阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Tuesday, August 24, 2010

Un nouvel espace pour la musique d’El-Anka






Le Festival national de la chanson chaâbie dont c’est la 5e édition s’ouvrira du 25 jusqu’au 31 août 2010 (à 22 h) à Alger au Théâtre national algérien (TNA) Mahieddine-Bachtarzi. Le festival doté d’un jury présidé par le chanteur Boudjemâa El Ankis départagera des candidats venus des quatres coins du pays.

Comme nouveauté cette année, l’organisation de journées pédagogiques au profit des candidats et l’ouverture d’un nouvel espace qui vient ainsi s’ajouter à celui du TNA.

Il s’agit du théâtre Fadela-Dziria, un théâtre de plein air situé sur le parvis de l’Institut national supérieur de musique près de la Place des Martyrs. « La participation des candidats aux journées pédagogiques est obligatoire, car le stage est sanctionné par une note qui peut peser sur la décison du jury » explique Abdelkader Bendamache, commissaire du festival.

Et d’ajouter « nous avons aussi voulu à travers l’ajout de l’espace Fadela-Dziria élargir le champ d’expression du festival pour le rapprocher au plus près du public algérois, d’autant plus que ce théâtre est situé à l’entrée de Bab el-Oued, en même tems qu’il est adjacent à la Place des Martyrs ». Les candidats, a indiqué Abdelkader Bendamache, seront conviés à s’y produire une seconde fois après le TNA, ils auront en face un autre orchestre, un autre public et un autre jury précise-t-il .

El d’ajouter « ça va leur permettre de se rattraper au cas où ils auraient « trébuché » lors de leur prestation au TNA, nous avons constaté lors des précédentes éditions que certains candidats brillants, par ailleurs, ont le trac lorsqu’ils montent sur les planches du bâtiment imposant du théatre Mahieddine-Bachtarzi ».

« On a coutume de faire tenir ce festival au mois de Ramadhan, pour préserver sa facture traditionnelle ainsi que de le maintenir dans son ambiance chaleureuse habituelle » explique Bendamache.

Le Festival de la chanson chaâbie, contrairement à beaucoup de festivals de musique, présente cette particularité d’être le moment de couronnement d’un processus de sélection de jeunes talents commencé à la base au niveau des trois régions du pays. (Est, Centre et Ouest).

Les jeunes qui vont se produire ont déjà fait l’objet d’une présélection qui s’est faite cette année en mars dernier à Chlef. Ils auront donc à affronter un autre, plus redoutable, celui du TNA qui sera présidé par le chanteur Boudjemâa El Ankis. Ce festival ne mérite peut-être pas son nom puisqu’à vrai dire il n’est qu’un festival de la chanson chaâbie amateur.

Entre six et cinq candidats sont programmés chaque jour pour passer devant le jury.

Et chaque jour il y a au menu un artiste invité appelé à clôre la soirée. Pour la soirée d’ouverture, le 25 août, l’artiste invité sera Mustapha Belahcene, il devra donc gratifier le public et bien sûr les candidats de quelques superbes morceaux de son répertoire. Pour les autres journées, on aura comme artistes invités succéssivement Abdemadjid Meskoud, Abdelkader Chaou, Abdeslem Derouache, Mohamed Kadi et Youcef Toutah. Bien sûr l’ultime journée, en sus de l’hommage qui sera rendu au regretté Hssissen, sera marquée par la remise des prix d’encouragement aux jeunes lauréats ainsi que par la prestation de celui qui va remporter le premier prix.

L’europe admet que l’algérie subventionne le prix de l’énergie



Lors de la 21 e session annuelle du forum de Crans Montana, qui se tient actuellement à Bruxelles, le ministre d’Etat, représentant personnel du président de la République, M. Abdelaziz Belkhadem, a exposé la perception de l’Algérie vis-à-vis des questions qui étaient abordées lors de cet événement.

Dans une déclaration à la presse, le représentant personnel du président a indiqué, jeudi, que le problème du double prix a été débattu avec les Européens et qu’il a été convenu que l’Algérie dispose d’un avantage comparatif.

« Les Européens comprennent la nécessité pour l’Algérie d’avoir un prix intérieur pour la consommation des ménages et le secteur industriel à partir du gaz », a-t-il affirmé à l’APS. Le différend entre les deux parties, faut-il le rappeler, est lié aux exigences de l’Union européenne de mettre fin à la subvention du prix du gaz destiné à l’industrie.

L’UE reproche, en effet, à l’Algérie de subventionner le prix des carburants sur son marché local. Mais cette dernière refuse de lever la subvention sur le gaz et d’aligner les prix des carburants sur les prix internationaux pour conserver le seul avantage qu’elle possède, à savoir un prix compétitif de l’énergie. Ceci afin d’attirer plus d’investissements dans le secteur de l’industrie et également de rendre les produits algériens issus de la pétrochimie plus compétitifs sur les marchés internationaux.

Ainsi, si l’on se tient aux déclarations de M. Belkhadem, tout est rentré dans l’ordre concernant ce litige entre l’Algérie et l’Europe, les deux parties restant, toutefois, « très fortement » liées par la coopération énergétique.

Ace sujet, le ministre tient à rassurer sur « la disponibilité de l’Algérie à garantir la sécurité énergétique de l’Europe pour peu que les prix négociés soient des prix qui permettent à l’Algérie de rentabiliser ses infrastructures et de tirer profit de cette ressource financière qui constitue une bonne partie de nos recettes d’exportations », a-t-il affirmé.

« L’Algérie a consenti des investissements lourds pour assurer cette sécurité énergétique de l’Europe, à travers une augmentation substantielle de ses capacités de production et d’exportation dont la construction des gazoducs (GALSI et MEDGAZ) et des infrastructures pétrolières et gazières et attend légitimement un retour sur ces investissements par le biais d’un prix rémunérateur et des contrats permettant d’assurer une sécurité énergétique sur le long terme », a-t-il justifié.

Cependant, un problème demeure et qu’il faut résoudre, a-t-il relevé. « C’est celui de la directive communautaire européenne sur l’Energie qui, a-t-il estimé, devrait prendre en considération les intérêts de l’Algérie et de tous les pays qui alimentent l’Europe en gaz ».

« L’Algérie réitère sa préoccupation par rapport aux difficultés que ses entreprises rencontrent pour l’accès aux marchés européens de distribution de gaz et d’électricité afin de rééquilibrer, un tant soit peu, l’asymétrie des relations avec son partenaire européen », a-t-il martelé.

Apropos de l’Union pour la Méditerranée (UPM), le ministre d’Etat a estimé qu’ »elle ne peut avoir d’avenir que si elle apporte un plus au processus de Barcelone, c’est-à-dire, si les mécanismes financiers mis en place par le processus de Barcelone sont améliorés et si les problèmes politiques pendants trouvent une solution ». Dans ce sens, il a rappelé que le processus de Barcelone est venu après, à un moment où il y avait une lueur d’espoir chez les Européens pour arriver à résoudre le conflit arabo-israélien.

« Il est malheureux de constater que nous n’avons pas évolué d’un iota. Il y a eu une dégradation, puisqu’on parle maintenant du mur, d’implantation de colonies, des différents barrages érigés en terre palestinienne pour empêcher la libre-circulation des Palestiniens et de l’Autorité palestinienne en Cisjordanie et d’une autre autorité à Ghaza », a-t-il déploré.

« C’est-à-dire que la situation s’est aggravée pour le peuple palestinien et nous ne voyons pas l’emprise européenne sur la scène moyen-orientale pour participer activement au processus de paix, bien que les Arabes eurent proposé, en 2002, une initiative de paix », a-t-il expliqué.

« Nous estimons que l’Europe, de par son poids et son influence, devrait s’impliquer dans la relance des efforts diplomatiques en vue d’une résolution juste et durable », a-t-il ajouté, appelant les grandes puissances à « agir pour mettre fin au blocus contre Ghaza et en condamnant les attaques israéliennes barbares contre la flottille de la paix ».

Dans le même ordre d’idées, M. Belkhadem a réaffirmé, à l’occasion de ce forum, que la ville d’El Qods faisait partie intégrante des territoires palestiniens et qu’on ne pouvait pas parler de « Jérusalem ville ouverte ».

Pour l’Algérie, « El Qods-Est fait partie du territoire palestinien et, selon le droit international et les résolutions de l’ONU, on ne peut pas parler de +Jérusalem ville ouverte+ parce que le problème de la souveraineté se posera », a-t-il précisé à la presse.

« Sous qu’elle souveraineté sera cette « ville ouverte », d’autant que nous, en Algérie, nous considérons que la Palestine libérée devra avoir une capitale que les Palestiniens choisiront eux-mêmes bien sûr et qu’El Qods orientale fait partie de la Palestine », a-til ajouté.

« Il se trouve malheureusement que les thèmes dans leurs dénominations n’appellent pas à un débat approfondi comme par exemple sur le problème du Moyen-Orient où on parle de processus de paix depuis 19 ans, c’est-àdire depuis la conférence de Madrid et où on parle également de « Jérusalem ville ouverte »", a-t-il expliqué.

Ferhat Y.

La Banque Mondiale projets d'énergie solaire en Algérie




La Banque Mondiale propose de financer des projets d'énergie solaire en Algérie
La Banque Mondiale est prête à allouer un financement pour l'Algérie afin de développer ses projets d'énergie scolaire.

En effet, en tant que pays membre de la Région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA), l'Algérie pourrait profiter d'une aide substantielle de la part de la Banque Mondiale pour concrétiser des projets de développement de l'énergie solaire.





Il faut savoir à ce propos que la Banque Mondiale a décidé d'allouer à cinq pays de la région MENA une enveloppe de 5,5 milliards de dollars afin de financer des projets d’énergie solaire qui devraient être opérationnels à l’horizon 2015, a-t-on appris mardi. Les pays concernés sont la Tunisie, l'Egypte, la Jordanie, le Maroc et l'Algérie. Les projets à financer doivent générer une capacité de production de 9.000 mégawatts, soit l’équivalent de la capacité totale absorbée par l’Etat d'Abu Dhabi.

Il s'agit là d'une magnifique opportunité qui s'offre pour l'Algérie afin de multiplier ses sources d'énergies. Malheureusement, mise à part la gendarmerie nationale, ainsi qu’une vingtaine de villages isolés dans le sud du pays, l'énergie solaire est trés peu utilisée dans notre pays. Aujourd'hui encore, les énergies renouvelables ne représentent, dans le bilan énergétique national, que 0,02% de la consommation nationale d’électricité.

Et pourtant, le potentiel existant notamment solaire est le plus important du bassin méditerranéen. Des experts soulignent que ce potentiel est estimé à 169.440 TWH, ce qui équivaut à cinq mille fois la consommation de l’Algérie en électricité et soixante fois la consommation de quinze pays européens. Qu'attend-t-on alors pour exploiter cette énorme source d'énergie ?

Mr Charles Milhaud banque-Méditerranée



Banque-Méditerranée: Milhaud reçu à l'Elysée
Charles Milhaud, à qui Nicolas Sarkozy avait confié en décembre dernier, la mission d'étudier la possibilité de créer une banque dédiée au financement du co-développement en Méditerranée, sera reçu mercredi à l'Elysée pour y présenter ses conclusions, indique mardi un communiqué de la présidence. "Au titre de la réflexion sur le financement des projets de l'Union pour la Méditerranée, Charles Milhaud a donc réuni, à la demande du président de la République, une commission composée de membres français et étrangers spécialistes du développement, de la finance ou du secteur bancaire", développe l'Elysée. La commission de Charles Milhaud "avait pour tâche d’évaluer la capacité des institutions financières actives dans la région à mobiliser des financements et de proposer des pistes de réforme visant à une plus grande coordination et/ou à un renforcement des instruments existants, dans le cadre des projets de l’Union pour la Méditerranée".

Culture Tizi ouzou



Le directeur de la culture de Tizi ouzou
“Toutes les conditions sont réunies pour bien accueillir Cheb Khaled”
Par : Samir Leslous


“Toutes les dispositions nécessaires sont prises pour permettre un bon déroulement des deux concerts-évènements du king du raï, Cheb Khaled, et la vedette de la chanson kabyle, Mohammed Allaoua, qui seront organisés pour les 25 et 26 août prochains au stade Oukil-Ramdane de Tizi Ouzou”, a déclaré le directeur de la culture, Ould Ali El-Hadi, hier, à l’occasion d’un point de presse animé à la maison de la culture Mouloud-Mammeri. Selon Ould Ali El-Hadi, une séance de travail a été déjà tenue avec les services de l’ordre qui ne vont pas mobiliser,
a-t-il expliqué, un arsenal impressionnant mais qui vont agir, sans doute, efficacement pour éviter tout débordement, assurer une fluidité dans l’accès au stade et surtout canaliser au mieux le public qui sera assurément nombreux, notamment pour le gala de Cheb Khaled, le 26 août.
pour ces deux grandioses spectacles, les gradins du stade seront réservés aux familles alors que la pelouse sera ouverte au reste du public. Le concert de Cheb Khaled est sponsorisé, selon le conférencier, par plusieurs partenaires dont la compagnie Aigle Azur, qui se chargera d’ailleurs de transporter gratuitement le chanteur, ses musiciens et plusieurs journalistes.

Recette de cuisine Baraniya




Ingrédient :
Morceaux de poulet
1 petit oignon
4 gousses d’ail
1 poignée de pois chiches trempés la veille ou une poignée d’amandes émondées
6 œufs
200 g de fromage râpé
250 g de pain sec ou de biscottes
1 c. à soupe de s’men ou de beurre
1 demi-verre d’huile
1 pincée de levure chimique
1 c. à soupe de vinaigre blanc
1 c. à café de carvi en grains
1 pincée de cannelle
1 pincée de poivre noir
Sel

Préparation
Mettre les morceaux de poulet dans une marmite. Hacher dessus l’oignon. Ajouter le s’men (ou le beurre) et l’huile. Faire revenir pendant 10 minutes, en mélangeant en permanence. Ajouter le carvi pilé avec l’ail et le sel. Couvrir juste à couvert d’eau. Après ébullition, plonger les pois chiches ou les amandes et laisser mijoter jusqu’à cuisson parfaite du poulet. Pendant ce temps, mélanger le pain, les œufs, le fromage râpé, le poivre noir, la levure chimique et le sel. Enlever les morceaux de poulet et les déposer dans un plat allant au four préalablement beurré. Ajouter quelques cuillères de sauce et verser le mélange de pain et enfourner. Laisser cuire convenablement. Retirer le plat, l’arroser de la sauce chaude et du vinaigre.

source: Midi libre

La Kaaba ou la Mosquée sacrée de La Mecque



La Kaaba est une grande construction cuboïde au sein de Masjid al-Haram « La Mosquée sacrée»à La Mecque. Son nom est une transcription approximative de l’arabe (al kaâba) qui signifie cube.

La symbolique de la Kaâba vide signifie qu’il ne peut y avoir d’objet d’adoration pour le croyant. Elle symbolise l’unité des musulmans qui adorent un Dieu unique, et représente le lieu vers lequel se dirige la prière. C’est autour de la Kaâba que les pèlerins effectuent les sept tours du tawaf, également appelé la circumambulation.

Avant l’avènement de l’Islam :
Les anciens chroniqueurs rapportent qu’avant l’avènement de l’Islam (jahilya), il y avait 24 kaâbas dans la péninsule d’Arabie, mais celle de La Mecque était vénérée par toutes les tribus.

Quant à son apparence primitive, la Kaâba apparaissait probablement au départ comme un simple enclos de pierres sans toit, édifié à proximité immédiate d’un point d’eau salvateur au fond d’une vallée sèche et non arborée. Sa construction dans ce lieu insolite signalait manifestement déjà une intention cultuelle et confirmait son caractère d’espace sacré.

Bientôt, les populations bédouines vinrent de toute l’Arabie y déposer les statues (asnam) de leurs idoles, auxquelles ils rendaient visite une fois par an lors d’un pèlerinage. On dit qu’à l’avènement de l’Islam, la Kaâba contenait plus de 360 statues de divinités, les plus vénérées et les plus plébiscitées étant : Hubbal, Al-Lat, al-Uzza ou Manat.

La Kaâba mecquoise fut édifiée à une époque indéterminée. Le Coran dit que c’est le prophète Ibrahim (Abraham) qui l’a construite avec l’aide de son fils Ismaël.

Période islamique :
Prière face à la Kaâba à la Grande Mosquée. Vers 590, les fondations de la Kaâba furent gravement endommagées par des pluies torrentielles. Menaçant de s’effondrer, le sanctuaire dut être démoli et reconstruit par les Quraychites, la tribu dont est issu Mohamed (SAW) (qui était alors âgé de 20 ans).

Description :
La Kaâba est un bâtiment de forme approximativement cubique avec ses 15 mètres de haut et ses côtés de 10 et 12 mètres. Il ne possède qu’une seule ouverture, une porte, qui est ouverte trois fois par an pour permettre de laver le plancher avec de l’eau puisée à la source de Zamzam (celle qui est supposée avoir été découverte par Agar lorsqu’elle cherchait désespérément de l’eau pour son bébé Ismaël pendant leur exil dans le désert).

source: Midi libre

EnviroAlgérie 2010: Salon Algéro-Allemand sur l’Environnement




EnviroAlgérie 2010 Le deuxième Salon algéro-allemand sur l’environnement aura lieu du 22 au 24 novembre 2010, à Alger. La pollution causée par l’industrie émergeante, mais également la forte croissance de la population algérienne – surtout dans les zones de forte concentration urbaine le long de la côte – nécessite la recherche de nouvelles solutions pour la gestion des déchets, des eaux usées et dans le domaine de l’énergie
On constate actuellement un grand besoin en technologie et en savoir-faire pour pouvoir relever les défis environnementaux en Algérie. Ce sont ces défis que justement le deuxième Salon algéro-allemand sur l’Environnement EnviroAlgérie© intégrant un congrès scientifique et une bourse de coopération, devra contribuer à relever.

EnviroAlgérie© est organisé par l’AHK Algérie et la Coopération technique allemande (GTZ) sous le Haut patronage du ministère algérien de l’Aménagement du Territoire et de l’Environnement. Il aura lieu du 22 au 24 novembre 2010 au Palais de la Culture à Alger. La première édition de ce Salon qui avait eu un véritable succès, s’était tenue en octobre 2008, avec 40 exposants allemands et 30 exposants algériens, 1500 visiteurs professionnels et plus de 100 journalistes.

L’objectif du Salon 2010 est de faciliter aux décideurs politiques et économiques algériens en particulier et à la société civile en général, l’accès aux technologies les plus récentes et au savoir-faire allemand dans le domaine de la protection de l’environnement. Le Salon couvrira les domaines de la gestion des déchets, de l’eau, des énergies renouvelables et de l’efficience énergétique. Dans ce contexte, la GTZ invitera des experts internationaux pour discuter dans le cadre d’un Congrès sur le développement des nouvelles technologies dans les secteurs de l’environnement, du traitement de l’eau, du traitement des déchets et du changement climatique.

Le Congrès offrira aux participants allemands et algériens ainsi qu’aux experts de nouvelles informations sur le marché algérien afin de discuter sur les solutions et les potentialités qu’offre le marché algérien, comme par exemple dans le cadre des projets de « Mécanisme pour un développement propre (MDP) ». De plus l’AHK Algérie organisera des entretiens individuels sous forme de bourse de coopération, qui auront lieu dans les stands respectifs des exposants durant tout le déroulement du Salon, afin d’établir de nouveaux contacts professionnels et d’intensifier les contacts déjà existants. Regroupant 700 membres algériens et allemands, la Chambre algéro-allemande de commerce et d’industrie (AHK Algérie) jouit, du fait de son statut paritaire, depuis plus de 4 ans, d’un excellent crédit auprès des institutions officielles et des entreprises des deux pays.

Forte d’expériences au service des relations économiques algéro-allemandes, AHK Algérie est un partenaire fiable autant pour les entreprises allemandes qu’algériennes et tout particulièrement les PME quand il s’agit d’accéder à un marché étranger, diversifier leurs marchés, rechercher des partenaires ou représentants potentiels ou encore investir et s’implanter dans le pays.

En tant que membre du DIHK, l’organisation fédérale des CCI allemandes regroupant 3,7 millions d’entreprises affiliées, AHK Algérie fait partie d’un réseau international de 120 CCI allemandes à l’étranger et 80 CCI régionales en Allemagne. Dotées d’une autonomie de gestion, les Chambres de commerce allemandes à l’étranger sont le principal outil de la promotion du commerce extérieur allemand; couvrant 97 % des pays avec lesquels l’Allemagne entretient des relations économiques, elles conseillent les entreprises de manière individuelle et pratique, répondant à leurs problèmes spécifiques.

source: Le maghreb

UE Ukraine


AFP

L'adhésion à l'UE reste prioritaire pour l'Ukraine


Le président ukrainien Viktor Ianoukovitch a assuré mardi que l'adhésion à l'Union européenne restait prioritaire pour son pays en dépit d'un rapprochement spectaculaire avec la Russie.

"L'intégration européenne reste prioritaire dans notre politique extérieure", a déclaré M. Ianoukovitch dans un discours à l'occasion du 19e anniversaire de l'indépendance de l'Ukraine, prononcé sur la place centrale de Kiev, devant environ 2.000 personnes.

Succédant en février au pro-occidental Viktor Iouchtchenko dont les relations avec Moscou étaient glaciales, M. Ianoukovitch avait aussitôt lancé un rapprochement spectaculaire avec la Russie qui lui a valu d'être accusé de "haute trahison" par l'opposition.

Les dirigeants russes ont envoyé mardi des messages de félicitation à leurs homologues ukrainiens à l'occasion de la fête nationale de l'Ukraine.

Le Premier ministre Vladimir Poutine s'est notamment félicité que l'Ukraine fête le jour de son indépendance dans "une atmosphère de stabilité politique et de croissance économique", une allusion aux conflits incessants dans l'ancienne équipe pro-occidentale.

"La Russie et l'Ukraine ont des traditions séculaires de bon voisinage, des racines spirituelles communes et des pages glorieuses dans leur histoire commune. Sur ce terrain fertile nous développons avec succès notre partenariat stratégique", a à son tour souligné le président russe Dmitri Medvedev.

M. Ianoukovitch a affirmé de son côté que les bonnes relations avec Moscou profiteraient à l'intégration de son pays à l'UE.

"L'Europe unie a besoin d'une Ukraine économiquement forte et démocratique, qui, conjointement avec la Russie, contribue au renforcement de la sécurité en Europe centrale et de l'Est mais aussi dans l'ensemble de l'espace eurasiatique", a-t-il estimé.

M. Ianoukovitch, dont la présidence est ternie par des accusations de pressions sur les médias, a par ailleurs nié toute ingérence des autorités dans ce secteur.

S'il a admis qu'il pourrait y avoir des entraves à la liberté d'expression en Ukraine, le président les a attribuées à des conflits commerciaux entre les propriétaires des médias.

"En tant que garant de la Constitution, je ferai tout pour empêcher la moindre pression sur les médias", a-t-il promis.

Alger lance son «plan blanc»



5 milliards de dinars dégagés pour le vieux bâti
La wilaya d’Alger lance une opération de réhabilitation du patrimoine immobilier du centre de la capitale, dénommée «Plan blanc».



Ce projet, présenté hier au niveau de la wilaya, touchera en priorité les immeubles de l’hyper-centre d’Alger : les rues Larbi Ben M’hidi, Zighoud Youcef, Didouche Mourad, de Tanger, Malika Gaïd et les rues menant vers les placettes (square Port Saïd, Grande-Poste, allée de la Mémoire, place Emir Abdelkader). Une enveloppe de 5 milliards de dinars a été allouée à cette opération, qui s’étalera sur 4 ans. «Les terrasses dont les habitations illicites ont été démolies et les occupants relogés seront remises en état. Les paraboles et les climatiseurs suspendus aux façades seront installés sur les terrasses dégagées, tandis que les câbles électriques et les fils téléphoniques seront encastrés», explique le directeur de l’urbanisme, Abdelkader Djelaoui. Ce plan de réhabilitation touchera aussi les espaces voisins des immeubles comme les trottoirs, les arbres. Une charte des espaces publics a été établie pour éviter toute modification : couleurs (trois ont été choisies : le blanc pour les murs, le gris pour les boiseries et le noir pour les rampes) ou la nature des trottoirs. Le directeur de l’aménagement et de la restructuration, Abdelkader Guida, explique le délabrement des immeubles par le changement de régime juridique de ces constructions datant de l’époque coloniale.

«Le régime de la copropriété lancé en 1981 sans cahier des charges précisant les droits et les devoirs des deux parties, la surcharge d’exploitation, l’accaparement des parties communes et la décrépitude expliquent la situation actuelle du bâti. Pas moins de 259 immeubles menacent de s’effondrer.» Pourquoi une telle opération à ce moment précis ? Le directeur du logement, Mohamed Smaïl, a indiqué que «l’opération ne pouvait être entamée sans l’établissement d’un diagnostic de l’état des immeubles et la définition des étapes d’intervention. Aussi, il était nécessaire de reloger en premier lieu les personnes qui occupaient les terrasses et les zones attenantes aux bâtisses à réhabiliter». La Casbah sera touchée par une opération de relogement de ses occupants (200 familles). La wilaya annonce, par ailleurs, la mise en place d’une «promenade de l’indépendance» allant de Maqâm Echahid à El Madania, au front de mer, en passant par le jardin d’Essai. L’immeuble La Parisienne, situé à Alger-Centre, a été démoli et l’exploitation du terrain est renvoyée aux calendes grecques. Selon le président de l’APC d’Alger-Centre, la situation est réglée : «L’immeuble, qui appartient à une ressortissante française, a été élevé sur un terrain lui appartenant également. Cette situation lui accorde le droit de disposer de son bien, qui verra la construction prochaine d’un immeuble identique à celui qui a été démoli», s’est contenté d’affirmer Tayeb Zitouni, sans pour autant donner de détails.

Nadir Iddir

Réhabilitation des grands boulevards d’Alger



La wilaya lance un projet d’envergure pour relooker les principales communes
5 milliards de dinars pour la réhabilitation des grands boulevards d’Alger
Par : MALIKA BEN

Bonne nouvelle pour tous les Algérois qui rêvent d’une capitale propre, belle et non agressive, voire d’un centre-ville aux antipodes de celui qui nous fait mal aux yeux et au cœur. Le citoyen n’a qu’à y mettre du sien et contribuer à l’embellissement de son immeuble et de son quartier. En un mot, revoir “Alger la blanche” ne semble pas être une utopie. Du moins à en croire les engagements pris par la wilaya d’Alger dans le cadre de la réhabilitation de la capitale. L’étude et les projets qui seront lancés, certains le sont déjà, sont très optimistes. Lors de la conférence de presse tenue hier au siège de la wilaya d’Alger par la Direction du logement en présence du chef de cabinet et du P/APC d’Alger-centre, les exposés des différents directeurs qui se sont succédé nous ont emportés vers des communes de rêve, où il fait bon vivre. Le contraste entre les photos de certains quartiers-pilotes, avant les travaux d’embellissement, et celles d’après, était des plus surprenants et donnait réellement envie que tout un chacun y contribue pour parvenir partout à les préserver. Des façades complètement retapées et repeintes en blanc qui laisse apparaître des ornements multicolores que la saleté a complètement “enterrés” et surtout des balcons dépourvus de paraboles et de climatiseurs sans oublier des espaces verts. Comme l’avait dit le directeur du logement, “ce n’étaient pas des photos virtuelles” puisque c’était la pure réalité à un jet de pierres du siège de la wilaya d’Alger. La rue Larbi-Ben-M’hidi opère sa mue et les travaux vont bon train depuis quelque temps pour redonner à la capitale l’image qui lui sied, en la dotant également d’espaces de promenade. L’opération de réhabilitation ciblera en première phase les principaux boulevards et places de certaines communes, telles Alger-centre, Télémly, centre d’El-Harrach et Belouizdad.
Le reste suivra à condition que des entreprises de qualité, dotées de moyens modernes, soient disponibles. Selon les différents intervenants, dont le chef de cabinet de la wilaya, ce sont ces entreprises qui manquent le plus et qui font retarder le démarrage des travaux dans certaines communes. C’est le cas aussi pour Sonelgaz qui met du temps pour intervenir au niveau des immeubles où les travaux ont commencé. Le citoyen doit contribuer au montage financier et ne pas contester ; 5 milliards de dinars est le coup du projet de réhabilitation uniquement des principaux boulevards de la capitale. 500 millions de dinars ont été dégagés par la wilaya en attendant le montage financier. Selon le directeur de l’aménagement et de la restructuration des quartiers (Draq) et le P/APC d’Alger-centre, le citoyen doit et va contribuer dans le montage financier. “Ne serait-ce que par une contribution symbolique qui le poussera à veiller sur l’immeuble et ses équipements.” Selon le Draq, certaines familles s’opposent aux travaux de réhabilitation et vont jusqu’à agresser les agents. “On a vu des vertes et des pas mûres notamment lorsqu’il s’agit d’enlever les paraboles et les climatiseurs des balcons.” Selon le P/APC d’Alger-centre, une famille a été jusqu’à ester en justice son institution car la parabole a été arrachée de force. L’opération de relogement, lancée ces derniers mois par la wilaya d’Alger, se poursuivra ce mois de Ramadhan par le relogement, avant la fête de l’Aïd, des familles habitant dans pas moins de 14 cimetières de la capitale

Le maïs produit prochainement en Algérie



Nouvelle politique agricole
Le maïs produit prochainement en Algérie


Dans le cadre de la nouvelle politique agricole destinée à réduire les importations, l'Algérie tente d'élargir la gamme de sa production de céréales. Après le blé et l'orge, le ministère de l'Agriculture envisage de produire localement une grande part du maïs consommé et aller, éventuellement, vers l'autosuffisance à long terme, c'est ce que rapporte le journal électronique TSA.
A cet effet, les premiers périmètres agricoles convenant à la production de maïs viennent d'être identifiés dans la région de l'Oranie, selon un haut responsable de ce ministère. Cette culture sera élargie, dans une seconde phase, à l'échelle nationale à travers les régions où les conditions climatiques et la qualité des sols sont réunies. Le même responsable a expliqué que "le maïs n'est pas produit en Algérie depuis des décennies eu égard aux énormes quantités en eau que ces cultures nécessitent, mais maintenant avec la mobilisation des eaux superficielles pour l'irrigation il y a des possibilités de produire le maïs au niveau national". Bien que considéré comme principal intrant dans la fabrication d'aliments de bétail et de volaille, les besoins de l'Algérie en maïs sont couverts exclusivement par l'importation. En effet, la volatilité des cours du maïs sur le marché international a souvent entraîné de fortes spéculations comme cela a été le cas en 2007 et 2008. En outre, la hausse considérable des prix des productions animales (viandes, lait, œufs) en Algérie est aussi due notamment à la hausse des prix des aliments importés. Par ailleurs, le directeur de la régulation au ministère de l'Agriculture a indiqué qu"il y a eu une forte abondance de la production céréalière pour la saison 2009/2010. Contrairement à l'année précédente où l'orge a représenté plus d'un tiers des 60 millions de quintaux de céréales récoltées, cette année une grande partie de la récolte est composée du blé dur, un produit dont l'Algérie vient d'atteindre le niveau d'autosuffisance. Toutefois, ce même responsable a admis que l'Algérie demeurera encore dépendante du marché international en ce qui concerne le blé tendre. La production nationale est loin de satisfaire les besoins de plus en plus croissants en blé tendre, utilisé principalement pour la production des farines boulangères.
Pour rappel, la baisse considérable des importations de blé de l'Algérie est due notamment à la récolte céréalière record enregistrée durant la campagne précédente. Selon les Douanes algériennes, le montant global des importations de blé dur et tendre est passé de 3,19 milliards de dollars en 2008 à 1,83 milliard en 2009. Cette baisse substantielle est due à la réduction des quantités importées après une production record de 6,2 millions de tonnes de céréales, dont 3,56 millions de blé. En outre, la baisse des cours sur le marché mondial a aussi permis à l'Algérie de faire des économies. L'Algérie demeure néanmoins l'un des plus gros importateurs mondiaux de l'or jaune. Ainsi, les approvisionnements du pays auprès des marchés mondiaux ont atteint 5,69 millions de tonnes, contre 6,48 millions en 2008. Par conséquent, ces quantités colossales placent l'Algérie septième gros importateur mondial de blé après l'Egypte, l'Océanie, le Brésil, l'Europe, le Japon et l'Indonésie, selon le classement du Conseil international des céréales (CIC). Le blé tendre représente plus que le double des importations globales du pays en blé. L'Algérie en a importé pour près d'un milliard représentant une quantité de 3,84 millions de tonnes, contre 1,84 million de tonnes de blé tendre pour 792,5 millions de dollars. La France demeure le premier fournisseur de l'Algérie en blé tendre avec 3,24 millions de tonnes pour 879,64 millions de dollars. Elle est son deuxième fournisseur en blé dur avec 477 071 tonnes pour 225,46 millions de dollars.
Fawzi K.

Mr Le président Barack Obama participera à un sommet avec l'UE en novembre


C'est une rencontre attendue depuis longtemps. Le président américain, Barack Obama, va en effet participer à un sommet avec les dirigeants européens le 20 novembre à Lisbonne, après avoir semé le désarroi dans l'UE au printemps dernier en renonçant à participer à une telle rencontre. La tenue de ce sommet a été confirmée par Bruxelles, sans plus de détails. Un sommet de l'OTAN est également prévu les 19 et 20 novembre à Lisbonne.

"Le président (Obama) se réjouit de cette occasion de rencontrer une nouvelle fois ses partenaires de l'UE, pour à nouveau insister sur notre programme transatlantique et faire progresser notre coopération sur des sujets d'intérêt commun", a déclaré la Maison Blanche dans un communiqué. L'annonce de ce sommet intervient alors qu'une précédente réunion, programmée les 24 et 25 mai à Madrid, avait été annulée après que la Maison Blanche eut annoncé que M. Obama ne s'y rendrait pas. Des raisons de calendrier avaient alors été avancées, mais ce faux bond avait été analysé comme un camouflet pour l'UE et sa présidence tournante, alors exercée par l'Espagne.

Les sommets entre les Etats-Unis et l'Union européenne se tiennent, sauf exception, une fois par an et au plus haut niveau. "Les Etats-Unis n'ont pas de partenaire plus solide que l'Europe pour faire progresser la sécurité et la prospérité dans le monde", a assuré mardi la Maison Blanche. "Nos relations économiques sont vitales pour la prospérité globale, et nous sommes engagés à coopérer pour une croissance solide et durable de nos économies", a encore affirmé la présidence, après les secousses provoquées au printemps dans la zone euro par les crises budgétaires grecque ou espagnole.

ACCAPARÉ PAR SON AGENDA INTÉRIEUR

Les Européens se sont inquiétés d'une marginalisation de la relation transatlantique, au profit de celle que M. Obama veut entretenir avec la zone Asie-Pacifique. L'UE est aussi sortie traumatisée de la conférence sur le climat de Copenhague en décembre, où le président américain a préféré négocier directement avec la Chine et l'Inde un accord a minima. Lors du G20 de Toronto (Canada) fin juin, M. Obama avait participé à huit rencontres bilatérales avec des dirigeants, dont sept asiatiques et un européen : le premier ministre britannique, David Cameron, avec qui il avait trinqué à la santé de la "relation particulière" entre les deux pays.

En réponse aux craintes exprimées par les dirigeants de l'union européenne, la Maison Blanche avait rappelé début 2010 que M. Obama s'était rendu "à six reprises en Europe" en 2009. Mobilisé par son programme de politique intérieure, le président n'a effectué qu'un tel voyage cette année : à Prague début avril.

TLEMCEN Youtube


Tlemcen (en arabe : تلمسان (Tlemsān), est une métropole d'environ 200 000 habitants (300 000 pour l'agglomération) du nord-ouest de l'Algérie, chef-lieu de la wilaya de Tlemcen, frontalière du Maroc. Elle est considérée par Si Kaddour Benghabrit comme la « Perle du Maghreb »[1].

Située dans l'arrière-pays, au cœur d'une région de vignes et de culture d'oliviers, elle est réputée pour ses cuirs, ses tapisseries et son industrie textile. La ville mêle influences berbères, arabes, hispano-mauresques, et françaises[2] ; cependant sous un contraste d'influences naturellement disparate, l'apport andalous est le plus ancré et apparent.

Soirée animée par Mr Lounis Ait Menguellet



Le 31 août à 22 h 30 à la salle Atlas : Soirée animée par Lounis Ait Menguellet
L’office national de la culture et de l’information (ONCI) organise le mercredi 31 août à partir de 22h30 à la salle Atlas de Bab El Oued, une soirée artistique qui sera animée par la star kabyle Lounis Ait Menguellet.


Dans le cadre de son programme spécial ramadhan 2010, l’office national de la culture et de l’information (ONCI) organise le mercredi 31 août à partir de 22h30 à la salle Atlas de Bab El Oued, une soirée artistique qui sera animée par la star kabyle Lounis Ait Menguellet.

Réhabilitation du patrimoine immobilier : 5 milliards de dinars pour le centre de la capitale



Un diagnostic du bâti d’Alger a touché 17.617 immeubles dans 7 communes.
- 1.600 bâtisses concernées par les travaux, soit 20.200 logements, sur une échéance de 4 ans.
- Les premiers travaux de réhabilitation sont engagés à la rue Larbi ben M’hidi.
- Les couleurs des façades et le type des matériaux de construction utilisés dans le revêtement des voiries seront réglementés.

Peut-on redonner un jour à Alger sa vraie dimension de capitale méditerranéenne ? C’est en tout cas le souhait de ses responsables qui ont présenté, hier, lors d’une conférence de presse, à laquelle a assisté le chef du cabinet du wali d’Alger, le diagnostic socioéconomique de l’hyper centre de la wilaya d’Alger.
Il s’agit en fait d’un « ambitieux » programme de réhabilitation du patrimoine immobilier du centre d’Alger et du développement de son cadre urbain à travers la réhabilitation du vieux bâti et l’aménagement des espaces extérieurs dont sont concernées dans une première étape 7 communes parmi les plus importantes d’Alger. Et, à en croire les conférenciers, il ne sera désormais plus question de procéder à de simples opérations de badigeonnage ou autres travaux de « bricolage » comme ce fut le cas par le passé. En outre, et grâce à la charte publique de l’espace, les couleurs des façades et des fenêtres ou encore le type des matériaux de construction utilisés dans le revêtement des voiries seront réglementés. Fini donc le temps où chacun opte et choisit le décor à sa guise.
A ce sujet, des études approfondies ont été effectuées sur l’ensemble des bâtisses avant d’aboutir à la mise en place d’un système d’information géographique (SIG) qui comprend des fiches d’enquêtes dans des banques de données où l’on trouve tous les détails des immeubles (adresse, ancienneté, l’état de vétusté, etc.) et qui identifie également les immeubles qui menacent ruine, au nombre de 259 sur un total de 17.617 touchés par les diagnostic dans les sept communes en question.
«De par sa valeur inestimable de point de vue historique et urbanistique, il était de ce fait urgent de sauvegarder ces bâtisses en lançant une vaste opération de réhabilitation qui connaît un essor important», explique le directeur du logement de la wilaya d’Alger, Mohamed Smaïl qui justifie le retard pris dans cette initiative par la nécessité de procéder d’abord à ce qu’il qualifie de «nettoyage» de la capitale en éradiquant les bidonvilles.
Les premiers travaux ont débuté dans la rue Larbi Ben M’hidi (ex-rue d’Isly) où 17 immeubles sont concernés sur une période de 6 six mois et ce, après une opération pilote qui a touché l’avenue du 1er Novembre (place des Martyrs). Au final, les travaux dans les 7 communes en question coûteront une enveloppe de 5 milliards de dinars pour une échéance de 4 ans et devront concerner quelque 1.600 bâtisses, soit un total de 20.200 logements.
Le directeur de l’aménagement du territoire et de l’urbanisme de la wilaya d’Alger insiste sur la nécessité de l’adhésion de la population dans ce chantier et reconnaît que de nombreuses contraintes sont rencontrées sur le terrain. A ce propos, Abdelkader Djellaoui citera le désordre causé par le câbles des réseaux de téléphonie et d’électricité qui ont créé une véritable «toile d’araignée», les antennes paraboliques et les climatiseurs qui écument les balcons, l’image désolante des terrasses des immeubles qui sont squattées.

«Il a fallu 3 mois pour dégager les câbles électriques»

Et à propos des réseaux de téléphonie et d’électricité, des conventions-cadres ont été signées avec Algérie Telecom et Sonelgaz en vue de procéder à l’enfouissement des câbles ce qui devient, selon le conférencier, une urgence car selon lui, on ne peut réussir la réhabilitation du bâti sans l’enfouissement des câbles électriques et téléphoniques. D’ailleurs, l’aveu du directeur de l’aménagement et de la restructuration des quartiers d’Alger, Abdelkader Guida, est révélateur à plus d’un titre lorsqu’il confie qu’il a fallu trois mois de «va-et-vient» pour dégager les câbles électriques d’un immeuble de la rue Larbi Ben M’hidi. L’autre contrainte soulevée et elle n’est pas de moindres a trait à « l’absence » d’entreprises du bâtiment « compétentes » et capables d’accompagner ce processus. On évoque à titre illustratif l’inexistence d’un échafaudage moderne chez les dix soumissionnaires qui ont soumissionné pour une tranche des travaux engagés à la rue Larbi ben M’hidi. «Par voie de conséquence, l’avis d’appel d’offres s’est avéré infructueux et nous sommes contraints d’en lancer un autre», déplore le directeur de l’urbanisme de la wilaya d’Alger en indiquant que la réhabilitation du patrimoine immobilier d’Alger devait connaître des priorités. «Il fallait savoir par où commencer et ce qui doit être prioritaire», expliquera-t-il encore, révélant que les bureaux d’études ont conclu que la priorité sera donnée aux grands boulevards (Didouche Mourad, Larbi Ben M’hidi, Malika Gaid,…) puis aux promenades comme celle de la Grand-Poste et enfin les places publiques, à l’image de la place des Martyrs.
Intervenant en dernier, le P/APC d’Alger-Centre met l’accent sur l’implication et la contribution des citoyens dans ce vaste chantier et laisse entendre que la population est concernée par le montage financier. «Ne serait-ce que par de petites contributions afin de responsabiliser les gens», affirme Tayeb Zitouni qui rappelle que la réhabilitation des immeubles n’est pas des prérogatives de l’Etat quand il s’agit des bâtisses en co-propriété, c'est-à-dire ceux qui ont bénéficié de la cession des logements auprès des OPGI. «Malheureusement, beaucoup de citoyens ne jouent pas le jeu et refusent par exemple d’enlever la parabole ou le climatiseur », regrette-t-il, annonçant dans la foulée que l’urbanisme commercial aura à l’avenir à définir aux commerçants quel type d’activité faut-il exercer dans les grands boulevards pour mettre en symbiose le cadre urbain et le cadre de vie.

S. A. M.

5e Festival national de la chanson châabi à Alger



Attention, talents !
La 5e édition du Festival national de la chanson chaâbi se déroulera du 25 au 31 de ce mois, au Théâtre national algérien à partir de 22h.

Cette édition 2010 compte pas moins de 32 candidats, répartis à travers le territoire national. Dans un point de presse animé hier, au siège de l’Institut national supérieur de musique, le commissaire général du Festival culturel national de la chanson châabi, Abdelkader Bendaâmache, a rappelé à l’assistance que cette manifestation débute, en fait, au mois de février avec le lancement de fiches d'inscription à travers les directions de la culture des 48 wilayas du pays, puis l’organisation de castings suivis de présélections. Les 32 meilleurs interprètes retenus lors des demi-finales se produiront lors de la finale prévue pour ce mercredi au TNA. L’année 2010 a connu, en juillet dernier, l’organisation de trois espaces régionaux à Chlef, Alger et Sétif, devenus de véritables forums d’expression des jeunes de toutes les wilayas. Le Festival national de la chanson châabi, dont la première édition a eu lieu en 2006, a pour but de rechercher de nouveaux talents à travers l’Algérie, de mettre en valeur le patrimoine musical ancestral et d’assurer une formation académique dans le domaine de la chanson châabi et ce, à travers l’organisation de master-classes et de conférences.

Enrichissement du patrimoine

M. Bendaâmache a souligné que ce Festival «participe à l’enrichissement du patrimoine culturel écrit par la publication, à chaque édition, de diwans comprenant les poèmes repris par les candidats à la finale. Ces poèmes sont auparavant corrigés et complétés, suivant une démarche rigoureuse et scientifique». Le conférencier a indiqué que les critères de sélection reposent sur les possibilités vocales, la mémorisation du texte, la maîtrise de l’interprétation et du rythme, l’authenticité du texte et de la mélodie, la personnalité de l’interprétation, la présentation (habit traditionnel ou tenue de soirée). Une note de participation aux master-classes, animées par des universitaires a été instaurée cette année. Ces journées, dit-on, seront obligatoires pour les 32 participants. Parmi les thèmes qui seront débattus, citons «Méthodologie du travail musical» de Abdelkrim Amimour, «La poésie melhoun, études des rimes» de Mohamed Touzout, «La pratique et l’exécution du chant châabi» de cheikh Abdeslem Derouache, «La poésie melhoun et ses composantes» de Mohamed Hmaïdia, «La mesure dans la chanson châabi» de Djamel Laâdjel, «La connaissance de la chanson chaâbi et ses maîtres» de Abdelkader Bendaâmache, «Lecture poétique» de cheikh Dahmoune Aïssaoui.

Autre nouveauté décidée pour cette nouvelle édition : l’ensemble des participants se produiront dans un premier temps dans le majestueux TNA d’Alger et dans un deuxième temps au niveau de l’auditorium Fadéla Dziria de l'Institut national supérieur de musique. Selon Abdelkader Bendaâmache, ce deuxième espace permettra aux éventuels candidats d’avoir une seconde chance. Un membre du jury sera, bien entendu, présent parmi le public.
Il est à noter, par ailleurs, que des hommages seront rendus aux anciens maîtres du châabi à travers l’édition de leurs chansons sous forme de CD. Une façon singulière, pour les responsables du Festival, d’immortaliser leurs œuvres et de les faire connaître aux générations actuelles et futures. Ainsi seront honorés cheikh H’cicène, Maâzouz Bouadjadj et Boudjemaâ El Ankis.


Nacima Chabani

Algérie 2e producteur de dattes dans la zone arabe



Alors que ses potentialités sont loin d’être bien exploitées
L’Algérie 2e producteur de dattes dans la zone arabe


L’Algérie est le 2e producteur de dattes dans la zone arabe, selon les statistiques rendues publiques par l’Organisation arabe pour le développement agricole (OADA). La production annuelle de l’Algérie en matière de dattes oscille entre 550 et 600 mille tonnes, grâce au nombre important des palmiers-dattiers, soutiennent les mêmes sources, ajoutant que l’Egypte vient en tête de la liste avec une production globale de 1.32 million tonnes par an et 12.1 palmiers-dattiers.
Pour sa part, l’Algérie occupe une position de leader dans le Maghreb, et ce malgré sa faible production, par rapport à celle de l’Egypte. Mais la qualité de dattes algériennes, « Deglet Nour », reste indiscutablement la meilleure, dont la production algérienne varie entre 30 et 35 mille tonnes par an. A noter que cette qualité supérieure de dattes n’existe pas uniquement en Algérie, on peut la trouver en Tunisie, en Californie, au Texas, en Arizona et même en Israël.
Selon les chiffres des services de Douane, l’Algérie exporte entre 13 et 15 mille tonnes de « Deglet Nour » par an pendant les trois dernières années, soit l’équivalent de 20 à 25 millions de dollars, et elle aspire exporter 60 mille tonnes dans les quelques années à venir, malgré la concurrence tunisienne, dont la quantité exportée vers l’Europe est estimée à 25 mille tonnes par an, sachant que le label algérien est mieux commercialisable que le tunisien. L’Algérie figure parmi les 8 premiers pays producteurs de dattes sur le plan mondial.

Salon Algéro-Allemand sur l'Environnement



70 exposants au rendez-vous


Le deuxième Salon algéro-allemand sur l'environnement aura lieu du 22 au 24 novembre 2010, à Alger. La pollution causée par l'industrie émergeante, mais également la forte croissance de la population algérienne - surtout dans les zones de forte concentration urbaine le long de la côte - nécessite la recherche de nouvelles solutions pour la gestion des déchets, des eaux usées et dans le domaine de l'énergie.
On constate actuellement un grand besoin en technologie et en savoir-faire pour pouvoir relever les défis environnementaux en Algérie. Ce sont ces défis que justement le deuxième Salon algéro-allemand sur l'Environnement EnviroAlgérie© intégrant un congrès scientifique et une bourse de coopération, devra contribuer à relever. EnviroAlgérie© est organisé par l'AHK Algérie et la Coopération technique allemande (GTZ) sous le Haut patronage du ministère algérien de l'Aménagement du Territoire et de l'Environnement. Il aura lieu du 22 au 24 novembre 2010 au Palais de la Culture à Alger. La première édition de ce Salon qui avait eu un véritable succès, s'était tenue en octobre 2008, avec 40 exposants allemands et 30 exposants algériens, 1500 visiteurs professionnels et plus de 100 journalistes. L'objectif du Salon 2010 est de faciliter aux décideurs politiques et économiques algériens en particulier et à la société civile en général, l'accès aux technologies les plus récentes et au savoir-faire allemand dans le domaine de la protection de l'environnement. Le Salon couvrira les domaines de la gestion des déchets, de l'eau, des énergies renouvelables et de l'efficience énergétique. Dans ce contexte, la GTZ invitera des experts internationaux pour discuter dans le cadre d'un Congrès sur le développement des nouvelles technologies dans les secteurs de l'environnement, du traitement de l'eau, du traitement des déchets et du changement climatique.
Le Congrès offrira aux participants allemands et algériens ainsi qu'aux experts de nouvelles informations sur le marché algérien afin de discuter sur les solutions et les potentialités qu'offre le marché algérien, comme par exemple dans le cadre des projets de "Mécanisme pour un développement propre (MDP)". De plus l'AHK Algérie organisera des entretiens individuels sous forme de bourse de coopération, qui auront lieu dans les stands respectifs des exposants durant tout le déroulement du Salon, afin d'établir de nouveaux contacts professionnels et d'intensifier les contacts déjà existants. Regroupant 700 membres algériens et allemands, la Chambre algéro-allemande de commerce et d'industrie (AHK Algérie) jouit, du fait de son statut paritaire, depuis plus de 4 ans, d'un excellent crédit auprès des institutions officielles et des entreprises des deux pays. Forte d'expériences au service des relations économiques algéro-allemandes, AHK Algérie est un partenaire fiable autant pour les entreprises allemandes qu'algériennes et tout particulièrement les PME quand il s'agit d'accéder à un marché étranger, diversifier leurs marchés, rechercher des partenaires ou représentants potentiels ou encore investir et s'implanter dans le pays.
En tant que membre du DIHK, l'organisation fédérale des CCI allemandes regroupant 3,7 millions d'entreprises affiliées, AHK Algérie fait partie d'un réseau international de 120 CCI allemandes à l'étranger et 80 CCI régionales en Allemagne. Dotées d'une autonomie de gestion, les Chambres de commerce allemandes à l'étranger sont le principal outil de la promotion du commerce extérieur allemand; couvrant 97 % des pays avec lesquels l'Allemagne entretient des relations économiques, elles conseillent les entreprises de manière individuelle et pratique, répondant à leurs problèmes spécifiques.
Klilya B.