Thursday, October 28, 2010
Algérie-UE
Par : Meziane Rabhi
Le groupe parlementaire d’amitié algéro-européenne installé
Le groupe parlementaire d’amitié algéro-européenne a été installé hier à l’APN, par le vice-président de l’Assemblée M. Chihab Seddik, en présence du chef de la délégation de l’Union européenne. Présidé du côté algérien par l’ancien ministre de l’Habitat, actuellement député, M. Mohamed Nadir Hamimid, le groupe comprend 33 parlementaires des deux Chambres. Du côté européen, le groupe, composé de 20 membres, est présidé par M. Salafranca José Ignacio. Le vice-président de l’Assemblée, dans son intervention, a indiqué que l’installation du groupe parlementaire d’amitié, traduit “la volonté de nos élus de développer un dialogue parlementaire avec leurs homologues européens”. “Nous ne sommes pas contents de notre coopération”, a affirmé M. Chihab Seddik, estimant que le rapprochement des élus et la multiplication des rencontres pourraient faire les dossiers. Le chef de la délégation de l’UE en Algérie, Mme Laura Baeza, elle aussi, estime qu’il est “important que les parlementaires européens et algériens qui croient que les relations entre l’Union européenne et l’Algérie s’inscrivent dans la durée, se rencontrent pour échanger leurs points de vue et se concertent pour les stimuler”, d’autant qu’avec l’entrée en vigueur du traité de Lisbonne en décembre 2009, le Parlement européen a vu ses prérogatives se renforcer. “Il est devenu un codécideur pratiquement au même niveau que le Conseil représentant les 27 États membres”, explique Mme Laura Baeza. Concernant l’accord d’association, le chef de la délégation de l’Union européenne souligne que “sa mise en œuvre avance normalement”, rappelant que le 5e Conseil d’association de juin dernier l’a passée en revue. “Comme l’a indiqué Son Excellence M. Mourad Medelci, il faut voir cet Accord comme un choix stratégique pour les deux parties”, a déclaré Mme Laura Baeza. Le chef de la délégation de l’Union européenne a ajouté que pour l’Union européenne, “l’Algérie est un voisin d’une importance stratégique, un partenaire central dans l’espace euroméditerranéen et un acteur-clé dans le partenariat de l’UE avec l’Afrique”.
L’Union Européenne affirme sa volonté de développer ses relations avec l’Algérie
Installation du groupe parlementaire algéro-européen
L’Union Européenne affirme sa volonté de développer ses relations avec l’Algérie
L’ambassadrice de l’Union européenne en Algérie, Laura Baeza a indiqué, hier, que l’application de l’accord d’association entre l’Union Européenne et l’Algérie est en bonne voie. Elle a expliqué que l’Algérie est considérée par l’UE comme état voisin qui bénéficie d’une importance stratégique et également un partenaire essentiel dans l’espace euro-méditerranéen et partenaire principal dans l’association entre l’Union Européenne et l’Afrique.
Le groupe parlementaire algéro-européen pour l’amitié a été installé dans la présence du vice président de l’Assemblée populaire nationale, M. Chihab Sedik, qui a affirmé que l’installation de ce groupe s’inscrit dans le cadre du renforcement de la diplomatie parlementaire entre les deux parties. Il a, dans ce cadre, indiqué que le groupe parlementaire pour l’amitié entre l’Algérie et l’UE participera à rapprocher d’avantage les deux parlements. Ce qui est un acquis pour l’Algérie, notamment en ce qui concerne la révision de l’accord d’association avec l’Union Européenne.
Pour rappel, avant l’installation du groupe parlementaire d’amitié entre l’Algérie et l’Union Européenne, les deux parlements algérien et européen ont ratifié un protocole d’accord parlementaire, en 2006. les deux institutions se sont engagées en vertu de ce protocole à engager une coopération étroite.
Hier au sège de l’APN : Installation du groupe parlementaire d'amitié algéro-européen
Le groupe parlementaire d'amitié algéro-européen a été installé hier à Alger en présence du vice-président de l'Assemblée populaire nationale (APN), M. Chihab Seddik, et de l'ambassadrice, chef de la délégation de l'Union européenne (UE) en Algérie, Mme Laura Baeza.
Le groupe parlementaire d'amitié algéro-européen a été installé hier à Alger en présence du vice-président de l'Assemblée populaire nationale (APN), M. Chihab Seddik, et de l'ambassadrice, chef de la délégation de l'Union européenne (UE) en Algérie, Mme Laura Baeza.
Intervenant à cette occasion, le vice-président de l'APN a indiqué que l'installation du groupe parlementaire d'amitié s'inscrit dans le cadre du "renforcement de la diplomatie parlementaire entre les deux parties" et traduit "la volonté de nos élus de développer un dialogue parlementaire avec leurs homologues européens, dont les prérogatives ont été renforcées par le Traité de Lisbonne".
Le groupe parlementaire d'amitié algéro-européen "rapprochera davantage les deux Parlements, ce qui sera d'un grand apport pour l'Algérie, notamment concernant la révision de l'Accord d'association avec l'UE", a souligné M. Chihab.
"Il y aura avec l'installation de ce groupe un rééquilibrage des relations au profit des deux parties", a-t-il ajouté.
De son côté, l'ambassadrice, chef de délégation de l'UE en Algérie, Mme Laura Baeza, a souligné que "les relations entre l'UE et l'Algérie s'inscrivent dans la durée" et, de ce fait, "il est important que les parlementaires européens et algériens se rencontrent pour échanger leurs points de vue et se concerter pour stimuler ces relations".
Le groupe parlementaire sera un cadre favorable à "la multiplication de rencontres et contacts directs rapprochant les élus et contribuant beaucoup à faire avancer les dossiers", a-t-elle dit.
S'agissant de la politique de coopération de l'UE, elle a mis en exergue le rôle du Service européen pour l'Action extérieure (SEAE), créé pour soutenir l'action internationale de Mme Catherine Ashton, Haute représentante aux Affaires étrangères.
"Cette nouvelle institution, dont nous dépendons, permettra une meilleure cohérence et coordination de l'action extérieure de l'UE, qui parlera désormais d'une seule voix et aura une plus grande visibilité", a-t-elle déclaré. Evoquant l'Accord d'association entre l'UE et l'Algérie, Mme Baeza a estimé que sa mise en oeuvre "avance normalement", rappelant qu'il a fait l'objet d'un passage en revue lors du 5ème Conseil d'association de juin dernier.
L'Algérie est pour l'UE "un voisin d'une importance stratégique, un partenaire central dans l'espace euro-méditerranéen et un acteur-clé dans le partenariat de l'UE avec l'Afrique", a-t-elle affirmé.
Un protocole-cadre de coopération parlementaire a été signé en 2006 entre les Parlements algérien et européen en vertu duquel les deux institutions s'étaient engagées à entreprendre et poursuivre une "étroite collaboration" entre elles.
Le protocole prévoit, également, de promouvoir la réalisation des valeurs et objectifs communs des deux institutions dans le double cadre de la coopération parlementaire entre l'Algérie et l'UE et de la coopération parlementaire euro-méditerranéenne, à travers, notamment, la concertation permanente, des contacts réguliers et l'organisation de rencontres périodiques. Le ministre des Affaires étrangères, M. Mourad Medelci, avait assisté à l'installation solennelle de ce groupe d'amitié au sein du Parlement européen à Strasbourg le 16 juin dernier. Le groupe parlementaire d'amitié algéro-européen est présidé du coté algérien par M. Mohamed Nadir Hamimid et comprend 33 parlementaires des deux chambres. Du côté européen, le groupe, composé de 20 membres, est présidé par M. Salafranca José Ignacio.
Midest 2010 23 PME algériennes au rendez-vous
Vingt-trois PME de sous-traitance de différentes régions d'Algérie participeront au prochain salon international de la sous-traitance "Midest 2010", prévu du 2 au 5 novembre prochain en région parisienne, a annoncé le directeur de la Bourse de sous-traitance et de
partenariat de l'Ouest (BSTPO). Dans un point de presse mercredi à Oran, Abderrahmane Bouali a indiqué que les exposants algériens occuperont un pavillon d'une superficie de 150 mètres carrés et que tous les créneaux de sous-traitance seront représentés dans ce grand rendez-vous mondial. Une journée d'information sur "l'offre de sous-traitance en Algérie" sera organisée mercredi prochain. Elle sera marquée notamment par la présentation de deux communications, l'une intitulée "la PME, facteur d'intégration économique:l'expérience algérienne" sera donnée par Amouri Brahiti, directeur de développement des PME au ministère de l'Industrie, de la Pme et de la Promotion de l'investissement. L'autre communication sur "Le partenariat dans le cadre de la politique algérienne de l'intégration nationale", sera présentée par le directeur de la BSTPO. Lors de la précédente édition, l'Algérie a fortement marqué sa présence en triplant le nombre de ses participants, passant de 8 à 30 entreprises, et en quadruplant la surface de son pavillon, passant de 50 à 200 mètres carrés. M. Bouali a expliqué cette baisse du nombre de participants par le retard dû à plusieurs facteurs dans les préparatifs. "Nous avons pratiquement commencé à travailler à partir de juin dernier, date de la confirmation de la participation algérienne à ce salon, donnée par le nouveau ministre du Commerce", a-t-il déclaré. Cette participation nationale, pour la troisième fois consécutive, est placée sous le slogan "Pour la substitution des importations par la production nationale". Les industriels nationaux auront l'opportunité de se faire connaître à l'échelle internationale, de faire découvrir les opportunités du marché algérien de la sous-traitance, tout en proposant d'établir des relations de partenariat avec des entreprises étrangères, a-t-il indiqué. Les frais de cette participation seront couverts à hauteur de 80% par le Fonds spécial pour la promotion des exportations relevant du ministère du Commerce, a-t-il ajouté. Lors de la précédente édition, l'Algérie a fortement marqué sa présence au "Midest" en triplant le nombre de ses participants passant de 8 à 30 entreprises et en quadruplant la surface de son pavillon passant de 50 à 200 m2. Un trophée d'honneur a été décerné au directeur de la BSTPO pour ses efforts à regrouper ces entreprises nationales ainsi qu'une dizaine d'hommes d'affaires du secteur. Le Midest est la plate-forme de référence de fournisseurs internationaux de sous-traitance industrielle. C'est un salon de création de partenariats et de veille technique, au service des fabricants, des équipementiers et des assembleurs, qui souhaitent rencontrer en face-à-face les fournisseurs de solutions en métallurgie, plasturgie, électronique et services à l'industrie. Face à la multiplicité des sources d'information dépersonnalisées, le salon Midest place les hommes et les femmes des entreprises au cœur des échanges pour travailler ensemble. Le salon draine 1 750 exposants en moyenne sur près de 50 000 m² d'exposition. le salon professionnel est l'occasion de rencontrer en face-à-face et sur quelques jours tous les acteurs de votre marché : prospects, clients, concurrents. Il faut savoir qu' une rencontre "Spécial Algérie", a été organisée pendant le "Midest 2009" de Paris. L'Algérie y était d'ailleurs présente avec 26 entreprises et organismes. Divers secteurs d'activités de la sous-traitance y étaient représentés, tels que la transformation des métaux à celui des plastiques/caoutchouc/composites, en passant par l'électronique/électricité, les microtechniques, les traitements de surfaces et finitions, les fixations industrielles et les services à l'industrie, etc. Il faut dire que le marché algérien de la sous-traitance est très attractif. Les bourses de sous-traitance et de partenariat STP implantées à travers le pays visent à faciliter les mises en relation entre les PME algériennes et des partenaires étrangers. La nouvelle orientation adoptée par les pouvoirs publics vise à encourager le transfert des technologies et du savoir-faire dans le cadre d'un partenariat gagnant-gagnant. Certaines entreprises algériennes ont déjà à leur actif des expériences réussies de partenariat avec plusieurs pays étrangers. Rappelons, dans ce contexte, que la première édition du salon algérien de la sous-traitance, qui s'est tenu au mois de mai dernier à Alger, a regroupé 53 entreprises algériennes et 43 étrangères. Evènement inédit en Algérie, le salon a mis en avant la sous-traitence pour accompagner le développement de ce secteur pourvoyeur d'opportunités. Ce rendez-vous d'affaires a regroupé un grand nombre d'entreprises aux activités diverses, allant de l'industrie mécanique au travail du bois en passant par les services à l'entreprise, mais relevant toutes du domaine de la sous-traitance.
K.B.
Adrar exploitation anticipée d'environ 9 600 hectares de terrains agricoles
Il est prévu dans la wilaya d'Adrar d'exploiter une superficie agricole d'environ 9 600 hectares pour la culture des différentes qualités de céréales durant la saison en cours, selon la direction des affaires agricoles. Il est entendu que cette superficie va connaître une augmentation jusqu'à 25% par rapport à la saison passée, cela grâce à la disponibilité de plusieurs facteurs comme les différentes mesures soutient attribuées au profit du secteur agricole. Durant cette saison, il est prévu de cultiver 3 500 hectares pour le blé dur et plus de 4 400 hectares pour la culture du blé tendre, ainsi que plus de 1400 hectares pour d'orge, et une superficie de plus de 250 hectares pour la culture de l'avoine. Selon la même source, il est prévu de cultiver une superficie de 7 174 hectares de légumes, dont plus de 1 350 hectares pour la culture de tomates, plus de 340 hectares pour la pomme de terre et plus de 590 hectares pour l'oignon. En ce qui concerne la culture sous serre, il est attribué une superficie de 40 hectares, en plus des 550 hectares pour les cultures industrielles et 330 hectares pour les épices et autres cultures. Le secteur agricole dans cette wilaya a réalisé la saison passée une production de 161 000 quintaux des céréales, plus de 440 000 quintaux de légumes des champs et plus de 17 500 quintaux de légumes cultivés sous serre, en plus de 3 800 quintaux de cultures industrielles et 16 600 quintaux d'avoine. Pour réussir cette saison, il est organisé plusieurs rencontres avant le début de cette saison dans le but d'informer les agricultures sur l'importance de l'utilisation des médicaments nécessaires pour protéger les plantes et des cultures, et les explications sur les procédures de soutien fourni par l'Etat afin de renforcer ce secteur.
Omar B.
Algérie : le président Bouteflika veut réhabiliter l’élite intellectuelle
Au cours d’une visite de travail et d’inspection dans la wilaya de Ouargla, le Chef de l’Etat a annoncé hier, à l’occasion de l’ouverture de l’année universitaire 2010-2011, une revalorisation salariale substantielle au profit des enseignants universitaires.Et ce n’est qu’un début !Des centaines de citoyens enthousiastes ont réservé, hier à Ouargla, un accueil chaleureux au président Abdelaziz Bouteflika qui, à son arrivée au centre-ville, a parcouru à pied une centaine de mètres sur le boulevard Si El Haouès. Sous le rythme des karakabous, des troupes folkloriques ont joué pour la circonstance des airs traditionnels ponctués par des salves de baroud. Le cortège officiel a pris ensuite la direction de l’université Kasdi Merbah. Le long du parcours, ce sont encore les mêmes scènes de joie et de liesse et la même ambiance bon enfant. Après l’hymne national écouté par une assistance debout, le recteur de l’université de Ouargla a souhaité la bienvenue au Chef de l’Etat et à la délégation qui l’accompagnait.
Il ne manquera pas également de le remercier du choix porté sur l’université Kasdi Merbah pour présider à l’ouverture officielle de l’année universitaire 2010-2011. Prenant à son tour la parole, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Rachid Harraoubia, a donné alors quelques chiffres, du reste impressionnants, sur le nombre d’étudiants inscrits dans les établissements d’Enseignement supérieur au titre de l’année universitaire 2010-2011.
Au total, ce sont 1.230.000 étudiants dont 237.543 nouveaux bacheliers qui fréquentent actuellement les universités algériennes. Des chiffres qui témoignent des efforts colossaux consentis par l’Etat dans ce domaine. Pour donner un caractère solennel à cette ouverture de l’année universitaire 2010-2011, le professeur en ressources humaines, Bouhennia Koui, a été invité à donner pour l’occasion un cours magistral sur l’économie du savoir. A l’ère du numérique, ce sujet revêt une importance primordiale tant le savoir est aujourd’hui résolument placé au cœur des stratégies économiques. Cet aspect immatériel est devenu quasiment l’approche ultime en terme de modes de gestion et de process industriels. Puis vint, enfin, le tour du Chef de l’Etat de prendre la parole sous de chaleureux applaudissements. Il rappellera d’emblée son discours prononcé l’année dernière à l’Université de Sétif où il mettait déjà en exergue la nécessité d’améliorer les conditions socioprofessionnelles des enseignants. Il annoncera à cette occasion avoir donné des instructions au Gouvernement pour concrétiser cette orientation et étudier la possibilité d’une revalorisation salariale substantielle des enseignants à travers le régime indemnitaire. S’ensuivra, bien évidement, une salve d’applaudissements des enseignants présents au premier rang dans la salle ainsi qu’une envolée de youyous stridents de la part de nombreuses étudiantes. Le Chef de l’Etat insistera ensuite sur la nécessité de poursuivre cet effort en direction de l’université en annonçant la création de 600.000 nouvelles places pédagogiques et 450.000 lits. Il est à noter qu’au cours de cette seule visite, le chef de l’Etat a inauguré à Ouargla le projet de 6.000 places pédagogiques qui comporte plusieurs amphithéâtres, des salles de conférences, une bibliothèque et un auditorium d’une capacité de 600 places. Pour les ressources en eau, le président Bouteflika a procédé, hier, également à la pose de la première pierre d’un projet de réalisation de neuf stations de déminéralisation. Ces stations sont destinées à permettre un meilleur approvisionnement en eau potable de la ville de Ouargla et ses environs. Dans le secteur de la santé, il est question d’étendre la couverture médicale spécialisée aux régions du sud afin d’éviter de grands déplacements des patients de la région vers les villes du nord.
En sus d’une clinique ophtalmologique algéro-cubaine, d’une capacité de 40 lits, la wilaya de Ouargla va être dotée, au niveau de l’hôpital Mohamed Boudiaf, d’un centre anticancer composé d’une unité d’oncologie médicale et d’une unité de radiothérapie. Ce centre est déjà exploité depuis 2008 pour ce qui concerne la chimiothérapie. Le Président de la République a officiellement inauguré, ensuite, la Cour de justice de Ouargla, un immeuble flambant neuf. Dans le domaine de l’hydraulique, et pour lutter contre le phénomène récurrent de la remontée des eaux, le Chef de l’Etat a inauguré une station d’épuration de traitement et de protection de la vallée de Ouargla.
Cette station, sise à Saïd Otba, entre dans le cadre du projet de protection de la cuvette de Ouargla. Au siège du commandement de la 4éme région militaire, le chef de l’Etat a inauguré un centre satellitaire dont on ne connaît pas exactement la consistance ni les missions. Mais, d’après nos sources, ce centre est chargé de l’exploitation et de la production des données résultant de l’analyse des images satellitaires prises dans cette vaste région en proie à de nombreux fléaux tels que la contrebande et le terrorisme, plus au sud.
Mohammed-Chérif Lachichi
Source : La V.O
Subscribe to:
Posts (Atom)