阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Saturday, June 13, 2009

Facebook va délivrer des URL personnalisées





Facebook va délivrer des URL personnalisées
Dès le samedi 13 juin, les utilisateurs français pourront déposer une demande pour obtenir une adresse personnalisée correspondant à leur page Facebook.
Le compte à rebours est lancé pour les utilisateurs du réseau social. Facebook vient d'annoncer sur son blog que ses membres pourront disposer d'une adresse personnalisée pour leur page, de type www.facebook.com/prénom.nom.
Pour obtenir une telle URL, les membres de la communauté devront s'enregistrer sur une page spéciale. Les inscriptions débuteront pour la France, ce samedi 13 juin à 6 h 01. « Faites bien attention au nom d'utilisateur que vous choisissez. Une fois qu'il aura été sélectionné, vous ne serez pas autorisé à le changer ou à le transférer », précise t-on sur le blog de Facebook.
Premier arrivé à l'inscription, premier servi

Le compte à rebours est commencé
Dans les cas d'homonymie, c'est le cas pour le dépôt de noms de domaine, la règle du « premier arrivé premier servi » s'appliquera. Ceux qui arriveront trop tard devront se rabattre sur une autre adresse. Les extensions devront être composées uniquement de lettres, de chiffres et de points avec un minimum de cinq caractères. Afin d'éviter au maximum les cas de cybersquatting, Facebook indique que « les membres inscrits après le 10 juin à 21 h et les Page Fan créées après le 31 mai ne pourront obtenir de nom d'utilisateur, afin d'éviter les abus ou les usurpations d'identité ».
De cette manière, les petits malins ne pourront pas repérer les noms de vrais utilisateurs, dans l'optique de déposer avant eux une adresse à leur nom. Si toutefois quelqu'un venait à usurper l'identité d'une personne publique, Facebook a mis en place une page spéciale de déclaration de violation de droits à la propriété intellectuelle. Rien n'est prévu en revanche pour un anonyme, tout un chacun pouvant s'inscrire sur le site sous n'importe quel nom.
Une meilleure indexation dans les moteurs
Quel intérêt ? « Grâce à ces nouvelles URL Facebook, les membres du réseau disposeront d'une adresse personnelle sur Internet. En rentrant l'identifiant choisi par un utilisateur sur le moteur de recherche de Facebook ou sur Google, il sera facile de retrouver les personnes portant un patronyme commun », précise le site communautaire. Les pages des utilisateurs du réseau social remonteront automatiquement exlique Facebook. « Cela rendra plus facile la recherche de personnes qui ont des noms banals ».
Ce procédé, pratique pour entrer en contact avec des connaissances perdues de vues depuis le numéro 1 des moteurs de recherche, permettra surtout au réseau social d'augmenter son « Page rank ». Taper une requête sur une personne remontera les URL de Facebook dans les résultats de Google.
Comme les informations personnelles des internautes sur le réseau social, les utilisateurs pourront néanmoins définir un niveau de confidentialité privé, afin que leur page ne s'affiche pas directement dans le navigateur d'un tiers en tapant www.facebook.com/prénom.nom. Les administrateurs de groupe pourront également déposer une URL personnalisée, sous condition : avoir au moins 1 000 fans.
Quant à ceux qui ne s'inscriront pas pour avoir une page Facebook à leur nom, ils auront toujours accès au réseau social, mais par l'adresse actuelle de leur page du type id=9651589.

Bresil Environnement consultant





Rio de Janeiro Correspondant
Non seulement la déforestation progressive de l'Amazonie a des conséquences néfastes sur l'environnement du Brésil et de la planète, mais elle ne profite guère à moyen terme, économiquement et humainement, aux populations qui y participent ou qui l'accompagnent en s'implantant dans les régions déboisées. Telle est la conclusion essentielle d'une étude de terrain conduite par une équipe internationale de six chercheurs et publiée, vendredi 12 juin, par la revue américaine L'Amazonie, "poumon vert" le plus efficace des forêts mondiales Selon les auteurs de l'enquête, le déboisement entraîne, au stade initial, une amélioration du sort des populations locales, qui se reflète dans l'indice de développement humain (IDH). Cet indice, adopté par les Nations unies, est calculé à partir de trois critères : l'espérance de vie, le niveau de vie et le taux d'alphabétisation.
Il progresse aussi vite, ou plus vite, le long de la frontière du déboisement que la moyenne nationale brésilienne. Mais, à mesure que cette frontière se déplace, les progrès du développement humain s'amenuisent : ce dernier retrouve dans les régions déjà déboisées un niveau comparable - et bas - à celui qu'on enregistre dans les zones non déboisées.
La déforestation et l'extension de l'agriculture et de l'élevage aux dépens de la forêt attirent sur la frontière des "migrants" en tout genre - gros fermiers, petits "colons", paysans sans terre, forestiers, commerçants, chercheurs d'or - en quête de profits ou simplement d'une vie meilleure. L'arrivée de ces Brésiliens, moins démunis que la population locale, contribue partiellement aux progrès de l'IDH. Mais nombre d'entre eux sont aussi plus pauvres et moins éduqués que la moyenne nationale. Le boom du développement tient donc surtout à l'exploitation des ressources naturelles, facilitée par un meilleur écoulement des produits grâce aux nouvelles routes goudronnées, et à l'implantation du réseau gouvernemental éducatif et sanitaire.
Ces progrès sont pourtant éphémères. L'IDH baisse assez vite dans les localités des régions déboisées, en phase avec le déclin de productivité des activités économiques qu'entraîne, par exemple, l'épuisement des ressources en bois ou la dégradation des pâturages. Au début des années 1990, rappelle l'étude, plus de 75 % des terres déboisées en Amazonie étaient vouées à l'élevage, et plus d'un tiers ont déjà été abandonnées.
Cette enquête porte sur 286 municipalités, à divers stades de déforestation, qui regroupent l'immense majorité du territoire et de la population amazoniens. Elle s'arrête en 2000, année des derniers chiffres de recensement connus. Conclusion de l'étude : "L'actuel mode de développement de l'Amazonie est très loin d'être désirable, qu'il s'agisse des hommes ou de la nature."
Que faire ? "Il faut combiner les approches, explique l'un des auteurs de l'étude, Ana Rodrigues, du Centre d'écologie fonctionnelle et évolutive au CNRS de Montpellier. Mieux mettre en valeur les régions déboisées. Et surtout réduire la déforestation, promouvoir la reforestation dans les zones dégradées, encourager les populations forestières à mener des activités de développement durable." Par exemple en rémunérant les services rendus à l'écosystème par les habitants de la forêt, comme cela commence à se faire au Brésil.
LISTE DE MULTINATIONALES
Dans un récent rapport, Greenpeace soulignait que l'élevage intensif de bovins est responsable de 80 % de la déforestation. Selon l'organisation écologiste, "au cours des dernières années, un hectare de forêt a été détruit toutes les 18 secondes en moyenne par les éleveurs de bétail". Le Brésil est devenu le premier exportateur de viande de boeuf, avec un tiers du tonnage mondial.
Greenpeace reproche au gouvernement de doper l'élevage en aidant financièrement les grandes entreprises du secteur et de fermer les yeux sur les exploitations illégales. Elle cite une longue liste de multinationales, acheteuses de produits provenant d'exploitations impliquées dans la déforestation illicite.
Un vif débat oppose actuellement écologistes et exploitants ruraux à propos d'un projet de loi sur le point d'être voté sur la régularisation foncière en Amazonie. Dans son principe - donner une garantie juridique aux agriculteurs, notamment les plus vulnérables -, le texte fait l'unanimité en sa faveur.
Mais les écologistes, soutenus par le ministre de l'environnement, Carlos Minc, accusent les parlementaires d'avoir défiguré le projet en introduisant plusieurs clauses jugées trop favorables à l'agrobusiness. Le ministre espère que le président Luiz Inacio Lula da Silva tranchera en sa faveur.
Jean-Pierre Langellier

Esclaves


Union pour la Méditerranée pollution





La gestion de la pollution et le meilleur approvisionnement en énergie sont au cœur de la stratégie de l’Union Européenne pour la Région de la Mer Baltique, qui a été dévoilée mercredi, et qui vise à une meilleure coordination des politiques nationales dans la région.
La Commission Européenne a donné son soutien à une initiative de la Suède visant à nettoyer la Mer Baltique pour la débarrasser de ses polluants, à l’encercler de câbles électriques, et à la protéger contre le risque de collision entre des cargos à pétrole.

La Stratégie de l’Union Européenne pour la Région de la Mer Baltique sera une priorité pour la Suède, qui prendra le flambeau de la présidence rotative de l’Union Européenne à partir du mois de juillet, et pourrait ainsi montrer le chemin pour des projets similaires dans la région du Danube et de la Mer Méditerranée.


Parmi les nombreux défis à relever dans la région de la Mer Baltique, on trouve celui de la pollution liée aux fertilisants et les ordures jetées par les hommes, celui de son isolement par rapport aux sources d’énergie de l’Europe, et celui de la grande disparité entre les pays riches tels que la Suède et le Danemark, et leurs voisins de l’est.

Les eaux stagnantes sont au cœur des problèmes environnementaux de la région baltique, car elles sont souvent inhabitables pour les poissons à cause de l’invasion d’algues

Le principal axe structurant de la stratégie, lancée par la Commission Européenne mercredi, est de débarrasser les nations de l’est de la région Baltique de leur grande dépendance au gaz russe, qui sera exacerbé lorsque la Lituanie fermera sa centrale nucléaire d’Ignalina, trop ancienne, au cours de l’année.

Un des projets clés de la stratégie est d’installer un câble électrique de 350 kilomètres de long depuis la Suède jusqu’à la Lituanie, ce qui pourrait être terminé d’ici 2016. Ce câble a été baptisé NordBald.

Un autre câble, le câble Estlink-2, d’une capacité de 800 mégawatts, sera construit entre la Finlande et l’Estonie, et pourrait être opérationnel d’ici 2013. Les réseaux électriques de la région baltique seront également renforcés en Suède, en Lituanie, et en Lettonie, d’après ce qu’ont déclaré des diplomates de l’Union Européenne.

L’ensemble des nouveaux câbles électriques pourraient être soutenus par un marché de l’énergie commun pour la région baltique, qui devrait être lancé d’ici 2013, et qui sera probablement inspiré des règles du marché existant pour la Scandinavie du Nord.

« Cela représente une nouvelle façon de travailler ensemble dans l’Union Européenne » a déclaré le commissaire européen pour les politiques régionales, Danuta Hubner. « Cela n’implique pas de nouvelles lois ou de nouvelles institutions, mais est plutôt basé sur la volonté des gouvernements et des citoyens ».

Un grand nombre des 80 projets qui composent la stratégie de l’Union Européenne pour la région de la Mer Baltique seront financés par les 50 milliards d’euros prévus pour la région entre 2007 et 2013, tels qu’un plan de 4 milliards d’euros approuvé en mars pour améliorer les connexions énergétiques de l’Union Européenne.

Les eaux stagnantes sont au cœur des problèmes environnementaux de la région baltique, car elles sont souvent inhabitables pour les poissons à cause de l’invasion d’algues, nourries par les détergents, les ordures et les fertilisants venants de l’agriculture.

La Suède estime que les bénéfices retirés du nettoyage des polluants dans la mer baltique, tels que les phosphates ou les nitrates, pourraient s’élever à 2 milliards d’euros par an, grâce à l’amélioration des activités de la pêche et du tourisme.

Mais la stratégie n’assumera pas l’oléoduc prévu du Nord Stream pour transporter le gaz russe vers l’Allemagne le long des côtes de la Baltique, un projet auquel s’opposent beaucoup de représentants en Pologne et en Lituanie.

De même, des suggestions concernant le rassemblement de l’ensemble des agences nationales de garde-côte en une seule agence commune surveillant l’ensemble de la région de la Mer Baltique, ont été abandonnées, d’après une source de la Commission Européenne.

A la place, les agences nationales devront viser une plus grande coordination pour gérer les risques de collisions entre les nombreux cargos à pétrole qui naviguent dans la région, et les douzaines de ferries rapides.

Festival de l'Institut du monde arabe: l'Algérie à l'honneur



Les musiques d'Algérie ont une place de choix dans le programme de la dixième édition du Festival de musique de l'Institut du monde arabe (12-20 juin) à Paris, avec la chanteuse Houria Aïchi, des Aurès, ou les chanteurs Bouteldja Belkacem et Boutaïba S'Ghir, légendes du raï.


Les musiques d'Algérie ont une place de choix dans le programme de la dixième édition du Festival de musique de l'Institut du monde arabe (12-20 juin) à Paris, avec la chanteuse Houria Aïchi, des Aurès, ou les chanteurs Bouteldja Belkacem et Boutaïba S'Ghir, légendes du raï.
Houria Aïcha interprètera samedi un répertoire où l'on retrouve des chants séculaires des femmes de l'Aurès, des dhkirs, chants sacrés, ou des chants de bravoure et d'amour chevaleresques.
Le 18, ont rendez-vous sur la scène de l'Institut eux légendes du raï, Boutaïba S'Ghir et Bouteldja Belkacem. Ce dernier révolutionna, au sein des Clarks dans les années 70 en compagnie du trompettiste Bellemou, ce style musical parfois subversif, né à Oran dans les années 30.
Le Français d'origine algérienne Faudel, représentant la nouvelle génération d'un raï ouvert sur la chanson et la variété, se produira le 20.
La chanteuse de l'Atlas marocain Najat Aatabou, surnommée dans son pays "La lionne de l'Atlas", est à l'affiche le 19.
Le chanteur indien Pandit Shyam Sundar Goswami constituera dimanche la seule exception de ce programme axé sur l'Afrique du Nord.
Ce Bengali qui interprète le khyal, chant classique indien, sera accompagné à l'IRMA par deux musiciens, au sarangi et à la tampura.

Esclaves