PATRICK LE BERRIGAUD EUROPE fédérale/UNION POUR LA MEDITERANNEE consultant ingenieur conseil
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Le camion cinéma du Sénégal Un reportage d’Anne Gouraud et Olivier BonnetUne production : France 3 ThalassaÇa se passe quelque part au fin fond de la brousse sénégalaise. C’est l’histoire d’un camion 4X4 unique en son genre, qui sillonne les pistes pour plaider à sa façon la cause de la nature et de l’environnement.La faune et la flore du Sénégal peuvent lui dire merci. Ce camion-cinéma est leur meilleur allié : de film en film, de village en village, il dénonce la surpêche, et le gâchis de la pêche aux ailerons de requins…Il montre aussi le bon exemple en diffusant un documentaire sur la première aire marine protégée du Sénégal : dans l’AMP de Bambung, les poissons grandissent à l’abri des filets des pêcheurs.Ce road movie écologique ne serait pas complet sans incidents de parcours : entre Jean qui siphonne les fonds de réservoirs, le chauffeur Aziz qui se casse le pied et la mangrove qui emprisonne les hommes à marée basse…C’est toute une équipe d’écolos fantasques et motivés que l’on découvre au fil du voyage.
La Suède est un pays du nord de l'Europe qui fait partie de la Scandinavie. Sa capitale est Stockholm et ses 9 223 766 habitants sont appelés Suédois. La langue parlée est le suédois. Le finnois et le sami sont également parlés, principalement dans le nord du pays. Les variations régionales sont fréquentes. La Suède a une frontière avec la Norvège à l'ouest et une autre avec la Finlande au nord-est. Au sud, le Danemark, auquel le pays est relié par le pont de l'Öresund se situe à 4 km au large. Le nord de la Suède est occupé par la Laponie, appelée Sápmi par ses habitants, les Sames, qui furent les premiers habitants du nord de la Scandinavie. La Suède fait partie de l'Union européenne depuis 1995, mais pas de la zone euro. Avec ses 449 964 km2, la Suède est le troisième pays le plus grand d'Europe de l'Ouest. La Suède possède de faibles densités de population, excepté dans les zones métropolitaines. Le taux d'urbanisation est de 84 % alors que les villes n'occupent que 1,3 % du territoire. La sauvegarde de l'environnement et le problème des énergies renouvelables sont généralement la priorité des politiciens, ainsi que d'une grande partie du peuple. La Suède est depuis longtemps un grand exportateur de fer, de cuivre et de bois. L'industrialisation, qui a commencé dans les années 1890, a permis à la Suède de se développer, et d'obtenir constamment de nos jours une bonne place dans les classements européens sur l'Indicateur de développement humain (IDH). La Suède possède de grandes réserves d'eau potable, mais manque de ressources énergétiques fossiles comme le charbon ou le pétrole. La Suède moderne est issue de l'Union de Kalmar, créée en 1397. Le pays fut unifié au XVIe siècle par le roi Gustav Vasa. Au XVIIe siècle, la Suède conquiert de nouveaux territoires. L'empire suédois se forme. Cependant, la majeure partie de ces territoires devront être abandonnés au XVIIIe siècle. Au début du XIXe siècle, la Finlande et d'autres territoires sont perdus. Après sa dernière guerre en 1814, la Suède connaît la paix, adoptant une politique de non-alignement en temps de paix et de neutralité en temps de guerre. Selon l'indice de démocratie de The Economist, la Suède est en 2008 le pays le plus démocratique au monde avec un indice de 9,88/10[1]
L'Australie projette une centrale solaire record (src : ABC, Xinhua) Le gouvernement australien s'apprête à lancer le développement de la plus importante centrale solaire au monde. Le Premier ministre australien Kevin Rudd a annoncé un investissement de 1,4 milliard de dollars australiens (1,1 miliard d'euros) pour la construction d'un parc de production d'énergie solaire. Le projet comprendra jusqu'à 4 centrales qui, selon le Premier ministre, offriront autant de puissance qu'une centrale à charbon. Une puissance installée de l'ordre de 1 000 MW, soit trois fois celle de la plus importante centrale solaire californienne. Son développement s'inscrira dans le cadre du plan australien pour la réduction des émissions de dioxyde de carbone, d'un montant équivalent à 3,3 milliards d'euros. Les sites d'implantation devraient être déterminés dans le courant de l'année prochaine, a précisé le Premier ministre. Ils seront choisis en fonction de la proximité du réseau et de la qualité d'ensoleillement. Kevin Rudd a par ailleurs annoncé que l'Australie intégrerait L'Agence Internationale de l'Energie Renouvelable (IREA), qui regroupe actuellement plus de 80 pays. L'Agence tiendra sa première réunion en juin prochain.
L’autoroute Est-Ouest de l’Algérie achevée avant l’été 2010
La réalisation de l’autoroute Est-Ouest de l’Algérie devrait être achevée avant juillet 2010 selon le ministre des Transports.jeudi 9 juillet 2009. Le ministre des travaux publics, Amar Ghoul, a procédé hier à la mise en service d’un nouveau tronçon de l’autoroute est-ouest de l’Algérie, qui assurera, désormais, la liaison entre les wilayas d’Alger et de Boumerdès. Le ministre a eu également a inauguré la pénétrante de Rouiba vers l’autoroute. Sur linéaire d’une quarantaine de kilomètre, le tronçon autoroutier, réalisé par le groupement chinois CITIC-CRCC, va de la commune d’El-Hamiz (Alger), jusqu’à celle de Larbaatache (Boumerdès). Une livraison que le ministre a estimé d’« anticipée » tant qu’elle intervient un peu plus d’une année avant les délais initialement fixés pour la fin juillet 2010. M. Ghoul a assuré, à l’occasion, que l’autoroute Est-Ouest « sera livrée dans sa totalité avant les délais impartis ». Soulignant dans le même contexte, que le tronçon important, devant assurer la jonction entre Bouira et Boumerdès, sera « bientôt réceptionné » , Ghoul a affirmé que la « priorité » sera donnée à l’autre tronçon devant relier les deux wilayas de Bordj-Bou-Arreridj et Constantine. Accompagné par l’ambassadeur de la république populaire de Chine en Algérie, et des walis d’Alger et de Boumerdès, Ghoul s’est montré satisfait de la qualité des travaux de l’autoroute Est-Ouest. « Tous les tronçons livrés jusque-là répondent aux normes internationales de réalisation » , dira-t-il avant de préciser qu’aucun tronçon autoroutier n’a été livré avant de recevoir une « attestation mondiale de normes de réalisation ». Les projets parallèles à l’autoroute est-ouest de l’Algérie, à savoir les pénétrantes, les stations-services, les aires de repos…), ne sont pas moins importants, d’où l’insistance sur la nécessité d’accélérer la cadence des travaux afin de répondre aux attentes des usagers. Synthèse de Mourad, www.algerie-dz.com D’après le Jeune Indépendant
Près d’un million de logements construits en Algérie depuis 2004
Plus de 912 000 logements ont été construits et livrés en Algérie depuis 2004 selon le ministre de l’Habitat Noureddine Moussa.jeudi 9 juillet 2009. Le nombre de logements livrés en Algérie dans le cadre du programme quinquennal 2004-2009 a dépassé 912 000 unités au terme du premier semestre 2009, alors que 550 000 unités sont en cours de réalisation, selon le ministre de l’Habitat et de l’Urbanisme, Noureddine Moussa. « Ce résultat nous permet de dire que nous avons dépassé l’objectif de un million de logements escomptés dans le cadre de ce quinquennat », s’est-il félicité, hier à Alger, lors d’une réunion de travail avec les directeurs de l’urbanisme et de la construction, les directeurs de logement et des équipements publics ainsi que les directeurs des OPGI. Le ministre a insisté sur le respect des cahiers des charges qui définissent la qualité et les normes de construction. Par ailleurs, il a instruit les directeurs de l’urbanisme et de la construction de veiller à la finalisation, pendant l’été et le début de l’automne, de tous les travaux relatifs aux réseaux de viabilisation au niveau des sites qui ne sont pas encore aménagés. Evoquant les programmes de l’amélioration urbaine à travers l’Algérie, le ministre a signalé que l’enveloppe de 300 milliards de dinars accordée par l’Etat pour l’exécution de ces programmes a permis, entre autres, de réhabiliter plus de 12 000 sites. En outre, une enveloppe de 12 milliards de dinars a été consacrée en 2009 pour l’aménagement des programmes de logements ruraux, alors que 96 milliards de dinars avaient été affectés depuis 2008 pour la réalisation des réseaux et des équipements d’accompagnement des cités. Estimant que la bataille en termes de quantité est déjà gagnée, le ministre a souligné qu’il faut miser, pour le prochain programme quinquennal 2010-2014, sur le côté esthétique et urbanistique, en tirant l’expérience du programme précédent. Synthèse de Mourad, www.algerie-dz.com D’après le Jeune Indépendant
Autriche : une élue sourde et muette au parlement [Fenêtre sur l'Europe] Une élue handicapée vient de prêter serment au parlement autrichien. Helene Jarmer, Helene Jarmer, sourde et muette, membre des Verts, est la première députée avec ce handicap qui entre dans cette assemblée. La jeune femme de 38 ans prend la place de sa compatriote Ulrike Lunacek qui a été élue le 7 juin dernier au Parlement européen. Les parents de Helene Jarmer étaient sourds et muets mais, elle n'a perdu l'ouïe qu'à l'âge deux ans lors d'un accident de voiture. Elle est professeur de mathématiques et de dessin et elle a suivi des études spécialisées pour les sourds-muets en Autriche et aux Etats-Unis où elle a été diplômée de l'Université de Washington DC en language des signes américain.Elle milite activement pour l'intégration des sourds et muets dans la société autrichienne et en particulier dans le système scolaire depuis une dizaine d'années et a notamment créé un site internet d'information spécialisé.L'élue sourde et muette sera assistée en permanence d'une interprète en language des sourds. Et désormais tous les débats des séances du parlement autrichien seront traduits en language des sourds. Lors de son serment, tous les élus autrichiens l'ont vivement applaudi.Helene Jarmer est la troisième élue sourde et muette en Europe à siéger dans une assemblée, après l'élection du conservateur hongrois Adam Kosa au parlement européen et celle de l'indépendantiste belge flamande Helga Stevens au siège du parlement flamand.
René Tregouët L’électricité européenne viendra t-elle des déserts africains en 2030 ? Peut-être, si l’on en croit un projet très solide développé par une vingtaine de très grands groupes allemands. Ceux-ci vont créer un consortium en vue de développer le plus vaste champ de panneaux photovoltaïques de la planète. Le projet est pharaonique, aussi bien par la démesure des investissements prévus que par les objectifs fixés. Bientôt réunies au sein d’un consortium baptisé Desertec, ces entreprises veulent faire de l’Allemagne le champion incontesté de la lutte contre le réchauffement climatique en accomplissant un vieux rêve : transformer le soleil qui inonde les sables du Sahara en électricité. Les experts estiment à 400 milliards d’euros, l’équivalent d’une centaine de centrales nucléaires de nouvelle génération, le montant des investissements nécessaires sur une période de quarante ans. À elles seules, les méga-installations solaires coûteraient quelque 350 milliards d’euros. Le reste serait utilisé pour construire un réseau haute tension reliant l’Afrique au continent européen, afin de transporter l’énergie produite. Selon les prévisions, les premiers foyers allemands doivent être approvisionnés en électricité africaine d’ici à dix ans. Les initiateurs du projet estiment qu’ils pourraient être en mesure de produire 15 % de l’énergie consommée en Europe d’ici à quinze ans.Le concept est plus que séduisant puisque comme l’explique le physicien Gerhard Knies, inspirateur du projet TREC (Trans-Mediterranean Revewable Energy Cooperation) : “Les déserts chauds couvrent environ 36 millions de km2 sur les 149 millions de km2 de terres émergées de la planète. L’énergie solaire frappant chaque année 1 km2 de désert est en moyenne de 2,2 térawattheures (TWh), soit 80 millions de TWh par an. Cela représente une quantité d’ énergie si considérable que 1 % de la surface des déserts suffirait pour produire l’électricité nécessaire à l’ensemble de l’humanité.” Un projet ambitieux à étudier de près si l’on considère la demande mondiale croissante en énergie.Le Sahara deviendrait dès lors le terrain d’une gigantesque centrale solaire à concentration (CSP) qui alimenterait tout le Maghreb et même l’Europe. Ce plan solaire méditerranéen apporterait à la fois de l’électricité et des ressources financières aux pays d’Afrique du Nord. De plus, cela permettrait de donner à l’Europe une source énergétique susceptible de l’aider à remplir son objectif de 20 % d’électricité propre, contre 8 % aujourd’hui.Enfin, cette centrale pourrait couvrir 15 % des besoins en électricité de l’Europe en 2050. Les centrales solaires thermiques utilisent des centaines de miroirs pour concentrer la lumière du soleil dans l’eau. Cela produit de la vapeur d’eau qui peut à son tour faire tourner les turbines. Et ce sont ces turbines qui génèrent l’électricité. Les centrales solaires thermiques à concentration sont donc particulièrement adaptées pour des régions chaudes et sèches comme le désert du Sahara.Parmi les entreprises fondatrices du consortium, Deutsche Bank, E.ON, RWE et Siemens ont d’ores et déjà confirmé leur participation. Plusieurs ministères allemands, des responsables de la Commission européenne et du Club de Rome participeront à la réunion de lancement.« Nous voulons lancer cette initiative, afin de pouvoir poser sur la table des plans concrets d’ici deux à trois ans, a expliqué Torsten Jeworrek, président du conseil de surveillance de Munich Re à la Süddeutsche Zeitung. Nous sommes très optimistes quant à la participation de l’Italie et de l’Espagne. Nous avons aussi reçu des signaux encourageants d’Afrique du Nord. » « Desertec est un projet visionnaire et très excitant. Une surface de 300 kilomètres sur 300 kilomètres dans le Sahara, équipée de miroirs paraboliques suffirait pour couvrir les besoins en énergie de la planète entière », explique-t-on chez Siemens.Torsten Jeworrek juge qu’« à long terme le réchauffement climatique est un problème plus inquiétant que la crise financière ». D’après lui, le coût pesant sur les compagnies d’assurances lié aux catastrophes naturelles provoquées par le réchauffement climatique augmente de 3 à 4 % par an et deviendra insupportable à terme. En 2008, l’indemnisation de ces catastrophes a coûté 200 milliards de dollars aux assureurs.Selon la Fondation Désertec, le projet pourrait se réaliser dans les années à venir si les responsables politiques en créent les conditions. En effet, les contraintes ne sont pas seulement techniques : d’une part, les centrales doivent être installées dans des pays stables politiquement pour garantir la sécurité de l’approvisionnement en électricité ; d’autre part, il faut trouver les moyens de financer des investissements colossaux, d’autant que le projet est supposé pouvoir s’auto-financer à long terme.Au départ, il aura bien entendu besoin d’une sécurité d’investissements, par exemple une garantie d’achat à un prix fixé. Mais l’électricité ne doit pas être subventionnée dans la durée. Desertec devrait être concurrentiel d’ici 10 à 15 ans, selon Torsten Jeworrek.L’idée du projet Desertec est née au sein d’un réseau mondial de scientifiques, de responsables et d’entrepreneurs, le TREC, qui l’a développée en collaboration avec la branche allemande du Club de Rome. Le Centre allemand de recherche aérospatiale (DLR) a mené des études techniques, financées par le Ministère allemand fédéral de l’Environnement.L’étude a permis de conclure qu’en moins de 6 heures, les zones désertiques du globe reçoivent du soleil la quantité d’énergie que l’humanité consomme en une année. La fondation Désertec s’est ainsi lancé le défi d’exploiter cette énergie inépuisable à un coût raisonnable. Le projet prévoit la construction de vastes centrales solaires thermiques à concentration (CSP) en divers points d’Afrique du Nord.Les études ont montré qu’il suffirait d’installer des champs de collecteurs solaires sur environ 0,3 % des surfaces désertiques du globe pour couvrir l’ensemble des besoins mondiaux en énergie. En complément, il est prévu d’exploiter l’énergie éolienne le long de la côte marocaine et en Mer Rouge, et d’utiliser d’autres techniques solaires, telles que le photovoltaïque concentré.Quant au transport de cette électricité solaire jusqu’en europe, la technologie HVDC (High Voltage Direct Current) permet de transporter l’électricité sur des milliers de km en limitant fortement les pertes. Elles sont seulement de 3 % pour 1000 km à un coût standard (Les pertes peuvent être davantage réduites, jusqu’à 0,3 % pour 1000km, mais à un coût plus élevé).La perte globale du transfert Afrique du nord / Europe (3000km) est donc d’environ 10,5 à 11 %. D’après le groupe suisse/suèdois ABB, leader mondial de l’HVDC, le transfert HVDC de l’électricité solaire saharienne vers l’Europe (700 TWh) conduit à une augmentation du kWh CSP d’un demi centime d’euro, ce qui est presque négligeable. Un réseau connectant l’Europe, l’Afrique du nord et le Moyen-Orient est tout à fait envisageable techniquement, de plus, la technologie HDVC permet de réaliser des réseaux électriques très stables.Un projet de production et de transport d’électricité solaire est déjà à l’étude entre l’Algérie et l’Allemagne. D’une puissance de 6 000 Mégawatts, il nécessiterait l’installation d’un câble long de 3 000 km qui, partant de la ville de Adrar, traversera la Sardaigne, l’Italie du Nord et la Suisse pour atteindre Aachen (Aix-la-Chapelle).Le projet « Desertec » est tout sauf utopique, si l’on considère l’augmentation inexorable du prix des énergies fossiles, l’urgence d’une réduction massive des émissions mondiales de gaz à effet de serre et les progrès technologiques remarquables intervenus en matière de technologies solaires depuis 20 ans. En outre, un tel projet pourrait constituer le moteur durable d’un nouveau partenariat euro-africain et permettre enfin le décollage économique d’une des régions du monde les plus pauvres mais qui détient pourtant les gisements inépuisables d’énergie propre dont notre continent aura besoin au cours de ce siècle.
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