阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Monday, August 30, 2010

Alger (Algérie) - La ville beauté

Alger - Le palais des Raïs قصر الرياس


Le Palais des Raïs (en arabe: قصر الرياس) aussi appelé Bastion 23 fait partie des plus importants monuments historiques de la ville d’Alger. Il représente, par ailleurs, l’un des derniers témoins qui attestent physiquement du prolongement de la Médina d’Alger (Casbah) jusqu’à la mer à l’époque ottomane (16e/19e siècle).L'histoire du palais commence par la construction de Bordj-Ez-zoubia en 1576 par le Dey Ramdhan Pacha, et ceci afin de renforcer les moyens de défense de la basse médina. On le désigne successivement par les noms Quaâ-Essour(bas du rempart), Sebâa tbaren (les sept tavernes) et Topanet Arnaout à cause des pièces d’artillerie érigées par le raïs Mami Arnaout. Le nom de Bastion 23 lui fut donné suite à la construction des remparts de la ville française. Par contre, les numéros désignant les palais (palais 16, palais 17, etc.) et les maisons des ’’pêcheurs’’ sont des attributions cadastrales datant de la même période.

La seule référence historique disponible, concerne le palais 18, qui fut construit aux environs de 1750 par le raïs Arnaout Mami.

Canal Algerie


Canal Algérie 2 (en arabe : اليتيمة 2) est la deuxième chaîne de télévision généraliste algérienne de l'ENTV
L'Entreprise nationale de télévision (ENTV) créé en 1994 Algerian TV, une chaîne au début diffusée uniquement par satellite, comme un lien culturel avec la communauté algérienne résidant à l'étranger, et plus précisément en Europe. La chaîne, qui s'appellera par la suite Canal Algérie, cherche aussi à intéresser et à séduire le public étranger concerné par l'évolution de la situation en Algérie en particulier dans les domaines politiques et économiques.

Depuis le début 2002, la chaîne est aussi diffusée en UHF pour la capitale Alger, par l'émetteur de Bordj El-Bahri.
Canal Algérie figure, selon un sondage réalisé par l'Institut Abassa en 2001, comme étant la sixième chaîne télévisuelle en matière d'occupation de l'audimat en France et est classée au deuxième rang des chaînes arabes. Elle est donc appelée à devenir une chaîne internationale d'expression francophone
Canal Algérie est une chaîne généraliste offrant un panel de programmes diversifiés alliant l'information, la culture, le divertissement et le sport. Canal Algérie diffuse 24h/24 les émissions de la chaîne publique ENTV ainsi que des journaux en français (70%), en tamazight ou en arabe.
Canal Algerie est diffusée en réseau terrestre algérien alimenté par le satellite Atlantic Bird 3 qui peut être capté directement par des particuliers en zone d'ombre terrestre.

Canal Algérie est aussi destinée à la communauté algérienne et arabe en Europe, étant distribué de façon autonome (AB 3) et sur les bouquets numériques français CanalSat sur Astra 1E à 19.2° est.

La chaîne est également diffusée pour l'Amérique du Nord par le satellite Galaxy 25 à 97° ouest et pour l'Afrique par le satellite NSS 7 à 22° ouest. Canal Algérie peut être suivi en direct sur le site internet de l'ENTV.

L'Algérie, premier client de la France au Maghreb


le temps d'Algerie
Selon les récentes statistiques françaises, l'Algérie est classée la première destination des exportations de l'Hexagone au Maghreb, tandis que le Maroc et la Tunisie occupent respectivement la deuxième et la troisième positions. Toutefois, les investissements français sont mieux orientés vers la Tunisie et le Maroc, que l'Algérie.
L'Algérie a en effet importé au cours du premier semestre 2010 pour 2,6 milliards d'euros, mais avec une baisse estimée à 6%. Le Maroc a importé durant la même période pour


2 milliards d'euros, un montant en hausse de 9,6% par rapport à la même période de l'année écoulée, alors que la Tunisie a importé de ce pays pour


1,7 milliard d'euros, en hausse de 14,8%. La Libye vient en quatrième position derrière la Tunisie avec 341 millions d'euros, mais elle enregistre une forte hausse de 68% grâce à ses importants achats d'équipements aéronautiques français.
Avec 2,6 milliards d'euros d'importation

S'agissant des importations françaises en provenance d'Afrique hors hydrocarbures, elles ont progressé de 5,8% au cours du premier semestre 2010, boostées notamment par les articles d'habillement en provenance de Tunisie et du Maroc ainsi que pour les produits agricoles marocains.

Les exportations françaises vers l'Algérie sont bien proportionnées, elles sont réparties en cinq domaines principaux : les biens d'équipement, l'industrie automobile, l'agroalimentaire, les biens de consommation, les biens intermédiaires.
Ce sont les véhicules automobiles qui constituent les premiers produits exportés (16%), devant les produits pharmaceutiques (11%), les produits laitiers, les céréales et les équipements automobiles.

On trouve ensuite toute une série de produits industriels. Malgré le volume des échanges, la situation des investissements français en Algérie est nettement moins bonne, comparativement à ceux réalisés en Tunisie et au Maroc, où les grandes industries et des PME sont implantées.

L'Algérie devra se contenter donc du statut du partenaire commercial de premier plan. Les plus importants investissements français sont dans les secteurs pétroliers (exploitation et exploration) et surtout dans l'agroalimentaire ou encore les services.

Nassima B.

Mr le Le Président Bouteflika préside une réunion d'évaluation du secteur du commerce



Dans le cadre des auditions annuelles qu'il dirige sur les activités des différents départements ministériels, M. Abdelaziz Bouteflika, Président de la République, a présidé le 24 août 2010 une réunion restreinte d'évaluation consacrée au secteur du commerce.

Au cours de cette audition, l'exposé du ministre du Commerce a porté sur les mesures engagées par le secteur concernant l'encadrement, la surveillance du marché, les pratiques commerciales et la concurrence ainsi que le volet relatif au contrôle et à la répression des fraudes.
L'accent a été mis sur l'approfondissement des instruments de régulation et d'organisation visant notamment la préservation du pouvoir d'achat, la protection de l'économie nationale et du consommateur et l'élaboration d'une réglementation appropriée pour tenir compte des évolutions enregistrées au sein de la société et de l'économie.
Dans ce contexte, la législation relative aux règles applicables à la concurrence et aux pratiques commerciales, a été amendée.
De même, dans le domaine de l'organisation des activités commerciales et de protection du consommateur, il a été procédé à la promulgation de textes relatifs au dispositif de régulation de l'implantation des équipements commerciaux, de la conformité des produits et de l'information du consommateur.
En ce qui concerne le soutien de l'Etat au pouvoir d'achat, il y a lieu de noter que la mise en œuvre du dispositif de remboursement des frais de transport concernant dix wilayas du sud du pays, permet aux populations de ces wilayas d'acquérir les produits relevant de ce mécanisme à des prix analogues à ceux pratiqués au nord du pays.
Par ailleurs, une structure de coordination mixte Commerce-Agriculture a été mise en place pour veiller au renforcement du dispositif de contrôle et à la surveillance du marché, notamment durant le mois sacré du Ramadhan 2010.
La loi relative à la protection du consommateur et à la répression des fraudes, promulguée en 2009, a renforcé les mesures de protection de la santé et de la sécurité des consommateurs et a permis aux associations de protection des consommateurs de jouer pleinement leur rôle.
Pour ce qui est du développement des infrastructures commerciales, un programme de modernisation et de densification a été retenu en vue de réduire le commerce informel par la disponibilité, notamment, de structures facilitant l'écoulement des produits agricoles frais. Ce programme s'articule sur la réhabilitation des marchés de gros de fruits et légumes en cours d'exécution. En matière de réalisations, cinq marchés de gros et 85 marchés de détail ont été réceptionnés.
Additionnellement à ce programme de réhabilitation, le secteur du commerce prévoit, notamment au titre du plan quinquennal 2010-2014, la réalisation de nouveaux marchés de gros.
Dans le domaine de la surveillance et du contrôle économique du marché intérieur, les actions engagées ont été renforcées grâce à un apport complémentaire en moyens humains (1500 agents recrutés ainsi que 7000 agents de contrôle prévus dans le plan quinquennal 2010-2014), la construction, en cours de 13 laboratoires de contrôle de la qualité et de la répression des fraudes et la programmation de 16 projets de contrôle d'analyse des produits, et, enfin, l'implantation de nouvelles subdivisions territoriales, autant de mesures qui ont permis d'augmenter la vigilance à l'égard des manœuvres spéculatives et autres pratiques commerciales frauduleuses sur le marché.
Les résultats enregistrés durant l'année 2009 dans le domaine du contrôle des pratiques commerciales, se sont soldés par plus de 320.000 interventions et 164.000 autres au titre du premier semestre 2010.
Les actions menées dans le cadre du contrôle de la qualité et de la répression des fraudes au cours de l'année 2009, se sont traduites par près de 500.000 interventions. Au titre des mesures conservatoires, il a été procédé à la fermeture administrative de plus 2.500 locaux commerciaux et la saisie de près de 8.000 tonnes de produits non conformes ou impropres à la consommation.
Au premier semestre 2010 seulement, le nombre d'interventions a été de plus de 475.000 ce qui a permis la verbalisation de plus de 80.000 commerçants. En outre, les opérations engagées au titre de l'assainissement du commerce extérieur, ont permis d'identifier un certain nombre d'importateurs indélicats qui ont fait l'objet de poursuites judiciaires, avec interdiction d'exercer des activités liées au commerce extérieur. En matière de conformité des produits importés, la même vigilance a été observée aux frontières grâce à la mise en place d'un dispositif de contrôle efficace.
Une priorité : la protection du pouvoir d’achat et de la santé du consommateur

Les instructions du Président

Intervenant à la fin de l'évaluation du secteur, le Chef de l'Etat a rappelé que "le renforcement de l'outil de contrôle devra demeurer un priorité pour le gouvernement qui doit mobiliser tous les moyens adéquats en faveur de l'amélioration de la qualité des biens et services mis sur le marché, à travers une lutte efficace et permanente contre les phénomènes de la fraude, la contrefaçon et les pratiques déloyales".
Enfin, le Chef de l'Etat a particulièrement insisté sur "la nécessité d'intensifier les actions de sensibilisation afin de préserver la santé des citoyens, notamment en impliquant davantage les associations professionnelles et de consommateurs".

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YouTube se lancerait bientôt dans la VOD



YouTube serait actuellement en pourparlers avec plusieurs studios de cinéma américains afin de mettre en place un nouveau service payant de VoD, qui pourrait être lancé d'ici la fin de l'année aux USA.

Actualité. Publié sur ITespresso.fr par Christophe Chevaucheriele 30 août 2010 à 18:22
Soyez le premier à réagir
YouTube, propriété de Google, serait en négociation avec les principaux studios de cinémas américains afin de lancer un nouveau service payant de vidéo à la demande (VoD), révèle le Financial Times.

Ce nouveau service permettrait aux internautes de visionner sur YouTube, et uniquement en streaming, les derniers films sortis en DVD ou disponibles sur d’autres sites de visionnage en direct et en ligne. Le droit de visionnage pourrait aller jusqu’à 5 dollars pour les productions les plus récentes.

Le service de vidéos à la demande (VoD -Video on Demand) de YouTube pourrait voir le jour d’ici la fin de l’année aux Etats-Unis, avant d’être proposé dans d’autres pays.

Ce nouveau service devrait permettre à Youtube de rentabiliser son audience et de dégager de nouvelles sources de revenus. D’autant plus que la concurrence s’annonce rude puisqu’Apple va dévoiler prochainement la nouvelle version de son boitier Apple TV devant permettre de louer des émissions télévisées pour 99 cents.

En attendant, YouTube a depuis peu mis en place sa nouvelle section Movies, offrant la possibilité aux internautes d’accéder à quelques 400 longs-métrages, et ce, gratuitement. Seul bémol : hormis quelques classiques de bonne facture, la majorité des films proposés ne sont pas de première jeunesse et n’ont pas marqué l’histoire du cinéma…

Rénovation centre Alger


UNE EXPERIENCE INEDITE A LA CASBAH D’ALGER

UN CENTRE D’AFFAIRES AU QUARTIER DE LA MARINE : OU COMMENT CONTRIBUER A LA SAUVEGARDE DE LA CASBAHDans le cadre de ses domaines de spécialisation, Eurl Lithos Invest, Société de droit algérien a porté un intérêt particulier à la rénovation et la revalorisation du vieux bâti. L’immeuble Schiaffino en est la première illustration. Concédé sous forme d’un bail de 33 ans à Eurl Lithos Invest, celle-ci a entamé les travaux de rénovation en 2007.Le choix de cet immeuble est motivé par sa situation exceptionnelle dans le centre d’Alger et le front de mer ainsi que son appartenance à la Casbah d’Alger classée patrimoine de l’humanité par l’UNESCO en 1992. Eurl Lithos Invest se devait ainsi de mettre en œuvre tous les moyens nécessaires afin d’aboutir à une qualité d’intervention à la hauteur de la valeur urbaine, architecturale, historique et patrimoniale du lieu.L’objectif commercial assigné est d’en faire un centre d’affaires destiné aux Sociétés internationales de renom intéressées par l’investissement en Algérie. Refusant d’intégrer la frénésie des tours, du verre et de l’alucobond, à l’instar de ce qui se fait aux alentours d’Alger comme immeubles de bureaux, sans caractère et sans âme, Eurl Lithos Invest, forte dans son expérience de rénovation et d’investissement dans le vieux bâti, a fait le pari de réussir à investir dans la vieille ville et de proposer une structure très personnalisée, ou le poids de l’histoire et de l’authenticité ne peuvent qu’ajouter à la qualité des espaces offerts.Une dialectique très intéressante prend place très rapidement dans le projet : mettre en avant les valeurs intrinsèques du site, les intégrer au projet final et avoir cette certitude et cette conviction que par le choix d’un tel projet, c’est aussi contribuer à la sauvegarde de la Casbah d’Alger, à travers la prise en charge physique de la rénovation d’un immeuble dans un quartier de qualité et par l’impact que l’investissement à ce niveau là de la ville va produire sur l’environnement immédiat comme dynamique nouvelle de mise en valeur et d’intégration économique et sociale sur la qualité urbaine du site.Un centre d’affaires dans cette partie de la Casbah est indéniablement une plus value pour le quartier en termes de revitalisation sociale et économique qui vise l’amélioration de la qualité de vie, d’échanges sociaux, de fiscalité locale, d’absorption du chômage et d’exemple à suivre dans la sauvegarde de la Casbah d’Alger par la mise en valeur de ses potentialités immobilières qui draineront les fonds et l’intérêt nécessaires à une prise en charge plus globale.Au sein de la ville d’Alger, l‘immeuble, 1 boulevard Amilcar Cabral possède trois niveaux d’appartenance.la Casbah d’Algerle front de mer d’Algerla baie d’AlgerIl se trouve opportunément que ces trois entités urbaines sont prises en charge aujourd’hui par les pouvoirs publics.La Casbah d’Alger classée patrimoine mondial voit, à travers la mise en place du plan de sauvegarde et du programme des travaux en cours et envisagés, recouvrir un intérêt particulier depuis ces dernières années.Le front de mer est concerné quant à lui par un large programme de mise en valeur à travers un programme ambitieux de restitution des arcades en pierre et de réhabilitation des façades et des galeries piétonnes.La baie d’Alger est concernée aujourd’hui par un programme de revalorisation du littoral algérois afin de rendre à la mer sa place dans la ville d’Alger.Dans cette structure urbaine si riche et si intéressante, l’immeuble occupe une position privilégiée. Faisant face à la mer, à l’entrée de l’amirauté, il offre une vue splendide sur le front de mer, le port de plaisance, le port d’Alger et la baie d’Alger vers l’est et le sud-est ainsi qu’une vue sur le tissu ancien de la Casbah ou culmine la Citadelle d’Alger, visible à partir de la façade arrière et en terrasse.A ce titre, le traitement réservé à l’immeuble en question ne pouvait rester indifférent à ces projets ambitieux et cette place de choix dans cet environnement contextuel. Il se devait de concilier conservation du bien culturel, qualité architecturale et dimension urbaine. Cet immeuble impose le respect, et invite à mettre en valeur son authenticité.Le projet s’est fait en collaboration étroite et en concertation avec les institutions publiques chargées de la sauvegarde de la Casbah d’Alger à savoir : la Direction de la Culture d’Alger, l’Assemblée Populaire Communale de la Casbah et le CNERU. Aucun effort n’a été épargné dans le choix des intervenants directs. Architectes chargés de la coordination, architecte qualifié pour le patrimoine, Entreprises chargés des différents corps d’état, bureaux d’expertises, etc.Cette expérience, inédite à la Casbah souhaite apporter sa modeste contribution à la récupération de la vieille ville. Elle constitue la première expérience en termes d’intérêt accordé par des opérateurs étrangers et sous la forme d’investissement privé. L’impact immédiat sur son environnement proche sera très fort.La qualité de l’acte de rénovation, amènera une plus value au quartier à travers le type d’activités qui y seront injectées, le statut des utilisateurs, la fréquentation des lieux et l’échange social induit.LES TRAVAUXLE PREMIER ETAGEA travers le premier étage, à usage de bureaux, le projet se veut être ambitieux, de qualité et riche en concepts. Un plateau rénové en « open space » et modulé en bureaux de travail selon un cloisonnement transparent et démontable au besoin, des baies vitrées permettant une continuité visuelle vers la mer et un apport de lumière dont la baie d’Alger a le secret, un traitement alliant des matériaux modernes, un plafond brut, un traitement mural rustique et une conservation d’éléments en pierre authentiques sans oublier un niveau d’équipements performants et de qualité en matière de climatisation, d’équipement sanitaire et d’éclairage, accompagné par le nécessaire niveau technologique offert dans le domaine de l’informatique, de la téléphonie et la voix par Internet à travers ce qu’il y a de plus performant aujourd’hui sur le marché.Les parties communesLes travaux portant sur les parties communes restent sous la responsabilité du Propriétaire. Ce dernier est particulièrement sensibilisé aux objectifs globaux de restauration de l’ensemble de l’immeuble et y contribue pour sa part :- Les travaux touchant la porte d’immeuble, le hall d’entrée, l’escalier et l’ascenseur allient aussi l’exigence liée à la fonction et au standing voulus par les impératifs de conservation imposés par le caractère historique du lieu.- Le ravalement touchera progressivement l’ensemble des façades. L’objectif étant de réparer les différentes composantes des façades (balcons, nez de dalles, tableaux de fenêtres, enduits, etc.).Le ravalement se fera comme pour tout le reste en concertation avec les services techniques et l’architecte des monumentsle projet de reamenagement de la terrasseLa terrasse est le point culminant de l’immeuble. Tout d’un coup on prend conscience de toute la dimension urbaine. Alger s’offre à nous dans toute sa splendeur, la mer, le port, la baie, la ville du 19éme siècle mais aussi la Casbah.La terrasse aujourd’hui, présente une configuration démembrée, édicule ascenseur, buanderie, etc. Le projet de réaménagement de la terrasse, outre le fait qu’il permettra de liaisonner tous ces démembrements, permettra également et surtout de mettre en valeur tout ce panorama offert par la baie d’Alger. Il consistera à proposer une volumétrie légère. Façades vitrées et structure en acier formeront un volume structurellement léger et spatialement à même d’englober ces protubérances verticales et d’offrir une possibilité d’intégrer la baie d’Alger d’une manière intelligente.Le projet présentera un « sky-line » qui s’intégrera de la meilleure manière dans la ligne des attiques des immeubles environnants.Le projet de réaménagement de la terrasse apportera une touche certaine de qualité et permettra à l’immeuble de vivre en parfaite harmonie avec son environnement composé des trois structures urbaines auxquelles il appartient, la baie, le front de mer et la Casbah d’Alger.Publié par radio web europe

le projet de chaîne de télévision de la Méditerranée



Attendu de longue date mais bloqué pour des raisons politiques et économiques, le projet de chaîne de télévision de la Méditerranée attend l'aval politique de l'Union pour la Méditerranée (UPM), lors de son sommet en juin, pour connaître un coup d'accélérateur. «La chaîne aujourd'hui est possible (...) Nous sommes dans une période d'intenses discussions et d'intenses espoirs », a expliqué, mardi 30 mars 2010, Emmanuel Hoog, président de la Conférence permanente de l'audiovisuel méditerranéen (Copeam) qui tiendra sa session annuelle du 8 au 11 avril à Paris. «Bien sûr, c'est un projet qui est compliqué, difficile, portant en lui plus d'interrogations que d'évidences, mais c'est cela qui fait sa force et son originalité », a estimé M. Hoog, qui est le PDG de l'Institut national français de l'audiovisuel (Ina).

Projet phare de la Copeam depuis 1999, cette chaîne a longtemps connu « une mer de difficultés », a de son côté rappelé Alessandra Paradisi, secrétaire générale de la Copeam, qui regroupe 26 pays du pourtour méditerranéen et 130 entreprises audiovisuelles publiques. Et d'évoquer des problèmes économiques de certains pays de la région, mais aussi des freins politiques. « Comme on est dans le domaine audiovisuel, il est clair qu'à un moment on touche à la souveraineté des Etats et touchant à cette souveraineté, il n'est pas imaginable que cette chaîne se fasse sans politique et sans une décision publique», a expliqué M. Hoog.

L'UPM, dont le premier secrétaire général, le Jordanien Ahmad Massa'deh, vient de prendre ses fonctions à Barcelone, permettra à ce frein « politique » d'être levé. « Il se trouve que l'UPM est une instance politique qui réunit l'ensemble des Etats du pourtour méditerranéen et donc elle est le lieu naturel de décision pour une chaîne de la Méditerranée », a estimé M. Hoog. La Copeam espère que l'UPM, qui regroupe 43 pays, fera une « annonce symbolique » de soutien à la création de la chaîne lors de son Sommet à Barcelone en juin. « Dire que l'UPM c'est la sécurité civile, la coopération économique mais aussi une chaîne de télévision parlant à l'ensemble des peuples et rayonnant sur la zone, ce sera un message fort, symbolique », a expliqué M. Hoog.

Les représentants de la Copeam ont déjà, et à plusieurs reprises, rencontré tous les ambassadeurs de l'UPM (pays de l'Union européenne, Turquie, Israël et pays arabes riverains de la Méditerranée). Une fois l'«aval politique » de l'UPM donné, un cahier des charges de la chaîne sera discuté entre les pays de la Copeam, puis un appel d'offres sera lancé pour choisir l'opérateur qui gérera la chaîne. Le financement de la chaîne, en partie abondé par l'Union européenne, ne pose pas problèmes, selon le président de la Conférence. Une chaîne de base, trilingue, diffusée par un seul satellite et avec un taux de renouvellement quotidien de la grille de 25% coûterait 20 millions d'euros. Une chaîne de plus grande diffusion (avec deux ou trois satellites), multilingue (jusqu'à sept langues) et un taux de rediffusion de 75% coûterait, elle, 70 millions.

La chaîne aura pour vocation de diffuser des émissions de divertissement, des documentaires culturels, scientifiques et économiques, ainsi que des reportages. Une charte «éthique» prévoit de défendre la liberté d'expression et la responsabilité des journalistes dans la présentation des nouvelles. Depuis avril 2009, un pilote, « Terramed », est diffusé tous les jours pendant une heure par satellite sur un canal de la chaîne de télévision publique italienne RAI (RailNews24/RAIMED).



Par Bertille OSSEY-WOISARD, AFP,

L’autoroute Aïn Benian-Boufarik et le pont du Plateau des Anassers pratiquement achevés



Le ministre des Travaux publics, Amar Ghoul a affirmé, hier à Alger, que les travaux des projets du dédoublement de l'autoroute Aïn-Benian-Boufarik et ceux du pont Oulmane-Khalifa (plateau des Annassers) seront bientôt achevés. A l'issue de la visite de travail et d'inspection de plusieurs projets à Alger, le ministre a indiqué à la presse que les travaux du dernier tronçon de l'autoroute Aïn Benian-Boufarik (54 km), reliant Douéra à Boufarik, sont presque achevés, notamment après «la levée des entraves enregistrées lors de ce projet dont le détournement des réseaux d'approvisionnement en eau, en électricité et en gaz. Les familles délogées qui habitaient sur l'axe de cette route seront relogées avant la fin du Ramadhan». Le ministre a, en outre, relevé «un ralentissement du rythme des travaux durant ce mois de Ramadhan» au niveau des chantiers, soulignant la nécessité «pour les entreprises chargées de ces projets de redoubler d'efforts pour la réception de ce tronçon dans les prochains jours», notamment en ce qui concerne le pont du plateau des Annassers, jouxtant le nouveau siège du ministère des Affaires étrangères. Au niveau du quartier des Dunes (ouest de Aïn Benian), où il a inspecté la trémie située sur l'axe Aïn Benian-Staoueli, ouverte récemment à la circulation, M. Ghoul a appelé à l'installation des panneaux de signalisation au niveau de cette trémie et de son carrefour, estimant nécessaire de procéder à une installation étudiée de ces panneaux, en tenant compte des aspects fonctionnel et esthétique. Le projet de l'autoroute Aïn Benian-Boufarik, qui compte 18 œuvres d'art dont des ponts, des trémies et des échangeurs et qui s'inscrit dans le cadre du plan d'orientation du secteur des travaux publics 2005-2025, assurera la fluidité de la circulation routière à l'ouest et au sud d'Alger, notamment à Staoueli, Chéraga, Baba H'cène, Ouled Fayet et Douéra, qui connaissent une expansion urbanistique importante. Après s'être enquis de l'état d'avancement des travaux du grand pont situé près de Chéraga, sur une longueur de 200 m, et dont la réception est prévue fin septembre, selon l'entreprise chargée de sa réalisation, M. Ghoul a appelé les autorités locales à une plus grande coordination pour aménager des espaces de détente au niveau de la forêt de Douéra. R. N.



30-08-2010







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Le marché communal de Souidania sera inauguré la semaine prochaine»


Le P/APC de Souidania, Mouhoub Djouadi, à La NR
Selon le même responsable, le marché s’étale sur une superficie de 800 mètres carrés, équipé de vide sanitaire (toilettes), composé de 19 locaux et de 40 étals parfaitement organisés. «60 jeunes de la commune bénéficieront de ces étales. En effet, ce nouveau marché sera une opportunité grandissant pour ces jeunes. Tout en luttant contre le chômage et le commerce informel», ajoute le P/APC. Tout en signalant que le début des travaux de la réalisation de ce marché couvert en 2006. Il est à noter que ce nouveau marché qui est à l’heure actuelle, le seul à travers le territoire de la localité, sera une grande opportunité pour les citoyens de la commune qui éprouvaient le plus grand mal pour effectuer leurs courses. Ces derniers, ils étaient obligés de se déplacer vers les communes voisines (Chéraga, Douéra…) pour les emplettes quotidiennes d’une part, et d’autres part, ils étaient, parfois, menacés par le squat de certains commerçants du quartier qui imposaient leurs diktat, tout en affichant des prix dépassant la normale, estimaient les riverains de la localités que nous avons eu interrogées. En effet, avec cette nouvelle, ces habitants vont pouvoir tourner la page et profiter de cette nouvelle infrastructure, pour faire leurs courses afin de leurs permettre d’éviter les déplacements dans d’autres localités. Mehdi Isikioune

Mr Hammouche Belkacemi, directeur de l’opérateur du tourisme le plus important en Algérie


Le PDG de l'ONAT : "Le Petit Futé reflète la vision des touristes français de l’Algérie" !

Le tourisme en Algérie a besoin du "Petit Futé". C’est à travers ces mots que Hammouche Belkacemi, P-DG de l' l'Office national Algérien du tourisme (ONAT), nous a confié ses sentiments sur cette polémique qui fait rage depuis quelques jours dans le pays.

Choqués, indignés, blessés, de nombreux lecteurs nous ont fait part de leur colère après la publication de la contribution, Féroces attaques du "Petit Futé" contre l’Algérie, de l’économiste spécialiste en tourisme, Mourad Kezzar.

Mais face à l’ampleur que prend cette polémique, Hammouche Belkacemi, directeur de l’opérateur du tourisme le plus important en Algérie, a tenu à nuancer la lecture faite des passages du "Petit Futé" par Mourad Kezzar.

Dans ce guide où l’ONAT figure en bonne place en termes de publicités et d’informations, Hammouche Belkacemi n’y voit pas une réelle attaque contre l’honneur et la dignité de l’Algérie. Bien au contraire, le premier responsable de l’ONAT, contacté lundi par nos soins, nous a fait savoir que les extraits relayés par Mourad Kezzar "sont interprétés hors contexte".

"Le «Petit Futé» est une référence dans le tourisme. Et croyez-moi, ce guide a beaucoup apporté à notre pays. De nombreux étrangers sont venus en Algérie grâce à ce guide. Il a suscité l’envie de venir découvrir notre pays. En plus, il est actuellement le seul guide réputé mondialement qui parle de l’Algérie", confie Hammouche Belkacemi.

Concernant les passages «controversés» relatant les mœurs des Algériens, les relations entre femmes et hommes, les frustrations des jeunes, etc., Hammouche Belkacemi estime, en tant que professionnel du tourisme, que les rédacteurs du «Petit Futé» ont cherché à se mettre dans la place du touriste étranger qui désire tout connaître de ce pays.

"Parler des mœurs et des us d’un pays est une démarche tout à fait légitime pour les guides touristiques. D’ailleurs, on trouve également des passages encore plus controversés dans les guides consacrés au Maroc et à la Tunisie. Le touriste d’aujourd’hui veut tout connaître et tout découvrir y compris les différentes facettes de la société. C’est pour cela que dans toutes les éditions du «Petit Futé», on trouve des anecdotes et des raccourcis. Et ce n’est pas forcément péjoratif à chaque fois", souligne encore Hammouche Belkacemi pour qui les passages "contestés" du Guide Français "ne reflètent que la vision des touristes français de l’Algérie".

Ceci dit, le PDG de l’ONAT reconnaît qu’une relecture de ce Guide s’impose désormais. "L’ONAT n’est pas responsable de la ligne éditoriale du «Petit Futé». Toutefois, lorsqu’il y a des dépassements, nous le signalons. Pour les précédentes éditions, nous avons demandé à l’éditeur de retirer quelques passages déplaisants. Et pour cette édition, nous allons ausculter tout le contenu et si nous voyons que des passages sont déplacés, nous en ferons le constat à l’éditeur», explique en dernier lieu Hammouche Belkacemi.

Abderrahmane Semmar

Algerie des remèdes adaptés



L'activité politique durant ce mois sacré du Ramadhan prouve au plus haut niveau de l'Etat, tout le savoir concernant le développement. Le chef de l'Etat contribue, à travers ses orientations autant qu'à travers ses directives, à prescrire des "remèdes" adoptés à tous les cas de figure en ce qui concerne l'économie et le social. A ce sujet, le rôle du gouvernement et de la société civile ne doit pas être sous-estimé. La suffisance du financement des investissements publics, le délai imposé à leur réalisation ne peut que pousser à élaborer un timing répondant à toutes les interrogations et à rehausser la mise en œuvre du train menant à chaque objectif fixé et surtout de mettre un terme à toutes les carences. Autant de raisons militant en faveur d'un périmètre élargi à toutes les contributions. Son accélération ne saurait y avoir de cadre d'inspiration véritablement nationale sans cette conditionnalité d'aller de l'avant collectivement afin d'établir de manière durable un cadre qui crée un lien explicite entre la politique macroéconomique et les objectifs tracés, d'autant plus qu'il reste à démontrer que cet ensemble de plans d'actions contribue à faire reculer la précarité dans tous les secteurs et à procéder à l'affectation de ressources est aux citoyens.
Le couplage de la politique macroéconomique et les objectifs de développement social fixé par le programme présidentiel, sont bien essentiels pour pouvoir atteindre toutes les finalités de ce développement général. Les statistiques exactes des apports et des succès enregistrés depuis 2000, le suivi des dépenses publiques en rapport avec ce développement renforcé, l'intégration soutenue d'une politique de bonne gouvernance dans un cadre cohérent figurent en bonne place pour déterminer la viabilité de la phase actuelle et qui se caractérise par l'accélération de la croissance à moyen terme, ce qui entraîne de facto la stimulation des investissements, l'accroissement des ressources propres et l'augmentation de l'épargne publique à travers des politiques de mobilisation de l'épargne privée. Tout cela est aujourd'hui réalisable dans une économie qui s'est affranchie de toute assistance financière extérieure.
Ces éléments clefs ont maintenant pour vision l'amélioration du niveau de vie des populations, l'amélioration du dispositif de protection sociale, le renforcement des capacités nationales d'analyses et de prospection, et en matière de politique macroéconomique, il s'agit de maintenir une croissance rapide en stimulant le développement de l'industrie, du BTP et en augmentant la productivité agricole. De nouveau réitérée, cette politique participe à l'amplification du rôle de l'Etat en ce qui concerne la prise en charge de la "proximité" et de ses exigences, principalement dans la mise en œuvre d'instruments qui répondent à ce que demande le citoyen pour assurer un vécu stable sur tous les plans. Une détermination politique qui a pour principe fondamental des considérations ambitieuses, une responsabilité exclusivement ouverte sur les garanties économiques et sociales.
Or, c'est bien sur la base d'une telle politique qu'il est possible d'élargir la sérénité du pays. On est conduit à constater qu'ici la question du développement durable concerné en est la clef. En tout cas, l'effort mis en relief par l'Etat approfondie sans conteste les impacts positifs. Les décisions et autres mesures formelles mises à jour par le président Abdelaziz Bouteflika apparaissent aux yeux de l'opinion nationale comme autant de "faveurs" collectives au profit des citoyens. Il ne reste plus à d'aucuns qu'à y souscrire, à consentir plus d'efforts et à imaginer l'habile formule susceptible, sur la base de ce constat réel de la situation du pays, de laisser la "porte ouverte" pour que se poursuive le laborieux développement amorcé.

Télé méditerranéenne



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L. LEFEVRE


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L. LEFEVRE

قناة تلفزيونية متوسطية قريبا!
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Mr Dan Serfaty de Viadeo dailymotion


Mr Dan Serfaty de Viadeo

En 2003, Dan Serfaty et Thierry Lunati créent le club d'entrepreneurs Agregator . Pour faciliter les échanges entre les membres du Club, ils s’associent pour créer une plateforme Internet. C’est dans ce contexte qu’est lancé Viaduc en 2004. En novembre 2006 Viaduc devient Viadeo, marquant ainsi la volonté de l’entreprise de s’étendre à l’international. Viadeo est aujourd'hui disponible dans 6 langues .

Prévoyant de recruter 100 nouveaux salariés en 2010, la société emploie 200 personnes réparties entre le siège social parisien et les bureaux et les équipes locales en Angleterre à Londres, en Espagne à Madrid et Barcelone, en Italie à Milan, en Chine à Pékin, en Inde à New Delhi, au Mexique à Mexico et au Canada.,En mai 2010, Viadeo a annoncé l'ouverture de bureaux à San Francisco, Californie. Ayant choisi de ne pas communiquer sur son chiffre d'affaires, la direction de Viadeo affirme être rentable.

Les réseaux sociaux, notamment professionnels, ont modifié le comportement des internautes vis-à-vis de leurs données personnelles, popularisant le renseignement de son profil par l'utilisateur. Avoir son profil professionnel complet et à jour sur les réseaux sociaux professionnels apporte plus de visibilité à l'utilisateur, ainsi qu'une meilleure maitrise de son image ou e-réputation et un meilleur référencement sur les moteurs de recherche. C'est ce qui explique sans doute qu'il y a aujourd'hui plus de 110 millions de membres sur les réseaux sociaux professionnels dans le monde.

Les principaux usages de la plateforme Viadeo : créer son réseau, gérer sa carrière, développer son business

Créer son réseau : Viadeo permet de gérer et développer ses contacts professionnels quasi-immédiatement et à long terme, permettant d'établir une relation durable et de confiance : (re)trouver des collègues, des clients, des partenaires, etc. La recommandation entre membres est le fondement du networking -comme l'évoque Nicholas Vieuxloup pour le Social Media Club .

Gérer sa carrière : aussi important que la création de son réseau, la gestion de carrière est une des motivations majeures des internautes à créer leur profil sur Viadeo. Trouver un emploi, recevoir des offres ou simplement être à l’écoute du marché sont désormais des habitudes des professionnels à l'ère du 2.0. De nombreux recruteurs (cabinets RH spécialisés ou entreprises) l’utilisent également pour trouver des collaborateurs. Selon une étude de RegionsJob, 47% des DRH déclarent se servir des réseaux sociaux pour leur recrutement .

Développer son business : donner de la visible à son offre, ses produits ou son entreprise est le 3ème usage des réseaux sociaux professionnels. De nombreux utilisateurs s’en servent aussi pour trouver des prospects, clients, fournisseurs, partenaires. Les commerciaux notamment sont très actifs sur les réseaux sociaux

Les travaux de l'autoroute Aïn Bénian-Boufarik et du pont du plateau des Annasser pratiquement achevés


Le ministre des Travaux publics, M. Amar Ghoul a affirmé, hier à Alger , que les travaux des projets du dédoublement de l'autoroute Aïn-Benian-Boufarik et du pont Oulmane Khalifa (plateau des Annassers) sont à leur phase finale et seront bientôt achevés.

Le ministre des Travaux publics, M. Amar Ghoul a affirmé, hier à Alger , que les travaux des projets du dédoublement de l'autoroute Aïn-Benian-Boufarik et du pont Oulmane Khalifa (plateau des Annassers) sont à leur phase finale et seront bientôt achevés.
A l'issue de la visite de travail et d'inspection de plusieurs projets à Alger, le ministre a indiqué à la presse que les travaux du dernier tronçon de l'autoroute Aïn Benian-Boufarik (54 km), reliant Douéra à Boufarik sont presque achevés, notamment après "la levée des entraves enregistrées lors de ce projet dont le détournement des réseaux d'approvisionnement en eau, en électricité et en gaz. Les familles délogées qui habitaient sur l'axe de cette route seront relogées avant la fin du ramadhan, a-t-il souligné.
Le ministre a, en outre, relevé "un ralentissement du rythme des travaux durant ce mois sacré de ramadhan" au niveau des chantiers, soulignant la nécessité "pour les entreprises chargées de ces projets de redoubler d'efforts pour la réception de ce tronçon dans les prochains jours", notamment en ce qui concerne le pont du plateau des Annasser, jouxtant le nouveau siège du ministère des affaires étrangères. Au niveau du quartier des Dunes (ouest de Aïn Benian), où il a inspecté la trémie située sur l'axe Aïn Benian-Staoueli, ouverte récemment à la circulation, M. Ghoul a appelé à l'installation des panneaux de signalisation au niveau de cette trémie et de son carrefour, estimant nécessaire de procéder à une installation étudiée de ces panneaux, en tenant compte des aspects fonctionnel et esthétique. Le projet de l'autoroute Aïn Benian-Boufarik, qui compte 18 oeuvres d'art dont des ponts, des trémies et des échangeurs et qui s'inscrit dans le cadre du plan d'orientation du secteur des travaux publics 2005-2025, assurera la fluidité de la circulation routière à l'ouest et au sud d'Alger, notamment à Staoueli, Chéraga, Baba H'cene, Ouled Fayet et Douéra, qui connaissent une expansion urbanistique importante. Apres s'etre enquis de l'état d'avancement des travaux du grand pont situé près de Chéraga sur une longueur de 200 mètres et dont la réception est prévue fin septembre prochain, selon l'entreprise chargée de sa réalisation, M. Ghoul a appelé les autorités locales à une plus grande coordination pour aménager des espaces de détente, au niveau de la forêt de Douéra. Lors de l'inspection du projet du carrefour Oulmane Khelifa, qui compte un double pont d'une longueur de 200 mètres et deux trémies, le ministre a donné des instructions aux responsables de ce projet, à l'effet d'accélérer le rythme des travaux et permettre l'ouverture à la circulation des deux trémies et du pont situés sur l'axe plateau des Annasser-Riadh el Feth, soulignant que les travaux ont été achevés et qu'il ne restait que des travaux secondaires.

Coopération monétaire africaine




Les contre-performances plombent l'application du programme


Les performances des 47 pays membres de l'Association des banques centrales africaines dans la mise en œuvre du Programme de coopération monétaire en Afrique se sont détériorées de façon significative en 2008, indique le rapport d'étape sur la mise en œuvre dudit programme. Présenté à Dakar lors de la 34e réunion ordinaire du Conseil des gouverneurs de l'Association des banques centrales africaines (Abca) tenue au siège de la Banque centrale des Etats de l'Afrique de l'Ouest (Bceao), le rapport révèle que seuls 13 des 47 pays membres qui ont soumis leurs rapports (soit 29,8 %) ont respecté les quatre critères de premier rang contre vingt (42,7 %) en 2007. Ces critères dont il s'agit sont relatifs au déficit budgétaire global sur le Produit intérieur brut, hors don, inférieur à 3 % ; au taux d'inflation inférieur à 3 % ; à la réduction au minimum du financement du déficit budgétaire par la banque centrale et les réserves extérieures supérieures ou égales à six mois d'importations de biens et services.
Le Programme de coopération monétaire en Afrique (Pcma) conditionne la réalisation de l'Union monétaire africaine au respect de ces quatre critères de convergence de premier rang par au moins 51 % des pays membres de l'association. Ces contre-performances résultent principalement des difficultés rencontrées par la plupart des pays, en particulier ceux d'Afrique centrale, à se conformer à la norme relative à l'inflation. L'adversité de la conjoncture économique internationale pointée du doigt
En effet, le Programme de coopération monétaire en Afrique prévoit la création, à l'horizon 2021, d'une monnaie unique et d'une Banque centrale commune pour toute l'Afrique, et cela à l'issue d'un processus de convergence macroéconomique réussi. Pour ce faire, le respect des quatre critères de convergence de premier rang par au moins 51% des pays membres de l'Association est la condition nécessaire à la concrétisation du projet commun. " La performance des pays membres qui ressortent du rapport d'évaluation de la mise en œuvre du PCMA en 2009 contrastent fortement avec celles des années précédentes, caractérisées par une amélioration régulière des indicateurs de convergence ", indique le Gouverneur de la BCC dans son discours, avant de noter que la performance de nos pays affiche une détérioration significative. Pour lui, cette rupture de tendance est pour l'essentiel due à l'adversité de la conjoncture économique internationale, laquelle a induit le ralentissement du rythme de croissance des économies africaines et a révélé la forte vulnérabilité aux chocs exogènes de nos économies. Il a aussi souligné que l'année 2009 a constitué une année charnière, ayant servi de passage à la 3ème étape du PCMA, avec des critères de convergence plus contraignants qu'auparavant. Cela a mis certains pays membres dans une mauvaise posture face à la réalisation desdits critères.
. L'Association des banques centrales africaines a adopté le Programme de coopération monétaire en Afrique au cours de sa 26e session ordinaire qui s'est tenue le 4 septembre 2002 à Alger. Ce programme prévoit la création, à l'horizon 2021, d'une monnaie et d'une banque centrale communes à l'échelle du continent africain, à l'issue d'un processus de convergence réussi.
I.B.

Algerie La loi du 51-49% est applicable sans effet rétroactif


Implantation des banques à capitaux étrangers en Algérie
Les banques et les établissements financiers à capitaux étrangers activant actuellement en Algérie ne sont pas concernés par la décision d'ouverture de leurs capitaux aux actionnaires nationaux.

Cette disposition concerne toute nouvelle et/ou future ouverture d'une banque ou d'un établissement financier par un investisseur étranger en Algérie. C'est ce que nous a expliqué, hier, Abderahmane Benkhalfa, délégué général de l'Association des banques et des établissements financiers (Abef). Cette mesure d'ouverture de capital des banques à capitaux étrangers aux partenaires nationaux a été validée la semaine écoulée, lors du Conseil des ministres qui s'est tenu mercredi dernier. Cette disposition a été incluse dans la nouvelle ordonnance modifiant et complétant l'ordonnance no 03-11 du 26 août 2003 relative à la monnaie et au crédit. En un mot, cette ordonnance consacre l'application aux banques et établissements financiers de la législation algérienne en matière d'investissements étrangers. La loi de finances complémentaire 2009 obligeait tout investisseur étranger à fusionner avec des partenaires algériens à hauteur de 49/51%, dont la part majoritaire doit revenir à des actionnaires nationaux. Malgré l'effet de «frilosité» provoqué par cette mesure, l'Etat a décidé d'élargir son champ d'application au secteur bancaire et financier. Effectivement, cette nouvelle ordonnance modifiant et complétant l'ordonnance no 03-11 du 26 août 2003 relative à la monnaie et au crédit, adoptée la semaine dernière en Conseil des ministres, stipule que «toute future ouverture de banque ou d'établissement financier par un investisseur étranger sera conditionnée par la détention de 51% du capital par des actionnaires nationaux».

Selon Abderahmane Benkhalfa, délégué général de l'Abef, «il n'y a aucune forme de discrimination. Cette nouvelle loi sera appliquée sans effet rétroactif et les 16 banques et établissements financiers activant actuellement en Algérie sont en dehors du champ d'application de cette nouvelle loi». Cependant, les 16 banques et établissements financiers existant actuellement sur la place d'Alger sont concernés par le droit de préemption sur l'achat des actifs en cas de cession, ainsi que par le droit de regard de l'Etat par sa présence dans les organes sociaux des banques à travers une participation symbolique. Pour mémoire, l'Etat a décidé de prendre action spécifique dans le capital des banques et établissements financiers à capitaux privés afin de «renforcer la transparence dans les activités bancaires». Grâce à cette prise de participation, l'Etat «sera représenté dans leurs organes sociaux sans droit de vote».
«La nouvelle doctrine appliquée depuis trois ans dans le secteur bancaire et financier oblige l'Etat à prendre des mesures dissuasives en vue de renforcer la transparence dans les activités bancaires», commente Abderahmane Benkhalfa, joint par téléphone. S'agissant du droit de préemption, la nouvelle ordonnance stipule qu'«en cas de cession d'une banque ou d'un établissement financier dont le capital est étranger, l'Etat jouit d'un droit de préemption». Les opérations de cession d'actions d'une banque ou d'un établissement financier sont conditionnées par une autorisation préalable de la Banque d'Algérie. «Toute cession qui n'est pas réalisée en Algérie conformément à la loi nationale, sera nulle et de nul effet», stipule la même loi.

Ali Titouche