阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Sunday, November 02, 2008

Consultant Blog Wikipédia


Climat Science Science- Fiction





Climat : "Séparer la science de la science-fiction"
(src : Royal Society)
L'Académie des Sciences britannique (Royal Society) se lance dans une étude des solutions de géo-ingénierie, ou comment utiliser la technolgie pour lutter contre le réchauffement en agissant directement sur le climat.
L'étude se penchera sur une série de propositions plus ou moins fantasques, de l'aveu même de l'organisme royal, pour évaluer leur faisabilité en fonction de leurs impacts sociaux et environnementaux.
Le président du groupe de travail, John Sheperd, admet en effet que "certaines de ces propositions peuvent sembler fantastiques, et pourraient confirmer qu'elles le sont. Notre étude vise à séparer la science de la science-fiction, et à offrir des recommandations concernant les options qui méritent d'être sérieusement examinées."
Parmi ces solutions proposées pour atténuer le réchauffement climatique, des scientifiques proposent de placer des miroirs géants dans l'espace pour détourner de la Terre une partie de la lumière du soleil. D'autres suggèrent de libérer de minuscules particules dans la haute atmosphère pour réduire là aussi la quantité d'énergie solaire qui atteint la surface de la Terre. Ou encore de fertiliser les océans à l'aide de nutriments tels que le fer. Ceci afin d'augmenter la population de phytoplancton, qui absorbe le carbone de l'atmosphère.
"Nous avons besoin de déterminer si l'une de ces options pourrait nous éviter les changements les plus dangereux pour notre climat, et de comprendre pleinement quels autres impacts ils pourraient avoir", ajoute John Shepherd. "Quelles que soient les solutions que la technologie nous offre dans le futur, il est clair que notre besoin de réduire nos émissions de gaz à effet de serre dans l'atmosphère est plus urgent que jamais", prévient-il.
Le rapport de la Royal Society est attendu pour le milieu de l'année prochaine. En attendant, elle recherche des chercheurs, des responsables politiques, des industriels ou toute autre personne concernée pour contribuer à l'étude. Les candidatures sont ouvertes jusqu'au 11 décembre.
SCIENCE
SCIENCE-FICTION
GEO-INGENIERIE
ROYAL SOCIETY

Solaire Energie Maroc

















Du solaire pour un village isolé du sud marocain
(src : CP - Conergy)
Conergy France, Désertours et l'association Enfants du désert ont permis à un village reculé du grand sud marocain d'avoir accès à l'électricité, grâce à l'installation de panneaux solaires.
Le village de Merzouga est un village reculé du grand sud marocain. "Dans ce paysage désertique et oublié comme dans l’immense majorité des régions arides d’Afrique, l’électricité n’est pas parvenue", explique Conergy dans un communiqué." Pourtant, la région est gorgée de soleil, jusqu’à provoquer des sècheresses. Dans ce contexte, le solaire photovoltaïque est une solution de bon sens"
Le partenariat entre Conergy et l'association Enfants du désert vise, à terme, à équiper les villages et écoles de cette région qui n'ont pas encore accès à l'électricité.
Les habitations de Merzouga seront alimentées grâce à cinq kits solaires autonomes, comprenant deux modules photovoltaïques de 30Wc (facilement manipulables et librement disposables, précise Conergy), leur structure de montage, un régulateur, une batterie et des ampoules basse consommation.
Installés en moins d’une journée, ces systèmes serviront principalement à éclairer l’intérieur des habitations. "Lors de l’installation, de nombreux habitants ont pu découvrir pour la première fois de leur vie la lumière artificielle", raconte Conergy.
« La technologie solaire est une aubaine historique dont tout le monde doit pouvoir profiter », affirme Lorraine Vinarcy, chargée du projet pour l’entreprise. « Conergy s’attache à fournir à quiconque les moyens de capter l’énergie solaire, d’autant plus si elle est la seule énergie disponible.»
SOLAIRE
MAROC
CONERGY

Belgique Energie Europe





La Belgique veut un gendarme européen de l'énergie
(src : RTL.be, La Vie Financière, Ouest France)
Le ministre belge en charge de l'Energie et de l'Environnement a une nouvelle fois plaidé pour un contrôle des prix de l'énergie, cette fois au niveau européen.
Pour faire face aux fortes hausses des tarifs survenus ces derniers mois dans le royaume, le ministre Paul Magnette réclame une "réglementation européenne" pour éviter ces augmentations qu'il juge "artificielles."
Lors de la 5ème conférence annelle sur l'énergie, organisée par 'Friends of Europe', le ministre s'est plaint de l'impuissance de petits pays comme la Belgique face à de grosses compagnies. En ligne de mire, GDF Suez, qu'il accuse à demi-mots pratiquer le chantage : "A chaque fois que je mets en place des mesures, je reçois des menaces de fermeture, de black-out, de détournement d'énergie", a dénoncé le ministre.
C'est donc à l'Europe qu'il s'est adressé, réclamant la mise en place d'un "gendarme europeén" pour contrôler les prix.
Suite à ces annonces, le titre GDF Suez a chûté de 6,7%, à 33 euros. Le 9 octobre dernier, l'action GDF Suez avait également dévissé à la suite des déclarations du ministre, qui exprimait sa volonté de plafonner les prix de l'énergie en Belgique, pour une période transitoire de 3 ans.

BELGIQUE
PAUL MAGNETTE
UE
GDF SUEZ

Multimédia Serveur Web Google





Multimédia
Le serveur Web de Google poursuit Apache et Microsoft IIS
ZDNet.fr 31.10.2008 00:00
Google poursuit sa conquête de l'Internet, y compris au niveau des rouages mêmes des sites. Son serveur web maison progresse rapidement sur le marché, occupant désormais la troisième position derrière IIS (Internet Information Services) de Microsoft et Apache.
Sur un total de 182 millions de sites, le serveur de Google en fait tourner environ 10,5 millions dans le monde à la fin octobre, soit 411 000 de plus qu'en septembre, selon les statistiques de Netcraft, qui étudie les logiciels utilisés pour l'hébergement de pages web.
Apache est utilisé pour 91,5 millions de sites, contre 62,8 millions pour Microsoft IIS. C'est toutefois Apache, et non Google, qui marque la plus forte progression en septembre, avec 463 000 sites supplémentaires.
Google accapare 5,7% de parts de marché, indique NetCraft. Mais le chiffre atteint 10,5% si l'on prend en compte uniquement les sites dits actifs, en écartant les pages dépourvues d'un réel contenu.
La nature même du serveur web de Google est inconnue, l'entreprise indiquant seulement qu'il s'agit d'« une création maison basée sur Linux ». Le serveur web de Google héberge ses propres sites et applications web, dont la plate-forme Blogger et les Google Apps.
La progression du serveur web de Google, face à Apache et Microsoft IIS. (Crédit photo : Netcraft)Pour en savoir plus :Etats-Unis : Google pactise avec auteurs et éditeurs pour 125 millions de dollarsGoogle, Yahoo et Microsoft s’accordent pour protéger les droits de l’Homme Google veut généraliser la pub dans les jeux vidéoPublicité : l'application de l'accord Yahoo-Google retardée
Béatrice Gay, ZDNet France

Algerie Afrique






L’Algérie réaffirme ses racines africaines

L’Algérie a adhéré à l’Union pour la Méditerranée mais reste profondément attachée à son identité africaine selon Abdelkader Messahel.dimanche 2 novembre 2008.
L’adhésion de l’Algérie à l’Union pour la Méditerranée (UPM), lancée en juillet dernier à Paris, ne remet en aucun cas en cause son « appartenance éternelle » au continent africain, a affirmé, vendredi à Midrand (Afrique du Sud), le ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, M. Abdelkader Messahel, à la veille de la réunion de Marseille à laquelle va participer l’Algérie. « L’Algérie appartient à l’espace africain, mais aussi à l’espace maghrébin et méditerranéen, donc la pollution de la Méditerranée est un problème qui nous concerne tous », a souligné M. Messahel lors d’un point de presse animé à l’issue de la présentation du rapport du Mécanisme africain d’évaluation par les pairs sur l’Algérie devant le Parlement panafricain. La réunion des ministres des Affaires étrangères de l’UPM, prévue les 3 et 4 novembre à Marseille et devant accueillir 42 Etats dont les 27 de l’Union européenne et Israël, risque toutefois de se terminer plus tôt que prévu. Le groupe arabe siégeant dans cet espace créé en juillet dernier à l’initiative du président français Nicolas Sarkozy n’a pas apprécié le fait que Tel-Aviv oppose son veto à une éventuelle participation de la Ligue arabe aux assises de l’UPM.
Pour Tel-Aviv, il n’est pas question que l’organisation panarabe prenne part aux assises de l’Union pour la Méditerranée, ce qui a inéluctablement provoqué l’ire des capitales arabes, notamment celles méditerranéennes. S’il est prématuré de prévoir des absents, la Tunisie, quoique présente à Marseille a déjà laissé entendre qu’elle n’est plus intéressée d’abriter le siège du secrétariat général de l’UPM. « La Tunisie sera présente à la rencontre ministérielle des 3 et 4 novembre à Marseille sur l’Union pour la Méditerranée, mais ne serait plus intéressée pour accueillir le siège de son secrétariat général », selon une source médiatique gouvernementale à Tunis. Une manière pour les Tunisiens d’afficher leur désaveu, voire une reconsidération de leur appartenance à l’UPM, de l’avis des observateurs de la scène politique arabe. Les analystes n’omettent pas de souligner le jeu trouble d’Israël, qui, en opposant ce veto, conforte ainsi la position de la Ligue arabe selon laquelle l’UPM n’est pas et ne sera pas l’espace naturel des Etats arabes méditerranéens. L’Union africaine s’inscrivant aussi sur la même longueur d’onde que la Ligue arabe, n’a pas caché non plus son hostilité envers cet espace.
Synthèse de Mourad, www.algerie-dz.com D’après le Jeune Indépendant
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