Tuesday, October 05, 2010
Orascom Telecom Algérie russe Vimpelcom.
Orascom Telecom Algérie sera sous contrôle russe après le rachat de 51,7% du capital de Orascom Holding par le russe Vimpelcom
En effet, l’opérateur de téléphonie mobile russe Vimpelcom a signé un accord avec l’égyptien Orascom Holding qui permet ainsi au grouppe russe de s’offrir 51,7% du capital du groupe égyptien.
Orascom Telecom Algérie (Djezzy) qui est la filiale algérienne de Orascom Telecom, va ainsi être contrôlé par le groupe russe à moins que les autorités algériennes ne s’y opposent, ce qui est très peu probable au vu de la bonne entente entre Alger et Moscou.
VimpelCom est le 3ème opérateur de téléphonie mobile en Russie avec plus de 25 millions d’abonnés mobiles, et l’un de ses principaux actionnaires est le géant norvégien des télécommunications Telenor.
Par la rédaction, www.algerie-dz.com
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Orascom Telecom Algérie russe Vimpelcom.
Bourse d’Alger Alliance Assurance
Alliance Assurance a décidé d’ouvrir son capital social par appel public à l’épargne via la Bourse d’Alger et espère lever 1,4 milliard de dinars
C’est une première en Algérie pour une société privée. Il a fallu une bonne dose de courage à ses actionnaires, mais surtout une grande confiance dans le marché algérien pour prendre une telle décision, à en croire M. Hassen Khelifati, président-directeur général de cette compagnie d’assurances. Alliance Assurance compte lever un montant de 1,4 milliard de dinars pour porter son capital social à 2,2 milliards de dinars. « L’augmentation du capital s’inscrit dans le cadre du plan stratégique de la compagnie qui a déjà effectué en 2009 une augmentation de 800 millions de dinars » pour être en conformité avec la réglementation en vigueur sur les compagnies d’assurance tenues d’avoir un capital social minimum de 2 milliards de dinars avant la fin de 2010, a déclaré M. Khelifati, lors d’une conférence de presse avant-hier à Alger.
L’augmentation du capital permettra également à la compagnie de s’assurer des fonds nécessaires pour se développer et se diversifier. « Cette augmentation de capital social permet à la compagnie, outre le développement de l’assurance dommages et la filialisation de l’assurance des personnes, de concrétiser deux projets de filiales nouvelles : une ligne de métier Immobilier dédiée à l’activité de promotion et de gestion d’actifs immobiliers et une société de capital investissement qui prendra des participations minoritaires dans des entreprises algériennes », a indiqué le premier responsable d’Alliance Assurance.
Synthèse de Rayane, www.algerie-dz.com
D’après le Jeune Indépendant
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Bourse d’Alger Alliance Assurance
Le prix Nobel de littérature Madame Assia Djebbar sera-t-elle enfin consacrée ?
Le prix Nobel de littérature sera connu ce jeudi
Assia Djebbar sera-t-elle enfin consacrée ?
Cela fait déjà quelques années que l’écrivaine algérienne, Assia Djebar, est régulièrement citée pour l’obtention du prix Nobel de littérature. Cette année, c’est encore le cas. Selon les spécialistes, la Fondation Nobel souhaiterait cette année récompenser un auteur africain engagé et si possible une femme. Un profil qui sied parfaitement à Assia Djebbar.
Traduite dans une vingtaine de langues, Fatma Zohra Imalayène, le vrai nom de l’auteure de « la Soif », son premier roman sorti en 1957, est membre de l’Académie française. Née en 1936 à Cherchell, d’une famille berbère chenoui, originaire de Gouraya, Assia Djebbar a un parcours impressionnant : outre ses livres, elle a également réalisé des films, écrit de la poésie et du théâtre, et enseigné à l’université de New York. L’œuvre littéraire d’Assia Djebbar est foisonnante: durant plus d’un demi siècle, elle n’a pas cessé de créer, d’interroger le monde, de raconter des histoires souvent profondes et poignantes. « J’écris, comme tant d’autres femmes algériennes avec un sentiment d’urgence, contre la régression et la misogynie », dit-elle. Ses œuvres de jeunesse, comme « les Alouettes naïves » ou « les Enfants du nouveau monde » semblent indémodables.
En 2003, elle a publié la Disparition de la langue française. « La langue française, la vôtre, Mesdames et Messieurs, devenue la mienne, tout au moins en écriture, le français donc est lieu de creusement de mon travail, espace de ma méditation ou de ma rêverie, cible de mon utopie peut-être, je dirai même ; tempo de ma respiration, au jour le jour : ce que je voudrais esquisser, en cet instant où je demeure silhouette dressée sur votre seuil. Je me souviens, l’an dernier, en Juin 2005, le jour où vous m’avez élue à votre Académie, aux journalistes qui quêtaient ma réaction, j’avais répondu que « J’étais contente pour la francophonie du Maghreb ». La sobriété s’imposait, car m’avait saisie la sensation presque physique que vos portes ne s’ouvraient pas pour moi seule, ni pour mes seuls livres, mais pour les ombres encore vives de mes confrères — écrivains, journalistes, intellectuels, femmes et hommes d’Algérie qui, dans la décennie quatre vingt-dix ont payé de leur vie le fait d’écrire, d’exposer leurs idées ou tout simplement d’enseigner... en langue française. Depuis, grâce à Dieu, mon pays cautérise peu à peu ses blessures. », affirme-t-elle dans son discours de réception à l’Académie française.
« Nulle part dans la maison de mon père », son dernier roman est sorti en 2007, aux éditons Fayard. Cette fiction revient sur l’Algérie d’avant la guerre de libération. L’héroïne de ce texte, une jeune lycéenne, savoure les beautés infinies d’Alger et découvre l’amour. Tout l’art d’Assia Djebbar est fait de grandes découvertes qui donnent de la cohérence et de l’harmonie à l’existence humaine.
Le label algérien un atout
Par Ziad Abdelhadi
Le label algérien, un atout peu exploité
La procédure de délivrance et de reconnaissance du label algérien est encore très lente. De ce fait, des produits dont la valeur marchande n’est pas à démontrer, c’est-à-dire aux qualités reconnues, n’arrivent toujours pas à se faire une place sur les marchés extérieurs. Ils sont parfois même ignorés à l’interne. Ce qui du reste engendre des pertes considérables sur le plan économique. Pourtant, l’Algérie possède des produits agricoles de très haute qualité. On peut citer en exemples la datte deglet nour de Tolga
(wilaya de Biskra), l’huile d’olive de Kabylie et de l’intérieur du pays, les vins de différents coteaux du nord du pays, les abricots de Ngaous (w. de Batna), les artichauts de la plaine de la Mina (w. de Relizane), l’ail d’El Harrouch (w. de Skikda), la race ovine «el hamra, élevée dans les wilayas de Naama et de Tindouf, etc. Cependant, par manque de valorisation, ces produits se retrouvent mêlés à d’autres de la même espèce et ainsi tombent en désuétude. Pis, sans protection aucune, ils sont souvent exportés par les voies de l’informel pour être conditionnés avec la mention d’origine changée. C’est le cas de la deglet nour qui traverse les frontières pour être vendue sur le marché mondial sous le label d’un pays voisin. Un manque de protection qui laisse la porte ouverte à de multiples
dérives. En effet, grossistes, mandataires et détaillants n’hésitent pas à persuader leurs clients que le produit vient de telle région connue traditionnellement pour la qualité produite localement alors qu’en fait, il provient d’une autre contrée. Une tromperie sur le lieu d’origine de la production qui malheureusement a tendance à se généraliser. Au sujet de cette supercherie, «les qualités d’un
produit agricole sont intimement liées au territoire dans lequel il est cultivé. A titre d’exemple, la qualité des fruits de l’abricotier de Ngaous pourrait totalement changer s’il était cultivé dans une autre région. En fait, il y a plusieurs facteurs qui entrent en jeu, tels le climat, la terre ou encore l’eau. Donc le label est avant tout une question de territoire», nous a-t-on précisé du côté du département de la formation, de la recherche et de vulgarisation relevant du ministère de l’Agriculture. Toujours à propos du territoire de production,
des cadres de ce département nous ont aussi expliqué que «l’Algérie étant constituée d’une mosaïque de territoires, les potentialités en termes de valorisation des produits du terroir sont très importantes». Ils ajouteront dans la foulée : «A l’heure actuelle, les services du ministère de l’Agriculture travaillent sur l’aspect législatif de ce dossier». Et de souligner dans cette perspective : «Nous devons mettre en place un arsenal législatif afin d’encadrer les procédures de délivrance et de reconnaissance des labels. Cette réglementation nous permettra d’identifier et de classifier les variétés aux qualités reconnues et par là même de protéger les produits du terroir algérien. Ces opérations devront se dérouler selon des normes reconnues sur le plan international.» Par ailleurs, le but recherché à travers cette
législation est de permettre au consommateur d’avoir la possibilité de reconnaître facilement un produit de qualité grâce à un étiquetage spécifique. Il faut également rappeler que le ministère de l’Agriculture développe actuellement un programme de labellisation des produits agricoles. Ce programme, qui nécessite l’élaboration d’un arsenal juridique, vise à protéger les produits du terroir algérien. Le programme de labellisation comprend plusieurs phases. La première est éminemment scientifique. «A travers ces travaux, nous connaissons les propriétés physiques, chimiques et même gustatives de ces produits. Le programme de labellisation concerne également les produits qui ont subi une transformation. Les huiles d’olive pressées dans des huileries traditionnelles ou encore les vins pourront bénéficier du label Algérie. En effet, un décret relatif à l’institution d’un label qualité pour les différentes huiles d’olive d’Algérie sera fin prêt en novembre prochain. Le projet de labellisation de l’huile d’olive algérienne est en cours de finalisation et le décret d’institution du label de qualité concernant ce produit sera fin prêt en novembre», avait déclaré un expert lors du 1er Forum méditerranéen de l’oléiculture qui s’est tenu à Alger à la fin du mois de mars 2010. Les participants ont saisi cette occasion pour signifier qu’il était temps de prendre les choses en main pour valoriser l’oléiculture, une filière très porteuse. D’ailleurs les oléiculteurs n’ont jamais cessé d’exprimer leur souhait de voir leur produit sur les étals des marchés extérieurs. Ils ont toujours estimé que l’huile d’olive algérienne a tous les atouts pour être consommée et connue à l’international sous un label algérien. Un des participants nous témoignera que «ce produit biologique, lié à l’histoire de l’Algérie et écoulé sur les marchés extérieurs comme un breuvage anonyme, souffre encore d’un déficit d’image». Et de nous signaler que seul 1% des quantités exportées est conditionné, le reste est vendu en vrac et est valorisé, sur les marchés extérieurs, par des sous-traitants étrangers. Notre interlocuteur insistera sur le fait que le label est une garantie pour le produit algérien qui cherche à tout prix à se positionner sur le marché international. «L’absence de label remet en cause la traçabilité des produits du terroir et les confronte à une concurrence déloyale et à la contrefaçon», nous dira ce dernier.
Et de nous rappeler dans ce sens que «l’exemple de deglet nour tunisienne est l’un des plus édifiants. C’est le même cas de figure pour l’huile d’olive où la Tunisie et le Maroc, pays voisins, sont devenus en si peu de temps des concurrents potentiels puisqu’ils
arrivent à placer sur le marché mondial environ 30% de leurs productions nationales d’huile d’olive, en dépit des problèmes de coûts de production élevés qu’ils encourent. Alors pourquoi l’Algérie n’en ferait-elle pas autant pour valoriser son huile d’olive ?» Nos opérateurs versés dans l’exportation des produits agricoles seraient-ils incapables de placer le label sur le marché mondial ? Ou bien manqueraient-ils de volonté de promouvoir le produit algérien. Une question qui mérite d’être posée et qui est d’autant plus d’actualité qu’il est question de revoir à la hausse nos exportations hors hydrocarbures. C’est d’autant plus possible connaissant l’excellente qualité de certains produits et, du coup, d’une valeur marchande sans pareil. C’est donc là un atout qu’il faut au plus vite exploiter et non sous-estimer.
Z. A
« Zit Ouzemmour »
L’huile d’olive Algérienne est l’une des meilleur du monde. Appelé « Zit Ouzemmour » en Kabyle et « Zit Zitoun » en Arabe, elle est beaucoup utilisée par les Algériens en cuisine, en médecine douce et en tant que produit de beauté.
Trois régions se partagent la production de l’huile d’olive en Algérie : La grande Kabylie (Tizi Ouzou), la petite Kabylie (Béjaia et Bouira et Jijel) et une partie de l’est Algérien. Mais l’huile d’olive la plus convoitée est celle produite en grande Kabylie.
Le plus souvent, l’huile d’olive est une affaire de famille et de traditions, sa méthode de productions se transmet de parents à enfants et leur permet d’avoir un bon revenu annuel. La récolte des olives destinées à la production de l’huile est une occasion pour les familles de se retrouver afin de passer quelques jours ensemble dans une ambiance de fête et de joie.
Grâce à son extraction par simple pression à froid, l’huile d’olive garde en suspension des particules qui lui donnent des qualités thérapeutiques. En voici les plus connus :
Pour les ongles
L’huile d’olive rend les ongles moins cassants et réduit les cuticules. Il suffit de les faire tremper dans de l’huile d’olive tiède une dizaine de minutes par semaine.
Pour les mains
Pour les mains abîmés (par le froid par exemple) : faire chauffer l’huile d’olive quelque minutes (Ne pas laisser bouillir) et les faire tremper une dizaine de minute.
Pour avoir des mains douce : Masser délicatement avec un mélange d’huile d’olive et une cuillère de sucre.
Pour les cheveux
Utilisée en masque avant shampoing, l’huile d’olive fortifie et embellis les cheveux secs et fragiles.
Faites chauffer 2 c.à soupe d'huile d'olive mélangé à 2 c.à thé de miel. Ajoutez 3 gouttes d'huile essentielle de lavande, de romarin ou de géranium. Appliquez sur les cheveux et le cuir chevelu secs et non lavés. Massez un peu (même si c'est assez difficile), Posez-vous un bonnet de douche ou un sac sur la tête et enroulez le tout dans une serviette chaude. Laissez agir au moins 15 minutes. Lavez-vous les cheveux normalement. Pour les cheveux longs, doublez ou triplez la recette.
Pour la digestion
L’huile d’olive est très digeste, et entraîne un léger effet laxatif.
Deux cuillerées d’huile d’olive, prises le matin à jeun, semblent avoir un effet bénéfique sur la constipation chronique
Les acides gras insaturés stimulent le foie et accélèrent la sécrétion de la bile, ce qui favorise encore une meilleure digestion.
Pour les personnes âgées (Et moins âgées)
L'huile d'olive est riche en anti-oxydants (comme la vitamine E et les polyphénols) qui permettent de prévenir les maladies cardio-vasculaires, les cancers et le vieillissement. De plus, elle est riche en acides gras mono-insaturés qui, contrairement aux acides gras saturés (présents dans le beurre, la viande, le fromage...) réduisent le taux de "mauvais" cholestérol, celui qui risque de boucher les vaisseaux sanguins. Elle contient en particulier des acides oléiques qui stimulent la production de bile et assurent le bon fonctionnement de la digestion.
Pour les diabétiques
Un régime riche en acides gras mono-insaturés peut être recommandé aux patients souffrant de diabète de type 2.
Il abaisse les fortes concentrations de lipoprotéines athérogènes présentes chez les diabétiques
Il améliore le contrôle de la glycémie et corrige la résistance à l’insuline.
AGHROUM, Kessra , thametount Youtube
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Tifinagh au nord de l'Algérie (Découverte) Youtube
Le tifinagh (aussi écrit tifinaghe se prononce tifinar) ou libyco-berbère est un alphabet utilisé par les Berbères, essentiellement les Touaregs. C'était autrefois un abjad, un alphabet consonantique.
Cet alphabet a subi des modifications et des variations inévitables depuis son origine jusqu'à nos jours. Du libyque jusqu'aux néotifinaghs en passant par le tifinagh saharien et les tifinaghs Touaregs, nous retraçons ci-dessous les aspects les plus importants de chacune de ces étapes.
Dans la culture touareg, l'inventeur mythique du tifinagh est l'ancêtre Anigouran, personnage connu pour sa grande intelligence et auquel sont attribuées plusieurs autres inventions.
D'après Slaouti Taklit, enseignante de linguistique au département de français à l'université d'Alger et auteur de l'ouvrage L'alphabet latin serait-il d'origine berbère ? (éditions L'Harmattan, 2004), certains signes de l'alphabet libyque remonteraient au capsien . Ces signes auraient été tout d'abord des symboles religieux , ils permettaient de nommer des êtres ou des objets, car donner un nom c'est donner une réalité à ce que l'on nomme, une seconde vie. Elle remarque que « l'écriture Libyque semble être une écriture basée sur des croyances religieuses où les divinités astrales jouent un rôle primordial
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