阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Tuesday, September 01, 2009

le bicentenaire de la naissance de Louis Braille



Louis Braille, né le 4 janvier 1809 à Coupvray près de Paris), mort le 6 janvier 1852, est l'inventeur du système d'écriture Braille pour personnes atteintes de cécité ou malvoyantes. Son père, Simon-René Braille, était un fabricant de selles et harnais. À l'âge de trois ans, Louis fut blessé à l'œil droit par une alêne provenant de l'atelier. La blessure s'infecta et l'infection, s'étendant à l'œil gauche, provoqua la cécité. À l'âge de dix ans, il obtint une bourse pour entrer à l'Institution Royale des Jeunes Aveugles (désormais Institut National des Jeunes Aveugles) de Paris. À l'école, les enfants apprenaient à lire sur des lettres en relief mais ne pouvaient pas écrire parce que l'impression était faite avec des lettres cousues sur du papier.
À l'âge de treize ans, il invente un système de points en relief inspiré par la visite du capitaine à la retraite Charles Barbier de la Serre qui avait imaginé un système d'écriture de nuit permettant aux militaires d'échanger les ordres silencieusement. Ce système de Barbier est basé sur douze points, tandis que celui de Braille l'est sur six; de plus, en représentant des sons à la manière de la sténographie, il était très complexe. Braille a ensuite amélioré son système pour y inclure la notation mathématique et le solfège.
Braille mourut de tuberculose. Sa dépouille fut transférée au Panthéon de Paris source Wikipédia

Google l'ONU changement climatique.




Avec le soutient de Google, l'ONU propose des cartes géographiques détaillant les zones d'émission de gaz à effet de serre afin de sensibiliser les internautes aux changements climatiques.
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La technologie au service de l’écologie. L'Organisation des Nations Unies (ONU) utilise Internet à des fins de sensibilisation. Pour cela, elle s'est alliée à Google pour créer des cartes statistiques sur les zones géographiques d'émission de gaz à effet de serre (GES), détaillant la pollution environnementale à travers le monde. La production de chaque pays est visible dans une « Google Map » mise en ligne par le secrétariat de la Convention-cadre des Nations unies sur le changement climatique (CCNUCC) . Les cartes seront intégrées dans une mashup (page composite de plusieurs applications), où l’internaute aura la possibilité d’approfondir ses recherches avec d’autres cartographies répertoriant les effets de l’urbanisme mal maîtrisé (déforestation, implantations de mines de charbon, etc.). Cette nouvelle initiative n’est pas une simple application de plus de l'entreprise de Mountain View. Les nations unies veulent en faire une référence accessible à tous. Montrer les plus gros pollueurs et les faire connaître, c’est le défi que lance l’ONU avant l’ouverture de la conférence sur les changements climatiques, en fin d’année. Les dirigeants devront alors plancher sur de nouveaux efforts à fournir, puisque le protocole de Kyoto touche bientôt à sa fin (2012). En attendant, Internet semble être un bon moyen de dénoncer les abus des mauvais élèves, qui sont en autre : la Turquie, le Canada ou encore les Etats-Unis. La France, elle, se situe à la neuvième place. Peut mieux faire… Mais pour le moment, tous ces classements sont d’ors et déjà disponibles sur la fameuse Mashup de Google. A vos loupes

3ème Conférence mondiale sur le climat





Ouverture de la 3ème Conférence mondiale sur le climat
La troisième Conférence mondiale sur le climat (CMC-3) qui a débuté lundi à Genève ( Suisse ) offre à la communauté internationale une occasion sans précédent de se mettre d'accord sur des politiques d'adaptation au climat actuel et futur.
Jusqu'au 4 septembre, quelque 1500 responsables politiques et décideurs en provenance de plus de 150 pays travailleront de concert avec des scientifiques à l'élaboration de stratégies concrètes d'adaptation à la variabilité du climat et au changement climatique. Il s'agira en particulier de définir les éléments clés constitutifs d'un cadre mondial pour les services climatologiques. Ces services permettront aux décideurs de disposer, pour les secteurs socio-économiques clefs – eau, agriculture, pêche, santé, sylviculture, transports, tourisme, énergie et gestion des risques de catastrophes – des informations dont ils ont besoin pour adopter des politiques viables face à la variabilité du climat et au changement climatique. "Jusqu'à maintenant, la fourniture d'informations sur le climat à certains secteurs s'est faite au cas par cas. Or, nous avons besoin d'une structure en bonne et due forme sur laquelle tout le monde puisse compter pour accéder à des informations indispensables pour la protection des personnes et des biens et la sauvegarde de l'économie", a déclaré M. Michel Jarraud, Secrétaire général de l'Organisation météorologique mondiale.Il s'agit de la troisième conférence mondiale sur le climat organisée par l'Organisation de météorologie mondiale (OMM). Les deux premières, qui ont eu lieu en 1979 et 1990, ont eu des répercussions considérables et ont préparé le terrain pour la prise de conscience du changement climatique et le développement des nouvelles capacités d'observation et de recherche nécessaires à la surveillance et à la compréhension du climat.