阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Wednesday, August 19, 2009

Développer le Tourisme en Algérie



OUARET Fouad : Selon les déclarations faites par le ministre de l'aménagement du territoire, de l'environnement et du Tourisme, Chérif Rahmani dans une conférence de presse organisée le 17 aout 2009 à l’Hôtel Sofitel d’Alger le gouvernement a dévoilé les lignes directrices par lesquelles l’Algérie entend relancer son Tourisme afin de coller à ses voisins la Tunisie et le Maroc. Propos rapporté par le quotidien d’Oran dans son édition du 18 aout 2009.


Cette séries de mesures est surtout d’ordre fiscale et est incitative pour le développement de ce secteur. Certes elle aura très certainement des effets mais certainement pas ceux escomptés. En effet et à mon sens je ne pense pas qu’à elle seule, elle soit suffisante pour faire décoller cette activité qui est devenue l’or blanc du 21em siècle et donc recherchée et promue par toutes les nations de ce monde. Je me réjouis que l’Etat Algérien prenne conscience de ses possibilités dans le domaine du développement du Tourisme et qu’il est en train de développer des moyens considérables pour ce faire entre autres réaliser les voies de communications terrestres et moderniser ceux du Chemin de Fer. Mais est-ce suffisant ? Tous ces efforts n’aboutiront certainement pas si au moins quelques conditions préliminaires ne sont pas satisfaites et qui sont le B.A BA de la clé de la réussite. D’abord sur le plan sécuritaire. Nous continuons à lire chaque jour sur les quotidiens algériens des activités terroristes qui sont toujours malheureusement présentes dans ce pays. Certes elles sont résiduelles pour reprendre les termes des officiels parlant de ce domaine mais elles sont encore là et même s’il n’en existera qu’une seule, elle suffira pour dissuader le touriste potentiel à venir jouer à la roulette russe. Donc sécurisé les routes et les villes est une première nécessité. Sur un autre registre très proche, l’insécurité qui règne dans la quasi-totalité des grandes agglomérations n’est pas également faite pour inciter le touriste à venir s’y frotter. Des bandes de malfrats opèrent en plein jours, et en plein centre ville et au regard d’une population médusée incapable de réagir. Des femmes se font enlevées leurs boucles d’oreilles et leurs chainettes sans que personne ne réagisse faisant croire à une impunité quasi officielle. Quand aux vols des portables, c’est devenu quasiment acte de bravoure que de décrocher son téléphone en pleine rue sans risquer de se le faire voler. Quand ces deux conditions seront réunies il restera encore à résoudre deux autres qui sont d’ordre politique. La première c’est l’ouverture de sa frontière Ouest avec le Maroc. D’abord beaucoup de familles nombreuses des nationaux émigrés en Europe n’hésiteront plus à venir en Algérie pour se ressourcer auprès des leurs. Ceci est aussi valable pour les nombreux algériens installés au Maroc qui n’hésiteront plus à venir en Algérie puisque la contrainte du transport couteux par avion sera levée. Et puis il y a aussi les européens qui guidés par leur soif de découvertes viendront en Algérie avec leurs véhicules comme ils le font déjà pour le Maroc. Les marocains ne seront pas en reste, car contrairement à ce que pensent certains algériens, le voisin marocain est avide de découvrir l’Algérie du 21em siècle, celle de Bouteflika dont ils gardent une nostalgique fierté pour son pays de naissance. Cette réouverture de frontière débloquerait pratiquement beaucoup de problèmes que vivent ces deux pays. D’honorables économistes étrangers aux deux pays ont souvent dis que le maintien de cette fermeture de frontière pénalise à elle seule les taux de croissance des deux pays de 3 points environs. Du coup des transporteurs routiers de voyageurs viendront concurrencer les chemins de fers, et ouvriront des lignes Maroc-Algérie-Maroc pour le plus grand bonheur du touriste et le développement des activités commerciales dans les airs de repos. Ce qui est sûr c’est que l’Algérie de l’après pétrole aura très certainement besoin de ses voisins et il est temps de commencer à préparer les bases de cette période qui n’est pas très loin si l’on se base sur la vie d’une nation. Pour en rester aux moyens politiques, il ne faut pas oublier de citer l’ouverture du ciel Algérien à la concurrence qui est un Sésame formidable pour le tourisme. Sans cette condition, les pays voisins n’auraient certainement pas enregistré les résultats qu’ils font actuellement. C’est grâce à cette option que des compagnies aériennes low-coste se sont installées et boostent sérieusement le tourisme au Maroc. A elle seules, elles ont enrayé ou du moins atténués pratiquement l’effet de la crise financière sur le secteur du tourisme. En effet, le touriste étranger n’a plus besoin de passer par un tour-operator pour partir. Il choisit lui-même et à moindre coût son vol, opère lui-même sa réservation par internet et se débrouille sur place pour se loger et se nourrir selon ses moyens financiers. Quand ces conditions seront réunies par l’Etat algérien, et il me semble qu’ils sont inévitables s’il veut atteindre les objectifs qu’il s’assigne dans le domaine du tourisme. il faudrait bien sûr parler également du tempérament des agents du tourisme et les algériens ont beaucoup à apprendre de leurs voisins dans ce domaine. Peut-être qu’ils auront besoin d’être accompagnés dans la formation de leur personnel. Alors et ce n’est qu’à ces conditions que nous pourrons parler du Tourisme en Algérie qui a déjà échoué dans une première tentative dans les années 70 lors de la création de ces premiers complexes touristiques à travers le nord du pays. Cette fois-ci l’erreur ne sera plus permise car elle serait fatale.
OUARET Fouad
Mercredi 19 Août 2009

BNF GOOGLE





La BNF se laisse séduire par Google
Benjamin Ferran (lefigaro.fr) 18/08/2009 Farouchement opposée au projet de numérisation de livres mené par le groupe américain, la Bibliothèque nationale de France pourrait revoir sa position, pour des questions de coûts.

Des considérations financières pourraient avoir raison de l'indépendance de la Bibliothèque nationale de France. Après avoir prôné durant quatre ans une stratégie de ferme opposition à Google et encouragé le développement d'une bibliothèque numérique européenne, Europeana, la BNF discute avec le rival américain pour lui confier une partie de la coûteuse numérisation de ses œuvres. «Nos négociations avec Google pourraient aboutir d'ici à quelques mois», reconnaît Denis Bruckmann, directeur général adjoint et directeur des collections de l'établissement français, interrogé par La Tribune.
Du côté de la BNF, l'intérêt d'une telle alliance serait avant tout financier. «Pour numériser les fonds de la IIIe République, il nous faudrait entre 50 et 80 millions d'euros», justifie Denis Bruckmann. Des montants astronomiques, alors que le projet français de bibliothèque numérique, Gallica, n'est doté que d'un budget de cinq millions d'euros par an. «Nous n'arrêterons pas pour autant notre programme de numérisation. Mais, si Google peut nous permettre d'aller plus vite et plus loin, pourquoi pas ?», résume le directeur général adjoint de la BNF.
Un catalogue de dix millions de livres
Si ces négociations aboutissent, la Bibliothèque nationale de France rejoindrait plusieurs de ses homologues aux Etats-Unis, en Angleterre, en Allemagne ou en Espagne, parmi 29 bibliothèques déjà associées à Google. Pour l'heure, le groupe américain a numérisé un catalogue de 10 millions de livres (il s'était fixé un premier objectif de 15 millions), dont 1,5 million encore protégés par des droits d'auteurs, ce qui lui vaut des poursuites des maisons d'édition, en France notamment. Aux Etats-Unis, un projet d'accord avec les éditeurs est actuellement examiné par la justice.
En dépit de ces accrocs, Google est parvenu sans mal à distancer la bibliothèque numérique européenne Europeana, aux 4 millions de documents. Dans une tribune livrée au Monde en 2005, l'ancien président de la BNF, Jean-Noël Jeanneney, voyait déjà poindre un combat financier «par trop inégal». Il avait pourtant appelé à une contre-attaque, jugeant que le projet de Google marquait «le risque d'une domination écrasante de l'Amérique dans la définition de l'idée que les prochaines générations se feront du monde». «Nous le pouvons, donc nous le devons», concluait-il.
Cette collaboration ne sera en effet pas sans contrepartie. En obtenant le ralliement de la BNF, Google disposera dans le même coup d'un nouveau gisement de livres, qu'il proposera lui-même gratuitement aux internautes dans sa propre bibliothèque numérique, Google Livres. Pour l'heure, il ne tire aucun revenu de ces numérisations, puisque les pages des ouvrages des bibliothèques ne sont pas agrémentées de publicités. Le groupe américain ne cache cependant plus ses ambitions de lancer une plate-forme de vente de livres numériques, concurrente d'Amazon, en partenariat avec les éditeurs.

Algerien investir réglementation