阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Saturday, October 09, 2010

Koléa. Clôture de la 2e édition de Kolé Andalouse



La grande nouba du Maghreb

La soirée de clôture s’est achevée très tard dans la nuit, aux premières heures de la journée d’hier (samedi, ndlr).

L’amphithéâtre de l’Ecole nationale des impôts (ENI) de Koléa aura vibré depuis 21h jusqu’à 1h du matin aux rythmes fous de l’andalou et du haouzi.En dépit d’une chaleur étouffante qui régnait à l’intérieur de la grande salle de conférences de l’ENI, les mélomanes se sont entassés pour assister à la clôture de la 2e édition de KoléAndalouse. Un tour de chauffe a été entamé par l’orchestre de Dar El Gharnatia de Koléa dirigé magistralement par le chef et violoniste Saoudi Med Chérif. L’orchestre composé de 22 musiciens et 16 musiciennes ont interprété, sous la direction du maestro durant 50 minutes, la nouba Zemzoum dans la 1re partie de leur récital et l’autre partie a été consacrée aux airs musicaux aâroubi et haouzi.

La jeune artiste Hadji Chahrazed s’est révélée un autre rossignol qui vient de surgir de cet ensemble de musiciens, qui ne cesse d’étonner par son sérieux et sa rigueur dans la recherche du patrimoine andalou. Vêtus de leur traditionnelle tenue marocaine, les virtuoses de l’orchestre «Chabab Al Andalous de Rabat » font leur apparition sur scène pour nous interpréter un échantillon de la musique andalouse sous la direction de Mohamed Amine Debbi, avec son tar. C’est un artiste connu auprès du public de Koléa. Tour à tour, les artistes marocains ont offert des istikhbarates avec la derbouka, violoncelle, aoûd et violon, pour préparer l’assistance, à l’entrée sur scène du mounchad Sidi Mohamed Hadj Badjdoub. Celui-ci a aussitôt entamé son tour de chant dans un rythme soutenu.

Assis sur sa chaise, il s’est rapidement imposé sur scène. Une voix très claire et tonique, utilisant ses mains et les agitant aux rythmes de la musique. Il n’a pas mis beaucoup de temps pour réagir «aux ordres» et exécuter les chansons du mounchad. Petits gestes amicaux, sourires furtifs, beaucoup de temps pour saoûler l’assistance.

Le public s’est transformé en un chœur pour lancer au public par cet homme du haut de ses 70 ans. Plus fascinant encore, son souffle et ses cordes vocales répondaient à chacune des notes musicales produites par les artistes marocains, pour maintenir le tempo, même quand le ténor improvise quelques mots de Ammi Slimane Annani, pour les interpréter en chanson et les dédier à Dar El Gharnatia. Sidi Mohamed Hadj Badjdoub chantait l’amour, la beauté, l’amitié, la paix, la solidarité, les beaux rêves et les larmes d’une séparation entre deux personnes amies.

L’assistance est déjà «ivre», emballée par la résonance des mots chantés par le ténor marocain. Il est déjà minuit. L’amphithéâtre ne désemplit pas. La cerise sur le gâteau, pour cette mémorable soirée, est indéniablement la montée sur scène, pas du tout programmée, du maître incontesté Hadj Ahmed Piro (80 ans), très connu sur la scène mondiale de la musique andalouse. Ce Marocain ami de l’Algérie depuis des lustres, tenant dans sa main sa mandoline, en duo avec Hadj Mohamed Badjdoub a fait un tabac.

Maestro Hadj Badjdoub

Les youyous de femmes fusaient et les applaudissements de l’assistance ne cessaient de chauffer l’ambiance, jusqu’à pousser des hommes à investir le pied de la scène, pour abandonner leurs corps aux rythmes fous imposés par les 2 maîtres ; accompagnés faut-il le souligner par les artistes algériens et marocains ; chacun dans sa tenue traditionnelle, qui se sont fondus pour constituer un orchestre inédit pour la clôture de cette 2e édition de koléAndalous. Maître Hadj Ahmed Piro et son compatriote Hadj Badjdoub avaient réussi à faire tanguer femmes et hommes dans les airs purs de la musique andalouse, d’autant plus que le public s’est amusé à chanter en chœur le récital durant ces moments de rêve.

Le rythme musical et les refrains proposés par les 2 maestros montaient crescendo, entraînant une partie des hommes (Marocains et Algériens) à entrer en transe sous l’effet de la magie des 2 grands artistes. L’association Dar El Gharnatia, à commencer par son président Kherrous Boualem et ses proches collaborateurs arborent des mines de satisfaction à la suite du succès retentissant de leur 2e koléAndalouse. Il n’en demeure pas moins que s’il y a un heureux plus que les autres au sein de toute cette marée humaine, c’est bien l’Algérien de Fouka, Ali Ouameur, un architecte qui vit à Casablanca depuis 18 ans. Il est l’initiateur de ce rapprochement entre les peuples marocains et algériens à travers la culture, particulièrement par le biais de la musique andalouse, qui continue à démolir et éliminer, tel un jeu d’échecs, les entraves qui se dressent dans le rapprochement entre les familles algériennes et marocaines.

Depuis les planches de la scène, au milieu des artistes, il s’est contenté de balayer de son regard cette folle atmosphère qui a marqué la fin de la soirée et l’ambiance créée par les grappes humaines mixtes, algéro-marocaines, qui se sont vite constituées après le baisser de rideau. Un pari réussi pour les responsables des associations culturelles. Pour l’anecdote, le docteur Abdellah Chérif Ouazani, président de la fondation Moulay Abdellah Chérif, pour les études et les recherches scientifiques est arrivé le vendredi en provenance de Casablanca. Il avait reporté volontairement sa participation à la conférence internationale relative au soufisme, comme support de communication et d’initiative entre les différentes religions et les civilisations, qui devait avoir lieu le jour même à Genève (Suisse). Il voulait être présent à Koléa et participer au bonheur des artistes des 2 pays. Un geste hautement apprécié par ses amis de Dar El Ghanatia de Koléa et le public présent.



La soirée de clôture s’est achevée très tard dans la nuit, aux premières heures de la journée d’hier (samedi, ndlr).M'hamed Houaoura

Algerie la protection des personnes âgées : 35 amendements proposés par les députés





L’avant-projet de loi portant protection des personnes âgées, élaboré par le ministère de la Solidarité nationale sera présenté ce mardi devant les députés pour adoption.

Un certain nombre de propositions a été formulé par les membres de l’Assemblée afin d’appuyer le projet pour ne citer que la création d’une carte nationale pour les personnes âgées, faciliter les procédures administratives du pèlerinage pour cette catégorie précise et la mise en place des services de gériatrie dans des hôpitaux.

Cependant, la nécessité de revoir à la hausse la pension que perçoit cette catégorie de la société, fixée actuellement à 3000 DA par mois, constitue l’essentiel des propositions des députés. En somme, 35 amendements liés au projet ont été émis, indique M. Daâdoua, chef de groupe parlementaire FLN.

Rappelant les interventions des députés de son parti qui se sont succédé lors de la séance-débat consacrée au projet, Ayachi Daâdoua dira que son groupe parlementaire adoptera le texte de loi en question.

Le RND semble se ranger, lui aussi, dans l’optique du ministère de la Solidarité. Son porte-parole et chef de groupe parlementaire, Miloud Chorfi, dira que des députés RND ont pris part à la commission de travail de l’APN chargée de l’étude du projet et que 02 amendements ont été formulés par son parti concernant l’enrichissement du texte. Tout comme son partenaire dans l’Alliance, FLN, le RND se prononcera à la faveur du projet, précise M. Chorfi.

Par ailleurs, le Parti d’El Islah préfère s’abstenir comme le précise le député Filali Ghouini. Celui-ci ne voit pas dans le projet une prise en charge concrète des personnes âgées et que le texte y afférent nécessite encore plus de réflexion, a-t-il estimé.

Le ministre de la Solidarité nationale, Saïd Barkat, a fait savoir lors de la présentation du projet que l’objectif phare n’est point de revoir à la hausse la pension mais de garder ces personnes âgées chez les leurs.

A cet égard, le ministre qui souligne «la nouveauté du phénomène» dans la société algérienne, dira que le nombre de personnes âgées se trouvant dans des centres d’accueil est de 2107 dont 508 femmes, soit 0,078% de la population algérienne.

Pour les centres d’accueil, il dira qu’ils sont au nombre de 32 et que seuls 3 nouveaux centres sont prévus dans le prochain quinquennat alors qu’au cours du précédent, 7 centres avaient été construits : «Nous n’encourageons pas le transfert des vieux vers ces centres, notre politique a pour objectif de les maintenir chez eux».

D’ailleurs, sur plan juridique, une amende de 50.000 DA et une peine de prison allant jusqu’à 5 ans peut être infligée à l’égard de celui qui délaisse une personne âgée, prévoit l’article 31 du projet en question. Pour la prise en charge, le ministre souligne l’installation de 220 cellules de proximité chargées de les assister. Il y a lieu de noter que la totalité des personnes dépassant les 65 ans au pays s’élève actuellement à 2,7 millions.

Aux origines d’Alger : un diagnostic archéologique place des Martyrs




Les travaux d'infrastructure du métro d'Alger et de ses ouvrages annexes (stations, puits de ventilation, etc.) se déroulent dans le périmètre de la Casbah, inscrit au patrimoine national algérien depuis 1973, et au Patrimoine mondial de l'Humanité par l'Unesco en 1992. Plus de deux mille ans de l'histoire d'Alger y sont enfouis.
Ce quartier recouvre en effet une partie de l'agglomération d'Ikosim, un ancien comptoir punique. Les connaissances sur l'origine de cette cité sont toutefois limitées : la fondation de l'antique Ikosim remonterait au iiie siècle avant notre ère. La cité faisait partie intégrante du royaume de Maurétanie de Juba II (52 av.- 23 de notre ère), prince élevé à Rome et dont la capitale est Césarée (Cherchel). En 40 de notre ère, la mainmise romaine devient totale après l'assassinat de Ptolémée, fils de Juba II, sur ordre de Caligula. Ikosim, sous le nom romanisé d'Icosium, devient alors municipe romain – statut dont bénéficient les cités autonomes au sein de l'Empire. En 371-372, la Maurétanie se soulève et suit Firmus, prince rebelle à Rome, qui souhaite instaurer un État indépendant : Césarée et Icosium sont prises. Au viie siècle, à la naissance de l'Islam, la tribu des Beni Mezrenna s'y implante. En 1516, le corsaire Arudj Barberousse fonde à Alger une république qui résistera à Charles-Quint. Puis la ville connaît un développement important à partir du xvie siècle, sous la domination ottomane. A partir de 1830, l'époque coloniale laisse également son empreinte.
Pour les archéologues, il s'agit là d'une occasion unique d'ouvrir une fenêtre dans le sous-sol de la place des Martyrs. Bien conservés, les niveaux archéologiques atteignent plus de 7 m d'épaisseur. Le site révèle des caves de l'époque coloniale, un quartier commerçant d'époque ottomane (xvie-xixe siècles), d'importants vestiges paléochrétiens et des niveaux antiques.

Un partenariat international exemplaire
Conscientes des conséquences de ce projet urbain sur les vestiges archéologiques, les autorités algériennes ont suscité la mise en œuvre d'une opération d'archéologie préventive, sans précédent en Algérie. Elle est assurée par le ministère de la Culture algérien en collaboration avec le ministère des Transports, en partenariat avec l'Institut national de recherches archéologiques préventives français, sous l'égide du Centre du patrimoine mondial de l'Unesco.
L'Office national de gestion et d'exploitation des biens culturels protégés (ogebc) et l'Entreprise du métro d'Alger (ema) lui apportent leur concours matériel.
L'intervention est réalisée par une équipe franco-algérienne d'archéologues qui mettent en commun leurs compétences et leur savoir-faire et relèvent de plusieurs institutions agissant de concert :
– Ministère de la Culture de la République algérienne démocratique et populaire ;
– Institut national de recherches archéologiques préventives ;
– Centre national de la recherche archéologique ;
– Direction de la culture de la wilaya d'Alger ;
– Office national de gestion et d'exploitation des biens culturels protégés.
Les résultats de ce diagnostic permettront de préciser, voire de restreindre l'emprise de la station de métro, afin de limiter la destruction des vestiges.

Le quartier des souks ottomans
Au sud de l'emprise, dans un premier sondage, les restes du quartier des souks d'époque ottomane ont été mis au jour. Deux rues pavées distribuaient des échoppes et des ateliers d'artisans. Un atelier de ferronnerie présente des sols de travail construits en briquettes sur des voûtes encore en élévation, ainsi que des aménagements liés au travail du métal, des forges et des fours.

Une basilique paléochrétienne
Dans les niveaux sous-jacents, une basilique paléochrétienne a été découverte. Il s’agit d’un bâtiment de taille respectable dont la nef principale fait près de 10 m de largeur. Les limites des collatéraux n’ont pu être reconnues car les murs se situent en dehors de l’emprise du diagnostic.
Le dernier sol, qui recouvre un état primitif, est constitué d’une mosaïque polychrome qui pourrait remonter au ive ou ve siècle de notre ère. La partie périphérique comporte un décor de cercles sécants noirs sur fond blanc avec croix centrale. Le décor central est constitué de cercles dentelés alternativement rouges et verts, et d’une série de panneaux carrés décorés de « nœuds de Salomon ». Il subsiste la base d’un piédestal mouluré dans ce qui pourrait être l’abside ainsi que les traces d’encastrement de panneaux d’un chancel dans le chœur.
Après l’abandon de l’édifice religieux, une nécropole est installée dans les ruines du bâtiment.
Cet ensemble recouvre un édifice plus ancien remontant au Haut-Empire romain, dont ne subsistent que les fondations.

Au nord de l’emprise, un autre sondage a révélé un quartier d’habitation de l’époque ottomane, repris et transformé pendant la colonisation. Il surmonte les murs de maisons romaines occupées jusqu’à l’antiquité tardive.
Ces résultats sont encore provisoires, puisque les niveaux les plus profonds de la place des Martyrs n’ont pas encore été dégagés laissant espérer des vestiges de l’époque punique, voire des vestiges proto et préhistoriques.

Responsables scientifiques
Kamel Stiti, CNRA et François Souq, Inrap
Publié le 31 juillet 2009 · Mis à jour le 4 octobre 2010
code opération : 9800100004

Investissements touristiques en Algérie



Par Badiaa Amarni
Le CNI donne le feu vert aux projets émiratis

Les projets émiratis en souffrance depuis un certain temps en Algérie viennent d’être débloqués à la faveur de l’accord donné par le Conseil national des investissements (CNI). Plusieurs de ces projets vont donc être lancés, à l’exemple du village touristique implanté dans la zone côtière de Moretti. Ce projet dont l’enveloppe est estimée à 41 milliards de dinars est constitué d’un hôtel 5 étoiles, de tours résidentielles, d’un centre commercial, d’appartements et d’une marina.Ces informations diffusées il y a un certain temps viennent d’être confirmées par le ministre du Tourisme, M. Smaïl Mimoune, hier, sur les ondes de la Chaîne III de la radio nationale, sans pour autant que soit évoqué le nom de cet investisseur émirati. Mais tout porte à croire qu’il s’agit du projet annoncé en grande pompe il y a quelques années. Ce projet, dira le ministre, pourrait créer pas moins de 1 500 emplois. Et d’ajouter qu’«il y a 48 heures, les entreprises de réalisation ont signé avec la société algéro-émiratie pour entamer les travaux». Ce projet, rappelons-le, a été déposé en 2007. Le ministre n’a pas omis de préciser que le projet «dispose de certains avantages accordés par l’Agence nationale de développement des investissements (Andi) à l’exemple de l’exonération des droits de douane pour les biens et services importés et l’exonération temporaire de certaines taxes [TAP, IBS]». Une autre confirmation émanant également de Smaïl Mimoune concerne le groupe Emirat International Investments Company (EIIC) qui va lancer la construction dans la même zone d’un hôtel 5 étoiles de
292 chambres, de 162 appartements, d’un centre d’affaires et d’une salle de conférences pour un coût global de 13 milliards de dinars. Ce projet pourrait créer 778 postes d’emploi. D’autres projets koweïtiens, égyptiens et libanais sont attendus. La possibilité de leur lancement est à l’étude, a expliqué l’invité de la radio, ajoutant que l’accord de principe est donné par son département et qu’il ne reste plus que la finalisation de leurs dossiers au niveau de l’Andi. L’invité de la Chaîne III fera savoir que le CNI réunira ses membres chaque semaine pour étudier les dossiers d’investissement dans des délais plus courts. Pour ce qui est des projets émanant des investisseurs nationaux, le ministre annonce que 474 dossiers ont obtenu l’accord du ministère et du CNI, notamment pour ceux qui sont propriétaires de terrains. L’Algérie est dotée de 2 200 structures entre hôtels et agences de voyages, selon le ministre qui juge «anormal de garder les mêmes prix durant toute l’année». Il plaidera, à cet effet, «pour des prix promotionnels pour certaines saisons de l’année». Le parc hôtelier du pays s’élevait en septembre 2010 à 1 120 établissements (publics et privés), dont 8 établissements
de catégorie 5 étoiles, 8 autres de 4 étoiles, 97 de 3 étoiles, 92 de 2 étoiles, 64 établissements d’une étoile et 851 autres sans étoile.
Les efforts doivent être poursuivis pour promouvoir la destination Algérie.

B. A.

Fermeture provisoire de cinq agences de voyages
«Cinq agences de voyages ont fait l’objet de fermeture provisoire pour une durée de six mois pour manquement à leurs obligations professionnelles», a répondu, hier sur les ondes de la radio Chaîne III, le ministre du Tourisme et de l’Artisanat, Smaïl Mimoune, en réponse à la question concernant les désagréments causés par certaines agences aux Algériens ayant effectué la omra. Selon lui, il s’agit d’«une mesure conservatoire avant que la commission nationale qui suit le dossier se réunisse et rende son verdict». Ces agences peuvent être sanctionnées conformément à la loi en vigueur ou se voir retirer leur agrément définitivement.Il faut savoir également que, désormais, les agréments des agences de tourisme et de voyages seront renouvelés tous les trois ans. Un cahier des charges doit être signé par les concernés. Ce document comporte 27 obligations, dont un certain nombre d’ordre général et d’autres concernant l’administration et la clientèle.
Il existe 874 agences de tourisme et de voyages et 98 succursales.

Union européenne PMI PME


Les petites et les moyennes entreprises sont des entreprises dont la taille, définie à partir du nombre d'employés, du bilan ou du chiffre d'affaires, ne dépasse pas certaines limites ; les définitions de ces limites diffèrent selon les pays.

L'Union européenne définit la catégorie des micro, petites et moyennes entreprises (PME) et au sein de celle-ci les petites entreprises et les microentreprises.

La règlementation française distingue les très petites entreprises (TPE) de moins de 20 salariés [1], les petites et les moyennes entreprises (PME) de 20 à 250 salariés, les entreprises de taille intermédiaire (ETI) et les grandes entreprises (GE) dont l'effectif dépasse les 250 salariés.

Dans les pays anglo-saxons, on retrouve généralement le terme Small and medium enterprises (SME).

Le 6 mai 2003, l'Union européenne a adopté la recommandation 2003/361/CE fixant les définitions des entreprises en fonction de leur taille et de la nature des relations qu'elles entretiennent avec d'autres entreprises. Les définitions sont entrées en vigueur le 1er janvier 2005, en remplacement de celles de la recommandation 96/280/CE. Ces définitions utilisent les concepts d'entreprises autonomes, d'entreprises partenaires et d'entreprises liées afin de séparer les PME faisant partie d'un groupe des PME autonomes.

« La catégorie des micro, petites et moyennes entreprises (PME) est constituée des entreprises qui occupent moins de 250 personnes et dont le chiffre d'affaires annuel n'excède pas 50 millions d'euros ou dont le total du bilan annuel n'excède pas 43 millions d'euros].
« Dans la catégorie des PME, une petite entreprise est définie comme une entreprise qui occupe moins de 50 personnes et dont le chiffre d'affaires annuel ou le total du bilan annuel n'excède pas 10 millions d'euros.
Dans la catégorie des PME, une microentreprise est définie comme une entreprise qui occupe moins de 10 personnes et dont le chiffre d'affaires annuel ou le total du bilan annuel n'excède pas 2 millions d'euros.La recommandation précise que « l'effectif correspond au nombre d'unités de travail par année (UTA), c'est-à-dire au nombre de personnes ayant travaillé dans l'entreprise considérée ou pour le compte de cette entreprise à temps plein pendant toute l'année considérée. Le travail des personnes n'ayant pas travaillé toute l'année, ou ayant travaillé à temps partiel, quelle que soit sa durée, ou le travail saisonnier, est compté comme fractions d'UTA

Création d’une agence pour le développement des énergies renouvelables en Mauritanie


Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES
Le Conseil des Ministres Mauritanien, réuni Jeudi 7 Octobre 2010, a examiné et adopté le projet de décret portant création d’un Etablissement Public à caractère Industriel et Commercial dénommé : Agence Nationale de Développement des Energies Renouvelables (ANADER)..

La création de cet établissement s’inscrit, dans le cadre de la politique de réformes multisectorielles que ne cessent d’entreprendre les pouvoirs publics mauritaniens, en vue d’améliorer qualitativement les conditions de vie des populations en dotant les villes et terroirs du pays des équipements et infrastructures sociaux de base..

En outre, cette Agence est créée pour être un outil stratégique performant en matière de conception, d’études et de réalisation des projets dans le secteur des énergies renouvelables. Cette Agence tout en créant les conditions d’un développement et d’une utilisation des compétences nationales locales, devrait permettre également un accès rapide et transparent d’un plus grand nombre des populations mauritaniennes, notamment en milieu rural, aux systèmes énergétiques fonctionnels, et produits au niveau national..

AMI.
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Algerie programmes nationaux de recherche ( PNR ) en Energies Renouvelables


Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES
Pour saisir la portée des énergies renouvelables en Algérie et les enjeux considérables qu’elles sous-entendent, il convient tout d’abord de rappeler les ressources considérables et inépuisables existantes de ces énergies non encore exploitées à savoir le gisement solaire exceptionnel qui couvre une superficie de 2.381.745 Km2, avec plus de 3000 heures d’ensoleillement par an et l’existence d’un potentiel énergétique appréciable éolien et géothermique facilement mobilisable..

Par ailleurs, ces énergies sont propres, renouvelables et s’utilisent là où elles se trouvent et leur caractère décentralisé convient bien à l’état éparpillé des zones à faible densité de population. En conséquence, elles peuvent contribuer à la protection de l’environnement et être considérées comme une alternative d’avenir aux énergies conventionnelles. Ces énergies sont pour l’avenir du monde rural et contre son isolement pour la santé et l’alimentation en eau, contre la déforestation et pour les télécommunications. Ce qui induit la stabilisation des populations sur leurs lieux d’origine avec des perspectives prometteuses quant à leurs conditions de vie..

La ratification du protocole de Kyoto et la loi sur la promotion des énergies renouvelables dans le cadre du développement durable sont venues confirmer la volonté politique algérienne et l’engagement de notre pays pour l’exploitation de ces ressources naturelles renouvelables et non polluantes, grâce à une mobilisation accrue des efforts de recherche/développement pour la maîtrise des technologies mises en oeuvre dans les installations de conversion des énergies renouvelables de puissance..

La recherche scientifique et le développement technologique dans le domaine des énergies renouvelables se feront autour de programmes spécifiques ayant un impact direct sur la réalité socio-économique du pays. Les principaux objectifs scientifiques assignés à chacun des programmes consistent à évaluer les gisements énergétiques renouvelables, à maîtriser et optimiser les procédés de conversion, de transformation et de stockage de ces énergies et à développer un savoir-faire nécessaire, allant de l’étude jusqu’à la réalisation des installations sur site..

Les prochaines années s’annoncent prometteuses pour les énergies renouvelables. La lutte contre le changement climatique, le développement de la production électrique décentralisée ou centralisée et le progrès technique devraient donner un essor à ces filières..

Le programme mis en place ces dernières années, sur les énergies renouvelables et le développement durable, est un signal suffisamment fort en direction de la communauté des chercheurs nationaux et internationaux pour affirmer l’adhésion de notre pays aux développements des ressources renouvelables et leurs applications. Par ailleurs, en vue de consolider les acquis du programme national antérieur de recherche dans le domaine des énergies renouvelables, les actions à entreprendre visent l’évaluation du gisement énergétique y afférent, à développer les techniques, les procédés, les matériaux ainsi que la maitrise des systèmes. Ces actions doivent se concrétiser sur le terrain avec un impact socio-économique visible sur la base d’études pertinentes..

Afin que ces actions répondent aux attentes souhaitées pouvant aboutir à la valorisation des résultats obtenus, il est suggéré :.

d’encourager les projets fédérateurs ;
de travailler en réseau pour bénéficier de la pluridisciplinarité ;
de favoriser la coopération de partenaires étrangers en particulier d’origine algérienne.
DEFINITION DES DOMAINES DE RECHERCHE Les domaines comme suit :.

DOMAINE1 : ENERGIE SOLAIRE
DOMAINE2 : ENERGIE EOLIENNE
DOMAINE3 : ENERGIE GEOMETRIQUE
DOMAINE4 : BIOENERGIE
DOMAINE5 : HYDROGENE ET PILES A COMBUSTIBLE
DOMAINE6 : SOURCES D’ENERGIES RENOUVLABLE MULTIPLE
DEFINITIONS DES AXES DE RECHERCHE : Les axes et sous-axes par domaines de recherche sont les suivants :
DOMAINE 1 : ENERGIE SOLAIRE
Axe 1 - Gisement Solaire
Thème 1 : Instrumentation et Mesures Radiométriques
Thème 2 : Evaluation du Gisement solaire
Thème 3 : Etude de Faisabilité et incidence financière
Axe 2 - Technologie Photovoltaïque
Thème 1 : Matériaux Photovoltaïques (Cristallogène, Filières cristalline et en Couches minces des matériaux classiques et nouveaux, ………)
Thème 2 : Procédés Technologiques de la cellule solaire
Thème 3 : Modules photovoltaïques
Thème 4 : Systèmes et applications photovoltaïques (éclairage, protection cathodique, Télécommunication, pompage, Froid, toit solaire, applications spatiales...)
Thème 5 : Centrales photovoltaïques
Thème 6 : Contrôle, régulation et asservissement
Thème 7 : Stockage électrochimique
Axe 3 - Technologie Thermo solaire
Thème 1 : Matériaux Solaires
Thème 2 : Capteur solaires hélio thermiques (plans, concentrateurs...)
Thème 3 : Systèmes et applications thermiques (chauffage, séchage, serre, Froid thermique, dessalement, distillation,...)
Thème 4 : Centrales Thermodynamiques
Thème 5 : Habitat Solaire (Passifs, Actifs, Matériau, …… )
Thème 6 : Stockage Thermique
DOMAINE 2 : ENERGIE EOLIENNE
Axe 1 – Gisement Eolien
Thème 1 : Instrumentation et Mesures Météorologiques
Thème 2 : Evaluation du gisement
Thème 3 : Etude de Faisabilité et incidence financière
Axe 2 – Eoliennes
Thème 1 : Aérodynamique
Thème 2 : Structure et matériaux
Thème 3 : Eoliennes mécaniques
Thème 4 : Aérogénérateurs (petite, moyenne et grande puissance)
Axe 3 -Applications Eoliennes (Pompage de l’eau, Production d’électricité décentralisée,...
Axe 4 - Fermes Eoliennes
Axe 5 - Contrôle, régulation et asservissement
Axe 6 - Stockage
DOMAINE 3 : ENERGIE GEOTHERMIQUE
Axe 1 - Gisement Géothermique
Axe 2 - Fluide géothermique
Axe 3 - Technologies d’exploitation
Axe 4 - Applications géothermiques (irrigation, chauffage, séchage ...)
Axe 5 - Centrales Géothermiques (étude de faisabilité, dimensionnements...)
DOMAINE 4 : BIOENERGIE
Axe 1 - Ressources des filières et mobilisation
Axe 2 - Procédés de bioconversion (thermo physique et biologique)
Axe 3 - Traitement et valorisation énergétique des déchets
DOMAINE 5 : HYDROGENE ET PILES A COMBUSTIBLE
Axe 1 - Potentiel Hydrogène
Thème 1 : Procédés de production d’hydrogène par voie renouvelable
Thème 2 : Applications et systèmes de conversion de l’hydrogène
Thème 3 : Stockage
Thème 4 : Sécurité
Axe 2 - Piles à combustible
Thème 1 : Membranes (polymères…)
Thème 2 : Stockage
DOMAINE 6 : SOURCES D’ENERGIE RENOUVELABLE MULTIPLE
Axe 1 - Systèmes et Applications hybrides, (solaire, éolienne, géothermique, diesel...)
Axe 2 - Injection et stabilité du réseau
Axe 3 - Régulation et électronique de puissance
Ce que vous devez savoir....

Délais [deadlines]
Clôture pré-soumission du premier appel : 15 octobre 2010 [lien]
Clôture des soumissions premier appel : 30 octobre 2010 [lien]


Conditions de recevabilité :
Projet soumis par équipe de 3 à 6 chercheurs (pouvant inclure des chercheurs provenant d’établissements hors Algérie, des doctorants issus du système LMD, du personnel de soutien) Le projet doit obligatoirement être multisectoriel, au moins deux secteurs (2 ministères différents, sauf pour le PNR sciences fondamentales, deux institutions pouvant appartenir à un même secteur)
Pour les projets retenus, les enseignants chercheurs doivent consacrer leur temps à la réalisation du projet. A l’exception de leurs charges statutaires d’enseignement et d’encadrement, ils ne peuvent pas exercer d’autres activités rémunérées, notamment les heures supplémentaires. Le dossier de soumission doit être bien rédigé et envoyé en version word à l’adresse : pnr@nasr-dz.org


Suivi du dossier : Vous pouvez suivre l’évolution de votre dossier sur notre site web à partir du 5 octobre à l’adresse/ http://www.nasr-dz.org/projets-pnr

Energies nouvelles : Le Sahara pourrait alimenter toute l’Europe



Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES
Les écologistes mènent des actions pour vulgariser la consommation de l’énergie « verte » ; les économistes pour leur part calculent encore sur une rentabilité à court terme des investissements dans le secteur de l’énergie renouvelable et les politiques de tous bords hésitent à décider franchement sur l’option du développement en matière d’énergie renouvelable..

La réticence politique et financière, observée chez de nombreux pays, qui disposent des énergies fossiles (gaz, pétrole, charbon), apparaît au grand jour. En majorité, les Etats préfèrent investir dans le pétrole, le gaz et le nucléaire plutôt que dans les économies des énergies. Les dirigeants de ces pays savent pertinemment que le développement de l’énergie verte bouleversera sans aucun doute la carte mondiale de l’énergie, et beaucoup de pays perdront leur pouvoir. L’Algérie bénéficie d’un gisement inépuisable grâce au Sahara, d’autant plus que la chaleur solaire se transforme en énergie électrique. Ce gisement demeure encore inexploité. On peut produire de l’énergie solaire concentrée. L’Etat de Californie (USA), qui se projette dans l’avenir pour devancer le temps, a décidé de construire une centrale électrique 10 fois plus grande que celle d’Alméria (sud de l’Espagne).
En effet, un groupe d’industriels en Espagne a décidé de développer ce type d’énergie pour alimenter 500 000 habitants à partir de la centrale d’Alméria, une source d’énergie gratuite et inépuisable. Le plus grand parc éolien du monde a été inauguré, en septembre dernier, au large des côtes sud de l’Angleterre. Ce projet consistait à l’implantation dans la mer de 100 machines (éoliennes, ndlr) d’une hauteur de 115 m qui utilisent la force des vents pour produire de l’énergie électrique. Ce projet alimentera des foyers dont le nombre avoisine 245 000 habitants..

Les responsables de ce projet prévoient de tripler la capacité de production dans les 4 années à venir. Dans le domaine de l’énergie solaire, la technologie ne cesse d’enregistrer une croissance incroyable. Les atouts des énergies renouvelables sont multiples, comme c’est le cas de l’énergie éolienne. Le vent, l’eau et les rayons du soleil produisent de l’énergie électrique sans risque écologique. « Si vous implantez des éoliennes sur une superficie de 2025 km2, nous déclare le Dr. J.P. Charles, l’Algérie sera en mesure de fournir de l’énergie électrique pour toute l’Europe. Juste pour vous dire la chance que détient l’Algérie »..

La réalisation de la 1ère centrale éolienne en 2010, dans la wilaya d’Adrar, un projet faut-il le souligner financé par Sonelgaz, aura coûté 30 millions d’euros selon les chercheurs scientifiques qui avaient participé au 1er séminaire méditerranéen sur l’énergie éolienne qui s’est déroulé à l’UDES (Unité de développement des énergies solaires) de Bou Ismaïl (Tipasa). Des études sont en cours pour déterminer les lieux d’implantation des futures centrales éoliennes en Algérie. Cet autre chercheur européen abonde dans les débats et déclare : « En Allemagne, l’énergie éolienne permettra de créer 300 000 emplois d’ici 2020 », dit-il. Pour l’instant en Algérie, c’est au niveau de projet. Ce mégachantier, qui commence à voir le jour, s’articule sur le développement des énergies propres qui regroupera l’éolienne, la photovoltaïque et le thermo solaire..

Ce sera une autre source de revenus pour l’Algérie. Les potentialités naturelles de notre pays permettront de fournir de l’énergie électrique à de nombreux pays de l’Europe, du bassin méditerranéen et même du Moyen-Orient. Le montant de l’investissement pour ce projet nécessitera une enveloppe financière de 400 milliards d’euros, des moyens financiers pour la construction des installations et la mise en place des réseaux de transport de l’énergie. Certains chercheurs observent que les énergies renouvelables ne sont pas permanentes dans beaucoup de pays, car tout dépendra de la disponibilité des vents et des rayons du soleil, ce qui n’est pas le cas pour l’Algérie..

Un projet stratégique est en cours de démarrage à Hassi R’mel, il s’agit d’une station bi- énergique (solaire et gaz) qui favorisera une liaison à travers une ligne électrique à haute tension entre Hassi R’mel (Algérie) et Aachen (Allemagne). Tout le long du trajet de cette ligne électrique à haute tension, certaines régions des wilayas bénéficieront des avantages économiques et sociaux. L’Algérie prévoit de construire une cinquantaine de stations similaires à celle de Hassi R’mel dans différentes régions. « Des responsables officiels français reconnaissent à huis clos que l’éolien est moins polluant que le nucléaire, nous dit-il, car 9 g de CO2 sont produits par l’éolien et le nucléaire dégage 12 g de CO2 », conclut-il..

L’exemple européen. L’Europe a pris conscience des pertes économiques, d’où son engagement à mettre en place des lignes de transport d’électricité à longue distance pour alimenter un grand nombre de foyers et autres points consommateurs d’énergie électrique. La fonctionnalité de ces lignes électriques s’effectuera en continue et plus jamais en alternatif afin de réduire les pertes par effet joule. L’Allemagne, locomotive de l’Europe, accuse 10 années de retard sur l’usager, à cause justement de cette absence des lignes de transport de l’énergie électrique à grande distance. L’énergie éolienne sert à réchauffer l’eau en 1er lieu..

De par l’immensité de notre Sahara, l’énergie thermosolaire est en mesure d’alimenter en énergie électrique propre tout le pays. Si, aujourd’hui, les technologies avancent à grands pas, le problème de l’énergie ne doit en aucune manière se poser. Pour développer toutes ces énergies renouvelables, pas du tout polluantes, et laisser un précieux héritage pour les générations futures, les pouvoirs politiques doivent afficher concrètement leur volonté pour s’engager dans les investissements dans le secteur des énergies renouvelables. Une législation devra servir de garde-fous pour tranquilliser les investisseurs..

Les grands médias, à leur tour, doivent se mobiliser pour sensibiliser les citoyens et les opérateurs économiques à une utilisation de cette énergie électrique propre. Les régions isolées pourront bénéficier des atouts de l’énergie renouvelable (éclairage public, éclairage domestique, électrification rurale, chauffage des serres agricoles, alimentation en électricité des ateliers de l’artisanat, pompage de l’eau, entres autres). La Gendarmerie nationale utilise ces procédés pour éclairer des unités de son institution. L’énergie renouvelable est actuellement considérée comme étant l’alternative la plus appropriée et également la plus importante pour faire face à l’épuisement des énergies fossiles..

La pollution avance à grand pas et menace l’avenir de la planète. L’Algérie a intérêt à franchir le pas pour se lancer dans la concrétisation des projets du Centre de développement des énergies renouvelables. La recherche ne suffit pas, si elle n’est pas suivie par un acte politique courageux. La Tunisie se prépare pour accueillir en 2012 un séminaire méditerranéen dans ce sens, pour être à l’avant-garde dans la mise en place de ces technologies favorables à son développement économique. L’Algérie qui possède d’énormes moyens, par rapport à de nombreux pays, hésite encore dans cette nouvelle politique économico-environnementale, relative à la mise en place dans son vaste territoire de stations de production des énergies propres..

El Watan.
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Tlemcen de Tetma le doux chant andalou. youtube


Tlemcen (arabe : تلمسان soit Tlemsān) est une métropole d'environ 400 000 habitants du nord-ouest de l'Algérie.

Chef-lieu de la wilaya de Tlemcen, frontalière du Maroc, elle est considérée par Si Kaddour Benghabrit comme la « perle du Maghreb .

Située dans l'arrière-pays, au cœur d'une région de vignes et d'oliviers, elle est réputée pour ses cuirs, ses tapisseries et son industrie textile. La ville mêle influences berbères, arabes, hispano-mauresques et françaises. Cependant, sous un contraste d'influences naturellement disparate, l'apport andalous est le plus ancré et le plus apparent.Tlemcen est un mot composé de Tala et imsan, ce qui veut dire « source tarie » en tamazight. Le mot est cité pour la première fois par Tabari qui mentionne le nom en parlant des Banou Ifren. Par la suite, Ibn Khaldoun nie l'existence de la ville de Tlemcen avant sa fondation par les Banou Ifren. Cependant, la ville fut au départ la Kalaa de Tlemcen, dirigée par des Banou Ifren et qui fut appelée Agadir (signifie forteresse en berbère).Le frère d'Ibn Khaldoun, Yahya Ibn Khaldoun, dit que Tlemcen signifie « le désert et le tell . Selon d'autres sources, l'étymologie du mot signifierait « ville des eaux .

Les informations sur l'origine du nom de la cité, qui fut un royaume au Maghreb, proviennent de la tradition orale, dominante pendant très longtemps. Aucun texte n'a étayé l'une ou l'autre des hypothèses, alors que Tlemcen a abrité l'un des plus illustres collèges, la Medersa, levier puissant de l'introduction de la preuve historique écrit



ReKrute.com Viadeo sur le Maghreb



Communiqué de Presse -
Après de précédents partenariats réussis avec les groupes Adenclassifieds (2007) (leader français), Infoempleo (2008) (leader Espagnol) ou encore The Network (2008) (association de 65 portails emploi leaders dans le monde entier), ReKrute.com s’entoure à nouveau d’acteurs de grande renommée pour garantir sa présence au niveau international et maghrébin et répondre de façon personnalisée aux attentes de ses clients tunisiens en matière de recrutement.

En ligne avec sa vocation de créer une passerelle technologique à forte valeur ajoutée pour connecter en continu les meilleurs profils tunisiens avec les entreprises qui recrutent, ReKrute.com renforce par ce partenariat avec Viadéo la qualité du sourcing et des profils proposés de Cadres, Dirigeants et Professions Intermédiaires en mettant à la disposition des entreprises tunisiennes des outils innovants, et ayant fait leurs preuves en Europe, pour toujours mieux recruter.

En effet, par cet accord avec Viadeo, ReKrute.com enrichit sa palette de solutions d’e-recrutement en devenant le représentant exclusif du géant des réseaux sociaux professionnels en Europe sur le Maghreb pour la revente des solutions de recrutement des réseaux sociaux : offres d’emploi, Profilthèque et autres services de Communication RH.

« En nous associant à Viadeo, nous avons voulu être en phase avec les nouveaux moyens de communication en recrutement en proposant une solution complémentaire à ReKrute.com à nos clients, et toujours plus d’offres d’emploi à nos candidats. Grâce à cette solution, nos entreprises clientes pourront ainsi toucher différemment les meilleurs candidats du marché », déclare Ramla Jamel, Directeur Général de ReKrute.com Tunisie.

« En signant ce partenariat avec ReKrute.com nous affirmons notre volonté de développer durablement Viadeo au Maghreb .Cette alliance facilitera la mise en relation entre les membres Viadeo et les recruteurs de la région.», affirme Olivier Fecherolle, Directeur Général France de Viadeo

ReKrute.com, le 1er site de recrutement en ligne au Maghreb, a toujours placé les attentes de ses candidats et recruteurs au cœur de ses réflexions stratégiques. Ainsi, il a su bâtir depuis bientôt 2 ans une offre de services de qualité en Tunisie pour les accompagner efficacement dans leurs recherches. Grâce à ce nouveau partenariat, ReKrute.com affirme encore une fois sa position de leader sur le marché de l’emploi maghrébin tant par son innovation continue que par sa stratégie mise en place pour satisfaire le marché de l’emploi dans la région

Algérie-RASD: évaluation de l’action culturelle bilatérale



Algérie – La ministre de la Culture, Khalida Toumi, et son homologue sahraouie, Khadija Hamdi, ont évalué, jeudi à Alger, la coopération bilatérale dans le domaine culturel et examiné l’élaboration d’un plan commun pour la promotion de cette coopération dans divers domaines

Dans une déclaration à la presse, à l’issue de son entretien avec Mme Toumi, Mme Hamdi a souligné que cette rencontre qui s’inscrit dans le cadre de la coordination entre les ministères de la Culture algérien et sahraoui, a été consacrée à « l’évaluation des importantes étapes franchies dans le cadre de l’action commune, en vue d’élaborer un plan d’action futur dans les domaines de la formation, le théâtre, la musique, la bibliothéconomie, la recherche archéologique aussi bien pour le patrimoine matériel qu’immatériel ».

APS

L’artiste peintre Algérien Mr Nourredine Chograne expose à Alger



Algérie – L’artiste peintre Nourredine Chograne expose actuellement à l’Etablissement art et culture au Bastion 23 à Alger ses œuvres d’inspiration impressionniste qui résument 35 ans de travail et de création artistique

A travers ses 67 toiles, l’artiste Chograne invite les visiteurs à pénétrer son monde propre. Dans une déclaration à l’APS, le peintre explique la prédominance de la couleur bleue dans ses travaux par « la magie qu’elle dégage et sa symbolique qui marque plusieurs entités comme la méditerranée, l’homme Targui et l’espoir ».

Pour l’artiste, ses tableaux sont des messages de paix, d’espoir, d’amour et de liberté dans le style impressionniste et expressionniste. L’exposition, ouverte jeudi soir en présence d’intellectuels et de journalistes, dénote d’un professionnalisme affirmé et d’une haute qualité dans le travail qui renseigne sur la longue expérience de l’exécutant.

APS

Rapport 2010 de la Fondation Anna Lindh


France Biladi
Présentation à Rabat des résultats du rapport 2010 de la Fondation Anna Lindh

Réalisée en collaboration avec l'Institut Gallup sur un échantillon de 13.000 habitants issus de 13 pays européens et sud-est méditerranéens, cette enquête (170 pages) ambitionne de réduire le fossé que s'est creusé dans les perceptions mutuelles entre les populations vivant des deux côtés de la Méditerranée et mieux comprendre les défis auxquels fait face la région euro-méditerranéenne.

Plus de trois-quarts des personnes interrogées ont déclaré que la région était plutôt ou fortement caractérisée par son hospitalité, son mode de vie, sa gastronomie, son patrimoine culturel et son histoire communs et sa créativité. Néanmoins, des différences apparaissent nettement dans les réponses entre habitants de deux rives.

Par exemple, les Européens associent plus souvent la région méditerranéenne à un certain mode de vie et à une nourriture spécifique que ceux des pays du Sud et de l'Est de la Méditerranée (90% contre 75%), et perçoivent plus souvent la région comme une source de conflits (73% contre 61%).

Par ailleurs, le rapport souligne qu'une majorité de personnes reconnaissent les avantages qu'il y aurait à tirer d'une plus forte coopération régionale, telle que cela est inscrit dans les objectifs de l'Union Pour la Méditerranée (UPM).

D'autre part, le document note une augmentation des interactions entre les populations à travers l'Europe et la Méditerranée mais aussi un fossé dans les perceptions mutuelles. En effet, la méconnaissance et les perceptions erronées demeurent manifestes entre les populations, en particulier en ce qui concerne la perception des systèmes de valeurs de l'Autre. Le rapport révèle notamment l'hétérogénéité des points de vue quant aux valeurs religieuses.

Parmi les principaux résultats, l'enquête révèle que, bien qu'une personne sur trois des deux côtés de la Méditerranée ait eu l'opportunité de rencontrer durant l'année passée des habitants d'autres pays de la Région, la méconnaissance et les perceptions erronées demeurent ancrées chez les populations, en particulier en ce qui concerne la perception des systèmes de valeurs de l'Autre.

Toujours selon l'enquête, près de six personnes interrogées sur dix venant du Sud et de l'Est de la Méditerranée pensent que les parents européens accordent une importance majeure à apprendre à leurs enfants à vivre de manière indépendante (57%), et (44%) d'entre eux voient également l'enseignement de la curiosité comme une valeur d'importance chez leurs voisins européens. Cependant, seulement un Européen sur cinq a mentionné l'indépendance en premier ou second lieu (19%) comme une des valeurs clés dans l'éducation de leurs enfants, et seulement (13%) ont mentionné la curiosité.

D'un autre côté, seul un quart des personnes interrogées venant du Sud et de l'Est de la Méditerranée pensent que les Européens enseignent le respect à l'égard des autres cultures à leurs enfants, (17%) disent que la solidarité familiale est importante pour les Européens, alors que 14% croient que les parents enseignent l'obéissance à leurs enfants. Les Européens émettent également des jugements erronés sur leurs voisins quand il s'agit des valeurs transmises aux enfants, en particulier en sous-estimant l'importance de la croyance religieuse pour les peuples du Sud et de l'Est de la Méditerranée qui fut à la tête de leurs priorités avec (62%).

En s'appuyant sur les conclusions de l'enquête et sur les analyses du Rapport, un certain nombre de directives et de propositions ont été formulées, dont celles consistant à relayer les images et les valeurs clés associées à la région. Soutenir les médias dans l'amélioration de la connaissance et du respect, encourager le dialogue entre les personnes de religions différentes, et investir dans l'éducation interculturelle figurent parmi les principales pistes envisagées.

Les treize pays euro-méditerranéens concernés par l'enquête d'opinion Anna Lindh/Gallup 2010 étaient: l'Allemagne, la Bosnie-Herzégovine, l'Egypte, l'Espagne, la France, la Grèce, la Hongrie, le Liban, le Maroc, le Royaume Uni, la Suède, la Syrie, et la Turquie.


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