阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Tuesday, January 11, 2011

Tunisie youtube 2011 france 24

Haïti 2010 - 2011 youtube



Björk youtube


Björk Guðmundsdóttir ([ˈpjœr̥k ˈkvʏðmʏntsˌtoʊhtɪr]) est une musicienne, chanteuse, compositrice et actrice islandaise, née le 21 novembre 1965 à Reykjavík.

Il est difficile de la faire entrer dans une catégorie musicale précise : électro-pop, pop underground, pop expérimentale, trip-hop ou indépendant sont autant de qualificatifs qui peuvent lui être attribués. Sa musique est, de son propre aveu, profondément ancrée dans la pop, mais Björk a su en repousser les limites

l'Islande économie 2011 s'enfonce dans la récession


Le FMI débloque une nouvelle tranche d'aide à l'Islande
LEMONDE.FR 10.01.11 22h06

Le Fonds monétaire international a annoncé lundi 10 janvier avoir débloqué la cinquième tranche de son prêt à l'Islande, pour un montant de 160 millions de dollars, un mois après la signature d'un accord réglant le litige international qui concernait la banque en faillite Icesave.

L'institution a indiqué dans un communiqué que son conseil d'administration avait approuvé le versement de cette somme. Elle portera à 1,49 milliard de dollars, sur les 2,13 milliards de dollars prévus, les montants touchés par Reykjavik.

UN DIFFÉREND QUI A RETARDÉ L'AIDE DU FMI

L'Islande avait obtenu ce prêt en novembre 2008, au plus fort de la crise financière, pour éviter que son économie ne sombre avec des banques ruinées. Au troisième trimestre 2010, celle-ci a renoué avec la croissance après sept trimestres de recul du produit intérieur brut. Le versement de l'aide du FMI a pris beaucoup de retard en raison d'un différend avec les Pays-Bas et le Royaume-Uni, concernant l'indemnisation des clients britanniques et néerlandais d'une banque islandaise, Icesave, qui avait été prise en charge par Londres et La Haye.

Après de multiples rebondissements et tractations, les trois pays ont fini par trouver un accord en décembre pour que l'Islande rembourse entre 2016 et 2046. Mais l'histoire pourrait ne pas s'arrêter là : l'accord doit encore être approuvé par le gouvernement, le Parlement et surtout le président islandais, opposant farouche à un précédent règlement qui paraissait plus favorable à l'Islande.
Le versement du prêt du FMI est désormais prévu jusqu'en août.

AFP

UN CRASH BOURSIER EN PREPARATION Mr Lyndon LaRouche 2011


Selon certains économistes dont Lyndon LaRouche , l’économie américaine serait à bout de souffle, ce qui en soit ne semble pas une nouveauté. Toujours selon les analystes si 2006 a été l'année du déclenchement de la crise, 2007 va être l'année de son impact et donc porteuse de grands bouleversements économiques aux conséquences imprévisibles, si ce n’est un risque majeur pour la stabilité mondiale. Certains signes laissent à penser de l’imminence du moment quant à un crash boursier programmée par les détenteurs du pouvoir économique.
Lyndon Hermyle LaRouche, Jr. (né le 8 septembre 1922, à Rochester, au New Hampshire) est un homme politique, économiste, essayiste et polémiste américain. Il est le fondateur des revues Fusion et Executive Intelligence Review. Bien qu'il n'ait aucun diplôme en économie, il se présente comme spécialiste de l'« économie physique » et défend un programme de réorganisation complète du système financier international. Politiquement, il se dit « dans le droit fil du Mouvement des droits civiques de Martin Luther King et dans la tradition du New Deal de Franklin Delano Roosevelt et de Harry Hopkins

En France, son représentant est Jacques Cheminade, président du parti Solidarité et Progrès et candidat à l'élection présidentielle de 1995. Cette alliance avec Cheminade permet au mouvement de jeunes de LaRouche d'avoir une section française : le Mouvement de jeunes de LaRouche et Cheminade (ou LYM-France). Les méthodes de recrutement et d’embrigadement de cette organisation ont été épinglées par la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires et par des associations de vigilance anti-sectes telles que l’UNADFI. En Allemagne, le représentant de LaRouche est sa femme, Helga Zepp-LaRouche. Fondatrice et présidente de l'Institut Schiller voué à faire connaître la pensée de LaRouche outre-Rhin, elle fut candidate à la chancellerie allemande pour le Bürgerrechtsbewegung Solidarität (Büso/Mouvement des droits civiques Solidarité, sorte d'équivalent allemand de Solidarité et Progrès).

Economie maghreb 2011


"Les promesses de Ben Ali sont peu crédibles"
Par Elie Patrigeon - publié le 11/01/2011 à 18:24


Lahcen Achy est économiste, chercheur au Centre Carnegie pour le Moyen-Orient. Spécialiste du Maghreb, il a réalisé de nombreux travaux sur les économies de la région. Il décrypte la crise actuelle en Tunisie, en Algérie mais aussi la situation au Maroc et dans les pays proches.

Les pays du Maghreb ont connu un net ralentissement économique ces dernières années. La crise est-elle à l'origine de la flambée de violence en Tunisie et en Algérie?
En Tunisie, la grogne sociale résulte d'une accumulation de colères. La crise, notamment, y est pour quelque chose. Alors qu'en rythme annuel, la croissance tunisienne atteignait 5 à 6%, elle s'est contractée à 3,1% en 2009 et devrait atteindre 3,8% en 2010. Le pays est très dépendant des pays européens et subit les contrecoups de leur ralentissement. Les exportations, le tourisme, les transferts financiers de l'émigration sont largement affectés par la récession en Europe. Les envois de fonds des travailleurs en 2010: c'est un peu moins de 2 milliards de dollars en baisse de 5% par rapport à 2009 alors que les recettes touristiques, environ 2,4 milliards de dollars en 2010, sont en baisse de 7% par rapport à 2009. A ces mécontentements s'ajoutent des revendications politiques pour plus de participation qui ne sont pas nouvelles mais qui s'accentuent.

En Algérie, les problèmes économiques sont une tendance de long terme et le pays a une tradition de manifestations violentes. Le pays dispose de beaucoup de ressources, notamment pétrolières, qui permettent au pays d'afficher un endettement extérieur de 10% du PIB et de disposer de réserves d'argent importantes. Pour autant, l'économie algérienne est mal gérée et n'est jamais passé à l'économie de marché, malgré plusieurs tentatives. Elle n'a jamais connu les performances de l'économie tunisienne. Les ressources pétrolières sont mal réparties et la corruption est endémique.

A titre d'exemple, le dernier plan quinquennal, qui s'étend de 2010 à 2015, est budgété à hauteur de 286 milliards de dollars dont 150 milliards pour achever les projets du plan précédent. Il y a un problème structurel de gaspillage et de mauvaise gestion.

Les annonces du président Ben Ali suffiront-elle à calmer les esprits?
La Tunisie crée 70.000 emplois par an et le président souhaite doubler ce rythme pour atteindre 300.000 en deux ans. Je ne vois pas comment il pourra tenir cet objectif. La reprise européenne, dont dépend le renforcement de l'économie tunisienne, est encore trop faible pour susciter des créations d'emplois aussi nombreuses. D'autant plus que les troubles actuels risquent de ralentir les investissements européens et réduire le tourisme, qui sont pourtant les deux moteurs de l'économie. Quant à la fonction publique, la marge de manoeuvre est limitée. Le pays est endetté à hauteur de 48% du PIB et le pays n'a pas les ressources budgétaires suffisantes pour augmenter ses effectifs de fonctionnaires. D'ailleurs, en proposant des exonérations de charge aux entreprises, c'est surtout au secteur privé que Ben Ali s'adressait.

A bien des égards, le Maroc est confronté à des problèmes similaires que ces deux voisons. Pourquoi ne connaît-il pas les mêmes manifestations?
La situation marocaine est difficile. Le chômage des jeunes est très élevé. Mais le pays est mieux géré que l'Algérie. Il y a une véritable vision économique, avec des investissements ciblés. L'automobile, avec l'implantation de Renault, le tourisme ou encore le port de Tanger en sont des exemples. Le gaspillage et la corruption y sont moins présents.

De plus, à l'inverse de la Tunisie, les espaces de participations politiques et civiques sont plus grands. Le pays a connu une véritable alternance et les partis d'opposition comptent au Parlement. Le Maroc se situe dans le cadre d'une monarchie parlementaire où sont autorisés la contestation - il y a eu des manifestations récemment devant le Parlement- et où les associations tiennent une place importante. Ces dernières jouent un vrai rôle dans la lutte contre la pauvreté.

La Libye et la Jordanie ont annoncé des mesures de subventions des produits alimentaires de base. Craignez-vous une extension des manifestations à d'autres pays?
Les gouvernements sont vigilants. Les pays du Maghreb, tout comme ceux du Moyen-Orient, connaissent deux problèmes identiques. Le chômage des jeunes est, partout, une préoccupation. D'autre part, la hausse des prix agricoles fait craindre pour la sécurité alimentaire de ces pays. En 2008, il y avait déjà eu des émeutes de la faim en Egypte. Ces pays ont tiré les leçons de ce passé.

Croyez-vous à une sortie de crise rapide?
Le discours du président Ben Ali a fait passer deux messages contradictoires : la priorité sur l'emploi et la fermeté face aux "terroristes". Cela n'a pas été bien reçu. Les promesses sur l'emploi sont peu crédibles, et jugées comme telle par les Tunisiens. S'il avait les moyens de créer 300.000 emplois, pourquoi ne l'aurait-il pas déjà fait? De plus, il n'a apporté aucune réponse sur les problèmes institutionnels et politiques. Les risques de soulèvements persistent donc.

En Algérie, le mécontentement ne s'est pas dirigé aussi directement contre le pouvoir en place. Le pays a les moyens et les ressources d'améliorer les conditions de vie de ses habitants. Malgré cela, même si le gouvernement a pris des mesures contre les hausses de prix, il n'y a pas d'évolution notable en matière de gestion de l'économie.

bourse de Tunis 2011



11/01/2011 Mise à jour : 16:01
Une nouvelle journée noire à la bourse de Tunis
A l’instar de la séance du lundi, le Tunindex a affiché mardi, 11 janvier 2011, une très forte baisse, reculant de -3,66% à 4.893,46 points pour une capitalisation de 14 788,32 MD.

A l'image de ce qui s'est passé la veille, quasiment toutes les valeurs de la place ont clôturé à la baisse à l’exception de ICF et Ciments de Bizerte qui ont clôturé la séance dans le vert affichant des performances respectives de 0,2% à 48,1 Dinars et 0,14% à 6,89 Dinars.

Mis à part deux titres en hausse, les 48 autres titres ont fini dans le rouge. Du côté des baisses, CIL se distingue par un recul de 6.08% à 27,150 Dinars, suivi de prés par BT qui perd 6,03% à 10,900 Dinars ARTES cède 6.00% à 11.280 Dinars et enfin TPR clôture à 5,240 Dinars soit une diminution de 5,92%.

Les indices sectoriels sont ainsi tous dans le rouge avec des replis de plus de -3,50% pour le bancaire et les sociétés financières, plus de -5% pour les biens de consommation et la Distribution et enfin -4,21% pour l'indice des matériaux de Base.

Enfin, côté volumes, 5 valeurs bancaires (STB, BIAT, BT, BNA et Amen Bank) ont été aujourd’hui les valeurs les plus traitées totalisant 73% du volume de marché.




Espace Manager

La crise financière et la menace d'un krach 2011


L’once d’argent bientôt à 100 $ ?
Par Chloé Consigny, le 10 janvier 2011

Partout, le cours des matières premières s’emballe. Tout comme l’or, l’argent devrait terminer l’année en hausse. Déjà, en 2010, le métal a progressé de 69%, contre un petit 27% pour l’or, selon Bloomberg. L’once d’argent a récemment touché son plus haut niveau jamais atteint depuis trente ans, à 30,70 $, et talonne aujourd’hui les 29 $.

Cette croissance ne devrait pas s’essouffler au cours des prochains mois. Bien au contraire. Certains analystes anticipent une once à 100 $ dans un futur proche. L’argent serait-il l’équivalent de l’or pour la prochaine décennie, c’est-à-dire la pépite d’investissement à ne manquer sous aucun prétexte ? Pour l’heure, les avis sont partagés. Même si la flambée des cours s’explique par l’évolution de l’économie réelle, la tendance est également portée par les mesures de soutien à l’économie, notamment par la politique d’émissions monétaires menée par la Fed.
Une demande en très forte progression
Nous assistons aujourd’hui à une augmentation de l’utilisation de l’argent dans le monde. En 2008, la bijouterie représentait 37,7% de la demande en argent. La photographie se plaçait en deuxième position, avec 20,3% de la demande. Juste après, l’industrie des batteries électriques représentait 17,8% de l’utilisation mondiale. Au cours de la prochaine décennie, la demande devrait être multipliée par quatre. CPM Group et VM prévoient que la demande industrielle atteindra 70 à 85 millions d’onces par an en 2020, contre 19 millions en 2009.

En cause, le développement de certaines industries qui nécessite l’utilisation de l’argent. Si la photographie argentique a laissé place au numérique, d’autres secteurs ont pris le relais. Par exemple, la demande en argent devrait être tirée, au cours des prochaines années, par l’industrie photovoltaïque ou encore par celle des batteries électriques d’automobiles, dont l’argent et le zinc entrent dans leur fabrication. Sur ces nouveaux marchés, la Chine est particulièrement en avance. En 2020, les voitures hybrides devraient représenter la moitié des véhicules en circulation dans l’ex-empire du Milieu.

Derrière la flambée des cours, la peur de l’inflation
Mais l’augmentation de la demande industrielle n’est pas le seul facteur de progression des cours de l’argent. La crise financière et la menace d’un krach obligataire incitent les investisseurs à se placer sur des actifs qu’ils jugent moins risqués. Le deuxième programme de quantitative easing lancé par la Fed (600 milliards de dollars) devrait largement profiter aux matières premières et aux minerais. Aujourd’hui, l’argent semble devenu, au même titre que l’or, un placement refuge qui offre une alternative sécurisante aux créances souveraines et aux sociétés cotées.

De nouveaux acheteurs misent sur les métaux précieux. L’argent devient un investissement de plus en plus recherché par la Chine, où le cours s’est envolé de 50% depuis trois mois. Les particuliers thésaurisent de plus en plus le métal argenté. En octobre, l’inflation était de 4,4% en Chine et le montant des dépôts bancaires en diminution de 700 MdsҰ (80 milliards d’euros). Ainsi, un nombre important d’épargnants n’ont pas hésité à retirer leur épargne pour acheter de l’argent.

Du côté des Etats-Unis, l’argent est toujours, dans l’esprit des investisseurs, considéré comme une monnaie. En clair, sa valeur est estimée par rapport à celle de l’or. Et tous ont encore à l’esprit le ratio or/argent qui, au XXe siècle, était de 40. Actuellement, ce même ratio est de 47. Le cours de l’argent devrait enregistrer une progression de 15 à 20%, pour rejoindre le ratio historique de 40.

Bangladesh Bourse 2011


Bangladesh: chute record à la Bourse, la police charge des manifestants
(AFP) – Il y a 1 jour

DACCA — La Bourse du Bangladesh a suspendu les échanges lundi après avoir enregistré une chute record de 9,25% en une heure, provoquant de violentes manifestations de plusieurs milliers d'investisseurs réprimées par la police, selon des sources concordantes.

Il s'agit de la pire perte en une seule journée dans l'histoire de cette petite place financière d'Asie du Sud, extrêmement volatile depuis un mois, après avoir enregistré un plus haut historique en décembre.

"Le DSE (Dhaka Stock Exchange) a suspendu les échanges sur ordre de la commission de régulation après une chute de l'indice de 660 points, soit 9,25%, dans les premières 54 minutes suivant l'ouverture", a déclaré à l'AFP un porte-parole de la Bourse, Shafiqual Islam.

Le marché est "un bain de sang", a commenté auprès de l'AFP un investisseur, Arif Mohammad Khandker. "J'ai déjà perdu 3.000 dollars aujourd'hui, soit le tiers de mes investissements. J'ai vu le crash de 1996 mais c'est aujourd'hui bien pire".

En 1996, la Bourse avait perdu les trois quarts de sa valeur en quelques mois, affectant des milliers d'investisseurs particuliers.

"J'ai perdu cinq millions de taka (70.000 dollars) sur mes 10 millions de taka investis (en Bourse). C'est insensé, toute mon épargne est partie", a confié à l'AFP un autre investisseur, Monirul Islam.

A la mi-journée, des milliers de personnes sont descendues dans la rue pour protester contre la chute du principal indice boursier, scandant des mots d'ordre contre le gouvernement et la commission de régulation des échanges.

Selon des témoins, la police, munie de bâtons, a chargé les manifestants.

La police anti-émeute avait été dépêchée à l'extérieur du bâtiment de la Bourse, dans le centre de la capitale, pour empêcher les violences. Les bureaux situés non loin ont barricadé leurs portes et fenêtres de crainte de nouveaux heurts.

"Il y a environ 5.000 investisseurs manifestant dans la rue devant les bâtiments de la Bourse. Certains ont été violents", a déclaré à l'AFP un policier, Azizul Haq. "Ils ont commencé à vandaliser des biens du gouvernements, ce qui nous a obligé à nous servir de bâtons".

En décembre, des centaines de personnes avaient déjà violemment manifesté dans le quartier d'affaires de Dacca, jetant des briques contre les forces de police, après que la Bourse eut enregistré la plus forte baisse de son histoire en une journée.

Le principal indice, le DGEN, avait perdu 552 points, soit 6,72%, après un relèvement des taux d'intérêt par la Banque centrale.

Le DGEN avait atteint un record historique le 5 décembre, à 8.918,51 points, affichant ainsi une hausse de 80% depuis le début de l'année, mais il est victime d'une série de plongeons depuis un mois.

Copyright © 2011 AFP.

Bourses asiatiques Frayeur 2011


Frayeur sur les Bourses asiatiques
Par Pierre Tenaud

Les marchés asiatiques démarrent très mal l’année 2011. L’ensemble des places a été soufflé par un vent de panique. Au Bangladesh, la Bourse a dû être suspendue après une chute de 9,25% en moins d’une heure, lundi 10 janvier. Ce plongeon a même provoqué des émeutes réprimées violemment par la police.

En Inde, la situation est meilleure dans les rues, mais au Bombay Stock Exchange, les craintes sont fortes. En un peu plus d’une semaine, le Sensex, l’indice indien a perdu près de 10%.
Les places boursières asiatiques paient leur excellente année 2010. Les cours se sont enflammés, retrouvant les niveaux des plus haut de 2008. L’autre grand facteur de la panique qui règne en Asie : l’inflation.

La hausse des cours des matières premières et l’activité économique en plein boom dopent les prix. En réponse, les investisseurs s’attendent à un resserrement du crédit. En Inde, en 2010, la RBI (Reserve Bank of India, la banque centrale indienne) a relevé ses taux à quatre reprises pour essayer d’endiguer la hausse des prix. Mais rien n’y fait et les marchés s’inquiètent.

Méfiance donc sur toutes ces places financières en attendant les prochaines déclarations des différentes banques centrales.

Portugal économie 2011


Le destin du Portugal ne tient qu'à un fil
Ce mercredi, le pays - maillon faible de la zone euro - doit émettre plus de 1 milliard d'euros sur les marchés de capitaux. La défiance des marchés reste entière d'autant que la Banque du Portugal prévoit un recul de la croissance de 1,3% cette année.
On sait ce que valent les dénégations : la Grèce, qui a dû faire appel à l'aide internationale, de même que l'Irlande refusaient de l'admettre quelques jours avant leur chute. Même chose aujourd'hui pour le Portugal. Le Premier ministre portugais, José Socrates, persistait encore ce mardi à dire que son pays n'avait pas besoin d'un plan de sauvetage orchestré par l'Union européenne. Et pourtant. La voie est particulièrement étroite, d'autant que la banque centrale vient d'annoncer ses prévisions de croissance. Elles ne sont pas fameuses. Après une croissance qui devrait s'afficher sur les niveaux de 1,3% en 2010, l'année 2011 s'annonce calamiteuse. Le PIB devrait reculer de 1,3%, sous l'effet des restrictions budgétaires.



Austérité



Le nouvel objectif concernant le ratio de déficit sur PIB est désormais fixé à 4,6%, après un niveau autour de 7% pour l'année écoulée. Mais cette performance ne se fait pas sans efforts, en particulier pour les ménages. De l'aveux même de la banque centrale, la consommation devrait, après une progression de 1,8% en 2010, régresser de 2,7% en 2011 et de 0,5% en 2012.



Difficile, dans ces conditions, de relancer la machine économique. Le cercle vicieux se refermerait donc sur le Portugal. A force de serrer les cordons de la bourse, le gouvernement asphyxierait l'économie. Une menace que n'ont pas manqué de relever les professionnels sur les marchés. Pourtant, ce sont eux que Lisbonne doit convaincre mercredi de prendre un peu plus de dette portugaise dans leurs portefeuille, à l'occasion d'une adjudication de quelque 1 milliard d'euros d'obligations portugaises.

Lysiane J. Baudu et Céline Jeancourt-Galignani - 11/01/2011, 16:49

Maroc DECRYPTAGE 2011


Par Pauline Tissot
Le Maroc interdit une manifestation de soutien aux Tunisiens

Gênées par les troubles qui agitent le voisin maghrébin, les autorités marocaines ont interdit, ce lundi à Rabat, une réunion de soutien aux manifestants tunisiens.

Ce week-end, les manifestations en Tunisie contre le chômage se sont amplifiées, faisant au moins 35 morts. Et se sont déplacées, du centre du pays vers les villes touristiques de la Tunisie, situées sur la côte. En réponse, le président Ben Ali s'est exprimé lundi soir, qualifiant les manifestations "d'actes terroristes".

Ce mouvement gêne le Maroc. Ce lundi, un rassemblement de soutien aux manifestants tunisiens devait avoir lieu vers 17h, devant l'ambassade de Tunisie à Rabat. Organisée par un collectif d'associations, dont l'AMDH (Association Marocaine des Droits Humains), cette mobilisation a finalement été interdite par les autorités marocaines, a appris l'envoyée spéciale de L'Express sur place. Le régime marocain aurait motivé son refus par "l'impossiblité pour un pays voisin de la Tunisie d'autoriser sur son territoire une manifestation hostile au régime de Zine El Abidine Ben Ali" et qui aurait pu envenimer les relations bilatérales.

Ce mardi, une journée d'information sur les cadres préférentiels des échanges commerciaux devait se tenir à Tunis, au profit des intermédiaires en douane et des opérateurs économiques des deux pays, a-t-on appris sur le Infomaroc.net. Un contexte économique qui semble donc bannir toute tentative de déstabilisation.

Lundi soir, les associations qui ont appelé à ce rassemblement se sont réunies afin de définir les suites à donner à ce mouvement. Elles devraient de nouveau organiser un rassemblement jeudi 13 janvier vers 17h.

Tunisie DECRYPTAGE 2011



DECRYPTAGE - Elles ne suffiront pas à apaiser le climat, selon spécialistes et acteurs sur le terrain...
Dans une allocution télévisée, le président tunisien Ben Ali a annoncé, lundi soir, plusieurs mesures afin de répondre au mécontentement des jeunes diplômés au chômage. Cela repose notamment sur la création de 300.000 emplois d'ici à 2012. Le président a également promis que 50.000 diplômés seraient engagés dans le secteur privé. Ces annonces ne suffiront pas à apaiser le climat, selon les spécialistes et acteurs sur le terrain contactés par 20minutes.fr.

Des mesures tardives et insuffisantes
Pour Khadija Chérif, secrétaire générale de la FIDH (Fédération Internationale des ligues des droits de l'homme), «c'est très bien mais cela arrive trop tard.» Même réaction de la part d'Olfa Lamloum, chercheuse à l'Institut français du Proche-Orient et spécialiste de la Tunisie. «Si c'était possible de le faire aussi rapidement, pourquoi ne l'a-t-il pas fait avant?», s'interroge-t-elle.

«Vu l'ampleur de la mobilisation, ce n'est pas une promesse aussi vide qui va changer la donne. C'est la première fois que la Tunisie connaît ces évènements depuis les émeutes du pain de 1984. Le malaise est très profond», poursuit la spécialiste. Il s’agit d’«effets d'annonces» liées à la situation chaotique, reprend Khadija Chérif. Malgré l'allocution, le pays a d'ailleurs connu une nouvelle nuit d'émeutes entre lundi et mardi. Des affrontements ont fait quatre nouvelles victimes à Kasserine.

Un gouvernement «discrédité»
Ces annonces démontrent que le président «se sent déstabilisé», estime Khadija Chérif. Il «aurait dû voir qu'une crise se préparait, être plus à l'écoute», estime-t-elle. Aujourd‚hui «le gouvernement est complètement discrédité», notamment par les violences policières et les nombreux morts parmi les manifestants. «Il s'agit de l'échec complet d'un système» qui perdure depuis 1987, date l'accession au pouvoir du président Ben Ali. «Politiquement, c'est un désastre», tranche la secrétaire générale de la FIDH.

Des réformes en profondeur attendues
Pour la secrétaire générale de la FIDH, Ben Ali «ne règle pas le problème dans sa globalité». «Il faudrait plus», assure-t-elle. «Ces annonces doivent s'accompagner d'une nouvelle attitude de la part des autorités. Il faut arrêter de réprimer et écouter réellement» les manifestants. Il ne fait même «aucune garantie», renchérit Olfa Lamloum. Le président Ben Ali «n'a pas proposé d'enquête sur ce qui s'est passé à Sidi Bouzid. Il n'a pas ouvert de négociations avec les représentants de cette jeunesse qui se mobilise. Il n'y a pas eu de changement de responsables qui ont commis ces massacres.» Pour Khadija Chérif, la solution au problème doit passer par un grand «débat national» dont l'objectif est de parvenir à «renouveler tout le personnel politique».

—Julie Rasplus

bourse Krach de 1929 youtube




Le krach de 1929 est une crise boursière qui se déroula à la Bourse de New York entre le jeudi 24 octobre et le mardi 29 octobre 1929. Cet événement marque le début de la Grande dépression, la plus grande crise économique du XXe siècle. Les jours-clés du krach ont hérité de surnoms distincts : le 24 octobre est appelé jeudi noir, le 28 octobre est le lundi noir, et le 29 octobre est le mardi noir.
Le krach de 1929 est consécutif à une bulle spéculative, dont la genèse remonte à 1927. La bulle est amplifiée par le nouveau système d'achat à crédit d'actions, qui depuis 1926 est permis à Wall Street. Les investisseurs peuvent ainsi acheter des titres avec une couverture de seulement 10 %. Le taux d'emprunt dépend du taux d'intérêt à court terme ; la pérennité de ce système dépend donc de la différence entre le taux d'appréciation des actions et ce taux d'emprunt.

Pour Charles Kindleberger [1], la cause immédiate réside dans le fait que dans les « deux semaines avant la chute du 24 octobre, les prêts de brokers pour les titres "autres" diminuèrent de $ 120 Mns, en grande partie à cause des retraits étrangers »[1]. D'un point de vue technique (il y a aussi, pour cet auteur, des causes plus politiques[N 1]) c'est le dernier maillon d'une série qui court de la hausse du taux d'escompte à New York en août, à la faillite de l'entreprise Hatry à Londres qui à son tour provoque une hausse des taux en Angleterre le 20 septembre (le lendemain du jour où la bourse de New York eût atteint son maximum[2]) qui à son tour conduit à des retraits de capitaux de New York
Quelques jours avant le krach (les 18, 19 et 23 octobre), les premières ventes massives ont lieu. Ce sont encore des prises de bénéfices, mais elles commencent à entraîner les cours à la baisse.

Le jeudi 24 octobre (jeudi noir ou Black Thursday) marque la première vraie panique. Le matin, il ne se trouve presque pas d'acheteurs, quel que soit le prix, et les cours s'effondrent. À midi, l'indice Dow Jones a perdu 22,6 %. Une émeute éclate à l'extérieur du New York Stock Exchange, après que les gardes du bâtiment et la police ont empêché des actionnaires d'entrer. La galerie des visiteurs est fermée. Les rumeurs les plus folles circulent : onze spéculateurs se seraient suicidés, les bourses de Chicago et Buffalo auraient déjà fermé, celle de New York serait sur le point de le faire. Une réunion d'urgence entre cinq des principaux banquiers de New York se tient au siège de J.P. Morgan & Co. pendant une vingtaine de minutes. À son issue, Thomas Lamont, un des dirigeants de J.P. Morgan, déclare : « Il y a eu une petite quantité de vente à perte à la Bourse (…) en raison de conditions techniques sur le marché. (…) Le consensus de notre groupe est que la plupart des cotations de la Bourse ne représentent pas fidèlement la situation. (…) [La situation est] susceptible de s'améliorer ». Le marché rebondit légèrement à la nouvelle que les banques vont intervenir pour soutenir les cours. En effet, vers 13h30, des investisseurs institutionnels menés par Richard Whitney, vice-président du NYSE, interviennent directement : Whitney s'approche du poste de cotation de U.S. Steel, demande le cours en vigueur (195), et annonce « J'achète 25 000 parts à 205 ». Dès que les premiers titres s'échangent, il recommence l'opération pour une autre action, et fait ainsi le tour d'une douzaine de postes. Les cours se redressent rapidement, et la baisse pour la journée est limitée à 2,1% (indice Dow Jones: 299,47). Par exemple, le titre Montgomery Ward vaut 83 dollars à l'ouverture, 50 en milieu de journée, 74 à la clôture. Deux titres enregistrent leur plus haut niveau de l'année, tandis que 441 atteignent leur plus bas niveau. Les volumes échangés atteignent 12,9 millions d'actions pour la journée — un record, le volume normal étant de 2-3 millions, et le précédent record de seulement 8,3 millions. Les téléimprimeurs ont jusqu'à une heure et demie de retard sur les cours ; ainsi les vendeurs paniqués ne savent pas encore à quel prix ils ont cédé leurs titres.
Les nombreux investisseurs qui ont emprunté pour spéculer sont contraints de liquider leurs positions (appels de marge ou margin calls) à partir du lendemain. Les cours restent stables le vendredi 25 (Dow Jones : 301,22) et samedi 26 (avant guerre, il y avait une demi-session le samedi).

Le cycle s'emballe le lundi 28 qui restera dans les mémoires comme le « lundi noir » (Black Monday), où 9,25 millions de titres sont échangés. Les banques n'interviennent pas, contrairement au jeudi précédent. L'indice Dow Jones perd 13 % (260,64), un record qui ne sera battu que lors du krach d'octobre 1987. Certains titres sont massacrés : General Electric perd 48 points, Eastman Kodak 42, AT&T et Westinghouse 34, U.S. Steel, 18.

Le 29 octobre, le mardi noir (Black Tuesday), le volume échangé atteint 16,4 millions de titres. Les téléimprimeurs ont jusqu'à deux heures et demie de retard sur les cours. L'indice Dow Jones perd encore 12 % (230,07) et les gains d'une année de hausse disparaissent. John Kenneth Galbraith écrit qu'il s'agit du « jour le plus dévastateur dans l'histoire de la Bourse de New York, et peut-être aussi dans toute l'histoire des Bourses. » Winston Churchill, qui se trouve alors à New York, affirme être le témoin du suicide d'un spéculateur qui se serait jeté par la fenêtre. L'événement n'a jamais été confirmé, et il est à l'origine des légendes sur les nombreux spéculateurs qui se seraient ainsi défenestrés (en tant que phénomène massif, il a été démontré statistiquement que les suicides d'acteurs du système financier à cause du krach sont une légende urbaine[3]). Entre le 22 octobre et le 13 novembre, l'indice Dow Jones passe de 326,51 à 198,69 (-39 %), ce qui correspond à une perte virtuelle de 30 milliards de dollars, dix fois le budget de l'État fédéral américain et plus que ce que les États-Unis avaient dépensé pendant toute la Première Guerre mondiale[

Capitalisation boursière 2011



La capitalisation boursière est la valeur de marché de l'ensemble des actions en circulation d'une société par actions. C'est donc le prix qu'il faudrait payer s'il était possible de racheter toutes les actions d'une société à leur cours de marché actuel. Lorsqu'un investisseur désire acquérir 100 % des actions d'une société, il doit généralement payer plus que le cours du marché pour inciter les actionnaires actuels à lui vendre leurs actions.

La théorie économique permet de relier capitalisation boursière et profits futurs de la société. Si l'on suppose que les actionnaires recherchent uniquement leur profit financier et que les marchés fonctionnent de manière efficiente, la capitalisation boursière dépend de deux choses uniquement : des profits futurs attendus pour les actionnaires, et du risque financier qui lui est associé. La capitalisation boursière sera d'autant plus élevée que les profits attendus sont élevés. À espérance de profit égale, plus les prévisions sont incertaines, moins la capitalisation boursière sera élevée[N 1].

Il ne faut pas confondre la capitalisation boursière avec la valeur de l'entreprise, qui mesure la valeur de marché de l'ensemble des capitaux investis dans l'entreprise. Celle-ci comprend non seulement la capitalisation boursière, mais aussi la dette financière. La dette est en effet considérée comme l'argent investi par les prêteurs, de la même manière que la capitalisation est l'argent investi par les actionnaires. Ainsi, lorsqu'une entreprise est endettée, sa valeur totale est supérieure à sa capitalisation boursière.

Le 31 décembre 2010, les deux sociétés ayant la plus forte capitalisation boursière au monde étaient: ExxonMobil et Petrochina, respectivement 369 et 301 milliards de dollars.

capitalisation boursière




reprise de la veille

New York (awp/afp) - La Bourse de New York a fini sans direction lundi, prudente avant de faire le point sur les comptes des sociétés américaines et face à la crise de la dette en zone euro: le Dow Jones a perdu 0,32% mais le Nasdaq a gagné 0,17%.

Selon les chiffres définitifs de clôture, le Dow Jones Industrial Average a cédé 37,31 points à 11'637,45 points tandis que le Nasdaq, à dominante technologique, engrangeait 4,63 points à 2707,80 points.

L'indice élargi Standard & Poor's 500 a reculé de 0,14% (1,75 point) à 1269,75 points.

"Il ne se passe pas grand-chose", a résumé Hugh Johnson, de Hugh Johnson Advisors.

"La saison des résultats est sur le point de commencer, je crois que tout le monde attend de voir ce que les résultats du quatrième trimestre vont donner", a-t-il expliqué. "La deuxième chose, c'est que les inquiétudes vis-à-vis de l'Europe persistent".

"Le marché est inquiet pour l'Espagne, le Portugal, on parle maintenant de la Belgique. Tout le monde s'inquiète pour l'Europe: c'est une destination importante pour les exportations américaines", a relevé l'analyste.

Les investisseurs ont réagi notamment à des informations du magazine allemand Der Spiegel, selon lequel les gouvernements allemand et français veulent contraindre Lisbonne à demander l'aide financière de l'Union européenne et du FMI, comme l'ont déjà fait la Grèce et l'Irlande. La Commission européenne a assuré qu'aucune discussion à ce sujet n'était prévue.

BOURSE/Wall Street finit sans direction, affectée par la crise de la zone euro
Du côté des entreprises, Wall Street a retenu son souffle avant la publication, intervenue après la clôture, des résultats du géant de l'aluminium Alcoa (+0,43% à 16,49 dollars).

Cette publication constitue le coup d'envoi de la saison des résultats du quatrième trimestre.

"Les entreprises sont en bonne santé, et personne ne s'inquiète vraiment des résultats", a constaté Mace Blicksilver, de Marblehead Asset Management. "Le marché est plutôt inquiet de la situation macroéconomique", notamment en Europe.

Pour autant, "malgré cette situation, tant qu'on n'aura pas de nouvelle fraîche à se mettre sous la dent, on n'aura pas de baisse spectaculaire", a-t-il avancé, voyant surtout dans le recul des principaux indices boursiers des "prises de bénéfices".

Le Dow Jones reste sur six semaines d'affilée de hausse, et a atteint la semaine dernière son plus haut niveau depuis l'été 2008.

Le marché a été animé par une actualité chargée sur le front fusions-acquisitions.

Le chimiste DuPont a cédé 1,47% à 49,03 dollars. Il va lancer une offre amicale pour acheter le groupe agroalimentaire et de biotechnologies danois Danisco pour un montant total de 6,3 milliards de dollars. L'offre représente une prime de 25% sur le cours de Danisco vendredi à la Bourse de Copenhague.

Dans le secteur de l'électricité, Duke Energy (-1,18% à 17,58 dollars) et Progress Energy (-1,63% à 43,99 dollars) vont fusionner, une opération qui va donner naissance au numéro un du secteur aux Etats-Unis, avec une capitalisation boursière de 37 milliards de dollars.

Genzyme a progressé (+1,41% à 72,40 dollars) après avoir confirmé des discussions directes avec Sanofi-Aventis, laissant présager que le géant français pourrait améliorer son offre de rachat.

Le groupe de médias Playboy Enterprises s'est envolé de 17,12% à 6,09 dollars, un peu en dessous du prix de 6,15 dollars que son fondateur Hugh Hefner va payer pour racheter le groupe et le sortir de la cote.

Le groupe d'alimentation et de grande consommation Sara Lee a bondi de 4,48% à 18,21 dollars. Selon le Wall Street Journal, un consortium mené par le fonds Apollo Global Management et un milliardaire, Dean Metropoulos, cherche à le racheter.

Le géant de la distribution Wal-Mart a perdu 0,65% à 53,73 dollars après un abaissement de recommandation de la part des analystes de Goldman Sachs.

Le marché obligataire est monté. Le rendement du bon du Trésor à 10 ans a reculé à 3,304%, contre 3,328% vendredi soir, et celui du bon à 30 ans à 4,488%, contre 4,490%.

rp

(AWP/11 janvier 2011 06h20)

capitalisons sur les marchés de demain 2011




Les marchés européens rebondissent, les banques en vue
11/01/11 12:20

Paris et les autres places européennes progressent à mi-séance à la faveur des résultats meilleurs que prévu d'Alcoa et de l'engagement du Japon à investir dans des obligations d'Etat de la zone euro. Les banques et les grandes cycliques sont recherchées. A 12h20, le Cac 40 gagne 0,9% à 3.835 points.
Les valeurs européennes rebondissent à la mi-journée après deux séances de baisse d'affilée, les comptes meilleurs que prévu d'Alcoa laissant espérer une bonne saison des résultats aux Etats-Unis. La décision du Japon d'acheter environ 20% des obligations devant être émises dans la zone euro dans le cadre du plan de sauvetage de l'Irlande soutient également la tendance. Cet engagement est d'autant mieux perçu qu'il intervient avant une série d'émissions d'obligations d'Etat au Portugal, demain, en Espagne, jeudi, et en Italie. Le Portugal a par ailleurs répété par la voix de son Premier ministre qu'il n'avait pas besoin d'aide en indiquant qu'il avait dépassé ses objectifs budgétaires 2010, tant sur le plan du déficit que des recettes budgétaires.

Sur le front des valeurs, les banques signent une des meilleures performances sectorielles alors que SG Cross Research a relevé sa recommandation sur le compartiment en Europe. Les valeurs minières et sidérurgiques bénéficient quant à elles des bons résultats d'Alcoa. Les grands groupes d'ingénierie bénéficient par ailleurs de la progression des comptes trimestriels de Siemens.

A 12h20, le Cac 40 gagne 0,87% à 3.835,18 points dans un volume d'affaires de 1,15 milliard d'euros traités. Le Stoxx Europe 600 monte de 0,88% à 280,94 euros. A Londres, le Footsie progresse de 1,17% à 6.026,15 points et, à Francfort, le Dax prend 0,59% à 6.897,39 points. Le contrat future mars sur indice Dow Jones s'apprécie de 36 points à 11.622.

Sur le plan macroéconomique, la Banque de France a confirmé tabler sur une croissance de 0,6% du PIB au quatrième trimestre. Son indicateur du climat des affaires est par ailleurs ressorti à 108 en décembre, contre 107 en novembre. Une seule statistique américaine est attendue cet après-midi: les chiffres du commerce de gros de novembre, à 16h00.

Sur le marché des changes, l'euro marque le pas à 1,2930 dollar. Le baril de WTI cède 8 cents à 89,17 dollars.

Plus forte hausse du Cac 40, Alstom progresse de 5,50% à 36,925 euros. Morgan Stanley est passé de «pondération en ligne» à «surpondérer» sur le titre. Par ailleurs, le groupe a annoncé la création avec Bouygues d'EMBIX, coentreprise dans le domaine des services de gestion de l'énergie destinée aux éco-quartiers. Bouygues prend 0,47% à 32,11 euros.

Les banques se reprennent après leur récent repli alors que SG Cross Research est passé à «surpondérer» sur l'ensemble du secteur en Europe. L'intermédiaire estime notamment que le compartiment est survendu au regard du marché, même s'il continue d'éviter l'Espagne, le Portugal et l'Irlande. BNP Paribas gagne 1,75% à 48,15 euros, Crédit Agricole 2,65% à 9,648 et Société Générale 2,57% à 40,34.

Gemalto avance de 4,72% à 32,825 euros. CM-CIC a relevé son objectif de cours sur le titre de 35 à 38 euros. Le spécialiste des terminaux de paiement a annoncé avoir été sélectionné par Claro au Brésil pour déployer une solution logicielle permettant d'optimiser la capacité du réseau et de réduire les coûts logistiques. Claro est le premier opérateur télécoms mobile dans les Amériques.

Saint-Gobain s'octroie 2,54% à 38,565 euros. HSBC a relevé sa recommandation sur le titre de «neutre» à «surpondérer».

STMicroelectronics prend pour sa part 1,98% à 8,435 euros alors qu'Exane BNP Paribas maintient son opinion à «surperformance» sur la valeur. L'intermédiaire juge la prime de risque «attractive» et estime que le groupe devrait à nouveau gagner des parts de marché.

A l'inverse, EDF perd 1,18% à 30,465 euros et Capgemini 1,01% à 34,175 alors qu'Exane BNP Paribas a dégradé le premier de «neutre» à «sous-pondérer» tandis que Deutsche Bank est passée de «achat» à «conserver» sur le second.



John Wiburg

Bourse du non coté,






Le régulateur américain se penche sur Facebook
Le gendarme de la Bourse américain se demande si les investissements autour de Facebook ne sont pas conçus avec pour but premier de contourner la règle dite des 500 actionnaires.

L’investissement de la banque Goldman Sachs dans Facebook est-il conforme aux règles encadrant les sociétés non cotées américaines ? C’est ce que cherche à savoir le gendarme de la Bourse américaine, la Securities & Exchange Commission (SEC).

Le site du réseau social Facebook, qui n’est pas coté en Bourse, vient ainsi de lever 500 millions de dollars auprès de Goldman Sachs (450 millions de dollars) et du groupe russe Digital Sky Technologies (50 millions de dollars). Ce qui le valorise à 50 milliards de dollars, soit plus que Boeing ou Yahoo! et eBay. Goldman Sachs prévoirait de créer un véhicule d’investissement destiné à lever jusqu’à 1,5 milliard de dollars auprès des meilleurs clients de sa banque privée.

Mais les responsables de la SEC veulent «examiner les véhicules d’investissement spéciaux comme celui créé par Goldman Sachs pour déterminer s’ils sont conçus avec pour but premier de contourner la règle dite des 500 actionnaires», avançait mercredi le Wall Street Journal. Car, selon la réglementation américaine actuelle, quand une société non cotée atteint le seuil de 500 actionnaires, elle devient contrainte de divulguer certaines informations financières. Or, le financement de Goldman Sachs compte pour un seul actionnaire, alors qu’il regroupe tous ses clients.

En fonction du résultat de son enquête, la SEC pourrait procéder à une refonte de la réglementation en vigueur, selon le Wall Street Journal. Pour le régulateur, la difficulté est de trouver un compromis entre protection des investisseurs et la volonté des compagnies non cotées d’accéder à des sources de capital.

Guinot, Danièle

Les PME européennes Youtube

PME PMI familiale europe bourse



Une entreprise familiale est une entreprise dont le capital est détenu majoritairement par une même famille et, normalement, pour au moins deux générations. On parle également d'entreprise patrimoniale.

Une association Les Hénokiens regroupe des entreprises familiales pérennes depuis plus de deux siècle. Les entreprises familiales centenaires ne sont plus que 1500 en France dont 400 vignobles, ce qui reste marginal face aux 2,8 M d'entreprises ( source www.efc-centenaires.fr)
Le concept existe depuis le début des temps, mais n'a été étudié que depuis quelques décennies aux États-Unis et quelques années en Europe. La nouveauté de cette étude fait qu'il n'y a pas de consensus sur la définition d'une entreprise familiale.

Approche fiscale

La notion de societe de famille apparait lors du cas d'une societe commercial dont la fiscalité est l'impôt sur le revenu des personnes physiques, par exemple une SARL à l'IRPP. Dans ce cas le résultat est taxable des son apparition et non selon la distribution ou la mise en reserve c'est-à-dire comme un revenu.

bourse ReadSoft société



11/01/11 09:30 Antalis, le leader européen de la distribution de papier et de packaging investit dans la solution de dématérialisation de factures de ReadSoft



Antalis est le premier groupe européen de la distribution de supports de communication papier et de produits d'emballage. Afin d'optimiser les processus internes et d'augmenter l'efficacité opérationnelle, Antalis a décidé de mettre en pl ace la solution de dématérialisation de factures de ReadSoft ainsi que la solution de gestion de contenu d'IBM® Filenet® via Avantias, un des Partenaire ReadSoft.



Fort de 6 900 collaborateurs et 230 000 clients, Antalis est le plus grand Groupe Européen de distribution de papier et de produits d'emballage. Par conséquent, Antalis doit gérer un nombre important de factures fournisseurs, à enregistrer dans son système SAP.



A la recherche d'une solution de dématérialisation de factures et de gestion de contenu efficace, Antalis s'est tourné vers Avantias, l'un des partenaires de ReadSoft en France. Ce dernier lui a recommandé ReadSoft pour l'automatisation du traitement de facture dans SAP et IBM® Filenet® pour la gestion de contenu.



Cette solution complète, proposée par Avantias, a été déterminante dans le choix d'Antalis.



« Antalis est une référence prestigieuse à ajouter à la liste des utilisateurs des solutions ReadSoft. Le choix d'Antalis, un leader sur son marché, dans nos solutions est une récompense », commen te Jan Anderson, President et CEO de ReadSoft AB.



« C'est aussi gratifiant de constater que notre stratégie Corporate de développement au travers d'un réseau de partenaires est sur la bonne voie. La solution proposée par Avantias combinant ReadSoft et IBM® Filenet®répond vraiment aux besoins d'Antalis. Je suis persuadé que grâce à ReadSoft IBM et Avantias, Antalis deviendra une société de premier plan en matière de dématérialisation de factures et de gestion de contenu. »



À propos de ReadSoft www.readsoft.fr
Fort de 20 ans d'expertise sur le marché de la dématérialisation de documents, ReadSoft est un éditeur international d'une gamme complète de solutions logicielles permettant de traiter et de gérer de bout en bout tous documents entrants (factures, avis de paiement, bons de commande, documents RH, courriers, formulaires.). Avec plus de 6 500 clients dans le monde, ReadSoft s'impose aujourd'hui comme la référence mondiale du marché, au travers de 16 filiales et plus de 300 partenaires répartis dans 70 pays. En 2010, ReadSoft lance une solution révolutionnaire, PROCESS DIRECTOR pour SAP, permettant de traiter, à partir d'une seule et unique plate-forme, les processus Purchase to Pay et Order to Cash dans SAP.
ReadSoft est une société suédoise, côté à la Bourse de Stockholm depuis 1999. Créée en 1997, la filiale française compte plus de 300 clients.
Pour en savoir plus : www.readsoft.fr et www.readsoft.com



Agence C3M -Tél. : 01 47 34 01 15
Michelle Amiard : michelle@agence-C3M.com
Katia Brozek : katia@agence-C3M.com

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Introduction en Bourse des PME - PMI



Marché financier : Vers un programme de réflexion sur la BourseLe mode d’organisation et de fonctionnement actuels du marché financier manquent de consensus, de schéma directeur et de visibilité. C’est le constat établi par le premier responsable de la commission d’organisation et de surveillance des opérations boursières (COSOB), M. Noureddine Smaïl, à l’occasion de la présentation des résultats de l’appel public à l’épargne lancé par la société Alliance Assurances.

L’intervention ressort des insuffisances d’ordres multiples notamment réglementaires et structurels. Marché secondaire strictement liquide, cadre réglementaire non achevé, inexistence des services d’investissements accessoires au marché (gestion d’affaires et collectives, portefeuille, analyse indépendante, information, conseil, évaluation et accompagnement) sont parmi les insuffisances relevées par le DG de la Cosob pour dire la nécessité de réforme de l’environnement de la bourse dans le souci de susciter l’intérêt des opérateurs économiques pour l’institution boursière sachant que, les conditions d’introduction en bourse existent. Les défis, au plan macroéconomique, sont divers et consistent selon la perception de l’intervenant, à rationaliser l’allocation des ressources en les orientant vers des entreprises performantes, à centrer l’effort du budget de l’Etat sur les programmes sociaux, à opter pour le financement des équipement publics par des ressources privées et enfin, à disposer de nouvelles ressources fiscales, une dimension qui reste toujours absente, relèvera l’intervenant. Il s’agira, d’autre part, de professionnalisation et de dynamisation des intermédiaires en bourse notera M. Noureddine Smaïl qui fera part de l’initiation dès 2011, d’un programme de réflexion sur le fonctionnement de la Bourse. Une unité de gestion des projets» sera créée sous l’autorité du ministère des Finances et devra travailler durant une année sur l’ensemble des aspects liés à la modernisation de la Bourse. Il est à rappeler que la Commission d'organisation et de surveillance des opérations de bourse (COSOB) a entamé, en 2009, la mise en place d’un nouveau plan de développement du marché financier national visant une large introduction en Bourse des grands groupes privés. Ce plan de développement et de modernisation du marché financier en Algérie prévoit principalement une prise en charge des nouveaux besoins de financement directe par le marché de l'économie nationale, note le document. Ces nouveaux besoins sont exprimés à travers ''l'émergence des nouveaux grands groupes privés dans l'agriculture, l'industrie, le BTP et les services, la mise à niveau d'un nombre, de plus en plus important, de PME/PMI, par un programme soutenu sur plusieurs années et la nouvelle configuration d'organisation du secteur public (Sociétés économiques de développement ou SED, groupes) et de partenariat avec des professionnels stratégiques privés et étrangers''. Il s'agit également du programme de réalisation des grands projets d'infrastructures et de complexes industriels par le gouvernement et les collectivités locales et l'intérêt croissant des investisseurs étrangers pour la Bourse d'Alger. Cette prise en charge des besoins de financement de l'investissement par le marché ''passe inévitablement par le positionnement définitif de la Bourse d'Alger dans l'économie nationale et au cœur de la croissance''. Par ailleurs, elle avance qu'un Fonds de garantie pour indemniser les investisseurs en bourse en cas de défaillance d'un intermédiaire en opérations de Bourse (IOB) devait être mis en place. Dénommé ''Fonds de garantie clientèle'', il aurait pour mission l'indemnisation des investisseurs en cas de défaillance d'un IOB et vise à protéger les investisseurs contre les risques non commerciaux, en l'occurrence l'incapacité d'un IOB à restituer des titres ou des fonds à ses clients. A cet effet, la COSOB a saisi tous les intervenants au marché financier pour recueillir leurs éventuelles remarques et observations afin de finaliser les procédures opérationnelles et mettre en place le fonds courant 2010. La COSOB a également décidé la prise en charge du suivi et de l’analyse continue des sociétés cotées en bourse par un expert indépendant. Cette mesure a été rendue nécessaire par le besoin d'apprécier l’évolution de l’activité des sociétés cotées en bourse afin de refléter leurs performances et, partant, contribuer à la transparence du marché en fournissant une information périodique, pertinente et éclairée du marché financier.
D. Akila
Publié dans : Bourses

Une aide soutenue pour les PME européennes




L’évolution très positive des petites et moyennes entreprises (PME) a été interrompu par le début de la crise économique, en 2008. Entre 2002 et 2008, les PME de l’UE ont constitué le moteur le plus important de l’économie européenne en matière d’emploi. Avec 9,4 millions d’emplois créés au cours de cette période, elles ont fait mieux que les grandes entreprises. Ces bons résultats contrastent fortement avec les 3,25 millions d’emplois détruits dans le secteur des PME en 2009 et 2010, selon le rapport annuel sur les PME, publié la semaine dernière.


Ce rapport présente, pour chaque État membre de l’UE et pour dix pays tiers, une sélection de faits essentiels décrivant le secteur des PME, tels que le nombre d’entreprises et les créations d’emplois. Il souligne également que les États membres ont pris de nombreuses mesures pertinentes, mais que beaucoup reste à faire pour garantir la parfaite application des lignes directrices énoncées dans l’initiative européenne en faveur des PME (Small Business Act - SBA).

Les 20,7 millions de PME de l’UE, qui emploient près de 90 millions d’Européens, demeurent l’épine dorsale de l’économie européenne. Pour les aider à remplir leur rôle de premier créateur d’emplois dans l’UE, il est essentiel d’assurer une mise en application rapide des actions figurant dans le Small Business Act, l’initiative phare de l’UE en matière de politique de soutien aux PME, qui prévoit des actions de la Commission et des États membres dans dix domaines différents.

Les principales conclusions de l’examen des performances des PME sont résumées ci-dessous.

Entre 2002 et 2008, les PME ont fait mieux que les grandes entreprises en matière de création d’emplois: en moyenne, au cours de cette période, le nombre d’emplois dans les PME a progressé de 1,9 % par an, contre 0,8 % seulement dans les grandes entreprises.

La crise a d’abord frappé les grandes et moyennes entreprises, mais les plus petites en souffrent davantage aujourd’hui: d’après les estimations, la production des PME de l’UE-27 a baissé de 5,5 % en 2009. En 2009, ce phénomène a davantage concerné les grandes et moyennes entreprises que les micro-entreprises et les petites entreprises; ces dernières devraient toutefois être les plus touchées en 2010 et au-delà, lorsque les mesures initiales de soutien prendront fin progressivement.

Les PME américaines subissent elles aussi fortement les effets de la crise: on estime que le nombre d’entreprises a diminué de 0,6 % en 2008 et de 2,2 % en 2009.

Les États membres s’emploient à appliquer des mesures de soutien aux PME: pour ce qui est de l’évolution des politiques, les fiches SBA indiquent que plus de 500 mesures correspondant aux dix principes du Small Business Act ont été mises en œuvre entre 2007 et 2009. Seuls neuf États membres ont couvert l’ensemble de ces dix principes.

Examen des performances des PME

L’examen des performances des PME fait le point sur la situation des PME et sur les politiques qui leur sont destinées dans l’UE, afin de contribuer à la définition de politiques efficaces reposant sur des observations factuelles. Il a été lancé en 2008, année d’adoption du Small Business Act pour l’Europe.

Le rapport a été élaboré par EIM Business & Policy Research à la demande de la Commission; les opinions qu’il exprime sont celles d’EIM et ne reflètent pas nécessairement celles de la Commission. Ce rapport sur les PME s’efforce de fournir une analyse agrégée au niveau de l’UE. Les derniers chiffres disponibles au moment de la rédaction du rapport concernent 2006; les chiffres se rapportant aux années suivantes sont des estimations réalisées par le contractant.

Pour plus d'informations :

http://ec.europa.eu/enterprise/policies/space/galileo/index_en.htm

Estonia - Tallinn 2011 youtube

Tallinn est la capitale de l'Estonie et le principal port du pays (port marchand de Muuga). Elle est située sur la côte du golfe de Finlande, qui fait partie de la mer Baltique. Son ancien nom, en usage jusqu'en décembre 1918, est Reval à l'allemande, ou Revel à la russe.

En 2010, la ville comptait environ 409 000 habitants (Tallinnois), ce qui en fait la plus grande ville d'Estonie, sur un territoire de 158 km2.

Turku Finland 2011 Youtube

Turku (Åbo en suédois) est une ville de Finlande fondée en 1229. Elle est située au sud-ouest du pays à l’embouchure de la rivière Aura. Avec une population de 174 906 habitants (2006), c’est la 5e ville du pays après (dans l’ordre) Helsinki, Espoo, Tampere et Vantaa. L’agglomération, la 3e du pays, compte 300 000 habitants avec comme principales villes Raisio (23 900 hab), Kaarina (22 100 hab), Lieto (15 400 hab) et Naantali (14 000 hab). Administrativement, c’est la capitale de la région de Finlande propre (Varsinais-Suomi) et de la province de Finlande occidentale.

Tallinn et Turku, capitales européennes de la culture 2011




Deux cités nordiques, la capitale estonienne Tallin et la ville finlandaise Turku ont été désignées capitales européennes de la culture 2011.


Tallin et Turku succèdent à Pecs (Hongrie) et Essen (Allemagne) auxquelles pour 2010 on avait ajouté Istanbul (Turquie) en tant que capitales européennes de la culture.

Comme chaque année, les deux villes choisies appartiennent à un nouveau pays membre, et à un ancien état-membre de l’Union Européenne pour tenter de refléter les diversités de l’Europe. Situées en bordure de la Mer Baltique les deux villes sont très proches géographiquement.

Le but de cette désignation symbolique est de créer une mobilisation culturelle dans les villes pendant toute l’année en cours. Les Capitales sont sélectionnées sur la base d'un programme culturel qui doit présenter une dimension européenne, faire participer la population, être attractif à l'échelle européenne et s'inscrire dans le développement de long terme de la ville. C'est une bonne occasion pour les villes de se faire une nouvelle réputation en Europe et dans le monde et de faire venir un grand nombre de touristes.

Tallin et Turku pendant toute l’année vont penser au développement de leur ville au travers de la culture. Parmi les 250 manifestations prévues à Tallin, on pourra noter un concert du jazzman Bobby McFerrin, un spectacle des Ballets de Monte-Carlo, des expositions de photos et de peintures, le premier championnat du monde de sculptures de feu et la semaine de la mode pour les jeunes. Parmi les évènements programmés à Turku on peut retenir un concert du groupe finlandais Rajaton, de la danse moderne finno-japonaise, des opéras et concerts de jazz. Les thèmes de la Mer et de l’Eau seront très présents dans tous ces évènements de l’année 2011.

Après Turku et Tallinn en 2011, les futures capitales européennes de la culture sont Guimarães (Portugal) et Maribor (Slovénie) en 2012. La prochaine ville française à profiter de cette désignation sera Marseille en 2013.

http://www.tallinn2011.ee/eng
http://www.turku2011.fi/en