PATRICK LE BERRIGAUD EUROPE fédérale/UNION POUR LA MEDITERANNEE consultant ingenieur conseil
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Libre prestation de services en Europe : un nouveau réseau au service des consommateurs ! [Fenêtre sur l'Europe] Le gouvernement français a désigné comme point de contact pour les consommateurs, le Centre Européen des Consommateurs (CEC) France, hébergé par l’association franco allemande Euro-Info-Consommateurs de Kehl. Concrètement, si vous souhaitez recourir à une agence immobilière, de voyages ou de location de véhicules, faire appel à une entreprise du bâtiment ou un artisan dans un autre Etat membre de l’Union européenne, le CEC France peut vous donner toutes les informations préalables. Il s’appuie sur le réseau des points de contact, créé dans le cadre de la transposition de la directive européenne « services ».Grâce au regroupement des missions européennes au sein d’une même structure, Euro-Info-Consommateurs, le consommateur bénéficie d’une aide concrète pour profiter pleinement du Marché intérieur européen.Parallèlement ont été nommés des points de contacts au service des entreprises. Pour la France cette mission est confiée au Centre d’information européenne (CIE) de la Chambre de commerce et d’industrie de Paris (CCIP), membre du réseau Enterprise Network. Le CIE peut être contacté par téléphone (01.55.65.73.13) ou par courrier électronique (europeccip@pic2europe.fr ).Pour plus d’informations sur l’association et le CEC France : http://www.euroinfo-kehl.eu/fr
Un blog ou blogue est un site Web constitué par la réunion de billets agglomérés au fil du temps et souvent classés par ordre antéchronologique (les plus récents en premier). Chaque billet (appelé aussi « note » ou « article ») est, à l'image d'un journal de bord ou d'un journal intime, un ajout au blog ; le blogueur (celui qui tient le blog) y délivre un contenu souvent textuel, enrichi d'hyperliens et d'éléments multimédias, sur lequel chaque lecteur peut généralement apporter des commentaires
Une enquête Eurobaromètre publiée jeudi montre que les Européens demeurent préoccupés par le changement climatique et ils croient que la lutte contre celui-ci pourrait relancer la croissance économique dans l'UE. Selon Margot Wallström, vice-présidente de la Commission européenne "Le message des citoyens européens est clair : la lutte contre le changement climatique doit demeurer une priorité absolue de l'action de l'UE. Il confirme notre conviction que s'attaquer au changement climatique et surmonter la récession économique ne s'excluent pas mutuellement".Le changement climatique est un problème très gravePour 63 % des citoyens européens, le changement climatique est un problème très grave et pour 24 % un problème assez grave. Seuls 10 % ne le considèrent pas comme un problème grave et 3 % sont sans opinion. 47 % des personnes interrogées pensent que le changement climatique est l'un des deux problèmes les plus graves auxquels le monde est confronté aujourd'hui. Seule la pauvreté est considérée comme un problème plus grave, puisqu'elle est classée en première ou deuxième position par 69 % des citoyens. La plupart des Européens (62 %) croient qu'il n'est pas impossible de l'enrayer.Une large majorité estime que le changement climatique peut relancer la croissance économique dans l'UESelon l'enquête, près des deux tiers des citoyens européens pensent que la lutte contre le changement climatique peut avoir un effet positif sur l'économie européenne. Au total, 63 % des répondants affirment que c'est le cas, contre 56 % en mars-avril 2008. 66 % sont aussi d'accord avec le fait que "la protection de l'environnement peut relancer la croissance économique dans l'Union européenne".Une majorité d'Européens considère que l'industrie, les citoyens eux-mêmes, les gouvernements nationaux et locaux ainsi que l'UE ne font pas assez pour lutter contre le changement climatique. Seuls 19 % pensent que les entreprises et l'industrie prennent des mesures suffisantes pour lutter contre le changement climatique, contre 30 % dans le cas de l'UE. Bien que ces résultats marquent une évolution positive par rapport à mars-avril 2008, une majorité variant de 55 % à 72 % estime que les mesures sont insuffisantes à ces niveaux. 63 % des Européens confirment avoir agi d'une manière ou d'une autre pour lutter contre le changement climatique, alors que 31 % déclarent le contraire.Les citoyens européens sont prêts à payer plus pour une énergie plus verte49 % des citoyens interrogés indiquent qu'ils seraient prêts à payer plus cher une énergie produite à partir de sources émettant moins de gaz à effet de serre, alors que 27 % ne seraient pas disposés à le faire. 24 % n'ont pas répondu. Parmi ceux qui sont disposés à payer plus, la moitié ne serait pas prête à supporter un surcoût de plus de 5 %.** Cette enquête Eurobaromètre spéciale a été commandée par la Commission européenne. 26 719 citoyens des 27 États membres de l'UE ont été interrogés en août-septembre 2009 .
Chérif Rahmani : "Promouvoir la destination Algérie" Interview en marge du Sitev d’AlgerChérif Rahmani, le ministre algérien du Tourisme, de l’Environnement et de l’Aménagement du territoire a voulu, lors de l’inauguration du dixième Salon International du Tourisme et des Voyages (SITEV) d’Alger le 1er décembre 2009, donner plus de visibilité à la destination Algérie. Le ministre s’est dit convaincu que le tourisme en Algérie a de l’avenir. Soulignant le fait que c’est aujourd’hui une des priorités du gouvernement algérien, il a mis l’accent sur les retombées économiques du développement touristique, mais également sur sa dimension humaniste, pour le rapprochement entre les peuples.Afrik.com : Quelle image souhaitez vous donner de l’Algérie à l’extérieur ? Chérif Rahmani : Précisément cette image que nous avons quand nous sommes dans le Sahara, une image d’apaisement et de sérénité, et nous rendons hommage au monde du silence, dans un environnement protégé des conflits et des nuisances contemporaines. Je pense que les touristes des pays occidentaux, avec toute les nuisances qu’ils subissent au quotidien, recherchent avant tout l’apaisement et je pense que mon pays, l’Algérie, dans sa dimension profonde, peut leur donner l’expérience de cette quiétude, et de cette sérénité. C’est cette image qu’ils retiendront quand ils découvriront l’Algérie profonde. Afrik.com : La crise financière mondiale peut-elle avoir des répercussions sur le tourisme en Algérie ? Chérif Rahmani : Cette crise n’est pas encore terminée, nous en avons vécu des soubresauts il y a quelques jours encore à Dubaï , l’Algérie est un pays ouvert, donc elle est sensible aux évolutions qui affectent son environnement économique immédiat, et même lointain… Il est certain que la crise financière a raréfié les flux financiers mondiaux et les investissements dans beaucoup de pays, elle a et aura des effets sur notre économie touristique, et nous n’en sommes pas à l’abri sinon cela signifierait que nous serions un pays fermé, et autarcique, ce qui n’est pas le cas. Mais nous restons vigilants en menant précisément une politique de marketing et de communication forte pour promouvoir la destination « Algérie » auprès des opérateurs touristiques internationaux, auprès desquels nous pouvons promouvoir un tourisme différent, "responsable", respectueux du développement durable. Les effets de notre action se font sentir et je peux vous dire que nous n’avons enregistré aucun désistement dans les projets d’investissement touristiques dans notre pays. Afrik.com : Nous sommes à la veille de la conférence de Copenhague, où vous représenterez l’Afrique, qu’attendez-vous de cette rencontre ? Chérif Rahmani : Nous en attendons, nous pays africains, que les pays historiquement responsables de l’essentiel des émissions de gaz a effet de serre qui perturbent le climat de notre planète, prennent leurs responsabilités et réduisent leurs émissions en fonction de leurs engagements. C’est le premier élément, le second est que nous voulons qu’ils aident les pays en voie de développement à s’adapter, car le changement climatique va avoir de multiples effets : le cycle de l’eau va changer, le cycle de l’agriculture va changer, il est important que nous puissions bénéficier des ressources financières et des technologies nécessaires pour nous adapter. Cet effort doit être mondial et nous souhaitons aussi que les pays qui n’étaient pas présents à Kyoto soit à Copenhague et qu’ils y prennent des engagements clairs.
Egalité homme-femme La Conférence de Marrakech illustre la volonté de l'UPM Publié le : 04.12.2009
La Conférence interministérielle sur le renforcement du rôle des femmes dans la société, que la ville de Marrakech a abritée dernièrement, a «clairement» montré la volonté des pays de l'Union pour la Méditerranée (UPM) de promouvoir l'égalité d'accès des femmes et des hommes aux droits civils, politiques, économiques, sociaux et culturels, a souligné jeudi le ministre français du Travail, Xavier Darcos. «L'ambition qui est la notre au sein de l'UPM c'est de bâtir un avenir commun fondé sur le respect des principes démocratiques et le renforcement du rôle de la femme dans la société», a-t-il relevé dans une allocution lue en son nom par Mme Elisabeth Tomé, chef du service des droits des femmes et de l'égalité au niveau de son département, à l'occasion d'un colloque tenu à Paris sous le thème «Dialogue inter religieux et société : quel rôle de la femme». D'après le ministre, l'UPM affiche également la volonté de «tisser des solidarités étroites autour de projets concrets qui soient ouverts à tous ceux et celles qui souhaitent y participer».«C'est grâce à de tels projets au plus près de la réalité vécue par les femmes dans tous les domaines (éducation, culture, économie, politique) que nous créerons des espaces de paix et de prospérité respectueux des droits de chacun», a-t-il insisté, précisant que c'est pour soutenir ces projets que «nous avons retenu le projet d'une fondation des femmes pour la Méditerranée qui verra le jour en 2010».Cette conférence, a-t-il indiqué, sera le lieu de rencontres, d'initiatives, d'échanges et de partage d'expériences locales pour affirmer le rôle des femmes en tant qu'«actrices essentielles de développement».«Soutenue, notamment par la France, la Jordanie et le Maroc, elle s'appuiera sur une gouvernance multilatérale», a-t-il dit, rappelant que les activités territoriales fondatrices appartenant à la rive sud de la Méditerranée (Marrakech au Maroc et Bylos au Liban) abriteront des antennes de la Fondation. Outre l'intervention de M. Darcos, ce colloque, organisé par l'Association du dialogue interculturel et interreligieux (ADICR) en collaboration avec le Sénat français, a été marqué par la participation de plusieurs intervenants politiques et associatifs, actifs dans le domaine de la promotion des droits de la femme au niveau international. La rencontre a été, notamment, caractérisée par la présentation des expériences de pays méditerranéens en la matière, dont celle du Maroc. L'avocate marocaine Aicha Ansar-Rachidi a passé en revue, à cette occasion, les principaux apports du code de la famille qui consacre l'égalité entre les femmes et les hommes en droits et obligations au sein de la cellule familiale.
Qu'il s'agisse de Facebook, Twitter ou LinkedIn, les outils du web 2.0 sont désormais plébiscités par les partons de PME pour le marketing, la vente et le recrutement.
Selon une récente étude de l'Institut Sage, 92 % des dirigeants de PME ne peuvent plus se passer de l'internet. Au-delà de la recherche d'informations, des achats et de la vente en ligne désormais entrés dans les mœurs, le web est surtout perçu comme un moyen d'innover. La technologie (35 %) apparaît secondaire face au potentiel d'innovation en termes de recrutement (51 %), de communication (90 %), et de marketing (80 %). Les deux tiers des 200 entreprises interrogées disposent déjà d'un site web "vitrine". Elles utilisent donc les outils du web 2.0 comme un relais médiatique. Près d'un dirigeant de PME sur cinq (19 %) utilise déjà les réseaux sociaux généralistes (Facebook, Ziki) ou professionnels (Viadeo, LinkedIn). Ils sont même 12 % à avoir créé un blog (notre article : Blog d'entreprise, n'attendez plus pour créer le vôtre) pour présenter leur activité. Les usages les plus courants des réseaux sociaux sont la promotion, régulière ou plus épisodique, de l'activité de l'entreprise (40 %), la veille (47 %), le suivi de l'actualité des marchés de l'entreprise (38 %) et de la concurrence (36 %). Les médias sociaux sont essentiellement utilisés pour publier de l'information sans réelle interaction avec les autres membres du réseau. Les usages évoluent cependant assez vite. Plus d'un tiers des patrons de PME utilisent les réseaux sociaux pour trouver des prospects (36 %) ou des partenaires commerciaux et financiers (36 %). Un nombre plus restreint (23 %) animent une communauté d'utilisateurs ou de clients. Un usage qui devrait se développer à mesure que les principaux freins - manque de compétences et de temps en interne - seront levés. D'autres usages comme Twitter sont encore émergeants et utilisés surtout par les grandes entreprises (notre article : Comment utiliser Twitter dans mon entreprise ?). Pourtant, les PME auraient tout à gagner à se former à ces nouveaux outils qui permettent d'alerter les clients, de tester des idées avec eux et de les fidéliser par un dialogue constant. Autant de sujets débattus en ce moment au Conservatoire national des arts et métiers (Cnam) de Paris. L'Institut G9+ qui rassemble les clubs et autres commissions informatiques, télécoms ou multimédias constitués par les anciens élèves de grandes écoles françaises y organise du 25 novembre au 8 décembre la quatorzaine des réseaux sociaux.
UE 2020 : Les régions veulent être davantege associées [Fenêtre sur l'Europe] Selon Mme Christine Chapman (UK/PSE), membre de l'Assemblée nationale du Pays de Galles (UK) et rapporteuse du Comité des régions sur l'avenir de la stratégie pour la croissance et l'emploi après 2010, les collectivités locales et régionales doivent être plus largement associées si l'on veut garantir le succès des propositions de la Commission européenne pour renforcer la croissance économique et la création d'emplois. José Manuel Barroso, Président de la Commission européenne, a dévoilé le 24 novembre dernier ses propositions en faveur d'une nouvelle stratégie – baptisé "UE 2020" – en lançant un processus de consultation qui se prolongera jusqu'au 15 janvier 2010. Des propositions détaillées fondées sur le résultat de cette consultation seront ensuite présentées aux chefs d'État et de gouvernement à la réunion du Conseil européen de printemps en mars.S'exprimant au cours de la session plénière le jeudi précédant l'adoption de son avis d'initiative sur la suite de la stratégie de Lisbonne, Mme Chapman a indiqué: "Je trouve très préoccupant que le document de consultation de la Commission omette de reconnaitre explicitement le rôle important que jouent les collectivités territoriales dans toute l'Europe pour réaliser les objectifs de Lisbonne sur le terrain: les termes "régional" et "régions" n'apparaissent que quatre fois dans tout le document. Lorsqu'il évoque l'importance d'associer les régions, le document demande aux "parlements nationaux" de participer, ce que je soutiens bien évidemment, mais pourquoi le document ne cite-t-il pas le rôle des parlements régionaux, comme l'Assemblée nationale du Pays de Galles, ou bien celui des gouvernements locaux et régionaux? Ceci est très décevant, et je demande aux collectivités territoriales de faire comprendre à la Commission dans leurs réponses à la consultation que nous attendons mieux, et que cela doit être corrigé dans la proposition qui sera envoyée pour accord au sommet de printemps en 2010".Elle se félicite cependant du fait que de nombreuses propositions clé du CdR pour la nouvelle stratégie en faveur de la croissance et des emplois figurent en bonne place dans le document de consultation de la Commission, ce qui est un signe manifeste que son avis et la consultation lancée au mois de mars par le CdR au sujet de la nouvelle stratégie ont eu une influence sur la réflexion de M. Barroso.La stratégie "UE 2020" sera une stratégie plus "verte", plus sociale, qui fixera les fondements d'une croissance durable à long terme et résistante aux crises, proposition très conforme à l'appel de Mme Chapman en faveur de ce qu'elle appelle une "stratégie durable pour l'Europe", qui fait dépendre la croissance économique de la protection de l'environnement et de la réduction de la fracture sociale.Pour Mme Chapman les objectifs ambitieux de l'UE 2020 seraient beaucoup trop difficiles à réaliser sans la participation des collectivités locales et régionales, en particulier si l'accès au fonds de cohésion de l'UE est réduit à la suite de la révision du budget de l'UE prévue pour l'an prochain. "Dans mon avis, j'ai souligné l'importance d'une politique de cohésion à l'échelle européenne, à la fois en raison des avantages que celle-ci apporte pour soutenir des actions souples et ciblées sur le terrain, et également du point de vue des structures de gouvernance qui placent les partenariats locaux et régionaux au cœur même du versement des fonds. C'est de cette façon très pratique que l'UE a pu être en mesure de rester en contact avec les échelons locaux et régionaux et de leur apporter une valeur ajoutée. La Commission ferait bien d'entendre ce message, et de tenir compte de mes recommandations afin de s'appuyer sur cette approche intégratrice, si elle veut assurer la future stratégie d'un plus grand succès".Pour plus d'information :http://www.cor.europa.eu/
je suis passionné par l'Algerie communiquer expliquer asssister les entreprises locales et les entreprises européennes interessées par le marché Algerien sont mes devises.Vous êtes une entreprise qui recherchez des distributeurs en Algérie,vous souhaitez connaître les particularités du marché algérien,P.Leberrigaud Freelance sera en mesure de vous donner toutes les informations économiques développer vos activités sur le territoire algérien.établir un partenariat avec les pmi pme algeriennes et françaises très étroites ,pour les 20 années à venir nous devons travailler ensemble, pour créer des centres d'interets communs, pour les petites et moyennes entreprises tel O6 16 52 52 46