Wednesday, August 18, 2010
Le président du conseil d’affaires algéro-américain, Mr Smail Chikhoune
Le président du conseil d’affaires algéro-américain, Smail Chikhoune
Une centaine d’homme d’affaires assisteront au sommet d’affaires à Alger
Le président du conseil d’affaires algéro-américain a abordé quelques détails de la Conférence maghrébine sur l’entreprenariat, dont la tenue est prévue les 29 et 30 septembre prochains à Alger, ainsi que la visite prochaine d’une délégation d’hommes d’affaires américains.
Il précise en effet dans une déclaration à « El Khabar » que cette délégation composée de responsables de 50 sociétés américaines effectuera une visite dans le cadre de la mission algéro-américaine.
C’est d’ailleurs la plus importante délégation d’hommes d’affaires se rendant en Algérie pour étudier les possibilités de développer le partenariat et l’investissement, depuis l’invitation lancée par le président Obama.
Il ajoute qu’en en plus de cela, 50 autres sociétés américaines seront présentes au sommet d’affaires américano-maghrébin, soit plus d’une centaine de sociétés ainsi que des responsables et des représentants de la maison blanche, du secrétariat d’état et du secrétariat d’état chargé du commerce.
Le lancement d’une nouvelle initiative américano-nord-africaine de partenariat afin de trouver des opportunités d’investissements, qui est selon M Chikhoune plus importante que l’initiative « Eisenstadt » lancée dans les années 90, sera abordé lors de ce sommet. Un budget américain sera d’ailleurs alloué à cette initiative qui vise à encourager les investissements américains dans les pays du Maghreb en particulier.
Algerie promulgation de lois sur le mouvement des capitaux,
En plus de la LFC et de la promotion immobilière
Promulgation de lois sur le mouvement des capitaux, la monnaie et la Cour des comptes par ordonnances présidentielles
Le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika devra signer avant la fin du mois d’Août en cours, quatre ordonnances présidentielles concernant le secteur des finances.
Les quatre ordonnances porte sur la loi sur le crédit et de la monnaie, le mouvement des capitaux, la cour des comptes en plus de la loi de finances complémentaire 2010.
Le recours aux ordonnances présidentielles semble être dicté par les résultats des enquêtes qui ont révélé que la corruption a touché en plus des sociétés publiques, à l’instar de Sonatrach les sociétés étrangères installées en Algérie.
Ces amendements devront contrôler le transfert d’argent qui se fait par des sociétés étrangères installées en Algérie en violation des lois sur l’investissement.
Dans le même cadre, la cour des comptes sera également touchée par les amendements qui seront décidés dans cette ordonnance présidentielle. Les prérogatives de cette institution seront élargies pour mieux contrôler toutes les opérations financières et immobilières.
Pour ce qui est de l’ordonnance présidentielle relative au mouvement des capitaux, elle vise à renforcer le contrôle sur le mouvement des capitaux, notamment les compagnies étrangères qui préfèrent transférer des parties considérables de leurs intérêts vers l’étranger au lieu de les réinjecter dans de nouveaux investissements tels que stipulé dans les accords d’investissement signés avec les parties concernées, en l’occurrence, l’agence nationale de promotion de l’investissement et le ministère de l’investissement.
LA CASBAH D'ALGER un patrimoine unique Youtube
La Casbah d'Alger appelée « la Casbah » (en arabe : القصبة, « la Citadelle », désignée sans mentionner le nom de la ville) est un quartier d’Alger comprenant aujourd’hui la vieille ville.
Elle compte une population de 62 582 hab.(2005) et 1 043 hab./km²
C'est le premier noyau urbain de la ville d'Alger depuis la haute antiquité (VIe siècle av. J.-C.). Elle s'appelle Casbah depuis la période turque.
Fondée par le souverain ziride Bologhine ibn Ziri. La forteresse qui domine la ville, est construite à l’époque ottomane entre 1516 (débutée par Arudj Barberousse) et 1592 (achevée sous le règne de Kheder Pacha).[2] Son dernier locataire fut dey Entre cette forteresse et le front de mer et sur un site accidenté se sont développées des habitations majoritairement à étages devenues plus tard la vieille ville d’Al-Djazair qu’on a appelé aussi bien plus tard Casbah par extension.
Les caractéristiques les plus marquantes de la Casbah qui lui donnent tout son charme, sont le terrain lui-même qui est accidenté et en pente (118 mètres de dénivellation), les rues tortueuses qui nous renvoient dans un Alger mystérieux et magique d’un autre temps et l’architecture, tant extérieure qu'intérieure des maisons, ces dernières étant caractérisées par une cour intérieure carrée avec une petite fontaine, autour de laquelle est organisée toute l’habitation. La pente est tellement raide dans la partie haute de la Casbah que la plupart des ruelles sont en escaliers. Les experts admirent le prodige architectural qu'offre le spectacle de maisons enchevêtrées sur un plan très incliné, s'appuyant les unes contre les autres depuis des siècles.
Les plasticiens locaux, les écrivains et les poètes, les musiciens et les interprètes, charmés et inspirés par son architecture et son ambiance singulière, continuent de la chanter.
Noyau originel qui valut à la cité mauresque d'El-Djazaïr le surnom d'Alger-la-Blanche, la Casbah est en danger de mort. De la mer, ou du haut de ses terrasses, la vieille médina fait encore son effet. Mais lorsqu'on vagabonde dans le labyrinthe de ses ruelles, le délabrement apparaît criard, poignant. Quand une maison s'écroule, celles qui lui sont proches, par un effet de château de cartes, sont menacées de ruine.
Les premières études pour sauvegarder la vieille ville datent des années 1970, plusieurs plans d’aménagement, d’urbanisme, de rénovation et de mise en valeur ont été mis en place depuis.
La Casbah est classée, depuis décembre 1992, patrimoine mondial par l’UNESCO
La Chine le changement de l'économie mondiale Youtube BFM TV
La Chine (en sinogrammes traditionnels 中國 ; en sinogrammes simplifiés 中国 ; en pinyin Zhōngguó), littéralement le « Pays du Milieu » et par abus de langage « l'Empire du Milieu ») est un pays d'Asie de l'Est dont deux États prétendent actuellement détenir la souveraineté : la République populaire de Chine qui contrôle 99,6 % de son territoire et la République de Chine, qui contrôle essentiellement Taïwan. Elle s'étend des côtes de l'océan Pacifique au Pamir et aux Tian Shan et du désert de Gobi à l'Himalaya et aux confins de la péninsule indochinoise, couvrant 9 677 009 kilomètres carrés. Sa population de plus de 1 420 millions d'habitants (plus de 1 400 millions pour la RPC en 2010, et plus de 20 millions pour la République de Chine[1]) est la première au monde et représente plus du cinquième de la population mondiale.
La Chine fut pendant des siècles la civilisation la plus avancée[2], surpassant le reste du monde dans de nombreux domaines tels que les sciences, la médecine ou les arts[2]. Elle fut à l'origine de nombreuses inventions majeures : on peut par exemple citer la boussole[3], l'imprimerie[4] , le papier[5], le billet de banque[6], les pâtes alimentaires[6] ou la poudre à canon[7]. La civilisation chinoise a fortement imprégné toute l'Asie de l'Est, notamment aux niveaux religieux (confucianisme et taoïsme) et linguistique (les sinogrammes ont été utilisés dans toute la région et de nombreux mots chinois sont présents dans les langues qui y sont parlées).
La civilisation chinoise, qui perdure depuis près de cinq mille ans, est l'une des plus anciennes civilisations au monde, et est parfois citée comme la plus ancienne civilisation continue[8]. Elle trouve son origine dans la vallée du Huang He puis s'est étendue vers le sud (conquête des territoires au sud du Yangzi Jiang dès la dynastie Han), vers l'ouest (premières incursions en Asie centrale sous les Han, extension temporaire jusqu'à la mer Caspienne sous les Tang, conquête du Xinjiang et du Tibet sous les Qing[9]) et vers le nord (la dynastie Qing, d'origine mandchoue apporta à la Chine la Mandchourie et la Mongolie). Au cours de son histoire la Chine a été à plusieurs reprises divisée puis réunifiée et elle a été par deux fois entièrement conquise par des étrangers[N 1] (par les Mongols au XIIIe siècle et par les Mandchous au XVIIe siècle), bien que ceux-ci aient fini par adopter les coutumes et le système administratif chinois pour gouverner l'empire. La dernière dynastie impériale, les Qing (la dynastie d'origine mandchoue qui régnait sur le pays depuis 1644), a connu une période de déclin durant la phase d’expansion coloniale des pays occidentaux, menant le pays de défaite en défaite à partir des guerres de l'opium. C’est seulement après la victoire contre l’armée japonaise en 1945 que la Chine a pu se libérer des interventions étrangères.
Politiquement, les deux États qui prétendent détenir aujourd'hui la souveraineté sur la Chine sont :
la République populaire de Chine, couramment appelée Chine, regroupe plus de 98% de la population et 99,6% de la superficie totales ; elle fut fondée par le leader communiste Mao Zedong en 1949 à Pékin. Elle comprend la Chine continentale, Hong Kong et Macao. Aujourd’hui, son développement économique, engagé en 1978 par les réformes de Deng Xiaoping et ses successeurs, en fait un des principaux acteurs économiques et géopolitiques mondiaux
la République de Chine représente moins de 2% de la population et 0,4% de la superfice totales. Elle est couramment appelée Taiwan, dont le gouvernement longtemps mené par le leader nationaliste Tchang Kaï-chek est établi sur l’île de Taïwan depuis la victoire des communistes chinois. La « première » République de Chine avait été fondée en 1912 à Nankin (qui reste toujours officiellement la capitale) par Sun Yat-sen sur les décombres de l’empire chinois de la dynastie Qing.
Le marché algérien toujours pas attractif : Les IDE représentent 1% des investissements
By Toma
Selon les derniers chiffres communiqués par l’Agence de développement des investissements, ANDI, les déclarations d’investissement local ont nettement augmenté ces 3 dernières années en Algérie, passant de 11.000 projets en 2007, à 17.000 en 2008, pour enfin atteindre le chiffre symbolique de 20.000 en 2009.
Depuis huit ans, l’ANDI a accompagné quelque 71.185 déclarations de projets, lancés grâce à son concours, générant au passage prés d’un million de postes d’emplois.
De ces projets, les chiffres avancés par l’ANDI, indiquent que ce sont les projets locaux qui se taillent la part du lion avec 99% des déclarations de projets, soit 70 491 projets. Le reste des projets est formé d’Investissements Directs Etrangers ou de jointventures. Quelques 694 projets, selon la même source, d’une valeur de 168 milliards de dinars contre plus de 500 milliards pour les investissements locaux.
L’enquête indique par ailleurs que ce sont les pays arabes qui investissent le plus en Algérie avec 300 projets dénombrés. Ils sont suivis de très près par les européens, qui revendiquent pour leur part 272 projets lancés dont 121 par des investisseurs français. Coté algérien, c’est le privé qui aura le plus investi de 2002 à 2009, toujours selon la même source, avec plus de 70.000 déclarations d'investissement contre 400 projets pour le public.
TRANSPORT : ÇA ROULE POUR L’INVESTISSEMENT
Pour ce qui est de la répartition des projets par secteur, selon la même source, c’est celui des transports qui attire le plus d’investissements chez nous depuis 2009. Il s’accapare 60% des projets, soit près de 43 000 projets. Il est suivi de prés par le secteur du bâtiment, des travaux publics et de l’hydraulique (16 %), du secteur de l'industrie (10 %), celui de l'agriculture (2 %).
En termes d’emploi, la tendance néanmoins s’inverse, et c’est le secteur du BTPH qui sort gagnant. Les transports et l’industrie lui tiennent tout de même la dragée haute. Ils revendiquent respectivement 259 000 postes créés pour le BTPH, 256 000 pour les transports et 255 000 dans l’industrie. La part du reste des secteurs reste malheureusement dérisoire, voire négligeable.
Si pour les investissements locaux, c’est le transport qui se taille la part du lion, les investissements étrangers vont vers l’industrie. Selon les chiffres de l4ANDI qui prennent en compte la période allant de 2002 à 2009, le secteur industriel engloutit 55 % des flux des IDE. Ils rendent compte que l'industrie engloutit le plus grand nombre de projets déclarés, et presque la majorité de la manne investie.
L’on révèle que durant la dite période, le nombre de projets déclarés, étrangers à l'ANDI était de 694 projets pour une valeur totale de plus de 168 millions de Dinars. 387 projets sont déclarés dans le secteur de l'industrie, soit plus de 55 % des projets étrangers.
La valeur des investissements étrangers du secteur industriel est aussi importante que le nombre. Le montant des investissements étrangers dans le secteur de l'industrie est estimé par l'ANDI, à plus de 88 millions dinars, soit plus de 52 % du montant global.
Cependant, les investissements directs étrangers restent insignif iants en comparaison de ce qui est enregistré chez nos voisins et surtout, en rapport avec le potentiel national et des efforts gigantesques en investissements publics. Les deux plans quinquennaux (2000 -2004 et 2005-2009) ont mobilisé près de 400 milliards de dollars d’investissements dans des infrastructures de base et des projets censés attirer des investissements étrangers productifs.
Au grand désarroi des algériens, les grandes f irmes choisissent de s’installer chez nos voisins et vendre chez nous. C’est le cas de Renault qui s’installe à Tanger et vend la Logan qui y est produite, en Algérie, son meilleur marché, parait-il.
Selon les observateurs, c’est l’environnement administratif trop bureaucratisé, le climat des affaires trop lourd et l’incapacité de nos institutions en charge de l’investissement, notamment le secteur bancaire à s’adapter aux besoins en IDE qui minimisent l’attractivité de l’Algérie.
La LFC 2009 et ses mesures jugées trop protectionnistes par les investisseurs étrangers ne sont pas faites pour donner de l’élan aux IDE.
Raouf Habib_Le Financier
Sonatrach réussi à augmenter le prix du gaz naturel
Mercredi 18 août 2010.
Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES
Saisie pour statuer sur le conflit qui oppose depuis 2007 la Sonatrach au groupe espagnol Gas Natural autour du prix du gaz exporté vers la péninsule ibérique, la Cour d’arbitrage de Paris a rendu sa décision lundi. Sonatrach obtient gain de cause. Elle peut espérer une indemnisation rétroactive équivalente à 1,5 million d’euros. Sofiane Aït-Iflis - Alger (Le Soir) - Après un bras de fer long de trois années, la Sonatrach obtient, donc, le droit de réviser à la hausse les prix du gaz naturel exporté vers l’Espagne, comme elle en formula le vœu en 2007. Pour rappel, il y a trois ans, la compagnie pétrolière algérienne avait formulé sa demande de pratiquer une hausse de 20 % sur les prix du gaz exporté vers l’Espagne via le gazoduc Maghreb-Europe. Alors ministre de l’Energie et des Mines, Chakib Khelil avait évalué à 600 millions de dollars les pertes annuelles générées par le maintien des prix du gaz à leur niveau de l’époque. Le groupe espagnol Gas Natural, l’un des principaux partenaires de la Sonatrach, ne l’avait pas entendu de cette oreille. Gas Natural a contesté les nouveaux tarifs décidés par la Sonatrach. S’ensuivirent alors, depuis, trois longues années de conflits et de procédures judiciaires, avant que la Cour d’arbitrage de Paris n’en rende sa décision. Gas Natural a réagi lundi à cette décision. Dans un communiqué rendu public hier, le groupe espagnol dit avoir pris acte de la décision et a affirmé que « la société étudie cette décision avec laquelle elle n’est pas d’accord afin de faire une évaluation plus détaillée et déterminer les mesures qu’elle peut prendre pour défendre ses droits ». Desservi par la Cour d’arbitrage de Paris, Gas Natural a vu aussi ses titres à la bourse de Madrid chuter hier de 3,38%. Notons que c’est la seconde fois que les tribunaux déboutent le groupe espagnol dans des litiges l’opposant à la Sonatrach. Le tribunal arbitral de Genève avait, en novembre 2009, renforcé la Sonatrach dans sa décision de ne pas accéder à la demande de Gas Natural et de Repsol qui lui réclamait des indemnisations après qu’elle eut dénoncé en 2007 un accord portant sur le projet Gassi Touil de Liquéfaction de gaz naturel. Sonatrach, rappelons-le, avait annoncé la décision de résilier le contrat de 7 milliards de dollars portant développement du gisement Gassi Touil conclu en 2004 avec Gas Natural et Repsol. La Sonatrach avait justifié sa décision par le non-respect des clauses du contrat par les partenaires espagnols. La nonchalance des sociétés espagnoles avait entraîné, avait constaté la Sonatrach, des retards et des surcoûts très importants. La compagnie nationale avait fait valoir également que ses deux partenaires étaient dans l’incapacité de redresser la situation en dépit de multiples mises en garde. Notons que le contrat stipule que le projet devait être achevé en 2009. Mais Gas Natural et Repsol envisageaient son achèvement en 2012, soit avec trois années de retard..
Le Soir d’Algérie.
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