阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Friday, July 02, 2010

Algerie filière lait : réalisation prochaine d'une "ferme modèle" à Guelma



Une étude de faisabilité sera prochainement lancée pour la réalisation d'une "ferme modèle et de démonstration", dans la wilaya de Guelma, où des formations seront dispensées sur tout le processus de production du lait, a indiqué jeudi à Alger un responsable du ministère de l'Agriculture et du Développement rural. La réalisation de cette future ferme s'inscrit dans le cadre d'un projet algéro-néerlandais lancé en 2009 et destiné à l'amélioration de la filière laitière en Algérie, a expliqué le sous-directeur de la formation au ministère de l'Agriculture et du Développement rural, M. Hassen Berranen, lors d'un atelier sur cette filière. Il a fait savoir, dans ce contexte, que le personnel d'encadrement de cette ferme pilote avait bénéficié de formations spécifiques en Algérie et aux Pays-Bas. M. Berranen a indiqué, par ailleurs, que la coopération algéro-néerlandaise pourrait s'élargir dans l'avenir à d'autres filières agricoles comme la culture de la pomme de terre et l'horticulture. A cette occasion, un représentant des éleveurs a appelé à penser à l'avenir à réaliser des fermes modèles adaptées à la réalité des quelque 15.000 éleveurs algériens dont 80% ne possèdent pas de terres pour l'élevage. Pour sa part, un représentant du ministère de l'Agriculture, la Nature et la Qualité des aliments des Pays-Bas, M. Remco Schrijver, a affirmé que son pays continuerait à soutenir les autorités algériennes dans le domaine technique pour développer la filière lait en Algérie. Pour rappel, l'Office national interprofessionnel du lait (ONIL), et ses principaux partenaires (éleveurs, laiteries et collecteurs) devront axer leurs efforts pour arriver à collecter au moins 500 millions de litres de lait cru en 2010. L'Office, qui devait collecter 400 millions de litres en 2009, selon le contrat de performance signé avec le ministère de l'Agriculture et du Développement rural, n'a réalisé que 380 millions de litres, contre 200 millions en 2008 et 187 millions en 2007.R.A.

Algerie Campagne du croissant-rouge algérien pour l'accueil des émigrés



Souk ahras

Campagne du Croissant-rouge algérien pour l'accueil des émigrés



Une campagne placée sous le slogan "un été sans dangers" visant la communauté émigrée a été lancée jeudi à Souk Ahras par la section locale du Croissant-rouge algérien (CRA). Selon le directeur de cette section, cette initiative qui se poursuivra jusqu'au 30 juillet prochain, destinée aux jeunes émigrés rentrant au pays pour des vacances, à partir du poste frontalier de Heddada (40 km à l'est de Souk Ahras), donnera lieu à la présentation de tous les programmes de sensibilisation dans lesquels le CRA est partie prenante à l'exemple de la prévention des accidents de la route et des périls liés au Sida. Les éléments volontaires de la section locale du CRA seront à l'accueil des émigrés au niveau de ce poste pour mettre à leur disposition des fontaines fraîches (distributeurs d'eau potable), des équipements de premiers secours, des téléphones et des dépliants. Ces mêmes éléments du CRA seront également là, a ajouté la même source, pour présenter aux jeunes émigrés les différents sites historiques et archéologiques de l'antique Taghaste. Le même responsable a en outre fait savoir que d'autres structures et services, comme les directions des transports et des travaux publics, ainsi que la sûreté et la gendarmerie nationales, ont mis en place, au niveau de ce poste frontalier, une permanence de taxis, des ralentisseurs et une signalisation appropriée pour aider à l'orientation des visiteurs. De leur côté, les services de la protection civile ont prévu, au niveau de la localité frontalière de Heddada, des sites d'hébergement destinés à offrir un gîte aux familles qui seraient éventuellement prises de court en matière de toit pour la nuit. De son côté, le service régional de la police des frontières (PAF), basé à Souk Ahras, a préparé un programme "spécial été 2010". Dans ce sens, le chef de service régional de cette structure, a indiqué mercredi que ce programme consiste essentiellement à mobiliser tous les moyens matériels et humains de ce service dans l'optique de promouvoir la performance professionnelle. Dans l'objectif de répondre à cette tâche, tous les congés annuels des personnels des postes frontaliers ont été suspendus, de même que des commissions de suivi des mesures de transit ont été établies, en plus de l'organisation de campagnes de sensibilisation et des rencontres avec les différents services de sécurité, a-t-il encore indiqué. Les postes de contrôles frontaliers disposent, selon le même responsable, de toutes les conditions matérielles, techniques et humaines nécessaires pour s'acquitter de leur mission de contrôle "avec le maximum de professionnalisme", surtout pendant les périodes de grande affluence, en "vue d'honorer l'image de marque de l'Algérie". L'activité au niveau des postes de contrôle terrestre de l'Est, pour 2009, à travers les huit postes régionaux de la Police des frontières (PAF), s'est accrue de 13% par rapport à 2008, a ajouté M. Daoud. Ces postes affilés au service régional de police des frontières et qui ont enregistré l'entrée et la sortie de plus de 1,5 million d'Algériens et de plus de 350.000 ressortissants étrangers, en majorité des Tunisiens, sont situés notamment à Oum Teboul et Laâyoune (wilaya d'El Tarf), Lahdada et Ouled Moumène (Souk Ahras), Bouchebka, Lamridj, Btita et Ras Laâyoune (Tebessa), en plus du poste centre de contrôle frontalier implanté à l'aéroport "Cheikh Larbi Tebessi". R.R.

L’Algérie veut devenir leader de la capture de carbone


Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES
Vendredi 2 juillet 2010
Après BP et Statoil à In Salah, Total et Gaz de France, en partenariat avec Sonatrach, envisagent la mise en œuvre des technologies de séquestration de CO2 dans les gisements de gaz de Timimoun, Ahmet et Touat, situés au sud-ouest de l’Algérie. Problème : la séquestration de carbone n’est pas encore intégrée au Mécanisme de développement propre.
L’Algérie veut s’imposer comme le leader mondial de la capture de carbone et son stockage dans les gisements de gaz. Considérée comme pionnière dans la mise en œuvre de la séquestration de CO2, elle envisage, via les projets de Sonatrach et de ses partenaires étrangers, de démontrer au monde entier la fiabilité de la technique.
« Il faudra prouver la fiabilité de cette technologie et sensibiliser l’opinion publique sur l’absence de risque de fuite du CO2 dans l’air. »
En effet, les gisements de gaz d’In Salah sont parmi les rares dans le monde à utiliser cette technologie. Le CO2 enfoui dans les couches profondes des gisements, au lieu d’être rejeté dans l’atmosphère permet une réduction des émissions de gaz à effet de serre.
« Durant les quinze ans d’exploitation en partenariat Sonatrach-BP et Statoil, les champs permettront de capturer et d’injecter 20 millions de tonnes de C02, soit de quoi réduire l’équivalent des émissions de gaz à effet de serre de 200 000 voitures circulant à une moyenne de 30 000 kilomètres par an », a indiqué le ministre de l’Énergie, Youcef Yousfi. L’expérience sera élargie à d’autres gisements. Sonatrach compte appliquer cette technologie dans les champs de gaz de Rhourde Nouss et Gassi Touil. Dans un contexte de baisse des investissements environnementaux des entreprises dans le monde, Total et Gaz de France comptent la mettre en œuvre, respectivement dans les champs de Timimoun, Ahmet et Touat. Ces gisements ciblés représentent 20% des capacités d’exportation de gaz de l’Algérie à moyen terme.
Les CCS exclues du marché carbone
Fort de cette avancée, l’Algérie a organisé début juin, le second symposium international sur la capture de carbone et son stockage (CCS), conjointement avec le forum international de l’énergie IEF. Au cours de ce conclave, elle a réaffirmé son engagement en faveur de la généralisation des technologies de séquestration de carbone et pour leur éligibilité au Mécanisme de développement propre et, partant, au marché international du carbone. De fait, ce marché exclut les projets CCS et privilégie les projets d’utilisation des énergies renouvelables.
« Il faudra prouver la fiabilité de cette technologie et sensibiliser l’opinion publique sur l’absence de risque de fuite du CO2 dans l’air », souligne M. Hamid Dahmani, conseiller au Ministère de l’énergie.
L’argent du carbone pour financer l’énergie renouvelable
L’enjeu est la monétisation des quantités de CO2 injectées dans les gisements. Une tonne de carbone peut coûter, sur le marché international, entre 10 et 20 euros. De l’argent qui pourrait être utilisé dans le développement des énergies renouvelables dans les pays en développement, notamment les pays producteurs d’hydrocarbures en Afrique.
L’Algérie fournit également des efforts dans la réduction des torchages de gaz. En moyenne, 90% de ses gisements ont éliminé le torchage de gaz. En perspective, le projet de gazoduc transsaharien reliant le Nigeria à l’Europe via le Niger et l’Algérie, qui permettra suivant la feuille de route initiale de réduire le torchage de gaz pour l’équivalent de 200 000 barils équivalent pétrole.
Tous ces efforts de réduction de gaz à effet de serre pourraient être monétisés. Les pays d’Afrique, qui ne contribuent qu’à une part infime des émissions de CO2 (4%), ne sont contraints par aucune obligation (le rapport d’émissions de CO2 des pays d’Afrique est de 1 à 20 par rapport aux pays développés). Leur apport peut donc être non négligeable dans la lutte contre les changements climatiques.
Paradoxe, en dépit de tous ces efforts, l’Algérie, contrairement à la Tunisie, n’a encore soumis aucun projet aux Nations Unies dans le cadre du Mécanisme de développement propre (CDM).
Les Afriques - 25/06/2010

Algerie la télévision nationale terrestre bientôt opérationnelle dans 6 wilayas de l’Est



Le Ministre de la communication à Constantine
La télévision nationale terrestre bientôt opérationnelle dans 6 wilayas de l’Est
Par : B. SouheÏla

Le ministre de la Communication, M. Nacer Mehel, était en visite d’inspection, hier, à Constantine, au cours de laquelle il s’est rendu sur le site du nouveau centre de télédiffusion à Kaf Lakhal, sur les hauteurs de djebel El-Ouahch. “Les premiers essais de la diffusion des 6 chaînes sont prévus à partir de ce mois”, a affirmé, hier, M. Tamalous, directeur de la radio régionale, en marge de la visite du ministre de la Communication. Ce centre assure, en effet, une couverture pour les wilayas de Constantine, Mila, Oum El-Bouaghi, Guelma, Skikda et Khenchela. Les chaînes concernées sont Canal Algérie, Algérie 3, programme national, la Chaîne amazigh, la chaîne du coran et une chaîne locale qui serra lancée prochainement. Pour la réception de ces chaînes, des spécialistes ont précisé que les citoyens doivent avoir un décodeur et une antenne. Concernant la télévision numérique terrestre qui, faut-il le souligner, accuse du retard et dont le développement est désormais dévolu à TDA (Télédiffusion d’Algérie), celle-ci est nécessaire pour la diffusion des programmes des futurs pôles de télévision régionaux, a indiqué M. Nacer Mehel. Avant de rallier la wilaya d’El-Tarf, le ministre a effectué une visite éclair à la société d’impression de l’Est, située à la zone industrielle de Boumerzoug. Ce dernier a expliqué qu’une réflexion est engagée de concert avec les éditeurs privés en vue de dépasser les difficultés actuelles en matière de diffusion de journaux et de mettre un frein à certaines pratiques déloyales constatées dans ce domaine.

Algerie création de 450 bibliothèques publiques à l’horizon 2014



JOURNÉE D’ETUDE PORTANT SUR LE DÉVELOPPEMENT DES STRUCTURES BIBLIOTHÉCAIRES
Création de 450 bibliothèques publiques à l’horizon 2014
Par : Sara Kharfi


Cette journée d’étude a été organisée dans le but de donner un aperçu sur la vaste opération de la relance de la lecture publique, et de débattre des outils et autres moyens pouvant assurer le développement des structures bibliothécaires.
“Des 118 milliards de DA consacrés par l’État au secteur de la culture, 32 milliards sont consacrés à la lecture publique, ce qui équivaut à 30% du portefeuille financier”, a-t-on appris, hier matin, lors de la journée d’étude portant sur la gestion des bibliothèques publiques et le développement des structures bibliothécaires, organisée par le ministère de la Culture à l’hôtel Safir Mazafran de Zéralda, et à laquelle les directeurs de la culture et des maisons de culture de toutes les wilayas du pays ont été conviés. Cette journée d’étude a été organisée dans le but de donner un aperçu sur la vaste opération de la relance de la lecture publique, et de débattre des outils et autres moyens pouvant assurer le développement des structures bibliothécaires. Le but majeur étant de réconcilier le citoyen avec la lecture et de transformer l’espace public des bibliothèques en un lieu de savoir et de culture. Khalida Toumi, ministre de la Culture, a rappelé que, depuis 2005, son secteur a travaillé en collaboration avec le ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales, afin de créer une centaine de bibliothèques, selon un cahier des charges.Concrètement, la wilaya de Médéa compte actuellement 70 bibliothèques publiques, Adrar dispose aujourd’hui de 23 bibliothèques et Sidi Bel Abbès a atteint le nombre de 46. “J’espère que le cahier des charges, élaboré selon les standards universels de l’Unesco, a été respecté. Cette année, nous avons également envoyé des directeurs de la culture en Espagne pour une formation en ce sens”, a-t-elle déclaré. Mme Toumi est revenue brièvement sur les accomplissements de son secteur dans la création de bibliothèques publiques, en révélant que les statuts ont été crées en 2007.L’application s’est concrétisée par un organigramme et une classification. L’oratrice a estimé que “la bibliothèque publique que nous voulons fonder doit offrir ses services gratuitement et sans distinction aucune. C’est un service public. Aux États-Unis par exemple, tout est privatisé sauf la bibliothèque, elle est publique. Ainsi, les Américains assurent un smig culturel pour leurs enfants, et réussissent à contrôler ce que ces enfants lisent”. Les bibliothèques publiques dépasseront le nombre de 450 à l’horizon 2014 mais doivent avant tout, promouvoir la production nationale. “Nous devons encourager les éditeurs nationaux dont le nombre a atteint les 200 maisons d’édition. Il faut aussi encourager l’imprimeur national et nos écrivains”, a-t-elle appuyé. D’ailleurs, dès septembre, une banque d’informations qui rassemble tous les éditeurs algériens et leurs productions livresques seront disponibles. Car après la construction des bibliothèques et suite au recensement des fonds réalisé par les services du ministère au niveau de toutes les wilayas du pays, la nouvelle phase est la manière de créer des fonds documentaires. Rachid Hadj-Nacer, directeur du livre et de la lecture publique, a dévoilé que l’état des lieux réalisé en 2005 a été exhaustif, puisqu’il a été remarqué que “les équipements étaient délabrés, les fonds documentaires insuffisants, les bâtisses hors-normes et les personnes qui travaillent dans les bibliothèques peu qualifiées et peu nombreuses”. “Nous avons remarqué que les ouvrages sur l’Algérie étaient inexistants, les ouvrages scientifiques trop pointus et l’acquisition des ouvrages se fait souvent auprès du même fournisseur”, a-t-il ajouté. Par ailleurs, le festival “La Lecture en fête”, qui s’est déjà tenue dans six wilayas du pays, sera organisée dans toute l’Algérie à partir de 2011, d’autant qu’actuellement 22 wilayas disposent de bibliobus.

L’Algérie veut renforcer la coopération spatiale et nucléaire avec la Russie



En moins de trois mois, le ministre russe de l’Energie, Serguei Chmatko, a visité deux fois l’Algérie. Mercredi, il était à Alger pour coprésider avec Karim Djoudi, ministre des Finances, la 4e session du comité mixte de coopération algéro-russe.
Ce comité, assez important, doit donner corps à l’Accord de partenariat stratégique signé en 2001 après la visite du président Abdelaziz Bouteflika à Moscou. Les deux pays veulent renforcer leur coopération dans les domaines de l’exploration minière, des ressources en eau, des transports et des travaux publics. Mais deux accords paraissent avoir plus d’importance que les autres. Il s’agit d’abord, de celui relatif au nucléaire civil. Cet accord a été évoqué lors de la visite à Alger du président Vladmir Poutine, en 2006. Victor Khristenko, ministre russe de l’Industrie, est venu à Alger pour annoncer le début des contacts entre les experts des deux pays pour étudier les possibilités de coopération bilatérale dans le domaine nucléaire. Voulant profiter de sa relation traditionnelle avec l’Algérie, Moscou n’entend pas rester dans le fond de la salle pour arracher des contrats lorsqu’Alger lancera son programme stratégique de construction de centrales atomiques pour la production, à terme, d’énergie électrique. Alger, dans un souci de diversification, a signé plusieurs accords sur l’utilisation pacifique du nucléaire avec l’Argentine, les Etats-Unis, la France et la Chine. Depuis 1995, l’Algérie dispose de deux réacteurs nucléaires expérimentaux à Draria et à Aïn Oussera. La Russie, autant que la Chine et l’Argentine, ont aidé l’Algérie à se doter de ces deux réacteurs. Des programmes de formation ont été assurés pour les techniciens et les ingénieurs.
Ambitieux programmes
Contrairement à la France, la Russie n’est pas intéressée par l’exploration et l’exploitation des gisements d’uranium algériens. L’Algérie souhaite s’appuyer sur l’expérience russe dans le domaine de l’utilisation de l’énergie atomique pour, entre autres, développer l’agriculture, moderniser la santé et optimiser l’exploitation des ressources en eau. Autre accord important : la coopération spatiale. L’Algérie est déjà liée avec l’Agence russe Roskosmos depuis huit ans. Alsat 1, premier satellite algérien, a été lancé en 2002 grâce à une assistance russe et britannique. Ce satllite sert à prévenir les catastrophes naturelles. Avec le soutien de EADS Astrium, filiale de l’européen EADS, l’Algérie a engagé le programme Alsat 2A et 2B. Alsat 2A devrait être lancé cette année. L’Algérie, qui a signé un accord spatial avec les Etats-Unis, entend mettre en place une industrie spatiale. A cet effet, des fonds publics, estimés à 82 milliards de dinars, ont été engagés. Le pays est aidé actuellement par l’Organisation indienne de recherche spatiale pour la construction de satellites. Des satellites destinés, entre autres, à appuyer les efforts de protection de l’environnement, à renforcer la lutte contre l’avancée du désert et à perfectionner les communications. Hamid Bessalah, ex-ministre de la Poste et des Technologies de l’information, avait évoqué, il y a quelques mois, la mise en route d’un plan prévoyant la conception et la réalisation de systèmes spatiaux d’observation de la Terre. Un plan qui viendra en appoint d’un système spatial de télécommunications baptisé Alcomsat-1.
Ces ambitieux programmes ont amené le Bureau des affaires spatiales de l’ONU à établir à Alger une antenne d’appui régional à la gestion des catastrophes et aux interventions d’urgence. La visite du président Dmitri Medvedev en octobre prochain à Alger devra être l’occasion de signer les accords nucléaire et spatial. Après l’Egypte et la Syrie, l’Algérie sera le troisième pays arabe visité par le président Medvedev et le cinquième africain après la Namibie, l’Angola, le Nigeria et l’Egypte. La Russie entend jouer les premiers rôles en Afrique et dans le monde arabe. Au moment où Serguei Chmatko se trouvait à Alger, Sergueï Lavrov, ministre russe des Affaires étrangères, était au Caire pour tenter de relancer les négociations palestino-israéliennes. Alger, Le Caire et Damas sont considérés comme les principaux alliés stratégiques. « Les positions de la Russie et de l’Algérie envers les principaux problèmes internationaux et régionaux sont très proches, quand elles ne coïncident pas », avait déclaré à Alger Vladimir Poutine. Sur le plan militaire, la Russie se dit prête à moderniser les sous-marins de l’armée algérienne. Ces sous-marins de type Varchavianka doivent en grande partie être révisés pour être opérationnels. Actuellement, l’Inde, la Chine, l’Algérie, le Vietnam et le Venezuela sont les principaux importateurs d’armements russes. L’Algérie et la Russie sont les principaux fournisseurs de gaz de l’Europe. Ils entendant coordonner davantage leur action future. La Russie est un acteur-clé du Forum des pays exportateurs de gaz (FPEG) qui contrôle 73% des réserves mondiales de gaz. La naissance officielle de ce forum a été annoncée à Moscou en 2008.
source: Elwatan

Alger le projet de construction de la nouvelle université de Bouzaréah lancé prochainement



L'université de Bouzaréah a été créée suite au décret présidentiel du 22 octobre 2009. Elle est composée, notamment, de deux facultés et d'un institut. Aussi, le recteur de cette université, le Pr Abdelkader Henni , a annoncé qu'en terme d'infrastructures le projet de construction du nouvel édifice devant abriter les locaux de l'université de Bouzaréah, qui sera lancé prochainement, permettra de rassembler les différentes structures de l'université dans un seul lieu,. "Actuellement, les départements de notre université sont éparpillés. Ce qui explique les difficultés rencontrées dans la gestion. Le nouveau projet de 8000 places pédagogiques permettra de rassembler les différentes structures de l'université de Bouzaréah dans un même lieu", a précisé le Pr. Henni, dans un entretien à l'APS. Il s'agit de la faculté des lettres et des langues composée des départements, de la langue arabe, d'interprétariat (français, anglais, espagnol, allemand, italien et russe), ainsi que de la faculté des sciences sociales et humaines, composée des départements, de psychologie et des sciences de l'éducation et de l'orthophonie, de sociologie, de l'histoire, de bibliothéconomie et de l'institut d'archéologie. Les départements d'interprétariat et de la langue arabe, selon le Pr. Henni, sont domiciliés au niveau de l'université d'Alger et celui d'archéologie au niveau de Sidi Abdellah. "Nous allons œuvrer, dès la réalisation du nouveau projet, pour les transférer au niveau de l'université de Bouzaréah", a-t-il affirmé. "Une fois l'ensemble des facultés et instituts dépendants de l'université de Bouzaréah rassemblés dans le même lieu, nous trouverons certainement des facilités dans la gestion", a-t-il ajouté. Il a expliqué, à ce sujet, que "les contrôles pourront être effectués d'une manière permanente et continue". "Nous considérons que la communication est un facteur essentiel dans la gestion", a-t-il estimé, affirmant que cette nouvelle université qui est au stade de projet, "facilitera le contact entre les responsables des facultés, des départements et des instituts composant l'université". Tout en soulignant qu'un bloc entier sera réservé aux différents laboratoires et aux deux bibliothèques prévues dans ce projet, le recteur a affirmé que cette situation facilitera, encore, l'organisation des différentes activités culturelles et scientifiques de l'université "au profit des différentes parties, les étudiants en premier lieu". L'université de Bouzaréah compte, actuellement, près de 34000 étudiants en graduation, 3600 autres en post-graduation, 988 professeurs et 789 employés. Ces chiffres sont appelés à augmenter, lors de la prochaine rentrée universitaire, a indiqué le Pr. Henni qui a évoqué un autre plan de recrutement pour l'année 2010-2011. L'université de Bouzaréah organise plusieurs colloques et rencontres scientifiques et culturelles, dont le séminaire sur "la philosophie et les questions de l'heure", une journée d'étude sur les accidents de la route, en coordination avec l'Institut d'ergonomie et le ministère du Transport, ainsi qu'une rencontre en collaboration avec le Centre national de développement de la langue amazighe, sur la sémantique de la deuxième langue nationale. Elle compte, a affirmé le Pr. Henni, organiser des rencontres internationales sur les thèmes de "la violence dans la société" et du "fléau de la drogue". Le recteur de l'université de Bouzaréah a expliqué, dans le même cadre, que sa démarche a, pour objectif, de "pousser l'étudiant à s'impliquer dans le processus universitaire de production de connaissances". "C'est à l'université d'avoir une influence sur la société et non pas le contraire", a-t-il estimé. C'est ainsi qu'il a indiqué que "les responsables de l'université de Bouzaréah travaillent, actuellement, sur la réorganisation de ses structures de recherche scientifique", de manière, a-t-il dit, à transformer cet espace en un centre utile à la société. "L'Etat a énormément investi pour la prise en charge des besoins des étudiants, notamment, en matière d'infrastructures universitaires", a relevé le Pr. Henni, insistant sur "la nécessité de transformer cet espace en un lieu de production de connaissances utiles au développement du pays".Le recteur de l'université de Bouzaréah a soulevé, par ailleurs, le problème des commerces ouverts à l'intérieur de l'enceinte de l'université. Il a expliqué les raisons ayant dicté sa décision de les fermer, par le fait que "des individus étrangers à l'université exploitent les biens de la collectivité à des fins personnelles". Il a cité, dans ce cadre, le cas d'un commerçant qui a recouru à la justice après avoir été notifié de la décision de fermeture de son commerce. "Les contrats signés avec ces commerçants sont illégaux, du fait que seul le recteur est en mesure de traiter ces cas, en plus les contrats de location de dix ans sont contraires à la réglementation en vigueur", a-t-il argué.R.R.

Mr le Président Nicolas Sarkozy J’ai essayé de bouger l’Europe » a-t-il confié, mais « l’Europe m’a changé ».


La Belgique prend la présidence de l'UE Youtube BFMTV

http://www.youtube.com/watch?v=Rt6Ep_l9U_I&feature=channel
Le Royaume de Belgique (Koninkrijk België en néerlandais, Königreich Belgien en allemand), est un État fédéral d’Europe de l’Ouest. Il est un membre fondateur de l'Union européenne dont il accueille les principales institutions (le conseil européen, le Conseil de l'Union européenne et la commission européenne), ainsi que celles d'autres organisations internationales comme l'OTAN, Eurocontrol ou les ACP. La Belgique couvre une superficie de 30 528 km2 avec une population d'environ dix millions et demi d'habitants. Sa capitale est Bruxelles.
La Belgique est entourée par les Pays-Bas, l’Allemagne, le Luxembourg, la France et la mer du Nord. Elle s’étire sur une distance de 318 kilomètres entre La Panne et Arlon. Son relief est peu élevé : il s'étage graduellement vers le sud-est pour culminer à 694 m au signal de Botrange.

Mr le Président Nicolas Sarkozy, premier chef d’Etat Européen au chevet d’Haïti


Au-delà du symbole, c’est une visite historique – la première d’un chef d’Etat français depuis 1804 – que Mr le président Nicolas Sarkozy effectue aujourd’hui (mercredi) en Haïti et à Port-au-Prince, sa capitale dévastée par le séisme ne pas oublier ?

La Turquie consolide ses liens avec l'Union européenne


Zaman
Le 30 juin, au dernier jour de sa présidence tournante de l'Union européenne, le gouvernement espagnol a ouvert un nouveau chapitre de négociations avec la Turquie, prélude à l'éventuelle intégration européenne de celle-ci. Ces négociations sur la sécurité alimentaire et vétérinaire indiquent deux choses, juge le quotidien d'Istanbul : "L'UE veut étroitement s'associer la Turquie et la Turquie reste désireuse de progresser sur le chemin européen." Il loue les efforts de Madrid pour faire avancer le dossier

Turquie Europe chapitre négociations Ankara



Fenêtre sur l'Europe]Ouverture d’un nouveau chapitre dans les négociations d'adhésion avec Ankara
La Turquie a fait un (petit) pas en avant vers son adhésion à l'UE avec l'ouverture, le 30 juin, d’un chapitre de plus dans ses négociations.
Pour son dernier jour à la présidence de l'UE, l’Espagne, en coopération avec la Commission et les États membres, a finalisé la position de l’Union pour le lancement des pourparlers sur le chapitre de la sécurité alimentaire et la politique vétérinaire et sanitaire. Depuis le début des négociations d'adhésion, en octobre 2005, Ankara n’a réussi à fermer qu’un seul des 33 chapitres (science et recherche).