Friday, January 21, 2011
2011 Google Mr Eric Schmidt remplacement Par Mr Larry Page Youtube BFMTV
Lawrence Edward Page dit Larry Page, né le 26 mars 1973 à Ann Arbor dans le Michigan, est un informaticien américain, cofondateur du site internet et moteur de recherche Google avec Sergey Brin. Il est actuellement président et directeur des produits de l'entreprise, et occupera les fonctions de PDG à compter du 4 avril 2011. Avec un patrimoine estimé à près de 22 milliards de dollars, il fait partie des trente plus grosses fortunes mondiales
Eric Emerson Schmidt, né le 27 avril 1955, est le PDG (CEO) de Google à partir de 2001.A partir du 4 avril 2011, il quittera cette fonction, pour occuper celle d'Executive Chairman, et sera remplacé par Larry Page, co-fondateur de Google. Il est également membre du conseil de surveillance de l’université de Princeton dans le New Jersey.
Zone euro réformer le Fonds de soutien 2011
Romandie News
Zone euro: les tractations s'intensifient pour réformer le Fonds de soutien
Bruxelles (awp/afp) - La zone euro mène des discussions tous azimuts sur une mutation qui pourrait donner à son Fonds de secours des allures de véritable Fonds monétaire européen pour mieux affronter la crise, et permettre aux politiques économiques nationales de converger davantage.
"On réfléchit, on lance des idées", a indiqué à l'AFP une source diplomatique européenne, selon qui une conférence téléphonique des ministres des Finances de la zone euro pourrait avoir lieu la semaine prochaine pour faire le point.
Le débat porte sur une éventuelle augmentation des moyens du dispositif mis en place en mai 2010 mais aussi sur un élargissement de sa palette d'outils.
Réunis cette semaine à Bruxelles, les ministres des Finances de la zone euro ont progressé vers un accord visant à augmenter la capacité effective de prêt, sans relever l'enveloppe globale.
Le dispositif est doté sur le papier de 440 milliards d'euros. Mais il ne peut lever effectivement qu'environ 250 milliards, le reste devant être mis de côté du fait de garanties nécessaires pour obtenir des conditions de prêt attractives.
Il s'agirait donc de porter cette capacité de prêt effective à 440 milliards d'euros, ce qui pourrait contraindre les différents pays à relever les garanties nationales qu'il apportent.
Concernant les nouveaux pouvoirs du Fonds, il est question notamment de l'autoriser à accorder des lignes de crédit aux pays de manière plus souple que prévu actuellement, ou à racheter de la dette publique des pays en difficulté sur les marchés. Cela afin de soulager la BCE qui s'en charge actuellement.
Plusieurs journaux allemands ont fait état cette semaine d'un autre mécanisme à l'étude. Il s'agirait de permettre au Fonds de prêter de l'argent aux pays en difficulté pour que ceux-ci puissent eux-mêmes racheter leur propre dette sur le marché, à un moindre coût par rapport à son prix lors de l'émission.
Selon la presse allemande, Berlin pousserait pour un tel plan afin de permettre une restructuration de la dette grecque. Ce qu'Athènes, Berlin et la Commission européenne ont démenti.
"Il y a beaucoup d'options techniques qui vont être explorées d'ici le Conseil européen (sommet)" des 24 et 25 mars, "ça ne veut pas dire qu'elles vont toutes aboutir", souligne-t-on dans l'entourage de la ministre française des Finances, Christine Lagarde.
Le président de la Commission, José Manuel Barroso, fait pression de son côté pour que des décisions soient prises au plus vite, ce qui lui vaut le courroux de l'Allemagne, principal contributeur du Fonds.
"Nous devons maintenant montrer clairement aux marchés qu'on ne fait pas que des déclarations, mais que nous prenons des décisions. Ce n'est pas seulement l'avis du président de la Commission européenne (...) c'est aussi celui du président de la BCE", a-t-il martelé vendredi dans le journal allemand Stuttgarter Zeitung, indiquant "ne pas comprendre" les "réticences" allemandes.
L'Allemagne, elle, estime qu'il n'y a "pas d'urgence" à agir, et préfèrerait attendre mars.
Ces réticences s'expliquent en partie par des enjeux de politique nationale: la chancelière Angela Merkel doit composer avec une opinion publique réticente à payer pour les autres pays endettés, alors qu'elle affronte plusieurs élections régionales cette année. Elle doit aussi compter avec son partenaire libéral au sein de sa coalition, rétif à renforcer le Fonds.
L'Allemagne et la France voudraient par ailleurs s'assurer qu'en contrepartie d'une amélioration du Fonds, les pays de la zone euro s'engagent à plus de discipline budgétaire et de coordination de leurs politiques économiques. En particulier dans le domaine fiscal (harmonisation de l'assiette de l'impôt sur les sociétés par exemple) et social (réformes de retraites). Objectif: doter enfin l'Union monétaire d'une vraie gouvernance économique.
cha
(AWP/21 janvier 2011 13h20)
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Istanbul les Six et l'Iran 2011
Début des négociations nucléaires entre les Six et l'Iran à Istanbul
Les négociations entre les Six et l'Iran portant sur le programme nucléaire de celui-ci ont débuté vendredi à Istanbul, en Turquie.
La chef de la diplomatie européenne Catherine Ashton dirige la délégation représentant les six (les cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU et l'Allemagne). L'Iran est représenté par son négociateur nucléaire Saïd Jalili.
Aucun journaliste n'a eu accès à cette session cruciale, placée sous haute sécurité.
Les Six s'efforcent une nouvelle fois de persuader Téhéran de renoncer à son programme nucléaire, et des avancées sont cette fois-ci attendues .
Certains diplomates affirment que les négociations de deux jours tenues à Istanbul se révèleront plus fructueuses que celles tenues le mois dernier à Genève.
Juste avant que le coup d'envoi des négociations tenues à Istanbul ne soit donné, le ministre assistant chinois des Affaires étrangères Wu Hailong a confié à Xinhua : "Je pense que nous pouvons parvenir à quelques avancées si toutes les parties concernées font preuve d'une certaine flexibilité dans les discussions".
Les Six espèrent que cette nouvelle série de discussions avec l'Iran permettra de favoriser le dialogue sur le programme nucléaire iranien controversé. Téhéran a qualifié ces discussions de "dernière chance pour l'Occident".
Ces discussions se tiennent à peine plus d'un mois après les dernières négociations conduites sur cette question début décembre à Genève.
Au cours des pourparlers en décembre, significatifs, car constituant une reprise du dialogue entre l'Iran et les Six après 14 mois d'interruption, les parties prenantes ont convenu de tenir un autre round de négociations à Istanb
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Algerie principes d'interaction positive 2011
La société algérienne est en attente de nouveaux éléments nécessaires à son développement en vue d'aboutir au "global" qui l'intéresse dans les domaines politiques, économiques, sociaux et culturels, et surtout de s'adapter à la situation actuelle particulière, tout en forçant l'homme à être un acteur déterminant. La juste et équitable résolution des questions d'emploi et de logements représentent une priorité et doivent s'appuyer sur les engagements pris qui prévoient une pleine et entière concrétisation dans le moyen et long termes devant incarner également les valeurs de l'interaction créative d'une "culture" économique menant le pays vers le chemin de l'embellie. Il s'agit là d'un vrai développement durable à faire émerger et auquel aspire le peuple et dont l'essence demeure unique. Un développement où le principe constitue la valeur première et essentielle, qui rend possible une forte harmonisation qui traduit à son tour impérativement les changements et les évolutions en cours, mais pour garantir dans les meilleures conditions l'existence de vie de l'individu, dès lors " attributaire " d'accompagnement permettant la libération des forces vives et des acteurs économiques assurant un développement et une promotion en accord avec le vouloir et l'espérance du peuple. La précision du rôle de l'Etat n'est plus à définir ou à expliquer du moment qu'il intègre pleinement la dimension sociale du développement et permet la pleine valorisation des ressources humaines et matérielles. C'est aussi un meilleur "palier" pour anticiper sur la préparation de l'avenir et un examen de passage vers plus de performances dont les "profondeurs" s'avèrent indispensables pour relever le taux de croissance du revenu national et l'amélioration des politiques de création d'emplois, la lutte permanente pour l'éradication du chômage, le maintien et le développement des services sociaux. L'Algérie caractérisée par la croissance en hausse de sa jeunesse, l'afflux de nouveaux demandeurs sur le marché du travail, fait de ces questions des éléments essentiels à la mise en œuvre d'un cadre prioritaire afin de confirmer l'importance des engagements qui servent à l'établissement d'un développement exhaustif aussi bien économique que social. Les mécanismes clairs élaborés à ce sujet et assortis de " calendriers " favorisent la mise en œuvre des dispositions et des mesures arrêtées. C'est logiquement le rôle incitatif de l'Etat dans le domaine économique qui est mis en relief de créer un environnement favorable à l'investissement avec une forte participation des secteurs public et privé. Dans cette perspective il y a lieu d'encourager la créativité et attirer l'investissement nécessaire pour la recherche et le développement des secteurs productifs et des services à grand rendement. C'est aussi un développement harmonieux, qui fonde une société forte et cohérente à réputation d'accéder au progrès et de participer à l'évolution nationale. L'atteinte de ces objectifs implique de progresser dans certains domaines qui influencent négativement l'évolution de la société et qui doivent être remplacés par les principes d'interaction positive.
B. C.
l'UE face à l'envoûtement du Maghreb 2011
Effluves de jasmin tunisien : l'UE face à l'envoûtement du Maghreb
[Fenêtre sur l'Europe]
Ce mercredi 19 janvier se tenait à Charm el-Cheikh, en Egypte, le 2ème Forum consacré aux affaires économiques et sociales réunissant les dirigeants du monde arabe.
Tout au long de cette manifestation inter-étatique majeure, seul Amr Moussa -en sa qualité de secrétaire général de la ligue arabe- a osé évoquer le cas de la Tunisie en déclarant que les pays arabes devraient tirer une leçon des incidents observés en Tunisie. Les dictateurs, rois et présidents des pays arabes craignent d'évidence une « contagion » du renversement politique tunisien dans leur pays respectif. L'expression d'une solidarité générale des élites arabes envers le peuple tunisien ne semble dès lors pas être à l'ordre du jour … à ce titre, l'UE peut-elle jouer un rôle d'influence conséquent ?
Depuis plusieurs jours, force est de constater que les évènements en Tunisie ont ravivé des espoirs quant aux défis politiques, économiques et sociaux des pays du monde arabe. Le renversement du gouvernement Ben Ali et la situation de transition politique en Tunisie enthousiasment tout particulièrement les peuples du Maghreb et finissent même par susciter de nouvelles revendications. Car nombreux sont les pays en difficulté. En Algérie, la flambée des prix des denrées de base n'a fait qu'accentuer le dégoût de la population vis-à-vis du système et de la corruption de politiciens vieillissants. Symbole de ces indignations : l'immolation par le feu de 4 citoyens algériens. Malgré une révision à la baisse des prix des produits concernés, la contestation des émeutiers n'en reste pas moins vivace. En Mauritanie, au Maroc et en Egypte, de nombreux témoignages recueillis par la presse européenne rendent compte d'une recrudescence de revendications de même nature, en matière de libertés fondamentales notamment.
Sur ce dossier brûlant, une déclaration commune de Catherine Ashton -haute-représentante de l'UE- et Stefan Füle -commissaire européen en charge de la politique de voisinage de l'UE- du 17 janvier rend compte d'un engagement européen tâtonnant : "l'UE se tiendra aux côtés des Tunisiens dans la réalisation de leurs aspirations pacifiques et démocratiques. La Tunisie veut devenir une démocratie stable, qui respecte pleinement les droits et libertés fondamentaux. Elle veut des élections libres, équitables et ouvertes à tous. Nous la soutiendrons dans les efforts qu'elle déploie pour atteindre cet objectif (...).". Le cas tunisien pourrait-il, dès lors, constituer une première mise à l'épreuve du SEAE, tout nouveau dispositif diplomatique européen ?
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Algérie cabinet Oxford Business Group.secteur tourisme 2011
L’Algérie mise sur le tourisme pour diversifier son économie
L’Algérie ambitionne de développer son secteur du tourisme pour diversifier son économie selon le cabinet Oxford Business Group.
jeudi 20 janvier 2011.
L’Algérie prévoit de placer le tourisme en première position dans sa politique tendant à diversifier l’économie, attirer les investissements directs étrangers et créer des emplois, indique un rapport publié par le cabinet international d’études Oxford Business Group (OBG). Près de 1,9 million de touristes ont visité l’Algérie en 2009, soit une augmentation de près de 8%, par rapport à 2008, tandis que les revenus générés par le tourisme en Algérie pour 2009 sont estimés à 330 millions de dollars, selon les statistiques publiées par OBG.
Le rapport mentionne les principaux axes du Schéma directeur d’aménagement touristique (SDAT) lancé en 2008 et "visant à accroître le nombre de touristes à 2,5 millions en 2015". Ces axes consistent en la promotion de l’Algérie comme destination touristique de premier choix, le développement des centres touristiques de haute qualité, l’introduction de contrôles de qualité, la promotion des partenariats public-privé et, enfin, l’encouragement des investissements dans le secteur du tourisme en Algérie.
Synthèse de Mourad, www.algerie-dz.com
D’après APS
Mr Nicolas Sarkosy programme de travail du G20
Nicolas Sarkozy présentera au corps diplomatique, le 24 janvier le programme de travail du G20
[Fenêtre sur l'Europe]
Il s'agira notamment de la réforme du système monétaire international,de la modernisation de la gouvernance mondiale et de la régulation des prix des matières premières.
Nicolas Sarkozy compte s’appuyer sur l’Allemagne avec laquelle la France travaille déjà beaucoup (lutte contre les produits financiers dérivés, évaluation des stocks de matières premières, élaboration d’indicateurs sur les balances commerciales).
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