d’une manifestation «pour la dignité du peuple et des réformes démocratiques».

Le groupe, qui dit compter 3400 inscrits, aspire à une réforme de la Constitution, à la démission du gouvernement actuel et à la dissolution du Parlement. En réaction à cette initiative, le ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement, Khalid Naciri, a déclaré jeudi que les autorités marocaines demeurent sereines concernant cette marche. Car le Maroc, poursuit-il, «s’est engagé il y a longtemps dans un processus irréversible de démocratie et de d’élargissement des libertés publiques». Ainsi, «que les citoyens puissent s’exprimer librement ne nous trouble nullement». M. Naciri relève cependant que ces manifestations ne doivent pas porter atteinte aux intérêts nationaux et aux valeurs constitutionnelles.


Le même jour, un groupe de chômeurs diplômés a, dans un point de presse, rappelé au gouvernement sa promesse de trouver de l’emploi pour 1888 prétendants de cette catégorie. Pour acheter la paix sociale, le gouvernement marocain a décidé, le 25 janvier dernier, de maintenir les subventions sur les prix des produits alimentaires de base, même s’il s’expose à des risques de déséquilibre dans les finances publiques en cas d’augmentation vertigineuse de ces denrées sur les marchés mondiaux. «Les prix des denrées subventionnées que sont les carburants, le gaz, la farine, le sucre», entre autres, «enregistrent de fortes hausses sur les marchés internationaux et cela pèse lourdement sur le Fonds de compensation financé par l’argent des contribuables», a déclaré le porte-parole du gouvernement à l’issue du Conseil des ministres. Et le ministre de poursuivre : «Cela a été très coûteux l’an dernier et nous craignons que dans les conditions actuelles, le coût soit élevé pour le Maroc.» Cependant, assure le même responsable, «nous préserverons à tout prix le pouvoir d’achat des citoyens».Le même responsable ajoute que 10% du budget alloué aux investissements cette année seront «réorientés vers la subvention des produits de base».


En d’autres termes, le Fonds de compensation sera doté de 2,03 milliards de dollars pour l’année en cours. Et pour cette même année, le budget des dépenses publiques sera réduit de 10%. Cependant, le prix est-il suffisant pour acheter la paix ? Dans un entretien accordé le 31 janvier dernier au journal espagnol El Pais, le prince marocain Moulay Hicham relève que si le mouvement de contestation qui a soufflé sur la Tunisie et l’Egypte n’a pas encore touché son pays, «il ne faut pas se leurrer sur ce fait : pratiquement tous les systèmes autoritaires vont être atteints par la vague de contestation et le Maroc n’y fera probablement pas exception. Reste à savoir si cela se traduira par une contestation purement sociale ou par une revendication politique au sein des formations politiques en place, celles-ci étant enhardies par les récents événements». Pour le prince alaouite, il est nécessaire de «procéder à l’ouverture bien avant que la vague de contestation ne déferle, plutôt qu’après». Dans le cas contraire, «la crise rendra beaucoup plus malaisé le changement politique. C’est loin d’être un pari gagné car la dynamique de libéralisation politique lancée depuis la fin des années 1990 s’est largement essoufflée. De ce fait, redynamiser la scène politique marocaine dans ce contexte régional sans tomber dans la radicalisation sera un défi majeur».


Le prince Moulay Hicham observe que «le fossé entre les classes sociales sape la légitimité politique et économique. Les diverses formes de clientélisme dans l’appareil d’Etat mettent en péril sa survie. Enfin, si la majorité des acteurs politiques reconnaissent la monarchie, il n’en demeure pas moins vrai qu’ils sont mécontents de la vaste concentration du pouvoir dans l’Exécutif». Notons que quatre tentatives d’immolation ont eu lieu au Maroc depuis le 17 décembre 2010, qui marque le début de la révolte tunisienne qui a causé la chute du dictateur Zine El Abidine Ben Ali.

Amnay idir

Tunisie Euronews Youtube 2011