阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Sunday, September 19, 2010

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La Turquie, élève douée pour une future adhésion


dimanche 19 septembre 2010, par Sophie C.

Cheveux blonds en chute contrôlée sur les épaules, maquillage discret, tailleur blanc élégant, sourire à réveiller Mustafa Kemal Pacha Atatürk (1881-1938), le fondateur de la Turquie moderne, dont l’austère portrait trône au-dessus d’elle, Aysé Sezgin est une fort jolie jeune femme. Dans le gouvernement islamo-conservateur que dirige Recep Tayyip Erdogan, le chef du Parti de la justice et du développement (AKP), elle est secrétaire d’Etat aux affaires européennes. Sa seule personne est une manière de démenti à tous ceux qui soupçonnent ce parti de conduire doucement la Turquie sur le chemin de l’islamisme - ou alors, c’est l’islamisme tendance Ralph Lauren qui menace le pays ! C’est d’ailleurs ce qu’elle dit à sa façon, Aysé Sezgin, en commentant lundi 13 septembre à Ankara, dans un anglais parfait, les résultats du référendum de la veille.

"Un pas de plus vers l’Europe"

tout le contraire d’une marche cachée vers l’islam radical. En votant à 58 % pour le oui, les Turcs ont voté pour l’Europe au référendum de ce dimanche 12 septembre, assure-t-elle. Ils ont voté, certes, pour une série d’amendements constitutionnels qui garantissent une vie politique plus démocratique : davantage de libertés publiques, notamment. Ils ont plébiscité l’homme qui a pris l’initiative de ce scrutin, M. Erdogan, et empoche son sixième succès électoral d’affilée depuis son arrivée au pouvoir, en 2002. Mais, en se prononçant pour une profonde libéralisation de leur régime politique, les Turcs ont aussi fait ce que leur demande l’Union européenne (UE). Ils mettent leur droit en conformité avec les critères dits de Copenhague, ceux que doivent remplir les pays qui, comme la Turquie depuis 2005, sont en négociation avec Bruxelles pour devenir membres à part entière de l’UE.

"Nous le faisons pour nous, mais aussi parce que c’est la poursuite de l’européanisation de la Turquie", plaide Mme Sezgin devant un groupe de journalistes invités à Ankara par le gouvernement turc. Sans mentionner nommément l’Allemagne et la France, elle poursuit : "Nous savons les réticences de certains dirigeants (c’est le cas d’Angela Merkel et de Nicolas Sarkozy) à notre entrée dans l’Europe, mais ne doutez pas que cela reste notre objectif, ne doutez pas un instant que cette adhésion est la perspective stratégique prioritaire de la Turquie."

C’est une affaire politique, dit-elle : la Turquie n’est pas intéressée par "les fonds structurels", ces subventions que l’Union accorde aux régions les plus pauvres de ses membres ; la Turquie veut être membre d’"un club dont elle partage les valeurs et le destin" - et au moins une partie de l’aire géographique. L’esprit européen soufflerait-il plus ardemment à Ankara que partout ailleurs dans l’Union ? En Turquie, la coalition des pro-européens est forte : l’AKP d’abord, parce que l’Europe, c’est la modernité, que le parti d’Erdogan entend bien incarner ; une bonne partie des laïques, parce que l’appartenance à l’Union empêcherait toute dérive islamiste ; les Kurdes enfin, parce qu’ils en espèrent plus d’autonomie. Les 58 % de dimanche vont au-delà des 40 % que pèse l’AKP dans l’électorat.

La Turquie a un excellent dossier.

Liée à l’UE par une union douanière, son économie est déjà largement intégrée à celle de l’Europe, avec laquelle les Turcs réalisent 50 % de leur commerce extérieur ; ils assurent remplir, en matière de régulation économique, près d’un tiers de ce qu’on appelle, en patagon eurocrate, "l’acquis communautaire" (les normes et règles de l’UE). Pour parler cru, les Turcs ont, ces dix dernières années, plus participé au développement de l’Europe que la plupart des nouveaux impétrants - et l’on ne veut aucun mal ni à l’Albanie ni à la Bosnie, encore moins à la Serbie ou à la Macédoine, nos prochains camarades dans le club européen.

Sous le sultanat d’Erdogan, la Turquie mène une diplomatie de puissance globale émergente, active au Proche-Orient, en Asie centrale, au Caucase, dans les Balkans. Rien à dire de la part d’un pays de 71 millions d’habitants qui est la 17e économie mondiale. Sinon qu’on peut se demander si ladite diplomatie n’est pas, au Proche-Orient au moins, en contradiction avec les objectifs de l’Union (et de l’OTAN). Dialogue avec la branche islamiste du mouvement national palestinien, le Hamas, que l’UE boycotte ; relations de plus en plus étroites avec la République islamique d’Iran ; refus, et non simple abstention, d’Ankara de voter avec l’Europe des sanctions contre Téhéran, etc.

A cela, les Turcs - pas toujours convaincants - répondent que, si leurs moyens sont différents, leurs objectifs sont, eux, les mêmes que ceux de l’UE. Ils ne parlent au Hamas que pour favoriser un rapprochement avec le Fatah. Leur relation avec l’Iran est ambiguë, mélange de collaboration et de rivalité. La Turquie est le dernier pays à souhaiter un Iran nucléaire à ses frontières, qui la placerait devant un choix impossible : devoir se doter à son tour de l’arme atomique. Champion de l’islam sunnite, le démocrate Erdogan vole à l’Iranien Mahmoud Ahmadinejad, porte-parole de l’islam chiite, le statut de héros des opinions arabes. Au Proche-Orient, les Turcs savent que leur influence, leur soft power, n’est pas due au fait que le pays est dirigé par un parti islamo-conservateur. Le pays rayonne parce qu’il est trois choses à la fois : musulman, de plus en plus démocratique et "moderne" - ce dernier terme voulant dire "occidentalisé" (les télévisions arabes diffusent les feuilletons turcs parce que les filles y sont en jeans ou en minijupe).

Cette synthèse complexe, Erdogan l’incarne. L’opposition le soupçonne de tendances autoritaires, de vouloir présidentialiser le régime, d’entretenir un culte de la personnalité inquiétant. Elle a du mal à contester son bilan : le dossier de l’adhésion de la Turquie à l’Europe est chaque jour plus solide.

Alain Frachon

Sommet vitivinicole de Mayence


Viticulture : 180 participants venus de toute l’Europe au Sommet vitivinicole de Mayence
[Fenêtre sur l'Europe]

A l’invitation du Ministre-Président de Rhénanie-Palatinat, Kurt Beck, et de son Ministre de l’Economie vitivinicole, Hendrik Hering, s’est tenu, le 16 septembre, le IIe Sommet Vitivinicole de Mayence en présence de nombreux représentants politiques et professionnels de régions viticoles européennes (DE, FR, ES, IT, CZ, RO, AT), la plupart membres actifs de l’AREV, de députés européens, d’universitaires et de viticulteurs.


Lors des débats qui ont essentiellement porté sur la mise en œuvre de la réforme de l’OCM-vin et ses incidences à court et à moyen terme sur les hommes, les entreprises et les régions, les participants furent unanimes à considérer que si quelques unes de ses mesures sont à saluer, comme l’instauration d’enveloppes financières nationales, permettant une gestion plus subsidiaire des filières, ou la promotion sur le marché extérieur, les conditions des exploitations ne se sont pas améliorées.

Malgré les importantes mesures d’arrachage, l’équilibre du marché n’est pas atteint alors que le point le plus controversé de la réforme, la libéralisation totale des droits de plantation à partir de 2015, ne pourra qu’intervenir de façon aggravante.

Dans ce contexte, la nouvelle relayée par la voix des députés européens Christa Klass et Herbert Dorfmann, ancien Secrétaire Général de l’AREV, selon laquelle la Commission projetait de réduire de quelque 200 millions d’Euros le budget du secteur viticole a suscité surprise et indignation compte tenu de l’assurance qui avait toujours été donnée de maintenir inchangé le budget alloué ces dernières années.

A travers les interventions et prises de positions s'est cristallisée la conviction qu’au moins le régime des droits de plantation devait être impérativement perpétué en Europe. Sur ce point, entre autres, ce IIe Forum de Mayence a conforté les analyses et propositions faites depuis de nombreuses années par l’Assemblée des Régions Européennes Viticoles en matière de réforme du secteur du vin européen pour le préserver des dérives industrielles et de leurs conséquences néfastes pour les régions aux plans socio-économique, environnemental et paysager.

La vocation et la dimension, par excellence régionales, de la viticulture engagent naturellement les régions viticoles à se mobiliser pour amender en profondeur, à la faveur du rapport d’étape de 2012, la réforme imposée par l’ancienne Commissaire et son équipe (toujours à la manœuvre) sans aucune prise en compte de l’avis des régions. A ce titre, l’AREV semble toute indiquée pour orchestrer toutes les propositions de réforme de la réforme.

Algerie économie culture durable avec la France


mon regard est simple, l'Algerie et la France doivent avoir un regard solidaire dans la mondialisation économique et culturelle septembre 2010

La France s’emploie à réchauffer ses relations avec l’Algérie



La France s’emploie à réchauffer ses relations avec l’Algérie
Deux envoyés de Sarkozy à Alger


Ies relations entre la France et l’Algérie sont en passe de se normaliser, après un froid de plusieurs mois. L’ancien ministre Jean-Pierre Raffarin a été désigné par les autorités françaises pour jouer le rôle de « facilitateur » lors de sa prochaine visite en Algérie. Il est d’ailleurs attendu qu’il effectue sa première visite en Algérie en novembre prochain ses engagements au Canada et en Chine ne lui permettant pas de le faire plutôt.
Il aura pour mission en tant que personnalité non-officielle de faciliter le règlement des dossiers économique évoqués par Claude Géant lors de son entretien avec le premier ministre Ouyahia, et qui avaient rencontré des échos positifs de la part des officiels algériens à l’instar de l’accord avec le groupe Alstom pour la réalisation à Oran d’une unité de montage de locomotives de tramway. D’autres dossiers liés à des projets d’investissements sont également en suspens comme la pénalisation des banques françaises, l’accréditation de la compagnie d’assurance « AXA » et le projet du nouveau complexe pharmaceutique de Sanofi Aventis.
Le secrétaire général de l’Elysée et homme de confiance de Nicolas Sarkozy effectuera lui aussi une visite fin octobre en Algérie qui s’articulera autour de questions politiques et sécuritaires.

Alger le premier Salon international des énergies renouvelables et de la maîtrise d’énergie (Siereme), qui se tiendra du 11 au 15 octobre



Premier salon international des énergies renouvelables
Forte demande de participation nationale et étrangère


A un mois de son ouverture, le premier Salon international des énergies renouvelables et de la maîtrise d’énergie (Siereme), qui se tiendra du 11 au 15 octobre prochain au Palais des expositions des Pins maritimes, connaît un engouement sans précédent en termes d’intention de participation émanant d’opérateurs, aussi bien nationaux qu’étrangers, apprend-on auprès de Sadek Stiti, PDG de Batimatec Expo, société organisatrice de la manifestation.

Plus d’une centaine d’exposants, parmi lesquels 30 étrangers, sont attendus, selon cette même source, qui met en relief le thème particulièrement porteur des énergies renouvelables devant lequel s’ouvrent d’intéressantes perspectives de développement à travers le monde. L’industrie des énergies renouvelables alternatives aux produits fossiles et les technologies visant à rationaliser leur utilisation, connaissent en effet une explosion sans précédent qui préfigure une refonte des modèles de croissance de plus en plus soucieux de la préservation de l’environnement. L’Algérie, qui ne peut échapper à cette nouvelle démarche développementale, devra d’ores et déjà s’y préparer en engageant des actions multiformes, parmi lesquelles la communication devrait occuper une place déterminante.

Le salon Siereme, qui donnera l’occasion aux opérateurs concernés (industriels, promoteurs immobiliers, maîtres d’ouvrages publics et privés, autoconstructeurs, universitaires, chercheurs, etc.) de prendre connaissance des innovations en matière d’utilisation et de préservation d’énergies renouvelables, a précisément été conçu à cet effet. Un espace important sera alloué gratuitement aux petites entreprises et artisans du secteur des énergies renouvelables afin de les encourager à participer au salon, nous apprend le PDG de Batimatec Expo. Un appel a également été lancé en direction des inventeurs qui pourront, à cette occasion, présenter et promouvoir leurs produits et découvertes. On enregistre déjà la participation d’un ingénieur algérien en génie mécanique qui présentera une invention consistant à produire de l’électricité à partir d’une énergie propre et durable, selon notre interlocuteur.

De nombreuses ambassades auraient également pris attache avec les organisateurs du salon dans le but d’offrir à certaines de leurs entreprises l’occasion de présenter des produits et équipements innovants utilisant ou produisant des énergies renouvelables. A noter l’organisation en marge du Siereme, de journées techniques supervisées par l’Aprue avec, à la clé, des conférences animées par des experts algériens et étrangers, la diffusion des programmes d’équipements (appel d’offre de l’Aprue pour l’acquisition de 400 chauffe-eau solaires, équipement de maîtrise d’énergie en faveur de 600 logements, etc.).

L’Agence française de la maîtrise de l’énergie (ADME) sera présente pour animer une journée technique sur l’efficacité énergétique des bâtiments. Le Siereme, dont la préparation se déroule sous de très bons auspices, devrait accueillir environ 15 000 visiteurs, selon les pronostics du PDG de Batimatec Expo.


Nordine Grim

Algerie relever la production et les revenus hors hydrocarbures


L'obligation d'investir dans le potentiel hors hydrocarbures est, une fois de plus, exigée par le chef de l'Etat. Sa substance et la prise en charge des ressources humaines sont une option mise en avant par le fait de cette obligation de revoir la stratégie en ce genre. C'est au titre du programme quinquennal 2010/14, revu avec plus de poids, afin de consolider les acquis réalisés sur le plan opérationnel, par la mise en œuvre des différents programme de soutien à la promotion et au développement des PME, qu'est envisagée cette consolidation. Elle s'impose au regard de cette logique économique et dans l'intérêt du pays, notamment que la période à venir vise la promotion de 200.000 PME génératrices d'emplois productifs, c'est-à-dire permettre aux secteurs privé et public d'investir autant qu'ils peuvent, et consacrer ainsi les directives du chef de l'Etat en ce qui concerne la promotion et la mise à niveau de la PME. Celle-ci est désormais au cœur du développement industriel et constitue l'assurance d'un développement durable de l'économie nationale ouverte à tous les acteurs engagés pour le renforcement et l'augmentation de la production et de la productivité pour compenser la baisse des revenus pétroliers. L'utilité de cette mise à niveau toujours "vivace", est d'orienter les activités industrielles novatrices vers l'attirance d'une véritable régulation de l'investissement pourvoyeur de revenus forts. La PME appelée à s'investir dans le développement du pays, loin des pratiques parasitaires ou spéculatives, est en mesure de bénéficier du soutien de l'Etat, notamment l'accès au crédit avec plus de facilité, dans le respect de normes légales, notamment par une consolidation des mécanismes publics de garanties. Dans cet esprit, les capacités de conseil et d'accompagnement aux opérateurs sont mises en œuvre et largement développées, avec un réseau institutionnel à travers les différentes wilayas. La disponibilité du foncier industriel dans le régime de la concession, est un autre volet qui vient d'être amélioré avec la création de multiples nouvelles zones industrielles. Il faut donc chercher plus loin encore, travailler là où la PME à plus de chance de profiter des résultats de la recherche scientifique et d'utiliser les technologies modernes pour produire mieux dans un esprit d'innovation et de créativité. Deux fondamentaux pour s'inscrire dans cette stratégie industrielle moderne à même d'assurer le bien-être des populations. C'est un passage obligé unanimement accepté pour détenir la "responsabilité" donnant plus d'efficacité aux activités hors hydrocarbures. Cela équivaut à une nouveauté de grande portée économique recevable et encourageant les activités prioritaires susceptibles de relever la production et les revenus à plus de hauteur que ceux du secteur pétrolier. Aussi, dans le cadre d'investir plus, utile et d'éviter la facilité, il est de la mission et du rôle des PME de s'interdire d'investir dans des activités "stériles", mais dans un plan d'action de rendement immédiat et consistant, au regard des conditions idéales qu'offre l'Etat, en l'instauration d'un développement harmonieux et une intégration sans équivoque des deux secteurs public et privé dans cette stratégie industrielle nationale. Cette simplification de l'intégration, qui est en soit un progrès économique, est encouragée par l'Etat, ouvrant tous les canaux à la PME d'être un interlocuteur valable dans cet effort de développement. A ceci s'ajoute la suffisance et la viabilité de la convergence et la synergie entre tous les acteurs concernés par la promotion des activités industrielles hors hydrocarbures et leur extension au profit de l'économie nationale. Ces avantages sont dès à présent fortement "colorés" par les orientations du président Abdelaziz Bouteflika exigeant du gouvernement à renforcer l'appareil industriel national, notamment sur "le plan technologique et managérial, de promouvoir l'intégration nationale en déployant, notamment la sous-traitance et la PME, d'appuyer le développement des activités industrielles nationales afin de renforcer les capacités des entreprises publiques et privées et assurer leur croissance et leur pérennité". Ces critères d'intégrations objectivement annoncés doivent être retenus dès lors comme principe de viabilité et de rentabilité des activités envisagées et qui tirent vers l'utilité où les revenus productifs et les ressources, seront illimités, grâce à une intégration économique nationale élevée. La multiplicité des incitations qu'offre l'Etat pour entretenir cette intégration, au-delà du simple besoin de création d'emplois, de mise à niveau et d'objectifs sociaux économiques, il y a recherche permanente pour plus de formes et de motifs afin de constituer une plate-forme économique à perpétuer à chaque étape du développement du pays.
B. Chellali

Asiexpo 2010 une fenêtre ouverte sur le marché algérien



Afin d'offrir une fenêtre sur les perspectives du marché algérien en mettant l'accent sur les investissements structurants, l'innovation et le transfert de technologies la Safex, en partenariat avec Actions Services, organise la première édition de l'Asiexpo, un évènement unique en son genre au niveau du Maghreb. Cette manifestation qui oluvrira ses portes demain au Palais des expositions de la Safex est la première exposition de cette dimension organisée en Algérie, ainsi qu'au Maghreb. Asiexpo mettra particulièrement l'accent sur les principaux projets d'investissements structurants portés par les participants. Ce schéma s'inscrit pleinement dans le cadre des orientations impulsées par son excellence, Le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, en matière d'ouverture de la production algérienne hors énergie, en direction du marché domestique mais également de l'export.
A l'instar de l'action du fabricant d'autobus chinois Yancheng Zhongwei, du groupe Zonda, qui a permis à l'entreprise algérienne Fandi Motors d'ouvrir un site d'assemblage à Mohammadia, d'autres partenariats ou investissements directs illustrent ce développement des relations d'affaires entre l'Algérie et le continent asiatique. Au service des rencontres industrielles et commerciales, Asiexpo représentera une vitrine optimale pour les entreprises, pour leur pays et sur leur marché. Le salon se fixe pour objectifs de promouvoir les secteurs d'activité et les savoir-faire, créer et développer des rencontres entre producteurs de biens et de services et clients ou partenaires potentiels, informer le public sur les secteurs d'activité en progression en intégrant la dimension " emploi ", présenter les orientations politiques en matière de développement économique, orienter les professionnels vers les opérateurs publics d'accompagnement et étendre le marché algérien à l'export.
La salon Asiexpo permettra aussi aux participants de bénéficier d'un accès privilégié au marché algérien, de développer son réseau et son potentiel d'affaires et de recevoir un visitorat ciblé : chefs d'entreprises, prescripteurs institutionnels, réseaux publics et privés qui ouvrent commandes et chantiers. Cette manifestation sera accompagnée d'un espace conseil. Véritable source d'informations sur les services et technologies porteurs de développements industriels et économiques, le salon Asiexpo offre l'opportunité de visualiser une chaîne de partenaires et de faire des affaires.
Durant quatre jours, la manifestation permettra d'identifier de nouvelles opportunités d'équipement, de développement et/ou d'activité et engager un dialogue avec des partenaires privilégiés sur les investissements de demain, pourvoyeurs d'emplois.
Notons qu'Actions Services organisation est une société française, organisatrice de salons professionnels. Elle est également prestataire de services et accompagne les professionnels dans leur projet d'organisation ou de participation à des événements professionnels locaux ou internationaux. La Société algérienne des foires et exportations est une société publique algérienne, principale organisatrice de salons en Algérie. Elle a également pour mission de promouvoir les produits et les services des producteurs algériens et de leur offrir des outils facilitant l'accès à des marchés extérieurs.
K. B.