Europe Turquie Equipement

Equipementiers - 05/08/2008
Continental acquiert 89,66 % du distributeur turc Oltas

Continental annonce l’acquisition de 89,66% du capital d’Oltas, un réseau de distribution de pneus turc.
Oltas SPA, dont le siège se situe à Istanbul, fait partie du groupe de fournisseurs industriels et automobiles Koç Holding (chiffre d’affaires 2007 : 39,5 milliards de dollars). Oltas est le distributeur exclusif en Turquie des pneus du groupe sous les marques Continental, Uniroyal et Barum. En 2007, Oltas a enregistré un chiffre d’affaires de près de 39 millions d’euros avec un réseau de 200 franchisés. Avec cette prise de participation majoritaire, le groupe Continental entend se positionner fortement sur le marché turc où seul un habitant sur dix possède actuellement sa propre voiture. "Les salaires augmentent continuellement et la stabilité économique s’est nettement améliorée par rapport aux années précédentes. La Turquie est un marché en pleine croissance pour le VL et l’un des plus importants marchés de pneus pour véhicules PL en Europe," souligne un communiqué du manufacturier. La finalisation de cette opération dont le montant n’est pas révélé attend encore l’autorisation des autorités de la concurrence turques et européennes. Si elle aboutit, elle fera suite à la prise de participation majoritaire dans la société slovaque Continental Matador Rubber et l’acquisition de Tikka, équipementier finlandais spécialisé dans les clous pour pneus d’hiver. "Nous avons amélioré notre position sur le marché des pneus pour véhicules particuliers dans l’ensemble de la région de l’Europe de l’Est, actuellement en pleine croissance. Cette nouvelle transaction démontre que nous souhaitons continuer notre croissance dans le domaine des pneus et ajouter des compléments significatifs à notre portefeuille," explique Alan Hippe, directeur de la division des pneus pour véhicules particuliers. La semaine dernière, le fabricant de roulements à billes Schaeffler a lancé une offre hostile de 11,5 milliards d'euros sur Continental. Emilie Binois

Chine Google Yahoo Microsoft

Chine : Google, Yahoo et Microsoft s'accordent
Publiée par Ariane le Mardi 5 Août 2008
Brève Business Internet
Critiquées pour leur contribution à la censure du Net en Chine, les firmes américaines Google, Yahoo et Microsoft révisent leur copie. Ces sociétés et d'autres acteurs de l'internet auraient signé avec des organisations de défense des libertés un accord portant sur un code de conduite à adopter en Chine et dans d'autres pays « répressifs », rapporte le Wall Street Journal. En cours d'élaboration, ce code porterait sur les principes de libre expression et de protection de la confidentialité des données privées, précise le quotidien dans son édition du 5 août 2008.A la veille des Jeux Olympiques de Pékin, chacun veut se présenter sur son meilleur jour. Façade ? Pour mémoire, début 2006, Google a été le premier acteur mondial de l'internet à reconnaître sa participation à la censure du Net chinois, avant de se déclarer prêt « à revenir en arrière ». De son côté, Yahoo, accusé par des organisations comme Reporters sans frontières et la World Organization for Human Rights USA d'avoir fourni aux autorités chinoises des informations sur des internautes emprisonnés depuis, a fait son mea culpa fin 2007.

Les Roms ou l'ame de l'Europe

Les Roms ou l'âme de l'Europe

President Gueddafi visite Tunisie

InfoTunisie
Rencontre du Leader Gueddafi avec des personnalités et des cadres féminins tunisiens
Le Leader Mouammar Gueddafi, chef de la grande révolution du 1er septembre a eu, lundi soir, aux Berges du Lac (Banlieue nord de Tunis), une rencontre avec un grand nombre de cadres féminins et de personnalités actives dans le domaine social, notamment, en faveur de la femme, de la famille et l'enfance.
La rencontre a porté notamment sur des questions relatives à l'unité arabe, à l'unité africaine et à l'Union maghrébine ainsi que sur la situation de la femme en Afrique et les défis politiques et de développement auxquels font face les pays africains.
Le chef de la révolution libyenne a affirmé, au cours de cette rencontre, que le continent africain souffre des trois fléaux de l'époque, à savoir, la pauvreté, l'ignorance et les maladies, en dépit des importantes richesses naturelles et humaines qu'il recèle.
Il a relevé que la proclamation de l'Union Africaine lors de la réunion de Syrte en Libye, le 9 septembre 1999, a constitué le point de départ d'une nouvelle étape de coopération et de partenariat entre les Etats africains, mais demeure toutefois insuffisant en l'absence d'une prise de conscience des défis générés par la nouvelle conjoncture politique et économique mondiale.
Il a indiqué que l'inexistence d'une langue commune et la multiplication des dialectes font partie des principaux défis auxquels fait face le continent africain. Ces défis, a-t-il précisé, constituent des entraves à la réalisation d'un développement agissant et efficace, à côté de la prolifération des guerres civiles, de la détérioration des conditions sociales, et du manque de législations qui régissent la vie conjugale et familiale et protègent les droits des femmes et des enfants, générations de demain et avenir du continent.
Il a souligné, dans ce contexte, la volonté de la Libye de promouvoir la situation des catégories sociales, notamment, celle de la femme, à travers "le projet de Gueddafi pour la jeunesse, l'enfant et la femme", qui est parvenu à améliorer les différents indicateurs sociaux et à répondre aux besoins et préoccupations de ces catégories.
Au sujet de l'unité arabe, le leader libyen a fait observer qu'en dépit des efforts consentis, dans le passé, en vue d'instaurer une unité arabe qui s'étend de l'océan jusqu'au Golf, sur la base du nationalisme arabe, il n'en demeure pas moins que ces efforts ont abouti à l'échec pour de multiples causes, ce qui explique la faiblesse et l'impuissance du monde arabe.
Il a indiqué que la nature de l'époque ne nécessite plus l'existence de nations pour se protéger et défendre leurs intérêts, notamment, avec l'émergence du concept de la mondialisation, ajoutant qu'un pays ne peut plus résister, seul, au torrent des défis qui se posent, d'où l'impératif de son intégration dans une union ou un groupement fort.
Il a relevé que l'Union Européenne (UE) qui compte, aujourd'hui, 27 Etats, et qui est dotée d'une monnaie unique, d'un marché commun, d'une force de production unique et d'une position politique unifiée, représente, actuellement, une puissance influente sur la scène mondiale.
Evoquant le projet de l'Union pour la Méditerranée (UPM), il a fait remarquer que le vide posé par l'espace méditerranéen, malgré sa force d'attraction, est à l'origine de l'émergence de l'idée de ce projet. Concernant l'Union du Maghreb Arabe (UMA), le Leader Mouammar Gueddafi a salué la détermination constante du Président Ben Ali à dynamiser cet acquis maghrébin, en dépit des obstacles qui l'empêchent d'accomplir le rôle qui est le sien, comme il se doit.
Dans sa réponse à une proposition d'établir un partenariat actif entre les tissus associatifs tunisien et libyen, le chef de la révolution libyenne a affirmé que les relations bilatérales sont très bonnes, voire excellentes, à tous les niveaux, ce qui est de nature à encourager l'établissement d'une coopération fructueuse et d'un partenariat constructif entre les associations des deux pays frères.
A la fin de cette rencontre, le leader Mouammar Gueddafi a exprimé sa joie personnelle ainsi que du peuple libyen pour la décision prise par son frère, le Président Zine El Abidine Ben Ali, en acceptant de se porter candidat à la prochaine élection présidentielle de 2009.
Il a déclaré, à ce propos que "La Libye éprouve beaucoup d'estime à l'égard du Président Zine El Abidine Ben Ali, lui fait confiance et souhaite qu'il demeure à la tête de la Tunisie soeur".
Auparavant, Mmes Fawzia Khaldi, secrétaire générale- adjointe du Rassemblement Constitutionnel Démocratique (RCD) chargée de la femme, Aziza H'tira, présidente de l'Union Nationale de la Femme Tunisienne (UNFT) et Saida Agrebi, présidente de l'Association Tunisienne des mères (ATM) avaient souhaité la bienvenue à l'illustre hôte du Président Ben Ali, dont la visite coïncide avec les festivités de la Tunisie à l'occasion de l'annonce par le chef de l'Etat d'accepter l'appel de son parti et de son peuple de se porter candidat à la prochaine élection présidentielle.
Elles ont également, salué la détermination constante du Président de la République à renforcer la position de la femme au sein de la famille et de la société et dans la vie publique, dans un cadre d'égalité et de partenariat entiers avec l'homme, ce qui traduit sa profonde conviction que la promotion de la femme est une condition essentielle de l'évolution de la société et de la réalisation du développement global et durable.

Pollusion Méditerannée

doc envoyé msn
AFP - lundi 4 août 2008, 17h16
France: pollution en Méditerranée, près de la réserve de Scandola en Corse
Une pollution aux hydrocarbures a nécessité l'intervention d'un navire spécialisé au nord-ouest de l'île méditerranéenne de Corse (France), près de la réserve naturelle de Scandola inscrite au patrimoine mondial par l'Unesco, ont indiqué lundi les autorités maritimes.
Le navire La Carangue, bâtiment d'assistance et de dépollution de la Marine nationale française a quitté lundi après-midi le golfe de Galeria, après avoir "fini ses opérations de brassage mécanique" destinées à disperser la pollution détectée la veille, a déclaré à l'AFP un porte-parole de préfecture maritime de Toulon (sud de la France).
"Un hélicoptère de la Sécurité civile a survolé la zone et n'a rien vu", a-t-il assuré.
Un autre vol est prévu mardi matin pour vérifier qu'il n'y a plus aucune trace de cette pollution.
Jean-Marie Dominici, un agent du Parc régional de Corse, responsable de la réserve de Scandola, a déclaré à l'AFP avoir aperçu dimanche soir des galettes de goudron et des nappes d'huile en surface. Il avait évoqué l'hypothèse d'un dégazage sauvage datant d'il y a une semaine ou dix jours qui a dérivé vers les côtes occidentales.
La préfecture maritime a fait état d'"une nappe d'hydrocarbures et de détritus divers mêlés, très peu épaisse, de 100 mètres de long sur 3 mètres de large et sans doute d'origine ancienne".
Créée en 1975 et inscrite depuis 1983 au patrimoine mondial de l'Unesco, la réserve de Scandola s'étend sur 1.000 hectares de mer et 900 hectares de falaise, et abrite des centaines d'espèces d'animaux et de plantes rares (mérous, dauphins, rorquals, poissons-lune...).
Près de 200 pollutions dues à des rejets de substances nocives ou d'hydrocarbures sont enregistrées chaque année en Méditerranée, au large des côtes françaises, selon le Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage en Méditerranée (Crossmed).

http://www.french.xinhuanet.com/french/2008-08/04/content_684391.htm

Europe Président européen visite

Le président du Parlement européen fera une visite officielle au Liban et en Syrie du 6 au 12 août

2008-08-05 19:00:01

BRUXELLES, 5 août (Xinhua) -- Le président du Parlement européen (PE) Hans-Gert Pöttering effectuera une visite en Syrie et au Liban du 6 au 12 août, au cours de la quelle il rencontrera les dirigeants des deux pays et des deux Parlements, a annoncé mardi le PE dans un communiqué de presse.
Dans la perspective de cette visite, M. Pöttering a déclaré : "Je souhaite que cette visite réaffirme l'engagement politique du Parlement européen en faveur de la paix au Proche-Orient et de la conclusion d'un accord de paix global associant tous les pays de la région."
M. Pöttering, qui est également président de l'Assemblée parlementaire euro-méditerranéenne (APEM - processus de Barcelone: Union pour la Méditerranée), a indiqué : "L'Union européenne est un partenaire solide et peut jouer un rôle de médiation. A cet égard, l'actuelle relance du partenariat euro-méditerranéen, notamment grâe à la création de l'Union pour la Méditerranée, à la mi-juillet à Paris, doit être considérée comme une occasion propice."
Durant sa visite à Beyrouth du 6 au 9 août, le président du PE rencontrera le président libanais Michel Sleiman, le président de l'Assemblée nationale Nabih Berri, le Premier ministre Fouad Siniora et d'autres ministres libanais. Une visite au Sud-Liban est aussi prévue afin de rencontrer les troupes de la Force intérimaire des Nations unies au Liban (FINUL) sur le terrain.
Au cours de sa visite à Damas du 9 au 12 août, M. Pöttering aura des entretiens politiques avec le préisdent syrien Bachar Hafez Al Assad, le président de l'Assemblée du peuple syrien Mahmoud Aref Al Abrach et d'autres dirigeants syriens.
Il s'agit de la deuxième visite de M. Pöttering au Moyen-Orient. En mai 2007, il s'était rendu en Israël, dans les territoires palestiniens et en Jordanie. Selon le plan prévu, après cette visite, le président du PE se rendra en Lettonie du 19 au 21 août.

Algerie environnement

http://www.dz.undp.org/energie/energie%20et%20environement.html

Energy Europe EDF British Energy

Energie : Projet de fusion avorté entre EDF et British Energy
[Fenêtre sur l'Europe]
Alors que la fusion entre les groupes franco-britannique paraissaient imminente, EDF a renoncé à racheter British Energy.
Le groupe électrique français EDF a mis un terme à ses ambitions de rachat de son rival britannique, la société British Energy. L’offre de 15.000 millions d’euros faite aux Anglais a été considérée comme insuffisante.En somme, il s’agit plutôt d’une mauvaise nouvelle pour le gouvernement britannique, qui comptait sur EDF pour lui donner les moyens technologiques nécessaires pour développer son nouveau projet d’énergie nucléaire au Royaume-Uni.Pierre Gadonneix, Président d’EDF, a tenu à expliquer qu’ « après des discussions approfondies nous estimons, après avoir entendu les exigences de toutes les parties, que les conditions notamment financières, permettant un développement majeur en Grande-Bretagne, ne sont pas réunies à ce jour ».Entreprise publique fondée en 1995, British Energy a été privatisée très vite dès 1996. Aujourd’hui, elle ne dispose pas des capacités financières et technologiques qui lui permettraient de construire des centrales atomiques. La volonté britannique d’accélérer le développement nucléaire vise à enrayer sa dépendance aux importations de pétrole et de gaz, notamment en raison de l’épuisement de ses stocks en Mer du Nord. P.G.

Google création

Google a investi dans une cinquantaine d'entreprises depuis sa création en 1998. Si la plupart d'entre elles sont des start-ups qui n'ont pas coûté chères au moteur de recherche, certaines de ces acquisitions l'ont tout de même poussé à faire de gros chèques. Quelquefois avec bonheur, comme pour Applied Semantics, dont la technologie est à la base d'Adsense. Parfois, en revanche, le mariage a été moins heureux.Retrouvez les plus grosses acquisitions de Google.

USA Energie LED

La ville d'Anchorage installe 16 000 lampadaires à LED
(En savoir +)
La ville d'Anchorage située dans l'Etat de l'Alaska (USA) prévoit de changer un quart de ses lampadaires municipaux par des LED à haut rendement, soit au total 16 000 lampadaires.
En effet, les habitants peuvent profiter de 8 heures de lumière naturelle par jour pendant seulement une période de 85 jours dans l'année. Le reste du temps, c'est la lumière artificielle qui prend le relais."Depuis plusieurs mois, nous avons largement étudié de nouvelles technologies d'éclairage afin de réaliser des économies sur les coûts de l'énergie et de la maintenance. Nous avons aussi tenu une conférence sur l'éclairage et réaliser une enquête publique en mars de cette année qui a montré que nos résidents approuvent massivement le nouvel éclairage à LED blanche" a déclaré le maire d'Anchorage.Les ampoules à LED sont censées utiliser 50% d'énergie en moins que les actuels lampadaires, ce qui pourrait faire économiser à la ville environ 360 000 dollars de facture d'électricité par an. Le coût du projet est estimé à 2,2 millions de dollars."La LED sera basée sur les performances de la technologie à LED CREE XLamp(r). Elle dure jusqu'à sept fois plus longtemps que la lampe au sodium, et permettra à la ville de mieux utiliser ses ressources d'entretien."