阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Tuesday, March 01, 2011

Crise libyenne





Crise libyenne: un Conseil européen est convoqué
[Fenêtre sur l'Europe]

Les chefs d’Etat et de gouvernement de l'Union européenne se réuniront en Conseil extraordinaire le 11 mars pour décider d’une "stratégie commune" face à la crise libyenne alarmante, alors que le colonel Kadhafi s'accroche au pouvoir.


Ce sommet intervient après l’adoption de sanctions à l’encontre du régime libyen par l’UE, le 28 février. Les Vingt-sept devraient également discuter des menaces migratoires que fait peser l’afflux massif de réfugiés en provenance de Libye.

Présidentielle 2012 Mr le le chef de l'etat Nicolas Sarkozy est «incontestablement le meilleur candidat les raisons sont internationale

5 ans trop juste pour des raisons de politique internationale

Bientôt une Banque européenne pour la Méditerranée



Suite aux événements récents en Tunisie et en Egypte, le Parlement européen réuni en février en session plénière a appelé de ses voeux la création d'un Banque européenne pour la Méditerranée, véritable filiale de la Banque européenne d'investissement. Alors qu'il se rendra les 2 et 3 mars à Tunis pour rencontrer les nouveaux interlocuteurs de la BEI en Tunisie, le vice-président Philippe de Fontaine Vive, chargé de la FEMIP, qui pourrait devenir cette banque, revient sur ce projet, sur ce que peut faire dès à présent l'Europe pour ces pays, mais également sur l'avenir de l'UPM.

Une institution financière européenne entièrement dédiée à la Méditerranée ?La Banque européenne d'investissement (BEI) était à l'ordre du jour de la session plénière du Parlement européen en février puisque les eurodéputés étaient appelés à s'exprimer sur la révision de son mandat externe. A cette occasion, et au vu des récents événements en Tunisie et en Egypte, pays partenaires de l'Union européenne, ils se sont prononcés en faveur d’une utilisation accrue des prêts de la BEI en soutien aux mouvements de démocratisation au Sud de la Méditerranée.

Dans cette perspective, et à l’initiative du groupe des socialistes, le Parlement européen a approuvé l’octroi d’une enveloppe additionnelle d'1 milliard d’euros de prêts à destination de cette région. Pour le Français Vincent Peillon (S&D), rapporteur en commission des Affaires étrangères sur ce dossier et responsable du suivi de l’Union pour la Méditerranée, "c’est un premier pas encourageant. Cet argent doit aller prioritairement à des projets aux effets visibles et rapides sur les conditions de vie des populations ; dans cette optique, le soutien au micro-crédit doit être un axe d’action privilégié".

Mais l'eurodéputé considère que l'Union européenne peut aller plus loin : en créant une Banque européenne pour la Méditerranée de co-développement et d'investissement, qui serait plus pérenne. Actuellement vice-président de la BEI chargé de la FEMIP, la "Facilité euro-méditerranéenne d'investissement et de partenariat" qui pourrait devenir la banque pour la Méditerranée en étant filialisée, Philippe de Fontaine Vive explique que cela "permettrait aux pays du Sud de la Méditerranée de devenir co-propriétaires de leur développement en devenant actionnaires de cette filiale, ce qui en même temps lui donnerait plus de moyens, plus de capacités d'intervention".

Mais comme le précise M. de Fontaine Vive, "c'est un voeu à ce stade. Ce sont les Etats, qui sont actionnaires de la BEI, qui doivent décider si c'est quelque chose qui leur convient. Ce débat avec les actionnaires n'a pas encore eu lieu aujourd'hui, mais je suis sûr que les événements qui ont lieu en Tunisie, Egypte et dans les autres pays arabes auront une influence déterminante. Le ministre italien des Affaires étrangères a d'ailleurs appelé à un véritable Plan Marshall, dont cette institution pourrait être l'un des éléments. Maintenant c'est à la volonté politique de s'exprimer".



Des actions concrètes dès 2011 mises en oeuvre par la BEI
Si cette Banque pour la Méditerranée en est pour le moment au stade du projet, Philippe de Fontaine Vive explique cependant que, concernant les pays du Sud en transition démocratique, la BEI a déjà "des idées très concrètes sur la Tunisie puisque [elle a] aidé Madame Ashton a préparé son déplacement le 12 février" dernier. "Si nous avions le soutien complet de la Commission européenne nous pourrions passer de près de 500 millions d'euros de prêts en Tunisie l'an dernier à plus de 800 millions d'euros, 'près d'un milliard' a dit Catherine Ashton en visite à Tunis", précise-t-il dans une interview accordée à Toute l'Europe.


En ce qui concerne la Libye, Philippe de Fontaine Vive rappelle que la Libye n'a jusqu'alors jamais voulu s'associer à l'Europe via un accord de partenariat, ce qui ne permet pas à la BEI d'y intervenir aujourd'hui. Cependant, il précise que si les évolutions du régime allaient dans ce sens, "nous serions les premiers à vouloir participer à cette nouvelle forme de développement économique et sociale dans l'ensemble du Maghreb".

Concernant l'avenir de l'Union pour la Méditerranée, qui est vue par certains comme un instrument possible de la transition démocratique dans le monde arabe, Philippe de Fontaine Vive souhaite qu'on "réinvente l'Union pour la Méditerranée", en la sortant du "tourbillon politique" dans lequel elle a été prise après son lancement pour la réorienter sur "des projets concrets".



En savoir plus



La deuxième vie de l'Union pour la Méditerranée - Toute l'Europe

A Bruxelles, la BEI dresse le bilan de l'année 2010 - Toute l'Europe

La Banque européenne d'investissement - Toute l'Europe

mr le Ministre Fillon justifie le débat sur la laïcité Youtube Figaro

La deuxième vie de l'Union pour la Méditerranée



A l'heure où les révolutions arabes s'étendent comme une trainée de poudre du Maghreb au Machrek, les partisans du projet avorté d'Union pour la Méditerranée (UpM) se sentent pousser des ailes. Et entendent bien surfer sur cette vague révolutionnaire pour remettre en selle un projet lancé officiellement en 2008, mais qui était déjà une des promesses de campagne du candidat Sarkozy en 2007.Un projet axé sur le développement économiqueL'objectif de cette Union : "promouvoir l'intégration économique et les réformes démocratiques dans seize pays voisins situés au sud de l'UE, en Afrique du Nord et au Moyen-Orient", se faisant le relais du processus de Barcelone qui s'était révélé être un semi-échec. En effet les pays impliqués n'avaient pas réussi à surmonter les conflits politiques internes à la zone – dont le conflit israelo-palestinien, condition sine qua non de la construction d'une zone de paix et de prospérité économique. C'est sur ce même obstacle qu'a rapidement buté l'UpM, jusqu'à la suspension définitive des réunions suite à l'opération "Plomb durci" dans la bande de Gaza. Quant au secrétaire, le jordanien Ahmad Massa'deh, il a démissionné en janvier tout juste un an après sa prise de fonction, indiquant que les conditions dans lesquelles il avait accepté sa mission avaient changé.

L'UpM se compose de six initiatives phares : la dépollution de la Méditerranée, la mise en place d'autoroutes maritimes et terrestres, un programme de protection civile commun sur les catastrophes naturelles ou causées par l'homme, un plan solaire méditerranéen, une université euro-méditerranéenne, et enfin l'initiative méditerranéenne de développement des entreprises.Un nouveau volet politique
Pour Nicolas Sarkozy, ces axes essentiellement économiques ont vocation à être complétés par un approfondissement de la dimension politique : c’est pourquoi il a appelé dimanche à la refondation de l'UpM. Ce volet politique doit selon Henri Guaino, chef de la mission interministérielle pour l'UpM, se concentrer sur les thématiques des droits de l'Homme, de la démocratie et de la liberté. A son sens, les bouleversements en cours dans une partie du monde arabe rendent cela possible. Il plaide enfin pour un renforcement du codéveloppement, "pour éviter que ces révolutions ne tournent mal". Lors de son allocution de dimanche 27, le président Sarkozy a également laissé entrevoir d'autres préoccupations pour cette refondation : les flux migratoires et le terrorisme. A cela s'ajoute la volonté de se doter "de nouveaux outils pour promouvoir l'éducation et la formation de la jeunesse".




La France, qui avait été à l'initiative du projet d'Union pour la Méditerranée, est concernée au premier chef : c'est du moins l'opinion de M. Guaino qui affirme que, "l'Algérie, le Maroc, la Tunisie c'est presque un problème de politique intérieure ". Le nouveau ministre des Affaires étrangères Alain Juppé souhaite à son tour se saisir de cette initiative qu'il qualifie de prémonitoire.

Mais certains tirent un bilan plus critique de l'UpM, c'est le cas de l'Institut Thomas More qui note des problèmes internes qui ne sauraient être réglés par une plus grande politisation. A commencer par un désaccord au sein même de l'UE sur ses priorités entre une Europe nordique et orientale qui regarde vers l'Est, et une Europe latine plus tournée vers le Sud de la Méditerranée. Ce blocage s'est d'ailleurs manifesté dès la création de l'UpM avec un conflit entre A. Merkel et N. Sarkozy, puis plus gravement avec des promesses de financement non tenues. L'Union pour la Méditerranée se trouvait donc en déshérence depuis plusieurs mois, sans gouvernance ni réels moyens.
Le renforcement d'un volet politique n'est pas non plus approuvé unanimement, puisqu'il est perçu comme trop ambitieux au regard de l'expérience passée et des moyens mis à disposition. La Banque européenne d'investissement (BEI) ou encore l'Institut T. More proposent des solutions plus pragmatiques. Le chiffre de six priorités avancées au départ pourrait être réduit, les actions gérées à un niveau plus local, avec des schémas plus simples (type 5+5).

De son côté la BEI qui est le premier acteur financier public en Méditerranée (1,6 milliards d'euros par an) a mis en place la Facilité euro-méditerranéenne d'investissement et de partenariat. Cet instrument permet de financer des investissements publics majeurs, et de soutenir le développement industriel des pays de la rive Sud.

Il est donc nécessaire de tirer le bilan de l'Union pour la Méditerranée avant d'envisager sa réactivation, faute de quoi elle pourrait s'avérer n'être qu'un dérivatif pour les échecs de la diplomatie française et européenne, estime Dorothée Schmid, chercheuse à l'IFRI. La prochaine plénière de l'Assemblée parlementaire de l'Union pour la méditerranée qui se tiendra à Rome les 3 et 4 mars sera l'occasion d'effectuer ces clarifications.

Sources :



Mr Henri Guaino sur France Inter à propos de l'Union pour la Méditerranée
Mr Henri Guaino sur RTL
Allocution de Mr Nicolas Sarkozy le 27 février à l'occasion du remaniement
Site de l'Institut Thomas More
Page officielle de l'UpM
L'action de la BEI en Méditerranée : l'exemple du Maroc - Toute l'Europe
Interview du vice-président de la BEI, P. de Fontaine Vive - Toute l'Europe

le ministre des Affaires étrangères Monsieur Alain Juppé UPM une initiative prémonitoire



Alain Juppé a aussi cité quatre axes principaux de travail : "refonder l'Union pour la Méditerranée", lancée par Nicolas Sarkozy en 2007 mais aujourd'hui mise en sommeil. "C'était une initiative prémonitoire", explique le nouveau chef de la diplomatie. "Ce qui se passe aujourd'hui au sud de la Méditerranée change complètement la donne. Nous avons besoin d'y réfléchir", souligne-t-il. Alain Juppé souhaite également poursuivre la politique de défense européenne et "revoir les partenariats stratégiques" car "le monde a changé et qu'il faut s'adapter". Il cite notamment la Chine, le Brésil et la Russie. Enfin, il convient selon lui d'anticiper "l'essor souhaitable de l'Afrique au XXIe siècle". Le tout "sera très difficile", prévient-il.http://lci.tf1.fr/monde/2011-03/juppe-il-peut-sortir-le-meilleur-des-revoltes-arabes-comme-le-6295861.html

Mr Alain Juppé le nouveau chef de la diplomatie française UPM


Affaires étrangères. Juppé compte relancer l'Union pour la Méditerranée
Le nouveau chef de la diplomatie française a officiellement pris ses fonctions, aujourd'hui. Le successeur de Michèle Alliot-Marie aux Affaires étrangères a donné ses priorités : le renforcement des partenariats avec les pays émergents, la défense européenne, l'Afrique. Et, surtout, il compte relancer l'Union pour la Méditerranée.


"Il va nous falloir refonder l'Union pour la Méditerranée. C'était une initiative prémonitoire", a déclaré Alain Juppé lors de sa prise de fonctions, tout à l'heure. Le nouveau chef de la diplomatie française a brossé à grands traits ses priorités les plus urgentes. Elles portent notamment sur les bouleversements dans le monde arabe.

Ce forum de coopération entre l'UE et les pays du Maghreb et du Proche-Orient était l'un des grands projets de Nicolas Sarkozy au début de son mandat.

"Anticiper l'essor de l'Afrique"
Alain Juppé a également évoqué, dans ce premier discours au Quai d'Orsay, le renforcements des partenariats avec les pays émergents, la défense européenne et l'Afrique: "Nous devons anticiper (...) l'essor de l'Afrique au XXIe siècle. Ce serait pour nous une faute stratégique que de relâcher notre présence sur ce continent avec lequel tant de liens ont été construits au fil de l'histoire"

55% des Français lui font confiance
A 65 ans, Alain Juppé revient donc à ce ministère où il avait passé deux ans, de 1993 à 1995, avant de devenir Premier ministre de Jacques Chirac. Il devra à la fois y rétablir la confiance auprès des diplomates et relancer l'action gouvernementale à l'international. Selon un sondage Harris Interactive, 55% des Français lui font d'ailleurs "plutôt confiance" comme nouveau chef de la diplomatie.

Une diplomatie française à relancer
La diplomatie française faisait l'objet de nombreuses critiques ces dernières semaines, tant dans l'hexagone que dehors de ses frontières. En ligne de mire : une France inaudible alors qu'un vent de liberté traverse le monde arabe, et la controverse sur les "vacances tunisiennes" de Michèle Alliot-Marie. Poussée à la démission, dimanche, MAM n'était au Quay d'Orsay que depuis trois mois. Elle devrait d'ici quelques semaines retrouver son poste de député de Pyrénées-Atlantiques.

Alain Juppé, lui, a passé les rênes de la Défense à Gérard Longuet, ancien chef de file des sénateurs UMP.

L'Europe innovations et les protéger



L'Europe doit miser sur ses innovations et les protéger
[Fenêtre sur l'Europe]

Elles sont le seul atout de l'Europe dans la compétition économique internationale, estime Benoît Battistelli, directeur de l'Office européen des brevets (OEB).


Seule la garantie que leurs inventions seront protégées peut inciter les entreprises à investir dans la recherche. La publication de tous les brevets et de toutes les demandes met dans le domaine public une mine d'informations. "Cela contribue au progrès technologique par les tiers", explique le Français, qui est à la tête de l'organisme depuis l'an dernier.

Alors que l'Europe discute actuellement des moyens de renforcer sa compétitivité, M. Battistelli estime qu'inciter les entreprises, notamment les PME, à protéger leurs innovations doit être un élément essentiel du débat.



Site de l'OEB : http://www.epo.org/about-us/office_fr.html

Monsieur le Président Tunisie: Nicolas Sarkozy promet une nouvelle ère avec les pays arabes



Le Président de la République Française, monsieur Nicolas Sarkozy a mis en avant les bouleversements dans le monde arabe.

le chef de l'etat Monsieur Nicolas Sarkozy plan pour l'emploi



Sarkozy dévoile son plan pour l'emploi des jeunes et des seniors
Nicolas Sarkozy a présenté mardi à Bobigny le nouveau dispositif du gouvernement destiné à doper l'emploi des jeunes et lutter contre le fléau du chômage de longue durée, fondé sur un renforcement de l'apprentissage et le développement des emplois aidés.

Confirmant le déblocage en 2011 d'une enveloppe supplémentaire de 500 millions d'euros pour faire favoriser l'emploi, le chef de l'Etat a d'abord confirmé la mise en place d'un système de bonus-malus pour doper la formation en alternance dans les entreprises.

"Les entreprises qui ne s'ouvrent pas à l'alternance seront sévèrement sanctionnées, les entreprises qui remplissent presque leurs objectifs seront très peu sanctionnées, les entreprises qui dépassent leurs objectifs seront récompensées", a résumé Nicolas Sarkozy, "je crois que ce système est un système pertinent qui va pouvoir ouvrir les entreprises aux jeunes".

Le gouvernement va ainsi relever de 3 à 4% le quota de jeunes en formation imposé aux entreprises de plus de 250 salariés et offrir un bonus de 400 euros par contrat à celle qui dépasse ce nouveau seuil. Les PME qui embauchent un jeune en alternance de plus bénéficieront, elles, d'une exonération totale des charges sociales sur ce contrat.

Selon les prévisions de l'Elysée, ce dispositif doit permettre d'embaucher 135.000 jeunes en alternance de plus par an.

En outre, M. Sarkozy a annoncé que le nombre des contrats d'autonomie, réservés aux jeunes des quartiers en difficulté, passera de 8.000 à 15.000 en 2011 et que les infrastructures de formation seraient musclées.

Le chef de l'Etat a confirmé son objectif de "passer de 600.000 à 800.000 jeunes en apprentissage dans les trois années qui viennent".

"L'apprentissage, c'est 70% des jeunes qui à la fin de leur formation trouvent un emploi (...) en Allemagne, deux tiers des jeunes sont formés par l'alternance, en France un tiers des jeunes. Voilà la différence, voilà la raison du chômage des jeunes", a-t-il estimé, "la stratégie et l'objectif sont limpides, on va combler notre retard".

"Depuis trente ans, nous tous, gauche et droite, chaque gouvernement a affirmé faire de l'accès à l'emploi des jeunes sa priorité (mais) le taux de chômage des moins de 25 ans est constamment resté le double de celui du reste de la population", a relevé le chef de l'Etat, "il est temps de tirer les leçons de ce que j'appellerais un échec collectif".

Même s'il a jugé que la "formation (était) la meilleure arme anti-crise, le meilleur passeport vers la reconversion professionnelle", M. Sarkozy a annoncé un nouveau renforcement des contrats aidés, longtemps dénoncés par la droite.

L'Etat financera ainsi 250 millions d'euros de contrats aidés supplémentaires en 2011, soit 50.000 de plus que les 390.000 déjà programmés pour 2,6 milliards d'euros déjà prévus.

Principale mesure annoncée, le gouvernement va offrir aux entreprises qui embauchent un demandeur d'emploi âgé de plus de 45 ans une aide supplémentaire de 2.000 euros par contrat de professionnalisation, cumulable à celles déjà versées et aux exonérations de charges.

Malgré une relative embellie en janvier, le nombre des demandeurs d'emplois sans activité a progressé en 2010. Le nombre de personnes n'ayant exercé aucune activité s'établissait en janvier à 2,703 millions de personnes.