阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Saturday, June 26, 2010

Pour son anniversaire Mr le Président Barack Obama organise un sommet Africain


Afrique célébrer le 50ème anniversaire des indépendances en Afrique.
Dans son intervention, Obama leur a annoncé qu’il avait décidé d’organiser un sommet début août à Washington pour célébrer le 50ème anniversaire des indépendances en Afrique. Une manière de fêter son propre anniversaire, le 4 août. Barack Obama, on le sait, ne craint pas d’inscrire son histoire personnelle dans l’Histoire tout court. - “J’aurai 49 ans en août“, leur a-t-il dit, en rappelant que son père avait été l’un des premiers étudiants africains qui avaient bénéficié d’un programme d’échange aux Etats-Unis. L’idée est de réunir non pas seulement les dirigeants mais surtout les jeunes leaders, pour un événement qui couvrira les questions sociales, la jeunesse et la sécurité. - “There were lots of disappointments, lots of frustrations, now 50 years later we want to make sure that we get this on the right track‬‪”, a dit le président, selon un de ses aides.

Mr le président Abdelaziz Bouteflika G8



L’aide au développement à l’afrique tarde à venir
Bouteflika réclame l’argent promis par le G8

Merzak Tigrine


Dans son discours devant ses pairs, le chef de l’État a déploré que l’Afrique n’ait pas progressé encore plus vite parce qu’elle n’a pas reçu tout l’appui promis par ses partenaires du G8, même si certains ont respecté leurs engagements.
Faisant un constat sans complaisance des rapports existant entre le continent africain et le G8, le président Abdelaziz Bouteflika a estimé que “l’Afrique aurait pu progresser encore plus vite dans certains domaines si elle avait reçu tout l’appui qu’elle attendait et qui lui avait été promis”. Se basant sur les données fournies, il se réjouit que certains de “ses membres ont atteint, voire dépassé leurs engagements et méritent nos éloges”, tout en émettant le souhait que les “autres partenaires puissent également honorer rapidement leurs engagements”. Dans cet ordre d’idées, il explique que s’il est “relativement facile de mesurer en termes de pourcentage du PIB la performance d’un pays en matière d’aide publique au développement, l’exercice se révèle plus ardu quand il s’agit d’évaluer les apports aux initiatives spéciales lancées par plusieurs sommets du G8. Comment déterminer s’il s’agit véritablement de ressources additionnelles ou d’une simple réaffectation d’une portion des ressources de l’aide publique déjà budgétisée ?”Bouteflika répond à cette interrogation à travers trois conclusions. Il aborde le volet de l’aide publique au développement de l’Afrique, en rappelant que le sommet de Gleneagles en 2005 avait promis de l’augmenter de 25 milliards de dollars par an à l’horizon 2010, mais cette augmentation, affirme-t-il n’atteindra, cette année, selon les chiffres de l’OCDE, que 7,6 milliards de dollars, soit 17,4 milliards de moins que le niveau décidé par le G8 à Gleneagles. Le Président signale “l’insuffisante adaptation de l’orientation de l’aide aux priorités du Nepad et des pays bénéficiaires. C’est ainsi, par exemple, que l’agriculture est le parent pauvre de l’aide. Ses infrastructures ont été négligées au motif que le secteur privé était le mieux indiqué pour y investir”.Enfin, Bouteflika déplore l’impact négligeable que l’assistance a eu sur le développement des capacités nationales des pays bénéficiaires. Dans ce cas, il précise que “la conception de l’aide est otage des procédures et normes des pays donateurs, elle contourne les systèmes nationaux et contribue donc très peu au transfert de savoir-faire et au renforcement des institutions des pays récipiendaires”. Il estime ainsi que “l’aide publique au développement, pour être efficace et atteindre effectivement les objectifs qui lui sont assignés, a besoin d’être repensée de manière à l’adapter aux priorités du Nepad qui s’inscrit dans le cadre du développement du continent”. Abdelaziz Bouteflika regrette également que d’autres questions fondamentales abordées par le partenariat n’aient pas connu d’avancée notable. Rappelant qu’en “matière de financement du développement, beaucoup d’espoirs étaient fondés sur l’expansion des exportations africaines et l’accès aux marchés des pays développés”, et “que ces ressources étaient censées remplacer progressivement l’aide publique au développement”, il fait le constat que “les négociations du cycle de Doha, des négociations commerciales multilatérales sont toujours dans l’impasse”. Quant aux investissements directs étrangers des pays du G8, le Président affirme qu’“ils n’ont pas atteint le rythme escompté, surtout, ils ont très peu contribué à la création de valeur ajoutée au profit des pays d’accueil en transformant sur place les ressources naturelles et les matières premières”. “Pour rompre avec sa marginalisation dans la conduite des affaires du monde, l’Afrique ambitionne légitimement de s’impliquer activement dans la gouvernance mondiale”, clame-t-il. Pour cela, Abdelaziz Bouteflika dit que “la tenue successivement cette année des sommets du G8 et du G20 est une opportunité pour réaffirmer notre appel à un élargissement du G20 qui prenne en compte les ambitions légitimes de l’Afrique”. Selon lui, “l’Afrique s’estime, à cet effet, en droit d’être représentée de manière juste et équitable au G20 à travers certains de ses membres afin qu’elle soit partie intégrante de ce forum qui a désormais la charge de la gouvernance mondiale et de participer pleinement à tous les processus de concertation, de négociation et de prise de décision”.Aussi, le Président aboutit à la conclusion que l’évaluation du partenariat doit être un processus structuré qui permette un suivi régulier des résultats, des lacunes ou des retards. Il ajoute qu’il demeure “persuadé que nous pouvons revitaliser et donner encore plus d’efficacité à ce partenariat. Il nous faudra pour cela prêter l’attention nécessaire non seulement aux montants de l’aide fournie, mais aussi à la création des conditions de base d’un développement soutenu de l’Afrique, conformément à sa volonté de baser le partenariat sur l’égalité et les avantages mutuels”.

Algerie liaisons internationales entre Jijel et des villes françaises à partir du 28 juin




Jijel – L’ouverture de liaisons aériennes entre l’aéroport de Jijel et des villes françaises a été notifiée aux autorités de la wilaya et interviendra lundi, a-t-on appris samedi des services de la wilaya.
Ces liaisons hebdomadaires seront inaugurées lundi 28 juin par un vol Paris (Orly)-Jijel-Mulhouse au moyen d’un appareil de type Airbus 320 d’une capacité de 220 passagers, dont l’arrivée est prévue à 8h et le retour en direction des deux villes françaises à partir de 9h.
Le second vol est prévu le même jour à 14h dans le sens Mulhouse-Jijel-Paris, a-t-on précisé, faisant savoir que ces liaisons seront assurées par la compagnie française Air Méditerranée.

Mr le Président Nicolas Sarkozy promet un G8-G20 «dix fois moins coûteux»



Les prochains sommets organisés en France ne seront pas aussi chers que ceux qui se tiennent actuellement au Canada. Un membre de la délégation française évalue leur coût à 80 millions d'euros, «pas plus».

C'est promis. Lors de la conférence de presse qu'il tenait à l'issue du G8 de Muskoka, à 250 km au nord de Toronto, Nicolas Sarkozy s'est engagé à dépenser dix fois moins que les Canadiens lors des prochains sommets du G8 et du G20 qui se tiendront en France en 2011. «Le coût sera dix fois inférieur», a-t-il expliqué. Il a également annoncé que le sommet du G8 se tiendrait à Nice, au mois de juin, sans préciser encore quelle ville accueillerait le G20 en novembre.
Les deux sommets à un milliard de dollars au Canada continuent d'attiser la polémique à Toronto. Conscient qu'il s'agit d'un point délicat pour son hôte, le président français a d'abord souligné qu'il ne voulait pas mettre dans l'embarras ses «amis canadiens». «Ici nous sommes accueillis dans un confort très raisonnable et qui n'a rien de somptueux », a-t-il d'abord expliqué.
Et malgré ces précautions, il a affiché des intentions beaucoup plus économes que celles de son homologue Stephen Harper sur le coût des deux sommets en France.
«Sommet d'étape»
«Nous prévoyons un montant d'environ 80 millions d'euros, pas plus, pour financer le G8 et le G20 » a résumé un membre de la délégation française. Une annonce qui pourrait embarrasser le premier ministre canadien dont les Français soulignent par ailleurs qu'il a exigé la tenue de ce sommet qui ne leur paraissait pas utile.
Par ailleurs, le chef de l'Etat ne s'est pas interdit de diminuer la portée de ce G20 canadien. Il l'a qualifié de «sommet d'étape», en adoucissant malgré tout la terminologie de son entourage qui parle «d'un G20 de transition». « Nous avons dépassé le plus dur de la crise de 2008», a avancé le président français pour justifier l'agenda moins ambitieux du G20 de Toronto.

Algerie Saïda le milieu scolaire : un vivier du tourisme



La Direction du tourisme de la wilaya de Saïda a pris conscience de l’importance du milieu scolaire en matière de développement touristique et décidé de l’impliquer dans ses approches.«De par sa nature en quête perpétuelle de besoins, l’enfant demeure le vecteur essentiel de la curiosité touristique et l’essence de son émergence», affirmera le directeur du tourisme de la wilaya, ayant initié en collaboration avec son collègue de l’éducation «une journée portes ouvertes scolaires». La manifestation, organisée en fin de semaine, a eu pour cadre l’école Allel Medeghri du chef-lieu de wilaya et drainé les responsables et «élus locaux, les parents d’élèves et mes associations du secteur. Visant la sensibilisation des scolarisés», sillons porteurs de semis touristiques. Ils demeurent le vecteur incontournable du tourisme en alliant la curiosité intellectuelle aux besoins de loisirs et d’évasion. La Direction du tourisme entend étendre ses actions au niveau régional avant d’atteindre les échanges nationaux et pourquoi pas extérieurs, ose le responsable. La wilaya de Saïda dispose de potentialités énormes qui sont inexploitées, sans compter les ressources thermales et minérales ayant concouru à la notoriété de la ville des eaux. La journée fut clôturée par une sortie aérée à la forêt El Ogbane et la distribution de présents aux meilleurs élèves de l’école sciemment choisie. Bakhchi Gaouti na cachera pas sa satisfaction et promettra d’ancrer la culture touristique à même de créer l’émulation nécessaire «pour asseoir le pool touristique des Hauts- Plateaux de l’Ouest algérien». Khali Ali

Arrivée de Mr le Président Abdelaziz Bouteflika au Canada pour les Sommets do G-8 et du G-20


Sommet du G8:Mr le Président barack Obama met la pression sur les Européens


Romandie News
Sommet du G8: Barack Obama met la pression sur les Européens
Quelque 2000 manifestants ont défilé bruyamment à Toronto pour que G8 et G20 prennent davantage en compte les droits de l'homme lors de leurs sommets. Les manifestants étaient encadrés par des policiers qui semblaient aussi nombreux qu'eux.
Les dirigeants du G8 ont fait preuve de "compréhension mutuelle" lors de leurs premières discussions sur l'économie mondiale à Huntsville, a déclaré la chancelière allemande Angela Merkel. Barack Obama a mis la pression sur les Européens afin d'encourager la reprise économique.
Les Européens, Allemagne en tête, qui ont décidé des plans d'austérité destinés à réduire leur déficit public, sont sous la pression des Etats-Unis qui redoutent que ces mesures étouffent la reprise économique naissante.
Le président américain Barack Obama a appelé ses collègues à agir ensemble pour éviter une nouvelle crise économique alors que l'inquiétude renaît sur la solidité de la reprise mondiale. Le G20 doit se réunir dans la foulée du G8.
Le secrétaire américain au Trésor Timothy Geithner a enfoncé le clou en appelant l'Europe à "faire le choix de mettre en oeuvre des réformes et des politiques susceptibles de déboucher sur des taux de croissance plus élevés à l'avenir".
Le monde "ne pourra pas dépendre des Etats-Unis autant que dans le passé", a-t-il prévenu, alors que les chiffres de la croissance américaine au 1er trimestre ont été revus à la baisse.
Les dirigeants de plusieurs pays ont annoncé des contributions totalisant cinq milliards de dollars en faveur de la santé maternelle et infantile dans les pays en développement. Ce fonds, baptisé "Initiative de Muskoka", du nom de la région canadienne où se tient le sommet du G8, a été fortement promu par Ottawa.
"L'exemple donné par les dirigeants du G8 a attiré des dons et des contributions d'autres pays (non membres du groupe) et fondations pour plus de 2,3 milliards, ce qui donne au total 7,3 milliards", a annoncé le Premier ministre canadien Stephen Harper.(ats / 26 juin 2010 08:09)
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G20 :Mr le président Nicolas sarkozy se place dans le camp de Mr le président Barack Obama


Alexandrine Bouilhet
Le président de la République plaide pour des ajustements «progressifs» en France, alors que la Grèce, le Portugal et l'Espagne s'engagent dans des cures d'austérité sévères.

Dans la bataille sur la stratégie économique, qui fait rage au sein des pays du G8/G20, réunis à Toronto, Nicolas Sarkozy se range clairement du côté de Barack Obama, hostile à des plans de rigueur précipités. «Pour la France, la consolidation budgétaire est une nécessité à long terme [...] le retrait du stimulus doit se faire à partir de 2011, de manière progressive, selon la situation de chacun», confie une source européenne.
Favorable à des cures d'austérité sévère en Grèce, au Portugal et en Espagne, Nicolas Sarkozy plaide pour des ajustements budgétaires «progressifs» en France et en Allemagne, à partir de 2011, avec «pas trop d'impôts».
La fragilité économique et financière de l'Europe inquiète le G8 et le G20. «Nos partenaires Américains et Canadiens redoutent l'impact des plans d'austérité sur la reprise» indique une source européenne. La santé des banques sur le Vieux continent est également un sujet de préoccupation majeur aux Etats-Unis. «Il n'y a rien à craindre de ce côté-là. Nos banques sont très solides. Les résultats des stress test fin juillet va réconforter les marchés», affirment les Européens.
Face aux Américains, Allemands et Britanniques se posent au G8 en défenseurs inébranlables de la rigueur. «Une croissance soutenable ne peut pas résulter d'une politique budgétaire basée sur l'endettement !» répète Angela Merkel . «Nos finances publiques sont dans un tel état, que nous n'avons d'autre choix qu'un ajustement très fort», se défend David Cameron.
Dans ce débat, Nicolas Sarkozy tient à se distinguer de ses partenaires européens. Conscient qu'il faut réduire les déficits publics en France, il ne veut pas se précipiter, accordant la priorité à la réforme des retraites. Si les marchés n'étaient pas si vigilants, il ferait volontiers sienne la mise en garde de Barack Obama : «n'en faites pas trop en 2010… ni en 2011 ».

L'Algérie a consenti des investissements lourds pour assurer cette sécurité énergétique de l'Europe


Mr le ministre . Belkhadem http://www.lemaghrebdz.com/
l'Algérie à garantir la sécurité énergétique de l'Europe pour peu que les prix négociés soient des prix qui permettent à l'Algérie de rentabiliser ses infrastructures et de tirer profit de cette ressource financière qui constitue une bonne partie de nos recettes d'exportations", a-t-il affirmé. "L'Algérie a consenti des investissements lourds pour assurer cette sécurité énergétique de l'Europe, à travers une augmentation substantielle de ses capacités de production et d'exportation dont la construction des gazoducs (GALSI et MEDGAZ) et des infrastructures pétrolières et gazières et attend légitimement un retour sur ces investissements par le biais d'un prix rémunérateur et des contrats permettant d'assurer une sécurité énergétique sur le long terme.

Ferhat Y.