PATRICK LE BERRIGAUD EUROPE fédérale/UNION POUR LA MEDITERANNEE consultant ingenieur conseil
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http://www.youtube.com/watch?v=4fP_xJ26SnE Le mur de Berlin (en allemand Berliner Mauer), « mur de la honte » pour les Allemands de l'ouest et « mur de protection antifasciste » d'après la propagande est-allemande, est érigé en plein Berlin à partir de la nuit du 12 au 13 août 1961 par la République démocratique allemande (RDA), qui tente ainsi de mettre fin à l'exode croissant de ses habitants vers la République fédérale d'Allemagne (RFA). Le mur sépare physiquement la ville en Berlin-Est et Berlin-Ouest pendant plus de vingt-huit ans, et constitue le symbole le plus marquant d'une Europe divisée par le Rideau de fer. Plus qu'un simple mur, il s'agit d'un dispositif militaire complexe comportant deux murs de 3,6 mètres de haut avec chemin de ronde, 302 miradors et dispositifs d'alarme, 14 000 gardes, 600 chiens et des barbelés dressés vers le ciel. Plusieurs centaines de ressortissants de la RDA perdent la vie en essayant de le franchir, les gardes-frontière est-allemands et soldats soviétiques n'hésitant pas à tirer sur les fugitifs. L'affaiblissement de l'Union soviétique, la perestroïka conduite par Mikhaïl Gorbatchev et la détermination des Allemands de l'Est, qui organisent de grandes manifestations, provoquent, le 9 novembre 1989, la chute du « mur de la honte », suscitant l'admiration incrédule du « Monde libre » et ouvrant la voie à la réunification allemande. Presque totalement détruit, le Mur laisse cependant dans l'organisation urbaine de la capitale allemande des cicatrices qui ne sont toujours pas effacées aujourd'hui. Le mur de Berlin, symbole du clivage idéologique et politique de la Guerre froide, a inspiré de nombreux livres et films. Aujourd'hui, plusieurs musées lui sont consacrés. wikipedia
Google va transmettre aux régulateurs européens les données personnelles qu'il a collectées accidentellement en interceptant des échanges privés lors de prises de photos pour son application "Street View", a indiqué son directeur général dans une interview au Financial Times.Eric Schmidt indique qu'il va communiquer ces informations d'abord aux autorités allemandes, françaises, espagnoles et italiennes de protection des données, qui envisagent actuellement des investigations criminelles sur cette affaire.Google, a indiqué Eric Schmidt, s'apprête aussi à publier les résultats d'un audit externe sur cette affaire, qui a abouti à ce que les voitures chargées de photographier des rues pour Street View finissent par enregistrer des informations personnelles échangées entre ordinateurs et points wi-fi ouverts, qui avaient ensuite été transmises à travers des systèmes non sécurisés. Le dirigeant n'a pas exclu que des données bancaires et de la correspondance privée figurent parmi les données collectées."Soyons clairs, nous nous sommes plantés", a-t-il franchement reconnu dans cette interview. Il a ajouté que Google allait mener une enquête interne dans ses pratiques concernant la vie privée, tandis qu'une procédure disciplinaire a été lancée contre un ingénieur considéré comme responsable de cette affaire, considérée comme "en claire violation" des règles du groupe, selon son patron.Il a indiqué espérer que cette transparence permettrait à Google de retrouver la confiance de la clientèle, tout en prévenant bien que la culture du groupe, consistant à laisser les ingénieurs créer de nouveaux produits, ne changerait pas : "Ce serait terrible de jeter un coup de froid sur la créativité", a-t-il dit, ajoutant que la mission que s'est assignée Google de collecter toute l'information disponible dans le monde ne devrait pas être régulée.Source : AFP --> . .
La méthanisation demeure l'une des réponses pertinentes face aux enjeux de développement des énergies renouvelables et de valorisation des déchets organiques dans un contexte de lutte contre l'effet de serre. Vendredi 11 juin 2010 aura lieu l'inauguration officielle de la première unité de méthanisation agricole du Morbihan. Cette installation, portée par Jean Marc ONNO gérant l'EARL de Guernequay, est l'aboutissement de plusieurs années de travail. La démarche de ce projet de développement intégré au territoire a été soutenue, dans le cadre du Plan Eco-Energie Bretagne (Contrat de Projet Etat-Région), par l'Etat, l'ADEME et la Région Bretagne et leur partenaire le Conseil général du Morbihan.Cette initiative s'inscrit dans les objectifs du Grenelle de l'Environnement du « 3 x 20% » : -20 % de consommations, -20% de gaz à effet de serre et +20% de production d'énergies nouvelles. Elle permet de produire, selon les différentes solutions techniques mises en œuvre, de l'électricité, de la chaleur mais aussi du gaz naturel ou gaz carburant. Valorisant à la fois des matières agricoles (lisier porcin, cultures dérobées) et des sous-produits issus de l'agroalimentaire (graisses de flottation, jus de cuisson…), l'unité récemment mise en fonctionnement permet de produire à la fois de l'électricité réinjectée sur le réseau et de la chaleur directement valorisée sur place (chauffage des bâtiments de l'élevage, chauffage et vapeur pour une champignonnière en agriculture biologique, chauffage de maisons d'habitation…).
** Ce projet innovant a été réalisé avec l'appui des partenaires de l'agriculteur que sont la Chambre d'agriculture du Morbihan, Evalor et Biogas Hochreiter et a bénéficié de l'accompagnement technique du « Plan inter-régional Biogaz Agricole». Animé par AILE et financé par les directions régionales de l'ADEME, les Conseils régionaux de Bretagne et des Pays de la Loire, ce plan vise à soutenir la filière prometteuse de la méthanisation qui connaît un fort développement en Europe mais reste encore balbutiante en Bretagne et en France. [ Photo : Aile - EARL de Guernequay ]
Stefan Füle, commissaire à l'Elargissement et la poli-tique européenne de voisinage, est attendu aujourd'hui à Alger pour une visite de deux jours. Ce sera notamment l'occasion de discussions préliminaires à la réunion du Conseil d'association Algérie-Union européenne prévue le 15 juin prochain à Luxembourg. Durant ce rendez-vous, les deux parties évoqueront, notamment, la mise en œuvre de la clause de rendez-vous qui permet la révision de certaines dispositions de l'accord d'association Algérie-UE. Pour les experts, il s'agit de renégocier certaines clauses de cet Accord d'association conclu en septembre 2005 avec l'Union européenne (UE) qui, faut-il le rappeler, a été négocié pendant sept ans. Avec le recul, cinq ans après sa signature, le constat côté algérien est unanime: l'Algérie est perdante dans cette affaire. Pourquoi ? Là, les explications sont multiples. Selon les uns, l'Algérie n'était pas prête au plan économique. Selon les autres, la négociation s'est déroulée dans une conjoncture politique défavorable. L'agriculture, un atout Sans jeter la pierre aux uns ou aux autres, des économistes exposent des données réalistes pour expliquer cette situation. Pour eux, l'entreprise algérienne n'est pas au niveau des normes internationales ce qui ne lui permet pas, en général, de pénétrer le marché européen. Quant à la baisse des barrières tarifaires ou non tarifaires, elle profite logiquement aux entreprises européennes plus compétitives. Ainsi, l'ouverture du commerce aux Européens a des conséquences quasi automatiques dont notamment le déficit commercial. L'économiste Salah Mouhoubi soutenait, récemment, dans les colonnes d'un confrère qu'il faut renégocier l'accord d‘Association sur des «bases mutuellement avantageuses». Autrement dit, il faudrait obtenir un accord du type gagnant-gagnant. Pour cet économiste le nouvel accord doit «permettre une mise à niveau de l'économie nationale et surtout penser comment placer le produit agricole algérien sur le marché européen ». Au plan agricole, cela ne paraît pas impossible. L'Algérie vient de réaliser, «pour la première fois depuis 1967, les premières exportations d'orge à destination de la France », après une absence de 43 ans sur le marché international. Cela n'est pas que symbolique puisque selon le directeur de l'Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC), M. Noureddine Kahal, «l'Algérie dispose actuellement d'un excédent de deux années en orge, sans compter la production de la campagne 2009-2010''. Evidemment, l'offre algérienne de produits agricoles devra être constante, diversifiée et de qualité, pour que l'Europe lui ouvre ses frontières. Au plan des entreprises, l'Union européenne peut contribuer à leur mise à niveau, dès lors que l'Algérie s'engage réellement dans une économie productive, notent plusieurs experts algériens. Un accord asymétrique Pour le moment, on estime que l'Algérie a eu un manque à gagner de plus de 2 milliards de dollars, depuis son engagement avec l'UE, il y a cinq ans. On relève que pour un dollar exporté vers l'UE, l'Algérie importe pour vingt dollars. Une donnée extrêmement parlante. Récemment au forum de Crans Montana, le ministre des Finances Karim Djoudi soulignait que cet accord avec l'UE se traduit par un déséquilibre qu'il décrivait ainsi: «C'est moins de ressources fiscales, peu d'investissements, peu d'exportations hors hydrocarbures et une économie qui pourrait privilégier l'acte de commercer à celui de produire ». Côté algérien, on n'est ni optimiste, ni pessimiste sur l'avenir des relations Algérie-UE. On se prépare à engager cette révision de l'accord qui d'ailleurs était explicitement prévue dans la clause dite «de rendez-vous » du document signé en septembre 2005. Il faut signaler que Madame Laura Baeza, ambassadeur et chef de la délégation de l'UE à Alger, indiquait à la presse, en début d'année, que pour elle, cet accord économique et commercial est « un accord asymétrique au détriment de l'UE » ! Tout en faisant remarquer que « les produits industriels algériens ont été admis en Europe dès le début de l'entrée en vigueur de l'Accord, sans droits de douane », elle soulignait que «les produits européens faisaient l'objet d'un démantèlement tarifaire progressif pour entrer en Algérie et que ce démantèlement s'étalera jusqu'en 2017 ». Autant dire que la révision, notamment de la liste des produits commercialisables, fera l'objet de rudes négociations. L'UE exprimait aussi sa disponibilité à engager des négociations complémentaires avec l'Algérie, «comme cela s'est fait avec la plupart de ses voisins sur l'agriculture ». Mais là aussi, on s'attend à ce l'Europe mette en avant une série de critères auxquels devront être soumis les produits algériens. On ne sait pas pour le moment si la révision voulue par Alger touchera d'autres aspects que le commerce et l'économique. L'Accord d'association comporte en effet plusieurs volets: politiques économiques, commerciales, industrielles - services, douanes, transport, énergie, environnement, agriculture, pêche-et sociales-affaires sociales, société de l'information, recherche, innovation, audiovisuel, culture, et éducation. On en saura, peut-être, davantage au terme de cette visite à Alger de Stefan Füle, commissaire à l'Elargissement et la politique européenne de voisinage. Oualid Ammar, Quotidien d'Oran
L’Algérie s’oriente désormais vers l’utilisation de nouvelles ressources naturelles renouvelables, à la faveur d’un programme ambitieux pour l’exploitation et la promotion de celles-ci. Le recours, en effet à des énergies alternatives, dépasse aujourd’hui, l’aspect écologique pour devenir un choix rationnel et stratégique, en regard de la nature de ces mêmes ressources mais aussi de leur coût qui s’explique par l’importance du potentiel énergétique solaire infini que recèlent les wilayas du pays. L’introduction de cette ressource notamment dans les zones steppiques situées en dehors des champs de couverture des réseaux d’électrification rurale a sensiblement contribué à la fixation de nombreuses familles nomades près de leurs périmètres agricoles ou de pacage et suscité un intérêt tel que la demande sur ce type d’équipements d’énergie solaire ne cesse d’accroître, au niveau des régions des hauts plateaux et des zones steppiques. Ce choix pour l’éco-efficience, en fait, est soutenu par l’installation de la première usine de fabrication de panneaux solaire, de modules photovoltaïques par le groupe Sonelgaz qui entrera en vigueur en 2012, financée intégralement par la même entreprise. Ce programme ambitieux qui repose sur la fabrication locale de panneaux à l’horizon 2019, permettra une production de 150 mégawatts par an marque, à vrai dire, un nouveau départ pour la rationalisation de l’utilisation des énergies fossiles et leur remplacement par des ressources peu coûteuses et surtout durables, d’autant plus que la production de l’énergie électrique est essentiellement alimentée par du gaz naturel. Aujourd’hui, l’Algérie dotée d’un gisement solaire inépuisable, représente un atout qui lui permet de réussir le passage d’une utilisation, pour le moins, démesurée des ressources fossiles à une utilisation d’énergies propres, sachant que ses besoins énergétiques consommés sous forme de combustibles non renouvelables dépassent largement son capital solaire. Pour rappel, notre pays est doté d’un potentiel énergétique dépassant les 5 milliards de Gwh par an, avec une moyenne d’ensoleillement variant de 2.250 heures dans le nord et 3.600 heures au sud, avec des potentiels respectifs de 1.700 et 2.650 Kwh par an. El MOUDJAHID
La Maison de l’environnement de Bouira a ouvert ses portes au public samedi à la faveur de la célébration de la Journée mondiale de l’environnement. Selon ses concepteurs, cette structure est un ’’pôle référentiel tant à l’échelle locale que nationale, eu égard aux commodités dont elle dispose en matière de protection, préservation et promotion de tout ce qui a trait à l’environnement en général.’’ La Maison de l’environnement, implantée sur 5 ha dans la banlieue-Est de Bouira, est dotée d’une batterie d’antennes et de panneaux capteurs de l’énergie solaire. Elle englobe un ensemble d’espaces et de commodités destinés aux activités des jeunes et des associations, des techniques de mesures végétales et animales, un bassin aquacole, un théâtre pour enfants et un espace réservé à l’artisanat. Cette structure, inscrite à la réalisation en 2008, a vu son enveloppe réévaluée à près de 80 millions de DA. Elle fait actuellement l’objet de travaux d’aménagement extérieurs, selon le directeur de l’environnement de Bouira, qui estime son coût à son achèvement complet à près de 150 millions de DA. APS
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