阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Tuesday, November 10, 2009

Climat Les Backstreet Boys



Climat : Les Backstreet Boys contre le changement climatique
[Fenêtre sur l'Europe]
Le groupe légendaire se joint à la Commission européenne et MTV pour appeler les dirigeants européens à conclure un accord lors du sommet de l’ONU à Copenhague. Pascal Légitimus,ambassadeur de la campagne en France, assistera à cet événement.
Le troisième et dernier concert de la campagne "Play to Stop: Europe for Climate" de la Commission européenne sera l’occasion de voir les Backstreet Boys, le célèbre groupe nominé aux Grammy Awards, se produire sur scène à Copenhague, le 7 décembre prochain.La campagne "Play to Stop: Europe for Climate", qui bénéficie du soutien de MTV, la chaîne musicale internationale, vise à sensibiliser les jeunes à l’engagement et au rôle majeur de l’Union européenne dans la lutte contre le changement climatique, en amont du sommet des Nations Unies (ONU) sur le changement climatique dont le coup d’envoi sera donné ce même jour. Pour plus d'informations :http://www.play4climate.eu/

Algerie Tourisme



Le Plan Qualité Tourisme Algérie entre dans sa phase opérationnelle

Le plan Qualité Tourisme Algérie constitue l’un des fondements de la stratégie de développement du tourisme national à l’horizon 2025.Ce plan vise à renforcer la compétitivité de la destination Algérie afin de faciliter son insertion progressive dans les circuits commerciaux internationaux.Cette nouvelle démarche qualité, initiée par le ministère de l’Aménagement du territoire, de l’Environnement et du Tourisme, repose sur une adhésion volontaire de la part des professionnels du tourisme, de l’hôtellerie, de la restauration et des voyages.Elle prévoit la mise à niveau au plan de la qualité, notamment dans les domaines de l’amélioration des prestations de service (accueil, comportements des personnels, informations,…) du confort des lieux, de la qualité des équipements.Dans ce cadre, M. Cherif Rahmani, ministre de l’Aménagement du territoire, de l’Environnement et du Tourisme, a présidé, hier à 10h à l’hôtel Sheraton, une cérémonie officielle de lancement de l’opération modernisation de cet établissement, considéré comme référence pour un partenariat réussi avec une chaîne de renommée mondiale, et l’un des atouts majeurs de l’hôtellerie urbaine et d’affaires en Algérie.Il est important de rappeler l’intérêt certain qu’accordent les pouvoirs publics à l’amélioration de l’attractivité de la destination Algérie, notamment grâce à la mise en œuvre du Plan Qualité Tourisme Algérie.Cet intérêt s’affiche clairement à travers les dernières mesures de soutien fiscal et financier à la modernisation et la mise à niveau des établissements hôteliers, contenues dans la loi de finances complémentaire 2009.Qualifiant l'opération de "lourde et coûteuse", le ministre de l'Aménagement du territoire, de l'Environnement et du Tourisme, M. Chérif Rahmani, qui s'est enquis de l'état d'avancement des travaux de rénovation de cet hôtel, a précisé que cette opération est couverte par un autofinancement. En contrepartie l'Etat accompagne la direction générale de cet hôtel par une aide sur le plan fiscal car, a expliqué le ministre, il y a une exonération en termes de droits de douanes, d'impôts et d'abaissement des taux d'intérêt octroyés par les banques quand il s'agit du Plan qualité tourisme Algérie (PQTA), comme le stipule la Loi des finances complémentaire (LFC) 2009. Selon M. Rahmani, par cette opération de "mise à niveau" et de "requalification" de l'hôtel, la SIH s'engage à améliorer les prestations pour le touriste et le voyageur, affirmant aussi qu'il s'agit d'un objectif devant permettre à cet établissement d'atteindre les standards et les critères internationaux. L'hôtel a été construit il y a une dizaine d'années à l'occasion de l'organisation par l'Algérie du sommet de l'Union africaine. A cet effet, le ministre a estimé que dans tous les établissements de par le monde, après une décennie, il y a une "obligation" de réhabiliter, rénover et entretenir les hôtels pour rester toujours au niveau requis des prestations, lesquelles changent constamment du fait de la concurrence. "Il est nécessaire de se remettre en cause car de nos jours les prestations sont personnalisées", a-t-il dit, faisant observer que "ce degré de perfection n'a pas encore été atteint en Algérie". D'autres hôtels du pays subiront des travaux de rénovation ou de réhabilitation, et ce, dans le cadre du PQTA qui constitue l'un des fondements de la stratégie de développement du tourisme national (SDAT) à l'horizon 2025.

Algerie PMI PME


M. Habib Yousfi : «Nous sommes obligés de revoir le minimum du SNMG »

Souscrivant à la décision du Président de la République d'augmenter le niveau du salaire national minimum garanti au même titre que les partenaires du pacte économique et social, le président de la Confédération générale des entrepreneurs algériens (CGEA) a réitéré, hier, sur les ondes de la Chaîne III de la Radio nationale qu'il s'agit maintenant «d'essayer de trouver la proportion d'augmentation» à la faveur de la réunion tripartite prévue avant la mi décembre. «Nous sommes obligés de revoir le minimum du SNMG parce qu'il est, en fait, très bas. L'augmentation dépend cependant de négociations avec notre partenaire en l'occurrence l'UGTA et du plus grand employeur qu'est l'Etat», a déclaré dans ce sens M. Habib Yousfi, qui ajoutera, par ailleurs que la révision des salaires qui est «une autre paire de manches» devrait prendre en considération, le cas échéant «la viabilité des entreprises». A propos de l'ordre du jour de cette treizième tripartite, il précisera que l'agenda de la réunion n'a pas encore été finalisé et que c'est au premier ministre d'en cerner le contenu. «C'est une question de délicatesse à l'endroit de sa personne», a-t-il affirmé. Toutefois, parmi les points qui seront certainement retenus figurent, en toute évidence, le SNMG outre le pacte économique et social, les allocations familiales, la mutualité, le code du travail, l'investissement et l'entreprise. Dans le même ordre d'idées, M. Habib Yousfi insistera sur la problématique de la PME «qui évolue actuellement dans un contexte pollué en matière d'environnement économique». «Pollué dans la mesure où nous avions à une autre période signé un pacte qui devait contribuer à mettre en évidence les défis à relever par l'ensemble des partenaires dans un contexte alors différend». Aujourd'hui, le contexte est nouveau dans la mesure où il y a eu la crise financière internationale qui a impliqué un certain nombre de retombées défavorables pour beaucoup de pays et notamment l'Algérie en matière de recettes d'hydrocarbures». M. Habib Yousfi parlera de «gangrène qui s'est installée dans le circuit économique», révélée «à travers la corruption, la spéculation et l'informel et tant d'autres éléments susceptibles de contredire le développement économique». Le président de la CGEA plaidera, à ce titre, la cause de la PME/PMI qui doit bénéficier selon lui d'une stratégie à même de l'insérer dans «une dynamique économique» pérenne au même titre que l'emploi et les salaires qui devraient être au centre de politiques dans le cadre économique globale. En fait, soutiendra l'intervenant «c'est toute une politique qui est appelée à être mise en place pour pouvoir poursuivre les objectifs et trouver des substituts aux hydrocarbures», car «il y a une dichotomie en matière d'approche. Aussi, les pouvoirs publics doivent-ils dégager les aides nécessaires pour soutenir la PME sans distinction entre le public et le privé».D. Akila

Algérie IDE


Débat autour des IDE en Algérie
En effet, au cours de cette rencontre, de nombreux intervenants ont souligné l’importance des IDE en Algérie, perçus à la lumière des nouvelles dispositions de la loi de finances complémentaire 2009. Pour l’ambassadeur d’Algérie en France, M. Missoum Sbih, les nouvelles dispositions de la loi de finances complémentaire visaient à protéger l’économie nationale. Ces mesures «avaient pour objectif d’assurer la traçabilité des opérations de commerce extérieur, d’en limiter l’étendue face à une croissance sans précédent des importations et surtout d’impliquer les IDE dans l’effort de production, de création d’emplois et de richesses, et limiter le plus possible la concentration dans la sphère du commerce extérieur», a-t-il indiqué, lors de ce forum. Ces mesures ont aussi pour but de «rationaliser et de limiter les déséquilibres constatés dans la balance commerciale du pays, et de prendre en considération la baisse des ressources externes du pays, en relation avec la crise mondiale». Il s’est étonné des réactions suscitées auprès des partenaires étrangers à l’annonce de ces dispositions. Il dira à ce propos, que «quand les pays occidentaux ont, sans complexe et sans scrupule, pris, pour face à la crise économique mondiale, des mesures de caractère exceptionnel qui ont ébranlé les fondements même de l’économie de marché, ces pays ont alors dit, nonchalamment, avec le sentiment du devoir accompli, qu’ils étaient sur la bonne voie. Par contre, quand l’Algérie prend des mesures relativement limitées pour la sauvegarde de son économie, on pousse des cris d’orfraie et on va jusqu’à dire, le plus solennellement du monde, que «l’Algérie fait fausse route». «Une telle déclaration, outre qu’elle ne respecte pas notre souveraineté et nos choix, est incompatible avec l’esprit de partenariat et jette un trouble sur la véritable nature des rapports que l’on voudrait établir avec notre pays», a-t-il ajouté. Le diplomate a également souligné l’intérêt particulier qu’accorde l’Etat à la communauté nationale à l’étranger et au retour des compétences au pays afin que ce dernier puisse bénéficier de leur expertise, de leurs savoir-faire et expérience acquis à l’étranger. Pour sa part, Réda Hamiani, président du Forum des chefs d’entreprises (FCE) a estimé que les nouvelles dispositions contenues dans la LFC «sont la résultante de la grande déception devant la faiblesse des IDE, 20 ans après la libéralisation de l’économie nationale, et de nombreux aspects conjoncturels ayant conduit à une dérive et à une perversion du système libéral et à une hypertrophie du secteur commercial basé sur l’importation conduisant à l’affaissement de la production industrielle nationale». M. Réda Hamiani a souligné que «les IDE sont indispensables pour peu qu’ils aient un effet restructurant car il est nécessaire d’avoir une industrie qui réponde aux besoins de la population». Il s’est dit convaincu que ces nouvelles dispositions «ne signifient pas de retour en arrière, ne remettent pas en cause l’option de l’économie de marché. Elles sont conjoncturelles et renforcent le rôle de l’Etat régulateur». N. B./ Agence
09-11-2009

Pollution



Pollution :Un registre d'information sur les émissions polluantes dans l'air ouvert à tous
[Fenêtre sur l'Europe]
La Commission européenne et l'Agence européenne pour l'environnement ont ouvert hier un nouveau registre européen global des rejets et transferts de polluants (E-PRTR).
Ce registre contient des informations relatives aux émissions de polluants dans l'air, l'eau et le sol provenant d'installations industrielles européennes. Il recense 91 substances, ainsi que les données annuelles s'y rapportant, et couvre plus de 24 000 installations pour 65 secteurs d'activité économique.Il fournit également d'autres informations telles que la quantité et le type de déchets transférés des installations aux gestionnaires de déchets tant à l'intérieur qu'à l'extérieur de chaque pays. Pour plus d'informations :http://prtr.ec.europa.eu/