阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Saturday, February 27, 2010

Idir -Avava inouva Youtube


Investissement en Méditerranée


Les recommandations des experts
Elles serviront pour la réunion des chefs d’Etat de l’UPM en juin· InfraMed avec 400 millions d’euros pour un 1er closing· Infrastructures urbaines, énergie, transport, les projets à financerLa deuxième édition de l’Initiative pour l’investissement en Méditerranée, qui s’est tenue à Rabat jeudi 25 février, tombe à pic avec l’une des visions que compte développer le groupe CDG. Celle-ci concerne le développement des investissements extérieurs, même si ce séminaire a abordé la question sous le volet du financement des investissements dans l’espace méditerranéen. Pour Anass Alami, DG du groupe CDG, l’objectif est d’identifier les modalités pour accélérer les investissements au Maghreb et au Machrek. L’ambition des promoteurs de cette initiative est de réunir des investisseurs publics et privés du nord, du sud mais aussi de l’est de la Méditerranée et des pays du Golfe au sein d’une même plateforme d’échanges informelle et indépendante. Le but ultime est d’établir un diagnostic partagé sur les opportunités et les obstacles à l’investissement et de formuler des propositions concrètes aux chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union pour la Méditerranée qui doivent se réunir en juin prochain. Déjà la CDG, la CDC, leur homologue italien et une banque privée avaient approuvé en mars dernier la mise en place du fonds InfraMed dont l’engagement collectif peut atteindre 400 millions d’euros pour un premier closing. Ce fonds a pour mission de financer en fonds propres des projets d’infrastructures urbaines, énergétiques et de transport dans les régions sud et est de la Méditerranée. Il sera ouvert à d’autres investisseurs de long terme dans la perspective d’arriver à 1 milliard d’euros. «Nos pays doivent répondre à une problématique de réallocation des ressources. Concernant les entreprises, celle-ci réside davantage dans l’accès aux financements que dans la disponibilité des fonds. De même, nos capacités d’épargne souffrent davantage d’un problème d’allocation efficiente des ressources vers des investissements à long terme que de mobilisation en valeur», a souligné le DG de la CDG.La rencontre a été également marquée par la présentation du rapport de mission de deux experts pour étudier l’opportunité de créer une banque euro-méditerranéenne. Ces experts sont Abderrahmane Hadj Nacer, ancien gouverneur de la Banque d’Algérie et Guillaume Alméras, expert financier. Ils avaient carte blanche pour explorer toutes les possibilités à travers l’ensemble des pays que compte la Méditerranée. C’est leur rapport qui a été présenté à l’occasion de ce séminaire et qui sera remis à Charles Millault, ancien président des Caisses françaises d’épargne, qui a été chargé par Nicolas Sarkozy de l’éclairer sur l’opportunité de créer ou non une banque dédiée à la Méditerranée, indique Jean-Louis Guigou, président de l’Institut de prospective économique du monde méditerranéen (IPEMED), coorganisateur du séminaire avec la Caisse des dépôts et consignations (CDC).Cinq pistes ont été présentées par Guillaume Alméras (voir encadré). Pour lui, chacune d’entre elles peut être envisagée de manière autonome. «Toutes se fondent néanmoins sur la conviction que les rapprochements euro-méditerranéens durables doivent désormais passer par des formules consortiales plus qu’institutionnelles». Selon lui, toutes ces pistes, ensemble, couvrent la gamme complète des financements des investissements, de la création des entreprises aux marchés des capitaux, de la prospection commerciale à l’implantation effective. «Il paraît donc souhaitable de les envisager de concert, à travers un programme de travail reposant sur 5 chantiers distincts mais conduits de manière coordonnée», conclut-il.
Cinq pistes
Lors de la rencontre qui s’est tenue jeudi 25 février à Rabat, cinq pistes sur les opportunités d’investissement en Méditerranée ont été présentées.La première porte sur le soutien aux premières étapes de la création et du développement d’entreprises. Cela est également valable dans la perspective d’essaimage. La deuxième piste concerne le développement, par connexions, des marchés de capitaux. L’objectif est de définir des axes communs. Troisième piste, le renforcement des dispositions de garantie des exportations et d’implantation. Il s’agit d’augmenter les moyens disponibles pour exporter dans les pays du Sud via la constitution d’un fonds de garantie commun. La quatrième piste vise à protéger les investissements des aléas monétaires. L’idée est de donner la possibilité de couvrir et d’emprunter en euros dans de meilleures conditions. Dernière piste, la définition de nouvelles coordinations euro-méditerranéennes. M. C.

Skikda centre de formation professionnelle handicapés moteurs




Un centre de formation professionnelle pour les handicapés moteurs


Un centre de formation professionnelle à vocation régionale, pour les handicapés moteurs, sera réceptionné "en septembre prochain" à Filfila (Est de Skikda). Selon le directeur de la formation professionnelle. Cette infrastructure d'une capacité théorique de 400 places pédagogiques, qui a nécessité la mise en place d'une enveloppe de 150 millions de DA, en réalisation sur une superficie de 1,5 hectare, sera "le premier établissement du genre dans d'Est du pays et le 4e à l'échelle nationale", a ajouté Noureddine Kouzah. Le centre qui pourrait accueillir, dans une seconde étape, jusqu'à 1.000 stagiaires aux besoins spécifiques, sera doté d'un internat de 200 places, de 12 ateliers, de 4 classes, d'un terrain de sport, en plus d'un foyer et d'un restaurant, a précisé le même responsable. La conception architecturale du centre et l'agencement de ses structures ont été étudiées pour aider les handicapés dans tous leurs déplacements, a encore ajouté M. Kouzah, notant que le choix du site d'implantation de cette infrastructure, "ouvert sur le paysage et la mer", a été pensé pour développer chez les handicapés moteurs l'ambition d'accéder à un projet de formation adapté à leurs besoins. Le centre accueillera des stagiaires dès l'âge de 16 ans, issus des wilayas de Constantine, de Skikda, d'Annaba, de Guelma, de Khenchela, d'El Tarf, de Souk Ahras, d'Oum El Bouaghi et de Tébessa. Ils se verront dispenser une formation dans des spécialités "étudiées", telles que la broderie, la couture, la poterie, l'électricité et l'informatique, a ajouté le directeur de la formation professionnelle.R.R

Ghardaïa fête nationale du tapis




Fête nationale du tapis du 21 au 27 mars


Ghardaïa se pare de ses plus beaux atours afin de recevoir, comme de coutume, la 44e édition de la fête nationale du tapis laquelle se tiendra du 21 au 27 mars prochain. Selon les organisateurs de la manifestation, plusieurs exposants de différentes wilayas du pays ont confirmé leur participation à cet évènement visant à mettre en valeur la richesse de l'art traditionnel national dans toute sa diversité. La fête du tapis permettra aux visiteurs de l'exposition-vente prévue à cette occasion de découvrir les différents travaux artisanaux des wilayas participantes, notamment dans les domaines de la tapisserie, de la céramique, de la sculpture sur bois, de l'habit traditionnel et de la bijouterie, selon les organisateurs. Ces derniers ambitionnent aussi de valoriser l'art traditionnel et le savoir-faire des tapissières et artisanes de Ghardaïa, de promouvoir le métier à tisser de la région et d'animer des activités culturelles, touristiques, artisanales et commerciales. L'événement constituera un espace pour les petites entreprises montées par de jeune filles pour exprimer leur savoir faire dans l'art traditionnel et écouler leurs produits, en cette période qui coïncidera avec les vacances scolaires où un flux touristique est enregistré dans la région, estiment-ils Des activités à caractère culturel et sportif, notamment des tournois nationaux sportifs, sont aussi prévus durant cette période. Le coup d'envoi de la manifestation sera marqué par le traditionnel défilé de chars garnis de produits de l'artisanat local, rythmé au chant folklorique des différentes troupes de la région. En prévision de cette fête du tapis, des opérations d'embellissement de la ville de Ghardaïa et du site d'exposition ont été entreprises. R.R.

Air Arabia France-Maghreb




Compagnies low cost

Air Arabia veut bousculer le marché France-Maghreb


Le marché du transport aérien entre la France et les trois pays du Maghreb central suscite l'intérêt de plus en plus de compagnies aériennes. C'est le cas notamment d’Air Arabia, qui avec ses 110.000 passagers transportés entre Casablanca et trois villes françaises en neuf mois d'existence, entend bousculer l'horizon des transporteurs aériens exploitant les lignes très prisées entre la France et le Maghreb. Dans ce sens, le P-DG de la compagnie Adel Ali, a indiqué récemment au cours d'une conférence de presse à Paris que l'objectif "est d'augmenter nos fréquences et que les vols hebdomadaires deviennent des dessertes quotidiennes". Sa filiale marocaine, issue d'un partenariat avec Regional airlines (première compagnie privée au Maroc) et la banque d'affaires bahreïnie Ithmar Bank, propose actuellement treize vols hebdomadaires entre Casablanca et Paris, Lyon et Marseille avec des airbus A320. Fin mars, elle en comptera 16 avec le lancement de Montpellier et espère atteindre 20 à 25 vols à la fin de l'année. M. Ali, qui est "prêt à saisir toutes les opportunités" pour gagner de nouvelles parts de marché, envisage en outre de développer des liaisons avec Marrakech et assure qu'il sera là si le ciel tunisien venait à s'ouvrir également. Cette montée en puissance d'Air Arabia chamboule la donne sur le segment France-Maghreb concurrentiel mais à fort potentiel de croissance. Le trafic passagers y a doublé entre 1999 et 2008, pour atteindre environ 11 millions de passagers dont 4,5 pour le Maroc, 3,75 pour la Tunisie et 2,5 pour l'Algérie, selon des statistiques de l'Enac (Ecole nationale de l'aviation civile). Liens historiques, ces pays, francophones, attirent à la fois une clientèle communautaire, des voyageurs d'affaires et des touristes. Une compagnie traditionnelle comme Royal Air Maroc a ainsi enregistré l'année dernière 1,94 million de passagers entre la France et le Maroc avec 16 vols quotidiens. "Sur chaque destination, nous sommes désormais au minimum quatre exploitants", résume Lionel Guérin, PDG de la compagnie transavia.com, filiale à bas coûts d'Air France-KLM qui dessert le Maroc et la Tunisie."Pour l'instant, ils ne sont pas directement en concurrence avec nous. Ils ne se sont pas mis sur les mêmes lignes. Ceci dit, je regarde leur développement avec un oeil attentif. C'est un acteur de plus, donc de la concurrence en plus", dit-il. Ce transporteur est jugé d'autant plus "sérieux" que sa flotte (21 airbus A320) est neuve et amenée à augmenter fortement (44 autres appareils en commandes dont 6 livrés cette année et 8 en 2011). "Nous verrons bien comment les cartes seront redistribuées. Nous sommes une grosse compagnie, très présente des deux côtés des lignes et nous avons toutes les armes pour résister à la venue d'un nouveau concurrent", estime pourtant Fabrice Bacchetta, directeur général France d'easyJet, principal concurrent. L'an passé, easyJet a transporté environ 100.000 personnes entre Paris et Marrakech. Et selon le dirigeant, l'arrivée d'Air Arabia n'a rien changé à sa stratégie sur le Maroc. "Si d'autres pays du Maghreb rejoignent le ciel ouvert européen, eh bien on s'y intéressera", assure-t-il. Troisième compagnie française en termes de passagers transportés (1,7 million), Aigle Azur a dû, elle, se résoudre à réduire drastiquement son activité sur le Maroc face à cette concurrence agressive passant de deux vols quotidiens il y a un an et demi à deux vols hebdomadaires aujourd'hui. Le transporteur, spécialiste de l'Algérie, s'est repositionné sur le Mali et le Portugal. Il réalise toutefois encore la moitié de son chiffre d'affaires avec le Maghreb (environ 150 millions d'euros). "Nous sommes une compagnie privée, familiale. (...) Le low cost, ce n'est pas notre métier", résume Meziane Idjerouidène, le directeur général.R.E.