阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

retrouver ce média sur www.ina.fr

commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Tuesday, June 15, 2010

Algerie Tipasa réorganisation du port de Bouharoun



Le port de pêche de Bouharoun, deuxième du pays par le nombre de bateaux qu’il accueille, constitue également un pôle d’attraction pour les nombreuses familles et touristes qui le visitent à longueur d’année, soit pour s’approvisionner en poisson frais ou apprécier ses restaurants spécialisés dans les produits de la mer. il était caractérisé par son insalubrité, le rejet d’eaux usées, la vente de poissons sur des étals improvisés installés confusément sur ses quais et une chaussée totalement dégradée. Aussi, l’autorité de wilaya a pris une série de mesures pour remédier à cette situation en dégageant une enveloppe financière de 120 millions de dinars, depuis 2005, pour remettre un tant soit peu de l’ordre dans le port. A ce titre, il y a lieu de signaler qu’une grande surface gérée par le complexe de pêche Khemisti-Dellys (CPKD), ex-Enocep, qui était à l’abandon, a été aménagée par l’AGERFU en une poissonnerie et donnée en adjudication. Cet espace de 900m2 est divisé en deux parties, l’une de 270 m2 destinée à la vente au détail et l’autre de 630 m pour la vente en gros. Cette poissonnerie est également équipée de deux chambres froides grâce à un montant dégagé de 3 millions de dinars. L’opération de dragage du port et de la préparation des ouvrages de protection par l’entreprise Meditram, menée en deux phases, a permis d’offrir plus d’espaces aux sardiniers et chalutiers, puisque les bassins ont été agrandis et débarrassés des détritus et de la vase pour un coût de 100 millions de dinars. Selon les riverains, le port de Bouharoun n’a pas été dragué depuis l’époque coloniale, précisément en 1950. Par ailleurs, en vue d’éliminer les odeurs pestilentielles provenant des eaux usées qui coulaient à ciel ouvert ainsi que des flaques favorisées par la dégradation de la chaussée qui, rappelons-le, causait beaucoup de désagréments aux usagers, la direction de l’hydraulique a réalisé un exutoire qui permet la canalisation des eaux usées de surface et leur déviation vers le collecteur du littoral, et procédé au curage des reniflards, alors que la direction des travaux publics a remis en état la chaussée et les quais. Dans le cadre d’un suivi rigoureux au sein du port, le wali vient d’installer une antenne permanente de surveillance pour sécuriser l’infrastructure portuaire et réglementer la circulation à l’intérieur du port. Pour ce faire, une ancienne poissonnerie a été convertie en un célibatorium afin de permettre aux agents de la Sûreté nationale de veiller 24/24 à la sécurité des biens et des visiteurs, en collaboration avec les employés de l’EGPP. Sur le plan réglementaire, des arrêtés interdisent la vente de poisson à l’extérieur de la poissonnerie. Par ailleurs, pour rectifier le cisaillement de la route N°11 menant au port qui crée un embouteillage sempiternel avec d’énormes désagréments aux usagers, il sera réalisé à ce niveau une trémie pour permettre une meilleure fluidité de la circulation et aux usagers de se rendre sans difficulté au port.Mohamed El-Ouahed
16-06-2010

Algerie EU il faut introduire des révisions dans l’Accord d’association



Medelci à la 5e réunion du Conseil d’association Algérie-UE

Il faut introduire des révisions dans l’Accord d’association»
Le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, qui a dirigé la délégation algérienne à ce nouveau round de négociations avec l’Union européenne a demandé, comme il a été déjà fait, la révision du calendrier du démantèlement tarifaire prévu par l’Accord d’association conclu en 2002 et entré en vigueur en 2005, révision à laquelle les partenaires européens ont répondu positivement. Dans son allocution prononcée au Luxembourg, lors de cette rencontre qu’il a présidée avec son homologue espagnol Miguel Angel Moratinos, M. Medelci, chef de la diplomatie algériennequi a énuméré les raisons objectives qui justifient cette demande, a déclaré que «l’Algérie, qui tient au respect des dispositions pertinentes de l’Accord d’association et à la concertation bilatérale, demande la révision du calendrier du démantèlement tarifaire.» Il annoncera, à cet effet, que des propositions concrètes «seront bientôt transmises en ce sens au comité d’association.» Après avoir souligné que pour des raisons historiques, culturelles et économiques, l’Algérie accorde une grande importance à ses relations avec l’UE qui «représentent un des axes stratégiques de sa politique étrangère», le ministre a reconnu que «ces relations ont gagné en intensité» à la faveur de cet Accord d’association. «Cet Accord a ouvert, a insisté le ministre, de nouvelles perspectives, mais a induit également des défis à relever.» M. Medelci a expliqué, devant les participants à ce round, que l’Algérie a voulu, à travers sa signature de l’Accord d’association, développer une coopération globale qui couvrirait tous ses volets : politique, économique et commercial, culturel, social et humain. Or jusqu’à maintenant, nous relevons clairement que le volet commercial a reçu une attention particulière par rapport aux autres, a précisé le ministre. Mourad Medelci a souligné aux partenaires européens, l’importance accordée par les deux parties, notamment l’Algérie, pour «la libre circulation des marchandises et la nécessité qu’elle soit accompagnée d’une meilleure dynamique d’investissement et d’une meilleure mobilité des personnes». Le chef de la délégation algérienne a rappelé, à cet égard, que les réunions des sous-comités «agriculture et pêche», «coopération douanière» et «dialogue économique» de cette année ont permis d’identifier des axes de coopération intéressants à mettre en oeuvre dans le futur. Il a, aussi, rappelé la décision d’organiser deux séminaires sur la problématique de l’accès des produits agricoles algériens sur le marché européen, dont le premier se tiendra à Alger à la fin du mois de juin en cours. Les exportations agricoles, précise le ministre, ont non seulement reculé mais même la consommation des contingents tarifaires alloués à l’Algérie reste très faible. Il a souligné, dans le même sens, que seule les exportations de la pêche ont pris le dessus avec18 millions d’euros et dont la balance commerciale est légèrement en faveur de l’Algérie. De ce fait, le ministre qui s’est adressé aux partenaires européens leur a rappelé que l’accroissement des investissements directs européens en Algérie constitue un des objectifs essentiels de l’Accord d’association. L’Accord d’association dans son volet démantèlement tarifaire, ajoute-t-il encore, à induit des pertes substantielles en recettes douanières pour l’Algérie au titre de la période 2005-2009, de l’ordre de 2,5 milliards de dollars, avec une projection pour 2010-2017 d’environ 8,5 milliards de dollars. Evoquant les aspects positifs de l’accord, le chef de la diplomatie algérienne a souligné que «l’Algérie se félicite des progrès enregistrés dans la négociation de l’accord de coopération sur la recherche scientifique et technologique», et a espéré que «l’aspect innovation soit pleinement intégré dans l’accord final.» Medelci a, enfin, salué la décision de recourir à l’approche budgétaire nationale 2011-2013, en regrettant, néanmoins, «les réductions substantielles opérées de manière unilatérale, sur l’enveloppe financière allouée à notre pays», et a réitéré l’espoir partagé de recouvrer ces ressources dans un cadre à la fois concerté et diligent. La demande de la révision du calendrier du démantèlement tarifaire de l’Algérie est motivée par le fait des mutations effectuées depuis 2002, sur l’Algérie et son économie. Adapter un certain nombre de programmes L’adaptation de certains programmes dans le cadre de l’Accord d’association est perçue par l’Algérie comme une nécessité afin de discuter de ce démantèlement tarifaire dont «le coût pèse lourdement sur ces recettes budgétaires et qui n’encourage pas, également, la création et le développement de certaines industries locales naissantes ou en développement. Après cinq années de sa mise en œuvre, il s’est avéré qu’il y a des correctifs qui doivent être effectués sur l’Accord d’association qui sont nécessaires et qui sont tout à fait normaux», et ce, en raison «des nouvelles exigences de l’Algérie et des ambitions de son économie. L’aménagement sur le plan juridique et économique est, entre autres, la demande faite par le gouvernement algérien. Nouara N.-K.
16-06-2010

Mr le Président Nicolas sarkozy Les PME sont le fer de lance de la croissance



Sarkozy : «Les PME sont le fer de lance de la croissance

Le chef de l'État veut que le dispositif fiscal ISF-PME continue de bénéficier aux entreprises et promet de prolonger le médiateur du crédit.

Les 3 000 dirigeants de PME présents ce mardi au salon Planète PME organisé par la CGPME au Palais des congrès, à Paris, ont été rassurés. Nicolas Sarkozy, qui s'exprimait pour la troisième fois devant les adhérents de l'organisation patronale présidée par Jean-François Roubaud, a montré une nouvelle fois l'importance qu'il accordait au développement des petites et moyennes entreprises. «Les PME sont le fer de lance de la croissance française. Vous êtes des gisements d'emplois importants. C'est vous qui ferez redémarrer l'emploi en France», a ­affirmé le chef de l'État, rappelant les nombreuses mesures prises en leur faveur depuis 2007. «Nous avons pris des engagements au service des entreprises comme aucun gouvernement ne l'a fait. Le carnet de commandes de la CGPME s'est singulièrement réduit», a-t-il déclaré.
«Le crédit impôt-recherche, facteur d'attractivité »
La fiscalité a été allégée. L'impôt forfaitaire annuel pour les PME a été supprimé comme Nicolas Sarkozy l'avait promis à Lyon en 2007 aux chefs d'entreprise de la CGPME. La taxe professionnelle va disparaître. Des mesures en faveur du financement des entreprises ont été mises en place. La banque publique Oséo a joué les premiers rôles pour aider les PME à traverser la crise et a déjà débloqué plus de 300 millions sur le milliard promis pour renforcer leurs fonds propres.
Alors que le gouvernement est engagé dans la chasse aux niches fiscales, le président de la République a rappelé le rôle clé des mesures mises en place pour encourager les personnes qui paient l'impôt sur la fortune à investir dans les PME. Cette mesure a attiré plus d'un milliard d'euros d'investissement en 2008. «C'est un dispositif très utile. Mais je souhaite que nous améliorions encore son efficacité. Nous ne pouvons accepter que les contribuables paient aux intermédiaires des commissions si importantes que cela va annuler tout avantage fiscal», a expliqué le chef de l'État.
Le président a aussi défendu une autre mesure fiscale, le crédit impôt-recherche. «J'ai décidé de pérenniser le remboursement immédiat des créances de crédit impôt-recherche», a-t-il indiqué. Mais il refuse que le crédit impôt-recherche ­bénéficie dans l'avenir essentiellement aux PME comme le souhaitait la CGPME. «Ce serait une erreur de le modifier : le crédit impôt-recherche est un formidable facteur d'attractivité pour la France. Si de grandes entreprises maintiennent ou installent leurs centres de recherche en France, cela profite à tous», a précisé Nicolas Sarkozy.
Évoquant la baisse de l'euro, il a assuré que cela «allait dans le bon sens. Je ne partage pas les cris d'orfraie s'agissant de la baisse de l'euro. Cette baisse rend nos productions plus compétitives et je ne vois vraiment pas pourquoi on ferait le cadeau à nos concurrents d'avoir une monnaie qui rende moins compétitive une partie de nos entrepreneurs».
Répondant favorablement à une des dix propositions «à coût zéro» présentées par Jean-François Roubaud, le président de la République a décidé de garder la médiation du crédit. Créé fin octobre 2008, cet organisme dirigé par Gérard ­Rameix a joué un rôle important pour rétablir le dialogue entre les entrepreneurs et les banques accusées de couper les financements. Il a aidé 11.166 entreprises et contribué à sauver 202 .092 emplois. Sa prolongation a été obtenue contre l'avis des banques qui souhaitaient sa disparition.
Emploi: TPE-PME prudentes
Les petites et moyennes entreprises sont un peu plus optimistes pour leur activité en 2010 mais restent prudentes dans leurs intentions de recrutement, selon le dernier baromètre Agefos PME réalisé par l'institut Ipsos présenté au salon Planète PME. Si 18% des entreprises prévoient de recruter dans les six mois à venir, 71% des dirigeants comptent maintenir leurs effectifs en l'état, contre 79% en 2009. La prudence des TPE-PME est également constatée à travers une hausse des intentions d'embauche en contrats temporaires : 55% des projets de recrutement se feraient par contrat court ou en intérim, contre 25% en 2009. Les intentions d'embauche en contrat à durée indéterminée sont en recul de plus de neuf points par rapport à fin 2009.

L’Algérie accorde une grande importance à ses relations avec l’Union Européenne



Medelci dans une allocution : “L’Algérie accorde une grande importance à ses relations avec l’UE

Dans une allocution prononcée au Luxembourg lors de la 5ème réunion du Conseil d’association Algérie-UE, qu’il a présidée avec son homologue espagnol Miguel Angel Moratinos, M. Medelci, qui a énuméré les raisons objectives qui justifient cette demande, a déclaré que “l’Algérie, qui tient au respect des dispositions pertinentes de l’accord d’association et à la concertation bilatérale, a décidé de faire recours aux dispositions de l’accord d’association autorisant la révision du calendrier du démantèlement tarifaire”. Il annoncera, à cet effet, que des propositions concrètes “seront bientôt transmises dans ce sens au comité d’association”. Après avoir souligné que pour des raisons historiques, culturelles et économiques, l’Algérie accorde une grande importance à ses relations avec l’UE, qui “représente un des axes stratégiques de sa politique étrangère”, le ministre a reconnu que “ces relations ont gagné en intensité” à la faveur de cet accord d’association. Néanmoins, a-t-il expliqué aux représentants des Etats membres de l’UE, “cet accord a ouvert de nouvelles perspectives, mais a induit également des défis à relever”. “Mon pays, en signant l’accord d’association, voulait développer une coopération globale qui couvrirait tous ses volets : politique, économique, et commercial, culturel, social et humain. Or jusqu’à maintenant, nous relevons clairement que le volet commercial a reçu une attention particulière par rapport aux autres”, a-t-il constaté. Partant de cela, il a affirmé aux partenaires européens qu’il était de l’intérêt des deux parties, en tout cas pour l’Algérie, que “la libre circulation des marchandises puisse s’accompagner d’une meilleure dynamique d’investissement et d’une meilleure mobilité des personnes”. M. Medelci a rappelé, à cet égard, que les réunions des sous-comités “agriculture et pêche”, “coopération douanière” et “dialogue économique” de cette année ont permis d’identifier des axes de coopération intéressants à mettre en œuvre dans le futur. Il a, aussi, rappelé la décision d’organiser deux séminaires sur la problématique de l’accès des produits agricoles algériens sur le marché européen, dont le premier se tiendra à Alger à la fin de juin en cours. Cette problématique a amené le ministre à relever que les exportations agricoles ont non seulement reculé mais que même la consommation des contingents tarifaires alloués à l’Algérie reste très faible. Pour lui, le seul élément positif provient des exportations de la pêche qui ont atteint 18 millions d’euros et dont la balance commerciale est légèrement en faveur de l’Algérie. De ce fait, le ministre a rappelé aux partenaires européens que “l’accroissement des investissements directs européens en Algérie constitue un des objectifs essentiels de l’accord d’association”. Il a souligné à ses interlocuteurs que “l’Algérie considère que les flux d’investissements européens sont en deçà de ses attentes, en particulier ceux destinés à promouvoir la diversification de son économie et de ses exportations”. “Sensé être un catalyseur pour le développement des investissements directs européens en Algérie, force est de constater que cinq années après son entrée en vigueur, l’accord d’association n’a pas eu encore l’effet d’entraînement attendu”, a-t-il déploré. “Les investissements de l’UE ne représentent que le tiers de l’ensemble des IDE reçus par notre pays, quand bien même une tendance positive toute relative commence à être enregistrée ces dernières années, comme noté par une première étude d’évaluation conduite par les experts de l’UE”, a-t-il ajouté. En outre, a-t-il poursuivi, l’accord d’association dans son volet démantèlement tarifaire à induit des pertes substantielles en recettes douanières pour l’Algérie au titre de la période 2005-2009, de l’ordre de 2,5 milliards de dollars, avec une projection pour 2010-2017 d’environ 8,5 milliards de dollars. Evoquant les aspects positifs de l’accord, il soulignera que l’Algérie “se félicite des progrès enregistrés dans la négociation de l’accord de coopération sur la recherche scientifique et technologique’’, et a espéré que ‘’l’aspect innovation soit pleinement intégré dans l’accord final”. En matière de coopération financière, il soulignera la satisfaction de l’Algérie qui “salue la décision de recourir à l’approche budgétaire nationale 2011-2013, en regrettant, néanmoins, ‘’les réductions substantielles opérées, de manière unilatérale, sur l’enveloppe financière allouée à notre pays’’, et a réitéré l’espoir partagé de recouvrer ces ressources dans un cadre à la fois concerté et diligent”.

Air Algérie: 23 nouvelles dessertes hebdomadaires entre l’Algérie et la France





La saison estivale s’annonce dans quelques jours. Air Algérie se prépare d’ores et déjà à cette période de forte activité, notamment avec la France. Dans une interview qu’il accordée, hier, au journal électronique TSA, le P-DG d’Air Algérie, M. Wahid Bouabdellah, a déclaré que sa compagnie a injecté une offre de sièges conséquente, estimée à +16% par rapport à l’année dernière.Ce qui est dû à l’augmentation du nombre de fréquences sur la France et l’Europe. Il ajoute qu’il y aura au total 23 nouvelles fréquences hebdomadaires entre l’Algérie et la France et 11 sur le reste de l’Europe. Pour autant il cite, à titre d’exemple, qu’il y aura 7 nouvelles fréquences sur Paris au départ d’Alger, 2 au départ d’Oran et 2 nouvelles fréquences sur Marseille au départ d’Alger. Comme il est prévu l’ouverture d’une nouvelle ligne régulière Oran-Lille et une nouvelle ligne avec 4 fréquences sur Palma de Majorque. Des vols supplémentaires sont aussi prévus en période de pics.
Quant au niveau des tarifs, celui-ci diminue d’année en année à cause de la concurrence. A cet égard, le patron d’Air Algérie confirme que ceci s’applique à sa compagnie comme à ses concurrents. A cet effet, Air Algérie a lancé une promotion offrant 50% de réduction pour les vols au départ de l’Algérie vers la France. Bien qu’un déséquilibre observé en 2009, dû l’attrait des compagnies françaises qui desservent l’Algérie ait été relevé par ce responsable, celui-ci rassure et assure qu’il est tout à fait normal qu’il y ait un déséquilibre à condition que cela se passe dans le cadre de la concurrence loyale.
Il est à signaler que trois compagnies françaises desservent notre pays : Air France, Aigle Azur et Air Méditerranée. M. Bouabdellah estime que le chiffre d’affaires de sa compagnie est en progression d’année en année, reflétant ainsi son niveau de présence sur le marché français. Elle compte le renforcer davantage surtout après l’acquisition de nouveaux avions. Il assure aussi que l’offre domestique a connu des augmentations importantes, ces dernières années, surtout sur les axes nord-nord et vers les aéroports des Hauts-Plateaux, à l’instar de Mechria, El Bayadh et Tiaret.
Toutefois, le patron d’Air Algérie confirme que sa compagnie a de la difficulté à satisfaire plusieurs demandes, en particulier vers le Sud. Mais il tempère en affirmant que grâce à l’acquisition récente des avions ATR de 66 sièges, la compagnie pourra améliorer l’offre domestique.
source: Le maghreb

Algérie-France: Promotion Air Algérie 2010 de 50%





Promotion Air Algérie été 2010 pour la destination Algérie-France La compagnie nationale Air Algérie annonce une réduction de 50% sur ses tarifs, sur tous les vols au départ d’Algérie vers toutes destinations en France, et ce, durant la période allant du 27 juin au 20 juillet prochains. Selon un communiqué de la compagnie, Air Algérie va aussi lancer une nouvelle ligne Oran-Frankfurt-Oran, à compter du 27 juin courant. Le même communiqué indique que la compagnie nationale a fait part aussi de l’introduction de deux fréquences supplémentaires sur la ligne Alger-Palma-Alger à partir du 27 juin.


Ces mesures interviennent une quinzaine de jours après la rencontre, à Marseille, entre le Président-directeur général d’Air Algérie, M. Abdelwahid Bouabdallah et les représentants de la communauté nationale établie dans la région sud de la France. Cette rencontre a été initiée en perspective de la saison estivale et dans un souci de préparer, dans les meilleures conditions, le déplacement des ressortissants algériens établis en France. Les représentants de notre communauté avaient posé plusieurs problèmes dont celui de la tarification. M. Bouabdallah s’était longuement étalé sur le problème de la cherté du billet, précisant que les voyageurs doivent savoir que si le billet est cher c’est que le tarif est celui d’un quasi-charter. «Durant l’été, les voyages ne se font que dans un seul sens. Quand nos émigrés viennent au pays l’avion repart vide et quand ils rentrent chez eux l’avion revient vide.
C’est en stimulant la demande que nous pourrons appliquer des tarifs moins élevés», avait-il déclaré. Pour le dispositif prévu pour cette période estivale, le P-dg de la compagnie aérienne nationale avait indiqué que le nombre de vols sera renforcé et que de nouvelles lignes seront opérationnelles.
Lors du dernier entretien accordé au «Quotidien d’Oran», M Abdelwahid Bouabdallah, en réponse à une question liée à la cherté du billet, avait expliqué qu’effectivement notre communauté se plaint tout le temps des tarifs, mais après une discussion franche, elle a vu que le tarif n’est pas aussi cher que ça. «Quand nos émigrés viennent en Algérie,ils négocient au départ le prix du billet qui est toujours promotionnel donc soumis à conditions, c’est-à-dire un départ et un retour à des dates fixes. Mais généralement, quand ils reviennent ils changent de date.
Je vous assure que pour trouver une place au retour, ils paient parfois deux fois le prix du billet et ils ne se plaignent pas» avait-il indiqué. Le même responsable a déclaré que la compagnie qu’il dirige «fait beaucoup plus que les autres en matière de promotion» seulement, il y a un problème de communication «On est beaucoup moins cher que la concurrence, mais les autres vendent beaucoup mieux» , avait-il signalé.
source: Le quotidien d’oran

Algerie la cinquième édition de la Semaine de l'Energie, en Algérie du 14 au 18 Novembre 2010


L'énergie dans un monde en récession : défis et opportunités



La cinquième Edition de la semaine de l'énergie en Algérie se tiendra du 14 au 18 novembre prochain à Oran. Cet événement organisé par le département de l'Energie te des Mines et devenu au fil des éditions un grand évènement qui a désormais pris toute sa place dans l'agenda des rencontres scientifiques et techniques et des rendez-vous d'affaires de l'industrie internationale des hydrocarbures, des mines et de l'énergie en général. Cette semaine offre , à chacune de ses éditions, aux dirigeants, aux managers, aux spécialistes et aux experts qui oeuvrent au développement de ce domaine, moteur de l'économie mondiale et source de richesses et de bien-être pour toute l'humanité, un cadre d'échanges et de débats, de mise à jour des connaissances et d'actualisation des analyses, toutes choses nécessaires à la vitalité dont il a besoin pour faire face aux nouveaux et lourds défis de l'époque qui s'ouvre. Cette année, la semaine de l'Energie sera organisée sous le thème générique de " L'Energie dans un monde en récession : défis et opportunités "Au cours de cette rencontre les participants se pencheront sur les impacts sur notre industrie de la crise financière et de la récession économique mondiale qu'elle a engendrée. Au moment où se dessinent les espoirs de s’en sortir, les acteurs institutionnels et économiques qui interviennent dans ou qui sont en relation avec notre vaste domaine d'activité auront sans doute bien des réflexions et des ambitions à partager pour dépasser les effets de la conjoncture et prendre en compte les données structurelles pour ouvrir de nouveaux horizons à l'énergie dans ce siècle naissant. Aussi, les ateliers seront accompagnés d'espaces d'exposition, des espaces de communications orales, des ateliers de travail et de discussion où pourront s'exprimer largement les opérateurs et les décideurs autant sur les stratégies et les politiques que sur les techniques et les technologies. Les échanges qui ont été amorcés lors des précédentes éditions et notamment au cours de la quatrième semaine, l'an dernier, sur les opportunités, les modalités et les rythmes d'investissement ou encore sur les énergies nouvelles et renouvelables et notamment sur l'énergie nucléaire civile connaîtront sans doute des développements particuliers à la faveur des évolutions enregistrées à l'échelle internationale et des avancées que nous avons pour notre part réalisées en Algérie. La Conférence stratégique, les Journées scientifiques et techniques et l'Exposition Aloge …. seront à cet égard les creusets spécifiques où viendront se cristalliser les idées porteuses de progrès et de projets de développement pour les hydrocarbures, l'électricité, l'électronucléaire, les mines, les services et les industries connexes et bien entendu pour la formation des ressources humaines.S.G.

Mr le président Nicolas Sarkozy prolonge le médiateur du crédit pour les PME


Nicolas Sarkozy prolonge le médiateur du crédit pour les PME
PARIS (Reuters) - Nicolas Sarkozy a annoncé que le mandat du médiateur du crédit serait prolongé, accédant à une demande des PME au moment où les banques estiment que le retour à la normale sur les marchés rend cette fonction inutile.
"Je suis conscient que la reprise est fragile et qu'il faut la conforter", a dit le chef de l'Etat, qui intervenait devant le forum Planète PME, la grand-messe annuelle des PME françaises, à Paris.
Devant un public conquis d'avance, il a tracé le bilan de trois ans d'actions "pour renforcer la compétitivité des entreprises", à commencer par une des plus récentes, la suppression de la taxe professionnelle qui diminue de moitié la fiscalité des PME qui font moins de deux millions d'euros de chiffre d'affaires.
"Nous garderons le médiateur du crédit, c'est absolument indispensable", a-t-il dit, en soulignant qu'il avait permis d'apporter à ce jour 2,8 milliards d'euros de financements à 11.000 entreprises employant 202.000 salariés.
Le président de la CGPME (Confédération générale des petites et moyennes entreprises), Jean-François Roubaud, l'avait accueilli en dénonçant la persistance de "refus de financements".
Cela rend nécessaire le prolongement de cette mission mise en place fin 2008 en pleine crise financière pour faciliter l'accès des PME aux concours bancaires, avait plaidé le dirigeant patronal.
Invoquant la baisse du nombre de demandes de médiation et le retour à une évolution positive de leurs encours de crédits aux entreprises, les banques réclamaient au contraire sa "mise en sommeil".
REVENDICATIONS "RESPONSABLES"
"On s'est engagé comme aucun gouvernement ne s'est engagé au service des entreprises ces trois dernières années", a affirmé le chef de l'Etat, qui n'a annoncé aucune nouvelle mesure au moment où son gouvernement doit "concilier le soutien à la croissance et le rétablissement des comptes publics".
Jean-François Roubaud avait préparé pour sa venue une liste de dix revendications "responsables" à l'impact limité sur les dépenses publiques.
L'une concernait le projet de loi sur le dialogue social dans les très petites entreprises (TPE) dont la CGPME, soutenue en cela par le Medef, conteste vigoureusement certaines dispositions.
"Depuis longtemps, le dialogue social dans entreprises est une réalité quotidienne et nous n'avons pas besoin d'une loi pour cela", a-t-il dit.
Déjà voté au Sénat, le texte, que le gouvernement s'est engagé à mettre en oeuvre dans le cadre de la réforme de la représentativité syndicale adoptée en 2008, doit être bientôt examiné par l'Assemblée nationale, où plusieurs députés UMP ont annoncé leur intention de l'amender.
Présent mardi à planète PME, le président du groupe UMP à l'Assemblée, Jean-François Copé, a parlé notamment de "disposition incompréhensible" a propos de la création de "commissions paritaires" départementales pour les TPE.
"Je comprends que MM. Chérèque et Thibault (les secrétaires généraux de la CFDT et de la CGT, ndlr) veuillent se faire ouvrir la porte des TPE dans lesquelles ils n'ont pas su rentrer tous seuls car ni les salariés, ni les employeurs n'en voient l'utilité. Je comprends beaucoup moins ceux qui sont prêts à leur prêter main forte", a encore déclaré Jean-François Roubaud.
Prudent sur la question, Nicolas Sarkozy a dit souhaiter que "les députés prennent leur décision après avoir consulté les partenaires sociaux, tout particulièrement cher Jean-François, vos adhérents".
Edité par Laure Bretton

L’UE veut renforcer la stratégie de communication de ses représentations en Algérie


El Khabar Quotidien Algerien

L’UE veut renforcer la stratégie de communication de ses représentations en Algérie
L’Union européenne compte, dans les quelques mois à venir, renforcer sa politique de communication avec ses représentations en Algérie, dans le but de approfondir les liens avec la société algérienne, et ce suite aux déficiences constatées par les experts de cette instance européenne. Selon le responsable du sondage portant sur la stratégie de communication adoptée par l’UE, ce dernier œuvre pour la mise en place d’une stratégie de communication, en adoptant de nouvelles méthodes diversifiées avec les pays faisant partie de la politique européenne de voisinage, en particulier les pays du Maghreb et d’autres pays africains et asiatiques. Selon le même interlocuteur, les déficiences et les lacunes de la politique actuelle de communication adoptée par l’UE, entravent la mise en place d’une coopération avec la société civile et les autres institutions officielles algériennes. C’est pourquoi l’Union européenne souhaite consolider la communication, à travers ses délégations installées en Algérie.
15-06-2010Par Nouar Soko

Les patrons de PME accueille Mr le Président Nicolas sakozy


ANDPME l’Agence Nationale de Développement de la PME




ANDPME
C’est l’Agence Nationale de Développement de la PME. Elle a été créée par décret exécutif N 05 165 du 03 mai 2005.

http://www.andpme.org.dz/index.php?option=com_content&view=article&id=46&Itemid=521

Algerie TSA (Tout sur l'Algérie), troisième anniversaire



TSA a trois ans
Rédaction
TSA (Tout sur l'Algérie), premier quotidien électronique algérien, fête aujourd'hui ses trois années d'existence. Lancé le 8 juin 2007 par un groupe de journalistes algériens, TSA s'est progressivement fait sa place dans le champ médiatique national en optant pour une diffusion exclusivement numérique. Aujourd'hui, le site réalise une audience quotidienne de 230.000 visiteurs en moyenne, dont 60.000 uniques (source: Google analytics).
Ces chiffres, en constante augmentation, ont permis à TSA de continuer son développement au cours de l'année écoulée, avec un renforcement progressif de son équipe rédactionnelle qui a permis l'amélioration de sa couverture de l'actualité nationale.
A l'occasion de ce troisième anniversaire, l’équipe de TSA tient à remercier ses lecteurs et ses annonceurs, qui lui permettent d'exister par leur intérêt et leur confiance.
08/06/2010 10:46 56