Wednesday, January 26, 2011
Etats-Unis Egypte 2011
Romandie News Texte
Manifestations en Egypte: les USA appellent Le Caire à agir "pacifiquement"
WASHINGTON - Les Etats-Unis ont appelé mardi soir les autorités égyptiennes à agir "pacifiquement" après la mort de trois personnes survenue au cours de manifestations organisées dans la journée pour réclamer le départ du président Hosni Moubarak.
"Nous surveillons de près la situation en Egypte. Les Etats-Unis soutiennent le droit fondamental de chacun à la libre expression et au rassemblement", a expliqué Philip Crowley, le porte-parole du département d'Etat dans un communiqué.
"Toutes les parties devraient faire preuve de retenue et nous appellons les autorités égyptiennes à traiter ces manifestations pacifiquement", a-t-il ajouté.
Deux manifestants et un policier ont trouvé la mort lors de manifestations rassemblant plusieurs milliers d'Egyptiens mardi. Les manifestants réclamaient le départ du président Hosni Moubarak, au pouvoir depuis 1981, une contestation inspirée par la révolte populaire tunisienne.
(©AFP / 26 janvier 2011 04h15)
Etats-Unis appellent l'Egypte à lever l'interdiction de manifester 2011
La Maison Blanche a appelé mercredi l'Egypte, une de ses plus proches alliées, à lever l'interdiction de manifester, au lendemain du mouvement de contestation sans précédent qui a fait quatre morts dans ce pays. Le porte-parole de la présidence américaine, Robert Gibbs, qui s'exprimait devant les journalistes à bord de l'avion présidentiel Air Force One, a estimé qu'il était important que le gouvernement du président Hosni Moubarak se montre "réceptif" envers son peuple.
Interrogé sur le fait de savoir si l'interdiction des manifestations, prononcée par le ministère égyptien de l'Intérieur, devrait être levée, M. Gibbs a répondu: "oui, encore une fois. Nous soutenons les droits universels de réunion et d'expression. Ce sont des valeurs universelles". "L'Egypte est pour nous une alliée proche et importante, et elle continuera de l'être", a ajouté M. Gibbs, qui s'exprimait à l'occasion d'un voyage du président Obama dans le Wisconsin (nord) pour défendre son projet économique sur le terrain, au lendemain de son discours sur l'état de l'Union.
De nouveaux heurts entre manifestants et policiers ont éclaté mercredi en Egypte où les protestations se sont poursuivies malgré l'interdiction des autorités qui ont arrêté mardi au moins 500 personnes dans le pays lors d'une mobilisation sans précédent contre le président Hosni Moubarak, au pouvoir depuis trois décennies. La secrétaire d'Etat Hillary Clinton a demandé à l'Egypte de ne pas perturber le fonctionnement des réseaux sociaux sur internet.
"Nous appelons toutes les parties à faire preuve de retenue et à s'abstenir de recourir à la violence", a déclaré la ministre à la presse, à l'issue d'une rencontre mercredi avec son homologue jordanien Nasser Judeh. "Nous soutenons les droits universels du peuple égyptien, notamment la liberté d'expression, d'association et de rassemblement et nous appelons les autorités égyptiennes à ne pas empêcher les manifestations pacifiques et à ne pas bloquer les communications, particulièrement celles des réseaux sociaux", a-t-elle déclaré.
Le site spécialisé dans la surveillance d'internet Herdict.org. a indiqué mercredi qu'il était impossible de se connecter au site de socialisation Facebook en Egypte, au lendemain du blocage du site de micro-blogs Twitter. Twitter et Facebook ont joué un rôle très important lors de la révolte qui a mené en Tunisie au départ du président Ben Ali. En Egypte aussi, l'idée des manifestations a été fortement relayée, en particulier auprès des jeunes, à travers les réseaux sociaux. Mme Clinton a paru plus ferme à l'endroit du régime égyptien que la veille, lorsqu'elle avait observé que le gouvernement égyptien était "stable et à la recherche de solutions pour répondre aux besoins et aux intérêts légitimes du peuple égyptien".
Dans la nuit, la Maison Blanche a cherché à rectifier le tir en exhortant dans un communiqué le gouvernement égyptien à écouter les aspirations de sa population et à respecter les droits démocratiques. La situation en Egypte suscitait aussi l'embarras au Congrès des Etats-Unis à l'endroit d'un des pays du monde qui reçoit le plus d'aide de la part de Washington.
Interrogé à la télévision, Mitch McConnell, chef de la minorité républicaine au Sénat, s'est refusé à tout commentaire sur le régime du président Moubarak. "Tout ce que je peux dire, c'est que l'Egypte est une alliée extrêmement importante depuis Anouar el-Sadate (président égyptien de 1970 à 81) et nous suivons très attentivement ce qui se passe au Caire", s'est-il borné à déclarer. (afp)
Egypte Euronews Youtube 2011
by euronewsfr
Libellés :
Egypte Euronews Youtube 2011
Egypte internautes les réseaux sociaux ont été des outils de communication pour l'information 2011
La révolte égyptienne gronde sur Internet...
Comme pour la révolution tunisienne, les réseaux sociaux sont largement mis à profit pour la coordination et le relais des manifestations contre le pouvoir égyptien. Tandis que le gouvernement cède à la censure, les internautes -soutenus à l'international- ripostent.
Après la Tunisie, l'Egypte ? Au lendemain d'importantes manifestations hostiles au président Hosni Moubarak, la révolte égyptienne a trouvé sur Internet un important relais, à l'image de la révolution tunisienne. Une révolte en ligne que tentent d'éteindre les autorités en cédant à la censure
Les manifestations dites "du 25 janvier" ont largement été reprises sur les réseaux sociaux, Twitter et Facebook en tête. Le mot-clef "#janv25" s'est rapidement imposé sur Twitter pour indiquer les points de ralliement et sensibiliser.
Sur Facebook, près de 90.000 personnes s'étaient inscrites à l'appel à manifester lancé par le "Mouvement du 6 avril". "Notre manifestation le 25 [janvier] est le début de la fin", avaient écrit les organisateurs. "C'est la fin du silence, du consentement et de la soumission à ce qui se passe dans notre pays. Ce sera le début d'une nouvelle page de l'histoire de l'Egypte, une page d'activisme et de réclamation de nos droits."
"Les réseaux sociaux ont été des outils pour relayer la révolte populaire et donner des informations en temps réel", souligne à Nouvelobs.com un Français basé au Caire.
"Cela fait plusieurs années que la société civile égyptienne est organisée sur Internet, notamment sur Facebook avec des contestataires comme le 'Mouvement du 6 avril'", explique Lucie Morillon, responsable du bureau Internet chez Reporters Sans Frontières (RSF). "La révolution tunisienne a donné un nouveau souffle aux cyberdissidents égyptiens."
Censure de Facebook, de Twitter et des sites d'infos
En réponse à cette contestation en ligne, le gouvernement égyptien a choisi de bloquer l'accès à Facebook, à Twitter et à d'autres sites. "Nous confirmons que Twitter a été bloqué en Egypte [...] Nous croyons que le libre échange des informations et des points de vue peut mieux aider les gouvernements à communiquer avec leur peuple", plaide le site de micro-blogging.
Facebook a été, lui, bloqué ce mercredi autour de 14h30. Plusieurs témoignages faisaient précédemment état de "blocages" et de "suppressions de messages postés" sporadiques. Blocage également pour le site suédois Bambuser, qui permet de visionner directement "en streaming" des vidéos filmées par téléphone mobile ou webcam.
Il semble enfin que les sites d'informations en ligne Al-Badil, Al-Dustour et Al-Masry Al-Youm soient également censurés. Les réseaux de VoIP (Voix sur IP, permettant de téléphoner gratuitement sur Internet) connaissent eux des ralentissements, peut-être dus à des problèmes de saturation.
RSF a classé l'Egypte parmi les "ennemis de l'Internet". Toutefois, "l'Egypte n'a pas l'habitude de filtrer les sites", souligne Lucie Morillon. "Les autorités sont dépassées et, dans un mouvement de panique, prennent des mesures à la tunisienne, façon Ben Ali", estime-t-elle.
Une source anonyme au Caire fait enfin état de "blocage sur les réseaux GSM" utilisés pour les téléphones portables. "Hier [mardi], les forces de l'ordre ont installé dans le secteur de la place Tahrir [centre du Caire] des dispositifs de brouillage GSM permettant de censurer les appels et les SMS", rapporte-t-il. Un brouillage des communications confirmé par RSF.
Les Anonymous lancent l'"opération Egypte"
Face à cette censure, des internautes, dont le groupe des Anonymous, ont diffusé des conseils techniques pour contourner les blocages "afin de permettre à la mobilisation de se poursuivre". Les Anonymous, largement mobilisés lors des événements en Tunisie, ont décidé de lancer l'"opération Egypte". Ils diffusent un "pack de soin" composés d'outils pour "contourner la censure".
Ils appellent également les internautes à s'attaquer aux sites gouvernementaux égyptiens via leur logiciel LOIC (qui vise à surcharger un site de requêtes pour le mettre hors ligne). Pour l'heure, la cible principale est le site du ministère des Communications et de l'Information. Sont aussi visés le site de la Bourse égyptienne, du parti d'Hosni Moubarak, du gouvernement.
Contacté sur leur réseau de discussions, plusieurs Anonymous témoignent à Nouvelobs.com d'une véritable détermination à soutenir les Egyptiens. "Nous ne pouvons pas rester sans rien faire quand des gens se battent", lance un premier. "Soutenir le changement est nécessaire", renchérit un second. "En Egypte, la liberté d'expression est bloquée. Nous ne pouvons pas rester sans rien faire quand nous voyons nos gouvernements soutenir les dictateurs", conclut un dernier Anonymous.
Ces dernières années, Internet a fait une percée en Egypte avec, fin 2010, 23 millions d'internautes réguliers ou occasionnels, pour une population de plus de 80 millions d'habitants. La téléphonie mobile est aussi en plein essor, avec 65 millions d'abonnés, selon les statistiques officielles.
(Boris Manenti - Nouvelobs.com)
l'Union pour la Méditerranée Mr Ahmad Massa'deh, quitte son poste 2011
Source AFP Le secrétaire général de l'Union pour la Méditerranée (UPM), le Jordanien Ahmad Massa'deh, a démissionné, mercredi, de son poste qu'il occupe depuis un an, a-t-il indiqué dans un communiqué reçu par l'AFP à Amman. "Le secrétaire général de l'Union pour la Méditerranée Ahmad Massa'deh a soumis aujourd'hui sa démission aux pays partenaires de l'Union pour la Méditerranée, après un an dans ce poste", indique le communiqué daté de Barcelone, siège de l'UPM.
"Malgré des circonstances difficiles, le secrétaire général Massa'deh a réussi à mettre en place le secrétariat et à le rendre visible (...), il quitte son poste, car les conditions dans lesquelles il l'a accepté ont changé", ajoute le communiqué. Ahmad Massa'deh a conclu son communiqué en affirmant qu'il poursuivra son soutien "pour une coopération dans la Méditerranée basée sur un équilibre réel et une orientation claire".
Israël, point de blocage
Le Jordanien Ahmad Massa'deh a été nommé formellement le 26 janvier 2010, secrétaire général de l'UPM, soit le premier patron de ce forum créé en 2008 par la France et l'Égypte. En novembre, le deuxième sommet de l'UPM avait été reporté en raison du blocage des négociations de paix entre Israël et les Palestiniens. Mais le président français Nicolas Sarkozy avait assuré que "la France ne renoncera(it) pas au projet d'Union pour la Méditerranée, qui est un élément majeur de sa politique étrangère". L'UPM avait été mise en veilleuse début 2009 en raison des tensions provoquées par l'offensive israélienne contre le Hamas à Gaza. Sa relance s'est ensuite heurtée au refus de pays arabes d'accepter la participation du chef de la diplomatie israélienne, l'ultranationaliste Avigdor Lieberman, à ses travaux, et à l'absence d'un secrétaire général. Avocat de carrière, âgé de 41 ans, Ahmad Massa'deh a été ambassadeur de Jordanie auprès de l'Union Européenne et de l'Otan à Bruxelles.
Le secrétaire général de l'Union pour la Méditerranée démissionne
L'ancien ambassadeur jordanien, Ahmad Massa'deh, quitte son poste, car les conditions dans lesquelles il l'a accepté ont changé", explique-t-il.
Un projet français
L'UPM a été créée le 13 juillet 2008 sur une idée du président français Nicolas Sarkozy, qui avait dû revoir son projet initial consistant en une Union des seuls pays riverains de la Méditerranée, en englobant finalement tous les pays de l'UE à la suite des protestations de l'Allemagne notamment. Elle compte 43 membres dont, outre les pays de l'UE, la Turquie, Israël et les pays arabes riverains de la Méditerranée.
L'UPM ambitionne, en développant des projets concrets dans divers domaines (environnement, transports, énergie, culture, éducation...), de donner un nouveau souffle à la coopération euro-méditerranéenne lancée en 1995 à Barcelone et restée lettre morte.
Environnement Commission européenne les icebergs 2011
Environnement : L’initiative GMES améliore les prévisions concernant les icebergs
[Fenêtre sur l'Europe]
Deux importants projets financés par la Commission européenne ont été lancés en janvier 2011, suite à la récente signature de deux contrats d'une valeur de 2 millions d'euros chacun, afin de mettre en œuvre l’initiative européenne pour la surveillance mondiale de l’environnement et de la sécurité (GMES).
Ainsi, le projet Icemar ouvre la voie à une route de navigation maritime sûre et plus courte entre l’Europe et la Chine en donnant aux navires de meilleures prévisions sur les icebergs dans l’océan Arctique et la mer Baltique.
Par l’intermédiaire de plateformes de téléphones intelligents (smart phone) et de messages SMS, le projet obsAIRve fournira directement aux utilisateurs des informations en ligne et en temps réel sur la qualité de l’air et des alertes sur les niveaux d’émissions polluantes, principalement d’oxydes de soufre (SOx), d’oxydes d’azote (NOx), d’ozone (O3), de monoyxide de carbone (CO) et de particules. Les services Icemar et obsAIRve seront accessibles aux citoyens d’ici la fin de l’année 2012
Loi sur les médias Hongrie 2011
Loi sur les médias: l'ultimatum de la Commission Européenne à la Hongrie
[Fenêtre sur l'Europe]
Depuis mi décembre, et surtout au cours de la dernière session parlementaire du PE, les critiques et débats autour de la nouvelle loi hongroise sur les médias se sont multipliés.
Jusque la plutôt absente des discussions, la Commission Européenne, après examens, a finalement envoyé une lettre au gouvernement hongrois, exigeant que ce dernier s'engage à modifier la loi sous deux semaines. En effet, la commissaire européenne chargée du dossier Neelie Kroes et ses services ont exprimé la semaine dernière des "doutes sérieux" quant à la conformité de la loi avec la législation européenne, autrement dit sur sa conformité avec le droit du traité de l'UE mais aussi, et c'est la première fois, avec la charte des droits fondamentaux.
Ceux sont principalement deux points critiques de la loi qui ont été mis en avant: l'obligation d'enregistrement auprès d'une autorité nationale faite à tous les types de médias, y compris les médias sur Internet et l'obligation de tous les médias audiovisuels à fournir "une information équilibrée".
Le gouvernement hongrois a donc deux semaines pour répondre aux doutes de l'Union. Si celui ci ne répond pas dans le délai imparti "ou fournit une information qui n'est pas satisfaisante, la Commission se réserve la possibilité d'envoyer une lettre de mise en demeure aux autorités première étape de procédure d'infraction aux règles européennes".
N'oublions pas que la Hongrie est actuellement à la tête de la Présidence de l'UE, en arriver à une telle décision serait, bien entendu, de mauvais augure et mettrait en évidence un désaveu quasi politique de la Hongrie par Bruxelles.
Libellés :
Loi sur les médias Hongrie 2011
l'Union européenne les défis 2011
Les défis qui attendent l'Union européenne
[Fenêtre sur l'Europe]
Une série de groupes de réflexion basés à Bruxelles se sont réunis le 25 janvier pour tenir, avec le Président de la Commission européenne José Manuel Barroso, un débat sur les défis futurs pour l'Union européenne.
Trois thèmes principaux ont émergé des discussions : le déficit démocratique dans l'UE, le manque de crédibilité de l'Union tant à l'égard de ses propres citoyens que du reste du monde et la nécessité urgente de résoudre la crise financière.
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G 20 : Les priorités du Président Mr Nicolas Sarkozy 2011
G 20 : Les priorités de Nicolas Sarkozy
[Fenêtre sur l'Europe]
Le chef de l’État français a présenté le lundi 24 janvier le contenu du programme de réformes qu’il entend discuter avec ses homologues lors du sommet du G20 de Cannes en novembre prochain.
Nicolas Sarkosy retient trois grands chantiers : la réforme du système monétaire international, la taxation des transactions financières et la maîtrise des prix des matières premières agricoles.
La réforme du système monétaire international est indispensable à ses yeux, car pour lui "il n’y a plus de système monétaire depuis 1971".
Pour financer les pays pauvres à hauteur 100 milliards d'euros par an, comme convenu lors du G20 de Londres en 2009, l’Élysée va constituer un groupe de travail qui se basera sur un rapport remis par neuf économistes internationaux en juillet dernier.
Enrayer l’envolée des prix des matières premières et contenir les risques d’émeutes de la faim, est également une nécessité. Il convient d’en réguler le marché. À cet effet, un groupe de travail piloté par le président russe, Dmitri Medvedev, a été chargé par le gouvernement français de faire des propositions autour de quatre thèmes : régulation des marchés dérivés, création d’une base de données commune sur les stocks, mise en place d’un code de bonne conduite pour garantir les exportations, développement de produits d’assurance en vue de protéger les agriculteurs des aléas climatiques.
Concernant l’engagement de Copenhague pris en 2009, Nicolas Sarkozy se dit favorable à l’instauration d’une taxe sur les transactions financières approuvée par l’Allemagne et le Japon.
Pour le Pésident français, le développement économique passe aussi par la mise en place d’un socle de protection sociale universel au niveau international.
Au-delà de la réforme en cours du FMI et de la Banque mondiale, il convient de créer, dans le domaine de la gouvernance mondiale, une organisation mondiale de l’environnement ou de l’agriculture.
Google Entreprise 2011
Laurent Lasserre, Directeur Commercial
Google Entreprise France
Tout savoir sur Google Entreprise
Ses produits, son histoire, la confidentialité. Avec Laurent Lasserre, Directeur Commercial Google Entreprise France
On connait plus Google pour son moteur de recherche, pour Gmail, Chrome, Android ou encore pour les Google News. Mais Google c'est aussi une filiale spécialisée dans les services professionnels dont on parle moins : Google Entreprise.
Et pourtant, elle rencontre un succès croissant qui ne cesse de se confirmer.
Pour mieux comprendre ses offres, leurs spécificités par rapport à la concurrence et les raisons de sa très forte progression, Développez a réalisé un entretien avec Laurent Lasserre, Directeur Commercial Google Entreprise France.
Créateur de la filiale française, personne n'était mieux placé pour répondre à nos (nombreuses) questions. Voici ses réponses, qui ne manqueront pas d'intéresser les Décideurs IT - bien sûr - mais aussi les développeurs qui sont aussi très largement associés à l'évolution de ces solutions.
Pouvez-vous nous présenter Google Entreprise ?
Laurent Lasserre : Si on fait un rapide historique pour bien comprendre d'où nous venons, Google Entreprise a été créé en 2002 aux Etats-Unis (alors que Google Inc a été crée en 98). En août 2005, nous avons créé la division Entreprise en France. La Division Entreprise a été imaginée suite à la demande de grandes sociétés américaines qui sont venues nous voir et qui nous ont dit « vous avez un très bon algorithme de moteur de recherche, on aimerait pouvoir en bénéficier pour nos usages en interne, pour les intranets, ou pour nos sites Internet ». Google Search Appliance (GSA) a donc été notre première offre, et notre core business les premières années.
Quand avez-vous proposé les Google Apps ?
LL : En février 2007, nous avons lancé Google Apps Edition Premier, une suite d’outils de collaboration et de communication en ligne pour les entreprises. Nous étions très en avance sur le marché. Il y a 4 ans, donc, nous poussions déjà le Cloud Computing. Ce lancement mondial a donc eu lieu simultanément à Paris et à San Francisco. Notre premier grand client au niveau mondial a été Valeo avec 32.000 utilisateurs. C'était en avril 2008. Aujourd'hui, le produit s'appelle Google Apps for Business.
Quels autres produits proposez-vous aux entreprises ?
LL : Il y a tout d’abord le Search, avec Google Search Appliance, Google Site Search (qui n'est pas une appliance mais un moteur de recherche en mode Cloud ) et Google Commerce Search (le même mais dédié aux sites de commerce). Avec ce dernier service on indexe à distance l'ensemble du catalogue produits du site de e-commerce et nous mettons à sa disposition notre moteur de recherche pour pouvoir faire des classifications par produits, couleurs, prix, etc.
Nous avons racheté la société Postini, leader mondial en mode SaaS des solutions d'archivage d'e-mail, de sécurité et d'anti-spam, pour veiller à ce que les données et les utilisateurs soient protégés 24/24 et 7/7j.
Dans Google Apps for Business vous avez aujourd'hui en standard cet antivirus et cet anti-spam. C'est une solution très sécurisée. Mais sachant que Positini marche dans tous les environnements – nous avons des clients Lotus, Exchange ou Novell - nous vendons aussi Postini en « stand alone ».
A cela s’ajoute l’offre géolocalisation avec Google Earth et Google Maps pour les entreprises.
Pouvons-nous nous arrêter un instant sur l’offre Search. Proposez-vous des galeries ou des sites marchands clefs en main ou s'agit-il d'un moteur de recherche spécifique ?
LL : Nos clients sont des sociétés qui ont déjà un site. Nous proposons de mettre en place sur leur site internet un moteur de recherche performant et pertinent.
Il ne faut pas confondre avec avec Google Shopping, qui est un moteur vertical lancé en France en novembre 2010, qui permet aux internautes d’accéder à des millions de produits vendus en ligne en France. Mais cette activité ne fait pas partie de Google Entreprise (NDR : à ne pas confondre, également, Google propose un service de galeries marchandes clef en main - Boutiques.com - spécialisé dans les articles de mode mais qui n'est pas disponible en France).
Pouvez-vous nous préciser ce que sont concrètement Google Earth et Google Maps pour les entreprises ?
LL : En fait c'est la possibilité pour des sites, par exemple de e-commerce, d'utiliser la technologie Google Maps. Par exemple sur SFR, les gens peuvent acheter en ligne un portable et choisir de se le faire livrer ou d'aller le chercher dans une boutique. Dans ce cas, sur le site de SFR, Google Maps permet de trouver l'adresse de la boutique la plus proche, avec le chemin d'accès, en fonction de l'adresse du client. C'est vraiment utiliser Google Maps à des fins commerciales ou privées. Ce sont les mêmes fonctionnalités que sur la version gratuite, sauf que notre client va pouvoir l'intégrer à son site. On va lui apporter un support, des APIs, et il va pouvoir tuner tout ça beaucoup plus finement.
Aujourd'hui, combien de clients compte Google Entreprise ?
LL : Pour les Google Apps, nous avons 3 millions d'entreprises clientes dans le monde, toutes éditions confondues. Et 3.000 nouvelles par jour qui ouvrent un nom de domaine Google Apps. Ce sont des chiffres très importants. Sur la partie Positini, on a 40.000 entreprises clientes, soit 14 millions d'utilisateurs pour 1,5 à 2 milliards d'e-mails par jour. Quant à GSA, on a plus de 35.000 entreprises utilisatrices.
A quelle hauteur participez-vous au chiffre d'affaires global de Google, qui rappelons-le, repose principalement sur la publicité (Google AdWords et Google AdSense) ?
LL : Nous ne communiquons pas sur le chiffre d'affaires de Google Entreprise.
Google Enterprise est une des priorités pour Google et où nous investissons. Nous avons maintenant une équipe dédiée interfonctionnelle de plus de 1000 personnes travaillant sur nos produits d'entreprise, et ce nombre continue de croître.
Dans les Google Apps il y a des services gratuits bien-connus du grand public (Gmail, Docs, Picasa). Quels services supplémentaires proposez-vous aux professionnels dans les versions entreprises payantes ?
LL : Effectivement vous avez Gmail, vous avez Calendar (l'agenda), Google Site (création de sites Web, internet ou intranet), Google Docs (traitement de texte, tableur et présentation). Vous avez aussi un produit très intéressant qui s'appelle « Google Vidéo for Business » qui vous permet de mettre en place, de déployer et d'uploader des vidéos et de les partager. C'est une sorte de YouTube privé.
Dans les versions entreprises, vous avez - par utilisateur - 25 Go sur la messagerie. Nous nous engageons sur un taux de disponibilité de 99,9 %, et notre support est 24/24 7/7 (« follow the sun ») puisque nous avons un centre de support à Londres, un à Moutain View et un autre à Tokyo. Vous avez aussi l'offre Postini incluse (antivirus et antispam pour les mails entrants et sortants). Et vous avez évidemment les API d'intégration avec le système d'informations existant ainsi qu'une console d'administration.
Google Entreprise France
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On connait plus Google pour son moteur de recherche, pour Gmail, Chrome, Android ou encore pour les Google News. Mais Google c'est aussi une filiale spécialisée dans les services professionnels dont on parle moins : Google Entreprise.
Et pourtant, elle rencontre un succès croissant qui ne cesse de se confirmer.
Pour mieux comprendre ses offres, leurs spécificités par rapport à la concurrence et les raisons de sa très forte progression, Développez a réalisé un entretien avec Laurent Lasserre, Directeur Commercial Google Entreprise France.
Créateur de la filiale française, personne n'était mieux placé pour répondre à nos (nombreuses) questions. Voici ses réponses, qui ne manqueront pas d'intéresser les Décideurs IT - bien sûr - mais aussi les développeurs qui sont aussi très largement associés à l'évolution de ces solutions.
Pouvez-vous nous présenter Google Entreprise ?
Laurent Lasserre : Si on fait un rapide historique pour bien comprendre d'où nous venons, Google Entreprise a été créé en 2002 aux Etats-Unis (alors que Google Inc a été crée en 98). En août 2005, nous avons créé la division Entreprise en France. La Division Entreprise a été imaginée suite à la demande de grandes sociétés américaines qui sont venues nous voir et qui nous ont dit « vous avez un très bon algorithme de moteur de recherche, on aimerait pouvoir en bénéficier pour nos usages en interne, pour les intranets, ou pour nos sites Internet ». Google Search Appliance (GSA) a donc été notre première offre, et notre core business les premières années.
Quand avez-vous proposé les Google Apps ?
LL : En février 2007, nous avons lancé Google Apps Edition Premier, une suite d’outils de collaboration et de communication en ligne pour les entreprises. Nous étions très en avance sur le marché. Il y a 4 ans, donc, nous poussions déjà le Cloud Computing. Ce lancement mondial a donc eu lieu simultanément à Paris et à San Francisco. Notre premier grand client au niveau mondial a été Valeo avec 32.000 utilisateurs. C'était en avril 2008. Aujourd'hui, le produit s'appelle Google Apps for Business.
Quels autres produits proposez-vous aux entreprises ?
LL : Il y a tout d’abord le Search, avec Google Search Appliance, Google Site Search (qui n'est pas une appliance mais un moteur de recherche en mode Cloud ) et Google Commerce Search (le même mais dédié aux sites de commerce). Avec ce dernier service on indexe à distance l'ensemble du catalogue produits du site de e-commerce et nous mettons à sa disposition notre moteur de recherche pour pouvoir faire des classifications par produits, couleurs, prix, etc.
Nous avons racheté la société Postini, leader mondial en mode SaaS des solutions d'archivage d'e-mail, de sécurité et d'anti-spam, pour veiller à ce que les données et les utilisateurs soient protégés 24/24 et 7/7j.
Dans Google Apps for Business vous avez aujourd'hui en standard cet antivirus et cet anti-spam. C'est une solution très sécurisée. Mais sachant que Positini marche dans tous les environnements – nous avons des clients Lotus, Exchange ou Novell - nous vendons aussi Postini en « stand alone ».
A cela s’ajoute l’offre géolocalisation avec Google Earth et Google Maps pour les entreprises.
Pouvons-nous nous arrêter un instant sur l’offre Search. Proposez-vous des galeries ou des sites marchands clefs en main ou s'agit-il d'un moteur de recherche spécifique ?
LL : Nos clients sont des sociétés qui ont déjà un site. Nous proposons de mettre en place sur leur site internet un moteur de recherche performant et pertinent.
Il ne faut pas confondre avec avec Google Shopping, qui est un moteur vertical lancé en France en novembre 2010, qui permet aux internautes d’accéder à des millions de produits vendus en ligne en France. Mais cette activité ne fait pas partie de Google Entreprise (NDR : à ne pas confondre, également, Google propose un service de galeries marchandes clef en main - Boutiques.com - spécialisé dans les articles de mode mais qui n'est pas disponible en France).
Pouvez-vous nous préciser ce que sont concrètement Google Earth et Google Maps pour les entreprises ?
LL : En fait c'est la possibilité pour des sites, par exemple de e-commerce, d'utiliser la technologie Google Maps. Par exemple sur SFR, les gens peuvent acheter en ligne un portable et choisir de se le faire livrer ou d'aller le chercher dans une boutique. Dans ce cas, sur le site de SFR, Google Maps permet de trouver l'adresse de la boutique la plus proche, avec le chemin d'accès, en fonction de l'adresse du client. C'est vraiment utiliser Google Maps à des fins commerciales ou privées. Ce sont les mêmes fonctionnalités que sur la version gratuite, sauf que notre client va pouvoir l'intégrer à son site. On va lui apporter un support, des APIs, et il va pouvoir tuner tout ça beaucoup plus finement.
Aujourd'hui, combien de clients compte Google Entreprise ?
LL : Pour les Google Apps, nous avons 3 millions d'entreprises clientes dans le monde, toutes éditions confondues. Et 3.000 nouvelles par jour qui ouvrent un nom de domaine Google Apps. Ce sont des chiffres très importants. Sur la partie Positini, on a 40.000 entreprises clientes, soit 14 millions d'utilisateurs pour 1,5 à 2 milliards d'e-mails par jour. Quant à GSA, on a plus de 35.000 entreprises utilisatrices.
A quelle hauteur participez-vous au chiffre d'affaires global de Google, qui rappelons-le, repose principalement sur la publicité (Google AdWords et Google AdSense) ?
LL : Nous ne communiquons pas sur le chiffre d'affaires de Google Entreprise.
Google Enterprise est une des priorités pour Google et où nous investissons. Nous avons maintenant une équipe dédiée interfonctionnelle de plus de 1000 personnes travaillant sur nos produits d'entreprise, et ce nombre continue de croître.
Dans les Google Apps il y a des services gratuits bien-connus du grand public (Gmail, Docs, Picasa). Quels services supplémentaires proposez-vous aux professionnels dans les versions entreprises payantes ?
LL : Effectivement vous avez Gmail, vous avez Calendar (l'agenda), Google Site (création de sites Web, internet ou intranet), Google Docs (traitement de texte, tableur et présentation). Vous avez aussi un produit très intéressant qui s'appelle « Google Vidéo for Business » qui vous permet de mettre en place, de déployer et d'uploader des vidéos et de les partager. C'est une sorte de YouTube privé.
Dans les versions entreprises, vous avez - par utilisateur - 25 Go sur la messagerie. Nous nous engageons sur un taux de disponibilité de 99,9 %, et notre support est 24/24 7/7 (« follow the sun ») puisque nous avons un centre de support à Londres, un à Moutain View et un autre à Tokyo. Vous avez aussi l'offre Postini incluse (antivirus et antispam pour les mails entrants et sortants). Et vous avez évidemment les API d'intégration avec le système d'informations existant ainsi qu'une console d'administration.
Mr le Président Barack Obama le discours de l'état de l'Union 2011
Par FTV (avec agences)
Le président des Etats-Unis, Barack Obama, a proposé mardi un gel partiel des dépenses sur cinq ans
Il a aussi demandé au Congrès de faire preuve d'imagination en réduisant l'impôt sur les sociétés et en dégageant des marges pour financer l'innovation tout en poursuivant la réduction du déficit.
Pour les observateurs, il poursuit son virage au centre en reprenant certaines mesures soutenues par les républicains qui dominent désormais le Congrès.
Le discours sur l'état de l'Union, prononcé devant le Congrès, est le point d'orgue de l'année politique américaine.
Baisse de l'impôt sur les sociétés
"Ce soir, je demande aux démocrates et aux républicains de simplifier le système. Supprimez les niches fiscales.Uniformisez les règles et utilisez les économies pour abaisser le taux de l'impôt sur les sociétés pour la première fois en 25 ans, sans augmenter notre déficit", a déclaré le président dans son allocution de politique générale dite discours sur l'état de l'Union.
Le taux maximal de l'impôt sur les entreprises est actuellement de 35 % aux Etats-Unis, mais de nombreuses niches permettent aux entreprises, surtout les plus grandes, de réduire leur imposition.
Pas de cadeaux fiscaux aux pétroliers
Barack Obama s'en est pris en particulier aux "milliards de dollars de cadeaux" fiscaux accordés aux groupes pétroliers, qu'il a demandé aux élus d'abroger purement et simplement. "Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais elles se débrouillent très bien toutes seules. Au lieu de subventionner l'énergie du passé, investissons dans celle de demain", a dit le locataire de la Maison blanche.
Les économies ainsi réalisées devraient permettre, selon lui, de financer l'innovation technique, en particulier dans le domaine de ce qu'il appelle les "sources d'énergie propres": énergie éolienne, solaire, nucléaire,combustion propre du charbon, et gaz naturel. L'investissement dans les techniques de pointe, notamment énergétiques, "renforcera notre sécurité, protégera notre planète et créera des emplois innombrables" aux Etats-Unis, a-t-il ajouté, répétant l'un de ses credos.
"Le monde a changé"
Se livrant à une analyse sans concession des réalités économiques, Barack Obama a souligné que de nombreux Américains se souvenaient de l'époque, avant la mondialisation, où il suffisait de travailler dur pour obtenir un salaire et des avantages sociaux décents. Mais "le monde a changé et, pour beaucoup, le changement a été douloureux", a-t-il indiqué. "Les règles ont changé. En une génération, des révolutions technologiques ont transformé la façon dont nous vivons, travaillons et commerçons", a-t-il encore remarqué.
Face à la montée de nouvelles puissances industrielles comme l'Inde et la Chine, le président des Etats-Unis a appelé ses compatriotes à ne pas se décourager, soulignant que l'économie de leur pays était encore la plus prospère du monde. "Oui, le monde a
changé. La lutte pour les emplois est réelle. Mais cela ne doit pas nous décourager. Cela doit nous galvaniser", a déclaré le président, en appelant ses adversaires républicains à soutenir les investissements pour "innover, éduquer et construire mieux que le reste du monde".
Politique étrangère
Barack Obama a réaffirmé mardi son projet de commencer à retirer les troupes américaines d'Afghanistan en juillet. "De rudes combats sont à venir et le gouvernement afghan va devoir mettre en oeuvre une meilleure gouvernance", a-t-il cependant déclaré.
"Nous avons vu le désir de liberté en Tunisie, où la volonté du peuple s'est montrée plus puissante que les ordres d'un dictateur", a-t-il dit par ailleurs. "Je veux que cela soit clair: les Etats-Unis se tiennent aux côtés du peuple tunisien et soutiennent les aspirations démocratiques de tous les peuples", a-t-il ajouté.
Il a annoncé qu'il se rendrait pour la première fois de son mandat en Amérique latine. "En mars, je me rendrai au Brésil, au Chili et au Salvador afin de nouer de nouvelles alliances pour le progrès sur le continent américain", a-t-il dit. Au Brésil,le constructeur aéronautique américain Boeing est en compétition avec le français Dassault et le suédois Saab pour la fourniture d'avions de chasse.
Barack Obama a répertorié les succès de sa diplomatie, notamment la "reprogrammation" des relations avec la Russie, le partenariat renforcé avec l'Inde et la relance des efforts pour contrôler la prolifération nucléaire à travers le monde.
Il a aussi évoqué Al Qaïda. A ses yeux, les "dirigeants" et "militants" de la nébuleuse terroriste "sortent du champ de bataille, leurs sanctuaires se réduisent".
Démonstration d'unité
Le temps du traditionnel discours sur l'état de l'Union, les politiques de tous bords du Congrès ont fait taire leurs divisions. Membres du gouvernement fédéral, sénateurs et représentants arboraient ainsi un ruban noir et blanc au revers de leur veste: une bande noire en symbole de deuil, entourée de deux bandes blanches représentant l'espoir. Une volonté d'union après l'agression contre la représentante démocrate Gabby Giffords lors d'une fusillade à Tucson (Arizona), qui a fait 6 morts et 14 blessés.
Barack Obama a également salué le nouveau président de la Chambre, le républicain John Boehner, visiblement ému d'occuper pour la première fois le perchoir.
Réactions
Pour l'opposition, le président des Etats-Unis a "présenté un plan de préservation des déficits", a déclaré le chef du parti républicain à la Commission financière du Sénat, Jeff Sessions. Pour le leader des républicains au Sénat, le gel des dépenses gouvernementales sur cinq ans (...) n'est pas suffisant".
De son côté, le patronat s'est dit "encouragé par l'accent mis par le président Obama sur la compétitivité américaine".
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