阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Tuesday, January 12, 2010

label l'huile d'olive algérienne




A la conquête du marché international

Un label qualité pour l'huile d'olive algérienne

Un label pour l'huile d'olive algérienne, depuis le temps qu'on en parle, aucun texte de loi n'est venu conforter l'idée. Mais décidément, les choses vont changer d'ici peu. A en croire le directeur général de l'Institut technique de l'arboriculture fruitière et de la vigne (ITAF), Mahmoud Mendil, un décret relatif à l'institution d'un label qualité pour les différentes huiles d'olive de l'Algérie sera fin prêt en novembre prochain. "Le projet de labellisation de l'huile d'olive algérienne est en cours de finalisation et le décret d'institution du label de qualité concernant ce produit sera fin prêt en novembre" a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse organisée lundi au Palais des expositions à Alger par le groupe de réflexion "Filaha Innove" pour annoncer la tenue du 1er Forum méditerranéen de l'oléiculture (OLEOMED) les 29 et 30 mars à Alger. Il était temps de prendre les choses en main pour valoriser l'oléiculture, une filière pourtant très porteuse, Les oléiculteurs n'ont jamais cessé d'exprimer leur souhait de voir leur produit sur les étals des marchés extérieurs. Pas plus tard qu'avant hier , les oléiculleurs de la daïra de Maatkas dans la Tizi Ouzou ont exprimé leur voeu d'exporter l'huile produite à partir des olives de leurs vergers pour peu que les autorités publiques concernées "créent un laboratoire de contrôle de la qualité" pour labelliser leur produit. Intervenant en marge de la fête de l'olivier, célébrée pour la première fois par la daïra de Maatkas, le représentant des six huileries activant actuellement dans cette localité a appelé à la "nécessité de la création d'un emballage standard bien identifié pour l'huile d'olive locale". La wilaya de Tizi Ouzou a produit plus de 12 millions de litres d'huile durant la saison en cours, a-t-on souligné sans oublier de citer les nouveautés introduites dans la politique économique agricole et de renouveau rural pour le quinquennat 2009-2014, particulièrement en matière de réhabilitation et de renforcement des plantations d'oliviers à l'échelle locale et nationale, dans l'optique de permettre le relèvement de la qualité et du volume de la production d'huile d'olive et l'amélioration des revenus des producteurs. Autrement dit, l'huile d'olive algérienne a tous les atouts pour être consommée et connue à l'international sous un label algérien. Ce produit biologique, lié à l'histoire de la l'Algérie et écoulé sur les marchés extérieurs comme un breuvage anonyme, souffre encore d'un déficit d'image. Seul 1 % des quantités exportées est conditionné, le reste est vendu en vrac et est valorisé, sur les marchés extérieurs, par des sous-traitants étrangers. Aussi, pour s'exporter dans des conditions conformes à la réglementation internationale. Les oléiculteurs commencent à cerner les enjeux. Ils s'y mettent. Améliorer la qualité de l'huile d'olive lui ouvrirait des perspectives certaines sur le marché mondial de plus en plus demandeur, Le label est une garantie pour le produit algérien qui cherche à tout prix à se positionner sur le marché international. L'absence de label remet en cause la traçabilité des produits de terroir et les confronte à une concurrence déloyale et à la contrefaçon. L'exemple de Deglet nour tunisienne est l'un des plus édifiants. La Tunisie et le Maroc, pays voisins devenus en si peu de temps des concurrents potentiels, arrivent à placer, sur le marché mondial, environ 30 % de leurs productions nationales d'huile d'olive, en dépit des problèmes de coûts de production élevés qu'ils encourent. Alors pourquoi l'Algérie ne ferait-elle pas autant pour valoriser son huile d'olive ? Dalila B.

Turquie news


Sonatrach PME



Production de pièces de rechange industrielles : Sonatrach envisage un soutien aux PME

La Sonatrach envisage de soutenir et d’accompagner les petites et moyennes entreprises (PME) pour les encourager à se lancer dans le domaine de la production de pièces de rechange industrielles, a annoncé son PDG, M. Mohamed Meziane. "Sonatrach envisage le soutien et l’accompagnement d'un nombre important de petites et moyennes entreprises (PME), pour les encourager à s’introduire dans le domaine de l’industrie de pièces de rechange quantitativement et qualitativement, répondre aux besoins du groupe et développer ses investissements", a-t-il souligné dans une déclaration à l’APS en marge d’une visite d’inspection du ministre de l’Energie et des Mines, M. Chakib Khelil à Oran. M. Meziane a indiqué que Sonatrach disposera de mécanismes à même d’encourager l’industrie nationale de pièces de rechange et de renforcer les investissements et les projets de partenariat dans ce domaine, en ajoutant qu'elle dipose d'une "stratégie prometteuse pour concrétiser cet objectif". Le responsable du premier groupe industriel en Afrique a souligné que les filiales et les activités industrielles de Sonatrach a besoin d'une grande capacité de production locale de pièces de rechange industrielles, eu égard à la diversité et le développement des actions d’investissement concrétisées et la hausse des coûts d’importation de pièces de rechange. Le même responsable a estimé que le rythme de croissance que connaît le secteur de la PME en Algérie "incite à l’orienter vers des industries utiles qui nécessitent une dynamique pour l’économie nationale". M. Meziane a également souligné que des repères stratégiques sur lesquels doit compter le groupe Sonatrach pour développer l’industrie des pièces de rechange industrielles en Algérie seront recherchés lors des travaux du premier forum international sur les pièces de rechange industrielles, qui sera tenu en février prochain à Alger.

Yennayer le nouvel an Amazigh



Yennayer le nouvel an Amazigh: Une tradition haute en symbole
Algérie – En continuant à célébrer Yennayer, les Bouiris perpétuent une grande et ancestrale tradition, et enseignent l’histoire aux générations nouvelles.
Chaque année et depuis des lustres, la communauté algérienne célèbre Yennayer. La wilaya de Bouira avec sa composante multilinguistique fait la fête différemment d’une région à une autre. Le 12 janvier de l’an 2010 de l’ère chrétienne correspond au 1er Yennayer 2960 de l’an amazigh. Depuis une semaine, les populations de la région d’expression berbérophone, de la wilaya, à l’instar du pays et de toutes les communautés berbères du Maghreb, se sont préparées à accueillir le Nouvel An berbère.
Pour la circonstance, et depuis des décennies, les comités des villages s’attellent à faire des quêtes pour acquérir des bovins qui seront sacrifiés la veille et répartis équitablement entre les habitants. Cette action désignée par «thimechret» n’est pas un rituel spécifique au Nouvel An, mais reste une manière d’affermir les liens entre les villageois et consolider les relations que le modernisme tend à effacer. S’agissant des caractéristiques de la journée, les familles préparent un grand dîner «imensi n Yennayer», qui se traduit généralement par la préparation d’un couscous avec du poulet. Le mets principal reste le couscous de blé. L’utilisation de la semoule d’orge est, ce jour-là, bannie, elle qui constitue en temps normal le repas du pauvre.
Le couscous est préparé avec une sauce à base de légumes secs. D’une région à une autre les explications sont différentes quant au choix de la volaille. Certains préfèrent le coq qui symbolise la naissance de la lumière (le lever du jour), d’autres, la poule et ses oeufs qui incarnent la fécondité et par conséquent l’abondance. Dans la préparation des autres mets qui accompagnent le couscous, les femmes servent aux enfants, le matin du 12 janvier (tasebhit n yennayer) «uftiyen» ou «isrecmen», un mélange de céréales entières. Selon les moyens, on complète le plat par un mélange de fruits secs (inighmen) servis en abondance aux présents. La tradition exige que l’on ne vide pas les plats, ce qui signifie que l’on ne doit pas avoir faim. L’occasion est saisie pour réunir la grande famille «adhroum» autour de ce plat. La rencontre permet aussi de dissiper les malentendus, de régler les conflits pour permettre à tout le monde de commencer l’année sur de bonnes bases. Aux heures des prières, les croyants accomplissent leur devoir.
La date est aussi et surtout une occasion des retrouvailles pour la gent féminine. Les femmes sortent rarement et ne se rendent visite que conjoncturellement lors des mariages, des décès ou autres fêtes familiales. En optant pour une commémoration collective, les villageois offrent une opportunité aux femmes de se rencontrer. Plusieurs mariages sont scellés en pareille circonstance.
Le dîner est suivi par des rites qui présagent des jours à venir. Dans la soirée, les femmes déposent sur le toit des maisons quatre coupelles en terre remplies de sel représentant chacune les mois de Yennayer, «furar, me ires et yebrir» (février, mars, avril). Au matin de la journée de Yennayer, le niveau d’humidité du sel annonce un mois arrosé ou non surtout que la vie en campagne est sujette aux aléas de la météo. Même si partout la cuisinière a pris la place, on renouvelle son «qanun»; la découverte d’un ver blanc sous les pierres ramassées pour le trépied du four, laisse entrevoir la naissance d’un garçon, une herbe verte signifie une moisson abondante, les fourmis symbolisent l’augmentation du bétail…Dans la même journée de «amenzu n Yennayer» (le premier jour de l’an), sont proposées «lesfendj» ou «lemsmmen». Une pâte qui gonfle ou qui s’étend facilement annonce forcément une année riche et généreuse. Plus à l’ouest et au sud de la wilaya, où résident les entités arabophones, la célébration tend à se généraliser ces derniers temps. Là aussi, les festivités se limitent à l’art culinaire. En plus du couscous, beaucoup préparent des crêpes «baghrir», le «rfiss», «chakhchoukha» et d’autres plats traditionnels. Cette tendance et cet engouement pour le traditionnel se veut un respect du caractère ancestral de cette date.
En continuant à célébrer Yennayer, les Bouiris perpétuent une grande et ancestrale tradition, et enseignent l’histoire aux générations nouvelles. Tous ces éléments plus ou moins perpétués ou simplement conservés dans les récits témoignent du caractère agraire du calendrier berbère.
source: Lexpression

Grèce FMI



Grèce : Le FMI étudie la possibilité d'un prêt pour soutenir le pays
[Fenêtre sur l'Europe]
Le FMI se penche sur l'éventualité d'accorder une "assitance technique" à la Grèce. Le pays est en proie à une grave crise financière et sociale.
Le Fonds monétaire international (FMI) a annoncé lundi l'envoi d'une mission en Grèce à la demande des autorités d'Athènes, indiquant qu'y serait examinée l'éventualité d'une assistance technique, formule qui se rapporte généralement à un prêt de l'institution.Les inspecteurs du FMI étudieront la réforme des retraites, la politique fiscale, l'administration fiscale et la gestion du budget dans le pays.La Grèce avait déjà reçu pendant trois jours, de mercredi à vendredi, une visite d'experts de la Commission européenne et de la Banque centrale européenne, venus examiner l'état des finances publiques du pays. L'Union européenne et le FMI ont déjà fourni conjointement à deux Etats membres de l'Union des prêts destinés à les aider à les sortir de la crise : la Hongrie en novembre 2008 et la Lettonie le mois suivant.