Wednesday, September 22, 2010
Algérie-Union européenne : L’entrée en vigueur de la zone de libre échange reportée
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Algérie-Union européenne : L’entrée en vigueur de la zone de libre échange reportée
By Toma
La date d’entrée en vigueur de la zone de libre échange entre l’Algérie et l’Union européenne prévue à partir de 2017 et qui implique un démantèlement tarifaire complet « est remise aux calendes grecques », nous a déclaré un responsable au ministère du Commerce.
Cette hypothèse découle de la demande de l’Algérie de révision de cet accord intervenu en 2005 et qui a été ce qu’on peut appeler à « sens unique », de l’avis de nombreux experts et responsables, c’est-à-dire qu’il a été loin de profiter à l’économie algérienne.
Une première rencontre d’évaluation de cet accord a été tenue en juin dernier et l’Algérie est train de dresser la liste des produits qui ne doivent plus entrer sur son territoire sans droits de douane, une situation qui fragilise des pans entiers de l’économie (produits industriels et agricoles). Cette décision avait déjà été rendue publique au lendemain de la réunion d’évaluation qui a impliqué le ministre des Affaires étrangères en personne.
Quant au contenu de cette liste et les produits qui seront concernés, notre interlocuteur a reconnu qu’il est « prématuré » d’en dévoiler la teneur au motif qu’elle doit être au préalable « avalisée par une commission ministérielle ».M. Benbada, ministre du Commerce, au lendemain de sa succession à M. Djaboub, avait pour sa part, parlé de « révision de certains taux ou carrément de la suspension de la franchise des droits de douanes » L’Algérie qui a fait part de ses griefs auprès de ses partenaires européens sur les déséquilibres nés de cet accord avait engagé ussitôt des discussions avec l’UE.
Elle a invoqué un « bilan négatif de échanges et des déséquilibres des intérêts sur les trois dernières années ». D’ailleurs, la suppression des droits des douanes a « entraîné en 2009 un manque à gagner de 2,2 milliards de dollars alors que les flux d’investissements européens vers l’Algérie sont à peine 500 millions de dollars ».
Les consultations se sont déroulées « conformément aux articles 4 et 11 de l’accord d’association qui prévoit une clause dite de rendez-vous tous les cinq ans à l’évaluation de sa mise en application ». L’Algérie a commencé à s’inquiéter des etombées de tous ses accords de libre échange destinés à marquer une ouverture sur l’économie mondiale, avec l’UE ou avec le monde arabe.
Ce dernier accord instaurant la Zale (zone arabe de libre échange) entrée en vigueur en 2009 n’a pas manqué de faire réagir les pouvoir publics qui ont décidé de limiter les exemptions aux produits qui ne concurrencent pas la production nationale.
Quant à l’accord avec l’Union européenne, datant de 2002, le premier signé par l’Algérie, avec une zone économique avec laquelle elle assure 65 % de commerce, il prévoit, à l’horizon de 2017, une zone de libre échange qui consacre définitivement l’ouverture des frontières et la suppression totale des barrières tarifaires et non tarifaires pour les produits en provenance du marché européen.
Dès l’entrée en vigueur de l’accord, plus de 2300 produits de l’Union européenne ont été exemptés de droits de douane, avec une baisse progressive des droits de douane sur une période de sept ans, pour 1100 produits industriels finis et un démantèlement graduel sur dix ans pour 2000 autres biens de consommation, soumis à des taux allant de 15% à 30%.
Kaddour D_Horizons
Paris peine à convaincre Alger : Révision de l’accord franco-algérien de 1968 sur l’immigration
En attendant la reprise des négociations sur la révision de l’accord franco-algérien de 1968 sur la circulation, l’emploi et le séjour des Algériens en France en automne prochain, Paris continue d’affirmer sa décision d’appliquer «la politique d’immigration choisie» envers même les Algériens en dépassant les avantages offerts par l’accord sur l’immigration qui lie les deux pays. Mais Alger n’a pas l’air d’adhérer pleinement à cette démarche.
Dans une interview accordée au Figaro dans son édition de samedi dernier, le ministre français de l’Immigration, de l’Intégration et de l’Identité nationale, Eric Besson, a déclaré : «Nous pratiquons une politique d’immigration choisie qui est désormais celle de toute l’Union européenne». Avant de souligner «les accords migratoires que nous signons avec les pays africains comprennent des quotas par professions correspondant à nos besoins et à nos capacités d’intégration».
Ainsi, les négociations s’annoncent difficiles avec l’Algérie qui fait partie des pays africains liés avec un accord sur la circulation des personnes et M.Besson reconnaît «les difficultés des négociations avec l’Algérie» concernant la révision de l’accord portant sur l’immigration qui remonte à 1968. Sachant que Paris tient à adopter cet accord à la politique migratoire initiée par le président français Nicolas Sarkozy, une politique basée sur l’immigration choisie.
Il faut dire que Paris peine à convaincre Alger pour donner le coup d’envoi des négociations autour de la possibilité d’apporter des changements aux acquis de l’accord de 1968 relatifs à la circulation des personnes entre les deux pays.
Sachant que le président de la République, Abdelaziz Bouteflika avait fait une promesse à Claude Guéant, secrétaire général de l’Elysée, et Jean-David Levitte, conseiller diplomatique du président Nicolas Sarkozy, qui étaient en visite à Alger dimanche 20 juin.
A rappeler que cette information a été donnée par Jaques Toubon, président de la Cité nationale de l’histoire de l’immigration, lors d’une conférence au Centre culturel français (CCF) à Alger. Cependant, en réalité, le dossier de l’immigration entre Alger et Paris est loin d’être réglé comme le veut Sarkozy. D’ailleurs, «les deux pays restent au stade de consultations et rien n’a été encore décidé», comme nous l’explique une source proche de dossier.
Ainsi, l’Algérie n’est apparemment pas prête à céder sur des acquis et des droits des immigrés algériens conclus dans l’accord de 1968. Si on revient à la conférence tenue par Jaques Toubon à l’issue de sa visite en Algérie, cet ex-ministre expliquera qu’«il ne s’agit pas de supprimer l’accord de 1968 qui a été modifié trois fois. Il a fait l’objet de trois avenants.
Il s’agit de négocier un quatrième avenant. La négociation a déjà fait l’objet de trois rencontres. La quatrième aura lieu en automne». Selon lui, l’amendement de l’accord de 1968 a été évoqué en 2003, lors de la visite de l’ex-président français à Alger Jacques Chirac.
Il faut rappeler qu’à l’époque, Paris parlait de la signature d’un traité d’amitié avec l’Algérie mais la loi du 23 février votée par l’Assemblée nationale française qui glorifie la période coloniale française a tout arrêté.
Et voilà qu’après presque sept ans, Sarkozy parle d’une immigration choisie et se cache derrière l’Union européenne pour réviser l’accord de 1968. Il faut savoir que l’accord de 1968 offre à un ressortissant algérien, détenteur d’un visa de court séjour, d’acquérir d’autres règles de séjour y compris la résidence.
Ce qui est considéré comme un avantage exceptionnel mais Paris veut «discuter de cette disposition, la limiter ou la rendre moins fréquente», comme l’avait expliqué Jaques Toubon. Il y a lieu de souligner que le ministère français de l’Immigration présentera prochainement à l’Assemblée nationale française, un projet de loi sur l’immigration. Un projet qui aura des conséquences sur la loi d’acquisition de la nationalité française.
En tout cas, la remise sur le tapis du dossier de l’immigration est intervenue suite à «une réconciliation» entre les deux pays après une crise qui s’est prolongée avec le cumul des dossiers qui fâchent entre l’Algérie et la France, dont le dernier est l’opération militaire qu’a réalisée la France avec le Mali au Sahel sans «aviser l’Algérie».
Nacera Chenafi_Le jour d'Algérie
Visite Mme d’anne-marie idrac en Algérie : Un nouveau souffle aux relations algéro-françaises
Avec l’heureux dénouement que la sombre affaire du diplomate Mohamed-Ziane Hasseni et le non-lieu dont il a bénéficié, peuton dire qu’on est sorti de la zone de turbulence ? Tout porte à le croire.
Signe de ce renouveau : la reprise de visites off iciel les de hauts responsables politiques français. La Secrétaire d'Etat française chargée du Commerce extérieur, Anne-Marie Idrac, est arrivée dimanche à Alger, pour une visite de deux jours.
Objectif : le renforcement de la coopération économique franco Algérienne. Cette visite survient quelques mois après celle, le 20 juin, du secrétaire général de l'Elysée Claude Guéant et en prévision d'une prochaine mission de l'ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin.
Ce dernier a été chargé au début du mois par le président Nicolas Sarkozy de faciliter et de développer les investissements bilatéraux. La secrétaire d'Etat chargée du Commerce extérieur auprès de la ministre de l'Economie, de l'Industrie et de l'Emploi de la République française a été reçue hier par Le Premier ministre, M. Ahmed Ouyahia.
Mme Idrac est accompagnée d'une importante délégation économique composée du président de la Chambre de commerce et d'industrie de Paris, d'un représentant du Medef et des responsables des sociétés Total, Lafarge, Saint-Gobain, Cristal Union, Sanofi-Aventis et Alstom. “Nous voulons investir en Algérie.
Nous voulons investir sur le long terme” a indiqué la secrétaire d'État français, chargée du Commerce extérieur, Animant, avant-hier, une conférence sur la présidence de la France, du G20, à l’Ecole Supérieure Algérienne des Affaires.
Mme Anne- Marie Idrac a indiqué que les projets des entreprises françaises qui l’accompagnent, “sont tout à fait en écho” de ce que dit le gouvernement. “Nos amis du gouvernement algérien nous disent qu’ils veulent diversif ier leur économie, réduire la dépendance du marché algérien vis-à-vis des produits importés. C’est tout à fait normal.
C’est tout à fait légitime. Quel meilleur moyen de réduire les importations que de développer sur place les industries de ciment, de pharmaceutique, de matériel de transport, de sucrières, de l’emballage pour les produits agroalimentaire”, souligne la secrétaire d'État français, chargée du Commerce extérieur. “Ce sont des projets sur lesquels nous pensons que nous pouvons faire du gagnant - gagnant”, a estimé Mme Anne- Marie Idrac.
“Nous pensons que c’est intéressant de développer un tissu industriel et de prof iter, le plus vite possible, des transferts technologiques”, a ajouté Mme Idrac. La secrétaire d’État français, chargée du Commerce extérieur, a rappelé que le président Nicolas Sarkozy est venu à deux reprises en Algérie. “Son projet est de construire une relation durable et de conf iance.
Il y a de nombreux partenariats, l’idée est de les faire vivre de manière pragmatique”, a-t-elle affirmé. Mme Anne-Marie Idrac a évoqué aussi les nombreux accords signés par les administrations des finances des deux pays.
“Il est question de créer une école du Trésor. Nous avons des coopérations dans le domaine des ports”, a-t-elle indiqué, parlant de la coopération institutionnelle. Sur le plan économique, la secrétaire d'État français chargée du Commerce extérieur a souligné que la France est le premier investisseur hors hydrocarbures en Algérie.
La ministre s’est félicitée qu’“environ 400 entreprises françaises activent en Algérie. Et que 35 000 emplois directs et environ 100 000 emplois indirects ont été créés”. Mme Anne- Marie Idrac se réjouit aussi de l’engagement de l’Algérie, réitéré par le ministre du commerce, d’adhérer à l’OMC. Le ministre du Commerce, Mustapha Benbada, qui a demandé, dans ce cadre, le soutien de l’UE, en particulier la France.
La secrétaire d'État français chargée du Commerce extérieur a, dans la foulée, annoncé la tenue, durant le 1er semestre 2011, d’un forum algéro-français. Questionnée sur les mesures de la loi de finances complémentaire 2009, confirmées dans la loi de f inances 2010, Mme Anne-Marie Idrac a répondu qu’elle n’est pas là “pour apprécier la politique économique du gouvernement algérien”.
DE GRANDES ENTREPRISES FRANÇAISES ENVISAGENT D’INVESTIR EN ALGÉRIE
Les entreprises Françaises ne sont pas rebutées par la règle des 51/49%. La secrétaire d'État français chargée du Commerce extérieur a indiqué avoir rencontré les entreprises françaises implantées en Algérie, qui ont exprimé leur souhait d’élargir leurs investissements en Algérie.
Mme Idrac a évoqué, avanthier, des projets qu’elle soumettra au premier ministre Ahmed Ouyahia, qui se chiffrent en milliards et qui pourraient créer plusieurs milliers d'emplois. De grandes sociétés françaises, déjà implantées en Algérie, ont exprimé dimanche à Alger leur souhait de pouvoir élargir leurs investissements à travers le pays et ont demandé aux autorités algériennes à leur faciliter la tâche.
"Nous attendons depuis 2007 la concrétisation d'un projet de pétrochimie à Arzew (Ouest d'Algérie) qui coûtera 5 milliards de dollars et devant permettre un important transfert de technologie ainsi que la création de milliers d'emplois", a indiqué M. Pascal Petteau, représentant de Total-Algérie en souhaitant l'avancement de ce projet.
Le Directeur général de Cristal-Union, premier producteur de sucre en France, Alain Commissaire a, pour sa part, exprimé la volonté de son groupe d'investir à long terme en Algérie.
"Nous sommes venus pour y rester. Nous envisageons la construction, avec un partenaire algérien privé, d'une raff inerie de sucre à Boumerdès et il ne nous manque que la validation du CNI » a-t-il aff irmé. Le groupe Alstom, déjà présent dans la fourniture des systèmes du tramway compte également se lancer dans "la création d'usines d'assemblage pour les rames de Tramway", selon son vice-président, Paul Moneyron.
Le groupe Lafarge, installé depuis deux ans en Algérie où il a déjà investi 100 millions d'euros et créé 2.400 emplois, envisage "d'augmenter sa capacité de production de ciment af in de contribuer à contenir la spéculation sur son prix" constatée sur le marché algérien, a fait savoir son directeur général adjoint Guillaume Lebeau.
Le représentant de Sanof i-Aventis, partenaire de Saidal, a annoncé, à son tour, la "construction prochaine d'une usine de médicaments d'une très grande capacité dans la ville de Sidi Abdallah (Ouest d'Alger) avec un investissement de 167 millions d'euros".
"Nous avons déposé le dossier (d'investissement) à l'ANDI en juillet dernier et nous attendons la réponse", a-t-il ajouté. Le chef du comité de management de la région Euromed pour le groupe Renault, Jacques Chauvet, a aussi exprimé le souhait de son groupe, présent depuis 1998 sur le marché algérien, de "développer un projet de production de pièces de rechange" ce qui devra aider, selon lui, à lutter contre l'émergence de la contrefaçon de ces pièces.
Spécialisé dans l'emballage en verre, le groupe Saint Gobain a, à son tour, avancé qu'il était "en train d'attendre les délibérations du CPE (Conseil des Participations de l'Etat) concernant son achat de deux verreries à Oran et Tébessa", selon son directeur général adjoint Jérôme Fessard. "Cet investissement devra nous coûter 40 millions d'euros et permettra la création de quelque 600 emplois", a-t-il noté tout en s'engageant de faire de ces deux sociétés algériennes "des leaders en la matière".
La France premier fournisseur de l’Algérie La France reste le premier fournisseur de l’Algérie. Alors que ses parts de marché ne cessaient de s’éroder depuis plusieurs années, concurrencer notamment la chine, les voila qui remontent au premier trimestre 2010.
Certes les exportations de l’Hexagone ont diminué, par rapport au trois premiers mois de l’année, 2009, mais beaucoup moins que celles des ses principaux concurrents. Les banques françaises, bien implantées en Algérie, maitrisent la technique du Credoc.
Selon les Douanes algériennes, au premier trimestre 2010, les livraisons de la France ont baissé de 0,46% par rapport à la même période 2009, pour s’établir à 1,78 milliards de dollars. La France conforte ainsi sa place de premier fournisseur de l’Algérie avec 18,6% contre 17,4% au premier trimestre 2009.
Kezoul, L-Le Financier
Djemila, Algeria UNESCO SITE Youtube
Djemila (Tamazight: Ğamila, Arabic: جميلة, the Beautiful one, Latin: Cuicul or Curculum) is a mountain village in Algeria, near the northern coast east of Algiers, where some of the best preserved Berbero-Roman ruins in North Africa are found. It is situated in the region bordering the Constantinois and Petite Kabylie (Basse Kabylie).
Dejemila is a UNESCO World Heritage Site, and it was inscribed as such in 1982. It was recognized because of its unique adaptation of Roman architecture to a mountain environment. Buildings present in Djemila include a theatre, two fora, temples, basilicas, arches, streets, and houses. The exceptionally well preserved ruins organize themselves around the forum of the Harsh, a large paved square, the entry to which is marked by a majestic arch
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Le chômage, épine dans le pied de l’Europe
Le chômage est la plaie de l’Europe. Au cours du demi-siècle dernier, l’économie européenne a engrangé les succès : augmentation du niveau de vie, amélioration des conditions de travail, hausse de la productivité et renforcement de l’offre de loisirs. Comparée aux autres économies, elle est globalement compétitive. Elle compte dans ses rangs un pays qui était jusqu’à l’année dernière le premier exportateur mondial de produits manufacturés, l’Allemagne – désormais en deuxième position derrière la Chine. La France, en plus d’être la première destination touristique au monde, affiche la meilleure productivité horaire de la planète. L’Italie se distingue par l’excellence de ses entreprises artisanales, la Scandinavie par ses compétences en matière de télécommunications, et ainsi de suite. Autrement dit, l’Europe n’est pas mauvaise au jeu de la compétitivité. Elle n’est simplement pas très douée pour créer de l’emploi. Le taux de chômage y est élevé par rapport au reste du monde développé : dans la zone euro, il s’établit en moyenne à 10%, ce qui est plus qu’au Royaume-Uni, au Canada, en Australie, au Japon, et même aux Etats-Unis. Qui plus est, il perdure. Entre 1995 et 2005, par exemple, le taux de chômage moyen en France s’élevait à 10,6%. En outre, le taux d’emploi (c’est-à-dire la proportion de personnes en âge de travailler qui travaillent) y a été relativement faible, à l’exception, principalement, de la Scandinavie. L’un des objectifs de l’Agenda de Lisbonne, le programme lancé en 2000 pour améliorer l’efficacité de l’Union européenne, était d’augmenter ce taux d’emploi. Les résultats, même avant la récession, ont été décevants. Certes, l’économie européenne a fait baisser le niveau de chômage pendant les années de conjoncture favorable, mais les progrès réalisés ont été inégaux. Pis, beaucoup des nouveaux emplois créés étaient temporaires, donnant ainsi naissance à un marché du travail à deux vitesses : les travailleurs d’un certain âge étaient des «travailleurs intégrés», bénéficiant de droits inamovibles et de prestations de retraite très avantageuses, tandis que les jeunes étaient des «travailleurs exclus», nombre d’entre eux étant dans l’impossibilité de trouver des postes à durée indéterminée et contraints, de ce fait, de jongler entre plusieurs contrats temporaires ou à temps partiel. Si certains pays ont su utiliser leurs travailleurs à temps partiel de manière efficace – les Pays-Bas ont été habiles de ce point de vue –, de nombreux jeunes ont été exclus de l’emploi à temps plein dans d’autres. Comment a-t-on pu en arriver là ? Il existe une explication, brève et brutale, quoique incomplète. Bien intentionné et conçu pour protéger les droits des travailleurs en activité, le droit du travail a sapé l’envie et la capacité des employeurs à créer de nouveaux postes. Ainsi, des pays offrant une protection moindre à leurs travailleurs – à cet égard, le Royaume-Uni est un bon exemple – ont été de meilleurs générateurs d’emploi (sur les trois derniers mois, le Royaume-Uni a créé 300 000 emplois – malgré la hausse du nombre d’allocataires des indemnités de chômage ; l’Union européenne n’en a créé aucun). Mais ce n’est là qu’une partie de la réponse. De manière plus générale, le problème tient également au fait que, dans un monde de plus en plus globalisé, les emplois peuvent être délocalisés en Inde ou en Chine. Les travailleurs très qualifiés sont toujours très demandés et certains emplois moins qualifiés doivent rester sur place. Mais, entre les deux, c’est tout un éventail d’emplois qui disparaît. Il a toujours été difficile de faire correspondre les compétences et les offres d’emplois. Certains pays européens ont eu plus de mal que d’autres. H. M.
23-09-2010
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Consultant Algerie France Europe
Patrick Le berrigaud
Consultant PMI PME Freelance communication modérateur Développeur de Réseaux
je suis passionné par l'Algerie communiquer expliquer asssister les entreprises locales et les entreprises européennes interessées par le marché Algerien sont mes devises.Vous êtes une entreprise qui recherchez des distributeurs en Algérie,vous souhaitez connaître les particularités du marché algérien,P.Leberrigaud sera en mesure de vous donner toutes les informations économiques développer vos activités sur le territoire algérien.établir un partenariat avec les pmi pme algeriennes et françaises très étroites ,pour les 20 années à venir nous devons travailler ensemble, pour créer des centres d'interets communs, pour les petites et moyennes entreprises
Pays visités Algerie /Brésil/Mexique/Maroc/Ile Maurice/Grèce/Finlande/Suède/Turquie/Thailande/Seychelles/St Domingue/Espagne/royaume uni/Ecosse/Norvège/Belgique/
plbdeu@gmail.com
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Place à la poésie
Le domaine politico-diplomatique, bien que froid dans son verbe, tente parfois de bercer l’opinion par certaines expressions qui, au fil d’un galvaudage pavlovien, perdent de leur entrain poétique. Dans les sphères politique et médiatique, on évoque souvent l’expression «communauté internationale» ! Une expression qui, pour dans l’imaginaire collectif, devrait représenter ces milliards d’individus regroupés sous la bannière de leurs gouvernants démocratiquement élus, faisant écho, après enquêtes et sondages populaires, à leurs désirs pacifistes, impatients de rendre une justice impartiale et équitable dans chaque conflit international qui confronte tel peuple hargneux et querelleur avec son voisin récalcitrant. Rien de tel cependant. Quelle poétique vis-à-vis du sionisme ? Si Hitler était vivant, il aurait reconnu que l’idéologie sioniste avait devancé significativement l’idéologie nazie. Faits accomplis et reconnus de par le monde par ces penseurs qu’on essaye de discréditer sous l’appellation de «révisionnistes». Dans ce contexte, le conflit palestino-sioniste, c’est bien de cela qu’il s’agit, n’échappe pas à la dynamique de la «communauté internationale». Très souvent ce sont les «amis» de la Palestine qui psalmodient l’appel pressant à l’intervention salutaire, engagée, immanente et transcendante de la «communauté internationale». Parfois, ces «amis» dénoncent l’incurie de la communauté, sa partialité ; ils pleurent son impuissance et maugréent contre la lâcheté de ses dirigeants, et leur incapacité à imposer le droit international et à réprimer les méfaits de leur protégé «Israël» - l’État ethniquement pur pour «juif» seulement. Quelle rhétorique poétique ! Un poncif sur la scène Un poncif de la scène internationale gémit en citant une citation du négociateur palestinien Saeb Erekat qui parle d’un parti pris à l’époque de l’administration Clinton, en 2000 (en faveur d’«Israël»). «En suivant cette stratégie, l'administration Clinton a montré son incapacité à comprendre que les Palestiniens n'accepteront rien de moins qu'un État fondé sur les frontières de 1967, avec Jérusalem-Est pour capitale.» L’administration Clinton de la «communauté internationale» souhaitait-elle vraiment comprendre les Palestiniens ? L’administration Obama désire-t-elle vraiment comprendre les Palestiniens? Et si l’on corrigeait l’essai ? Pourquoi ces intellectuels et ces «amis» de la Palestine en appellent-t-ils exclusivement aux gouvernements occidentaux en tant que médiateurs «impartiaux» ? N’ont-ils pas fait appel précédemment à la «communauté internationale» dans son ensemble ? A moins qu’il s’agisse d’un aveu non sollicité. Pour eux, la «communauté internationale», ce ne sont pas les pays pauvres, les cent dix pays non-alignés, les petits pays d’Océanie, les pays arabes, les pays à majorité musulmane, et les pays riches politiquement indépendants des pressions américaines. Bref, la seule «communauté internationale» qui vaille et dont l’opinion compte à leurs yeux, c’est une vingtaine de pays, occidentaux pour la plupart, à la remorque des Américains. Le moment ne serait-il pas venu, messieurs, de passer à un autre mode de réflexion ? Question à ne pas méditer ! C. A.
Mr Mustapha Benbada, ministre du Commerce à propos de l’adhésion de l’Algérie à l’OMC
Benbada à à propos de l’adhésion de l’Algérie à l’OMC :
«Il faut d’abord protéger nos intérêts économiques»
C’est la suggestion faite, hier, par Mustapha Benbada, ministre du Commerce, lors de son passage à la Radio nationale. Saluant la proposition faite par l’Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA), quant à l’exigence d’un système de permanence pour garantir le service public minimum , M. Benbada a, fait savoir, à ce titre, qu’un atelier de travail, allant dans ce sens, sera incessamment créé. Abordant la fraude commerciale, le ministre a indiqué qu’il est prévu la création du registre du commerce électronique. Cette décision fait suite à la réunion d’évaluation du secteur du commerce, elle appuie les dispositions de la loi de finances complémentaire 2010 qui prévoient une réorganisation du registre de commerce en annulant au niveau du Centre national du registre de commerce (CNRC) tous les registres qui ont été modifiés sans en aviser le CNRC comme le prévoit la loi. Les dispositions de la loi de finances complémentaire insistent également sur la lutte contre toute forme de fraude économique et sur une limitation du délai de validité du registre de commerce dans certains secteurs à caractère stratégique. Au chapitre du contrôle commercial, le ministre du Commerce a précisé qu’il sera intensifié par un apport complémentaire en moyens humains, et ce, dans le cadre du programme de recrutement 2010-2014. Selon lui, 1 500 agents seront recrutés ainsi que 7 000 agents de contrôle. Aussi, des moyens matériels seront mis en place, entre autres, des laboratoires du contrôle de la qualité et de la répression des fraudes. Toutes ces actions seront soutenues par le renforcement du système législatif de contrôle. Abordant les opérations de contrôle lancées durant le mois du Ramadhan dernier, M. Benbada a mis l’accent sur les efforts engagés par les agents de son secteur : «En dépit de manque de ressources humaines, des efforts énormes ont été entrepris par les services du contrôle.» Et de préciser, à ce titre, que 162 000 interventions ont été enregistrées durant le mois sacré, soit une hausse de 17% par rapport au Ramadhan précédent. 40 000 infractions ont été enregistrées, induisant des poursuites judiciaires et la fermeture de plus de 2 780 locaux. Cependant, le ministre a mis en exergue le rôle du consommateur dans la régulation des prix. «C’est au consommateur d’imposer sa politique de consommation», a-t-il indiqué. Concernant l’organisation de l’activité commerciale, il a mis en exergue l’importance de créer un réseau de distribution moderne et régulé, et ce, afin de garantir la disponibilité et la qualité des produits et services. Il a, dans ce cadre, fait part de sa proposition relative à l’investissement dans de grands espaces. «Nous proposons, à ce titre, d’accompagner financièrement les communes, en leur accordant des prêts bancaires pour la construction de marchés de proximité.» La construction de ces marchés permettra de lutter contre l’activité commerciale informelle. Dans ce contexte, et à propos de l’éradication du marché informel de Bachdjerrah, M. Benbada a indiqué qu’elle est le fruit des actions menées par les pouvoirs publics dans le cadre du précédent programme quinquennal, à savoir la réhabilitation et la modernisation de plus de 200 marchés locaux et de 5 de gros. Il a appelé à généraliser l’opération de lutte contre les marchés informels, en créant en parallèle des espaces commerciaux organisés. Sur l’adhésion de l’Algérie à l’Organisation mondiale du commerce (OMC), M. Benbada a indiqué qu’elle sera conditionnée par la «préservation de nos intérêts économiques nationaux». Bahia A.
23-09-2010
Deuxième festival international de théatre d'Alger
Fenêtre ouverte sur les arts de la parole
La narratologie et les arts de la parole seront au cœur des débats du Festival international du théâtre d’Alger (FITA) prévu
du 14 au 25 octobre prochain.
La deuxième édition du Festival international du théâtre d’Alger (FITA) aura lieu du du 14 au 25 octobre prochain, et sera présidé par Sonia et M’hamed Benguettaf. «Deux présidents qui nous ont proposé des personnalités et un programme et vont nous parrainer pendant deux ans. Nous voulons aller au-delà de ce que nous avons fait cette année et celle d’avant. Nous voulons travailler avec les jeunes mais être guidés aussi par les anciens. C’est un rapprochement à la génération», nous a déclaré Brahim Noual, commissaire du festival. Le quatrième art palestinien sera à l’honneur de cette manifestation avec la présence de deux troupes.
La Tunisie, le Maroc, la Jordanie, l’Argentine, la Belgique, le Congo-Brazaville, le Niger, Oman, l’Italie, la France, la Russie, le Togo, le Mali, le Bénin et l’Allemagne participent également au festival. La présence du Kosovo n’est pas encore confirmée. Deux journées d’étude sur la narratologie et les arts de la parole auront lieu en marge de la manifestation, elles vont se dérouler au complexe d’Azur Plage. Les Algériens Abdelhamed Bourayou, Mansour Benchehida et Djamila Zegaï, le Palestinien Kamel El Basha, le Libanais Pauls Mattar, le Marocain Abderrahman Ben Zidane, le Béninois Honorat Aguessi, le Belge Christophe Cotteret, le Jordanien Gannam Ghannam, le Togolais Adika yawo et la Française Claire Ganjon sont les principaux intervenants lors de ces journées de débat.
Un espace pluridisciplinaire
«Nous voulons créer des passerelles entre les universitaires et les hommes de théâtre. Il y aura aussi des moments de pratique et de convivialité entre eux», a indiqué Brahim Noual. Il est prévu également cinq ateliers devant aborder des thématiques liées à l’actorat, à l’écriture dramatique, à la mise en scène, à l’expression corporelle et à la critique de théâtre. Ils seront, entre autres, encadrés par Nadia Bousennoun, Ivan Romouv et Saïd Ennadji.Il y aura aussi une rencontre-débat avec les hommes de la presse proposés par le romancier et journaliste Abderezak Boukebba. Sont prévus aussi trois jours de network entre les professionnels algériens du théâtre avec leurs homologues étrangers. «Il s’agit des échanges au niveau du théâtre.
Il y a la périphérie de ce festival, il y a le théâtre qui est invité et qui s’invite avec la littérature et la poésie. Il y a donc des moments dédiés aux arts de la parole et de la plume», a ajouté le commissaire du FITA. Un autre atelier sera lancé avec le début du festival et traitera du théâtre de l’improvisation. «Nous voulons ouvrir les portes aux jeunes qui voudront connaître plus le théâtre, dont celui de l’improvisation. Cela est un moyen de populariser cet art. Et pourquoi ne pas créer un jour la ligue du théâtre de l’improvisation», a expliqué Brahim Noual. Selon lui, il est important de tisser des partenariats ouverts sur la Méditerranée et sur l’Europe.
Dans cette optique, les commissaires des autres festivals du théâtre (Mostaganem, Médéa et Sidi Bel Abbes) ainsi que celui de la Marionnette sont invités à participer au FITA dans cette optique de partenariat. «Ils seront des interlocuteurs de nos partenaires étrangers. Nous voulons être un maillon de cette chaîne. Nous voulons travailler ensemble», a-t-il observé.
Fayçal Métaoui
Office Méditerranéen de la Jeunesse
Office Méditerranéen de la Jeunesse : lancement d'un projet pilote de mobilité dans l'espace méditerranéen
La deuxième conférence d'experts pour la création de l'Office Méditerranée de la Jeunesse (juin 2010) donne les contours du futur Office, et lance un projet pilote de mobilité
La première conférence "Migrations en Méditerranée : construire un espace de prospérité partagée", organisée en décembre 2009 par le Ministère de l'Immigration, de l'Intégration, de l'Identité nationale et du Développement solidaire à Paris, a abouti à la déclaration commune des Etats participants pour la création d'un l'Office Méditerranéen de la Jeunesse.
Ainsi, 16 pays du pourtour méditerranéen s'associent pour donner priorité à la jeunesse dans la construction d'un espace méditerranéen de la circulation des personnes, du savoir et des compétences et créer l'Office Méditerranéen de la Jeunesse. Sa création effective est envisagée pour le 1er janvier 2011.
Ces 16 pays sont l'Albanie, la Bosnie-Herzégovine, Chypre, la Croatie, l'Egypte, l'Espagne, la France, la Grèce, l'Italie, le Liban, le Maroc, Malte, le Monténégro, la Slovénie, la Tunisie la Turquie.
Au niveau français, le Ministère de l'Immigration, de l'Intégration, de l'Identité nationale et du Développement solidaire, la Mission interministérielle de l'Union pour la Méditerranée, le Comité d'orientation et CampusFrance sont parties prenantes de l'Office. Ce dernier bénéficie également de la contribution active de la Commission Européenne.
CampusFrance sera l'opérateur français de l'Office Méditerranéen de la Jeunesse.
1.Projet « paquet mobilité OMJ »
Objectifs: assurer la promotion de :
la mobilité des meilleurs étudiants de niveau Master et Doctorat
une première expérience professionnelle
la mobilisation des compétences au profit du développement du pays d'origine
Pour cela, un appel à projets sera lancé le 1er octobre 2010 pour les établissements d'enseignement supérieur, qui visera à labelliser des double-diplômes, formations conjointes (Master et Doctorat) entre deux établissements de pays participants à l'OMJ, en priorité concernant les domaines suivants (issus de l'Union pour la Méditerranée):
dépollution de la Méditerranée
autoroutes maritimes et terrestres
développement de l'énergie solaire
enseignement et recherche
protection civile
développement des petites et moyennes entreprises
Le « paquet mobilité » comprend :
une bourse OMJ pour le financement d'une période de mobilité universitaire d'un ou deux semestres (octroyés aux meilleurs étudiants des formations labellisées)
des facilités d'entrée et de séjour
un parrainage professionnalisant
l'accès à une plateforme de stages et d'emplois
la possibilité d'exercer une première expérience professionnelle dans le pays participant de son choix
2. Le Centre de ressources sur les mobilités méditerranéennes
Il vise au recensement sur le site de l'Office Méditerranéen de la Jeunesse de l'ensemble des informations sur les programmes de bourses des pays participants et des organisations internationales (site web en cours de construction).
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Division des relations internationales Mis à jour le 22 septembre 2010 par Nadège SOUCHEREAU
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Office Méditerranéen de la Jeunesse
L’Ecole supérieure d’assurances (ESA) est née
Elle a été créée conformément à un accord bilatéral entre l’Algérie et la France
L’Ecole supérieure d’assurances (ESA) est née
L’Ecole supérieure d’assurances (ESA), créée conformément à un accord bilatéral conclu entre l’Algérie et la France, a été inaugurée hier. Selon le directeur général de Macif, M. Gérard Andrek, 5 compagnies françaises d’assurances, dont sa compagnie, Axa et les Assurances générale de France (AGF), vont apporter leur appui pour la réussite de ce projet.
Intervenant lors d’une conférence de presse, tenue hier, consacrée pour l’annonce de l’ouverture officielle de l’Ecole supérieure d’assurances, M. Andrek a affirmé que la création de cette école a eu lieu conformément à un accord bilatéral conclu entre l’Algérie et la France, et intervient suite au règlement des conflits existant entre quelques compagnies d’assurances françaises et leurs homologues algériennes, ainsi que la création d’un groupe de travail commun, chargé de la mise en place de cette école pour une durée de 2 années.
Dans son allocution à l’occasion de l’inauguration de l’ESA, le directeur général de SAA, M. Amara Latrous, a indiqué que le développement du secteur des assurances est possible, vu les potentialités existantes, ajoutant que cette école constitue un outil appréciable pour la formation des cadres, le transfert des connaissances et la formation des formateurs
Le conseil des affaires algéro-russe coïncidera avec la visite de Medvedev à Alger
Il se réunira pour le première fois entre le 6 et le 8 octobre prochain
Le conseil des affaires algéro-russe coïncidera avec la visite de Medvedev à Alger
L’Ambassadeur de la Fédération de Russie à Alger, M. Alexandre Egorov a affirmé que la prochaine visite du président russe, M. Dmitri Medvedev en Algérie coïncidera avec la tenue du premier conseil d’affaires algéro-russe ainsi que le salon qui va être organisé à l’occasion entre le 6 et le 8 octobre à l’hôtel Hilton à Alger.
Par ailleurs, M. Alexandre Egorov a indiqué que ce conseil d’affaires sera une occasion pour renforcer les partenariats entre les entreprises des deux pays et que plusieurs compagnies russes envisagent d’élargir leurs activités et investissements en Algérie.
Dans le même sillage, on a annoncé qu’une foire sera organisée, bientôt à Alger, et qu’elle verra la participation de plus de 100 chefs d’entreprises russes de 45 compagnies représentant 20 régions de la fédération de Russie.
La même source a indiqué que les compagnies russes ne voient pas dans les lois algériennes, notamment la loi de finances complémentaire de 2009, dans son volet relatif à l’investissement étranger, un obstacle face à l’investissement étranger. Elle a, néanmoins, qualifié ces mesures d’ordinaires et en vigueur dans un nombre de pays, notamment en Russie. Elle a indiqué que les entreprises russes cherchent des partenaires algériens crédibles. Pour sa part, l’Ambassadeur de la fédération de Russie en Algérie, a affirmé que les entreprises de son pays respectent les lois du pays qui les accueillie.
Une nouvelle étape dans la relation France-Algérie
par Arezki Aït-Larbi
Au point mort depuis deux ans, les relations franco-algériennes commencent de nouveau à se réchauffer.
La dernière crise a commencé en août 2008, par l'arrestation du diplomate algérien Mohammed Ziane Hasseni, mis en examen par la justice française pour son implication présumée dans l'assassinat, en avril 1987 à Paris, d'André-Ali Mécili, avocat au barreau de Paris. Plaidant l'homonymie, Alger hausse le ton, dénonce une violation des us diplomatiques, et exige le non-lieu.
En juin 2009, les déclarations d'officiels français imputant la mort, en 1996, des sept moines de Tibéhirine à une probable bavure de l'armée algérienne ont fait le reste pour brouiller la ligne Alger-Paris. La visite d'État que devait effectuer le président Bouteflika en France est alors reportée sine die.
En toile de fond, les séquelles de la guerre d'Algérie s'invitent de manière récurrente dans le débat. Aux blessures mal cicatrisées de part et d'autre de la Méditerranée se sont greffées des manœuvres politiciennes autour du «devoir de mémoire». Si la France a fini par renoncer à glorifier «le caractère positif de la colonisation», les caciques du FLN brandissent encore la menace d'une loi sur les «crimes coloniaux».
Depuis le 20 juin dernier, la visite de Claude Guéant à Alger, où il a été reçu par le président Bouteflika, a amorcé une normalisation feutrée. Alger retrouve le sourire avec la sortie du film Des hommes et des dieux, de Xavier Beauvois, qui a sanctifié la vie des moines de Tibéhirine, sans se perdre sur la piste des auteurs de leur exécution. Le non-lieu, accordé le 31 août par la cour d'appel de Paris à Mohammed Ziane Hasseni, ouvre la voie à la reprise du dialogue. «Un verdict dicté par la raison d'État» dénonce l'opposition algérienne, qui craint de voir le dossier remis sous le coude. Selon des sources crédibles, Abdelmalek Amellou, l'assassin présumé de Me Mecili, coulerait des jours tranquilles au Club des Pins, la station balnéaire sécurisée de la nomenklatura, sur la côte ouest d'Alger.
Raffarin chargé de mission
Exit donc les sujets qui fâchent, place au négoce. Et c'est Anne-Marie Idrac, la secrétaire d'État au Commerce extérieur, qui a ouvert, dimanche, le bal des retrouvailles, accompagnée d'une forte délégation d'hommes d'affaires. Sa mission est de baliser le terrain à Jean-Pierre Raffarin, chargé par le président Sarkozy «d'identifier et de lever les obstacles entre la France et l'Algérie pour leurs investissements économiques respectifs». Premier partenaire économique de l'Algérie, la France a été taclée ces dernières années par plusieurs concurrents, d'Europe et du Moyen-Orient, qui ont raflé de nombreux marchés.
Dans ces retrouvailles qui risquent d'occulter la violation des libertés et la répression pour «délit de culte», c'est un vieil «ami de l'Algérie», Jean-Pierre Chevènement, qui risque de jouer les trouble-fête. Au Centre culture français d'Alger, il anime, ce mardi, une conférence sur le thème: «démocratie, religion et laïcité».
Le Président Bouteflika reçoit M. Jean-Pierre Chevènement
M. Jean-Pierre Chevènement : “Les relations entre l'Algérie et la France sont très importantes”
Le Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, a reçu hier à Alger, M. Jean-Pierre Chevènement, sénateur du territoire de Belfort et ancien ministre d'Etat français.
L'audience s'est déroulée en présence du ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, M. Daho Ould Kablia.
M. Jean-Pierre Chevènement : “Les relations entre l'Algérie et la France sont très importantes”
Les relations entre l'Algérie et la France sont très importantes et il est nécessaire de veiller à leur renforcement, a affirmé hier, à Alger M. Jean-Pierre Chevènement, sénateur du territoire de Belfort, ancien ministre d'Etat français.
"Je pense que l'entretien que j'ai eu avec le Président Abdelaziz Bouteflika contribue à maintenir et à fortifier le lien qui existe entre l'Algérie et la France et qui est tellement important", a déclaré M. Chevènement à la presse à l'issue de l'audience que lui a accordée le Chef de l'Etat.
"Il faut veiller sur cette plante (lien, ndlr) précieuse, créant tant que l'on peut des contacts amicaux", a-t-il ajouté.
Il a indiqué, par ailleurs, avoir procédé à un tour d'horizon avec le Président Bouteflika des problèmes internationaux ainsi que de la vie politique en général.
M. Chevènement a souligné, en outre, qu'il entretient une "relation personnelle ancienne" avec le Président Bouteflika.
Algerie France relations de partenariat incontournables
le temps d'algerie
Anne-Marie Idrac, secrétaire d'Etat française chargé du Commerce extérieur :
Il existe des relations de partenariat incontournables avec l'Algérie»
La secrétaire d'Etat française chargé du Commerce extérieur, Anne-Marie Idrac, qui a effectué une visite de travail les 19 et 20 septembre en Algérie, rentre «optimiste». «Je n'ai pas peur de l'échec.
Bien au contraire, lors de la préparation de cette mission, j'ai constaté personnellement que les responsables d'institutions économiques et des entreprises françaises étaient déterminés à développer un partenariat gagnant-gagnant», a-t-elle affirmé lors d'une conférence de presse animée à l'issue de son déplacement en Algérie, lundi après-midi.
Les contacts officiels reprennent entre Alger et Paris après deux années de tensions et de brouilles. La visite de la secrétaire d'Etat française chargée du Commerce extérieur intervient en effet après le dénouement de l'affaire du diplomate Mohamed Ziane Hasseni, qui a bénéficié d'un non-lieu et les déclarations indignes du ministre des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, sur les révolutionnaires algériens.
Pour apaiser la situation, le président français Nicolas Sarkozy a dû dépêcher, le 20 juin, le secrétaire général de l'Elysée, Claude Guéant, qui a été reçu par le Premier ministre Ahmed Ouyahia. Et tout récemment, l'ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin a été chargé par le président Sarkozy de conduire la mission de développement de la coopération économique bilatérale et des investissements.
La secrétaire d'Etat chargée du Commerce extérieur auprès de la ministre de l'Economie, de l'Industrie et de l'Emploi de la République française a tenu de souligner lors de sa rencontre avec la presse que les réunions tenues avec les autorités algériennes ont été axées exclusivement sur les questions économiques.
«Nous n'avons pas évoqué de problèmes politiques. Nous sommes d'accord avec les autorités algériennes qu'il faudrait bien avancer sur le sujet économique et industriel de manière pragmatique et amicale.
De ce point de vue, je voudrais en particulier témoigner de la volonté du gouvernement français et des entreprises françaises de développer nos investissements, en s'inscrivant complètement dans la logique légitime du gouvernement algérien en matière d'industrialisation du pays, de transfert de savoir-faire, de technologie et de création d'emplois», a-t-elle affirmé d'emblée avant de donner la parole à la presse.
Selon la ministre française, les entreprises de l'Hexagone ont des projets d'investissements importants qui peuvent se traduire en euros et en dollars, ainsi qu'en milliers d'emplois. «J'insiste sur le fait que notre démarche de partenariat s'inscrit dans le long terme.
Les entreprises françaises ne sont pas là pour faire des coups. Elles s'inscrivent dans la durée. Le président Nicolas Sarkozy a confié à l'ancien Premier ministre Jean Pierre Raffarin la mission d'être l'interlocuteur des pouvoirs publics algériens, en l'occurrence du ministre de l'Industrie, de la PME et de la Promotion de l’investissement, Mohamed Benmeradi.» Les autorités françaises veulent développer les échanges et les investissements dans les deux sens.
Renault reprend les négociations avec le ministère de l'Industrie
Parmi les responsables des entreprises qui ont accompagné la secrétaire d'Etat française du commerce extérieur figurent entre autres ceux du groupe Renault, Saint Gobain,
Axa, Total, le groupe pharmaceutique Sanofi-Aventis, Alstom, des sociétés ayant arraché des projets en Algérie, mais qui buttent sur quelques difficultés, notamment pour le cas de Total qui s'est impliqué dans un projet pétrochimique dans l'ouest du pays et qui veut avoir la majorité du capital.
Les dossiers de ces projets ont été soumis à l'approbation du gouvernement et du conseil national d'investissement. «Nous sommes à la disposition des autorités algériennes et nous sommes prêts à fournir tous les moyens nécessaires. En ce qui concerne les entreprises françaises, elles sont là pour investir à long terme», a fait savoir Mme Idrac.
Concernant le secteur des assurances, à la fin du mois de septembre, une école supérieure des assurances sera ouverte à Alger avec l'apport des autorités françaises.
Quant au fameux projet de montage de véhicules Renault, la hôte de l'Algérie est formelle : «Le groupe Renault confirme son intérêt pour un projet d'investissement en Algérie qui fait l'objet de nouvelles discussions avec les responsables du ministère de l'Industrie», signale-t-elle. La secrétaire d'Etat française chargé du Commerce était accompagnée également par des responsables de la Chambre de commerce et d'industrie de Paris, d'un représentant du Medef et d'Ubi France.
L'ensemble des acteurs économiques français sont représentés et veulent, selon Mme Idrac, élargir les projets d'investissements existants et avoir de nouveaux projets, notamment dans les secteurs prioritaires des programmes algériens, reposant sur l'idée de partenariat à long terme, la formation, la création d'emplois et le transfert technologique.
«Des perspectives de production locales et d'exportation sont visées, dès lors que les besoins du marché intérieur sont satisfaits», soutient la ministre française avant de conclure en ces termes : «Il existe un grand élan des entreprises françaises de travailler avec l'Algérie. Il y a des relations de partenariat incontournables. Je suis optimiste.»
F. B.
Salon Algéro-Allemand sur l’Environnement : 70 exposants au rendez-vous
Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES
Mercredi 22 septembre 2010.
Le deuxième Salon algéro-allemand sur l’environnement aura lieu du 22 au 24 novembre 2010, à Alger. La pollution causée par l’industrie émergeante, mais également la forte croissance de la population algérienne - surtout dans les zones de forte concentration urbaine le long de la côte - nécessite la recherche de nouvelles solutions pour la gestion des déchets, des eaux usées et dans le domaine de l’énergie. On constate actuellement un grand besoin en technologie et en savoir-faire pour pouvoir relever les défis environnementaux en Algérie. Ce sont ces défis que justement le deuxième Salon algéro-allemand sur l’Environnement EnviroAlgérie© intégrant un congrès scientifique et une bourse de coopération, devra contribuer à relever. EnviroAlgérie© est organisé par l’AHK Algérie et la Coopération technique allemande (GTZ) sous le Haut patronage du ministère algérien de l’Aménagement du Territoire et de l’Environnement. Il aura lieu du 22 au 24 novembre 2010 au Palais de la Culture à Alger. La première édition de ce Salon qui avait eu un véritable succès, s’était tenue en octobre 2008, avec 40 exposants allemands et 30 exposants algériens, 1500 visiteurs professionnels et plus de 100 journalistes. L’objectif du Salon 2010 est de faciliter aux décideurs politiques et économiques algériens en particulier et à la société civile en général, l’accès aux technologies les plus récentes et au savoir-faire allemand dans le domaine de la protection de l’environnement. Le Salon couvrira les domaines de la gestion des déchets, de l’eau, des énergies renouvelables et de l’efficience énergétique. Dans ce contexte, la GTZ invitera des experts internationaux pour discuter dans le cadre d’un Congrès sur le développement des nouvelles technologies dans les secteurs de l’environnement, du traitement de l’eau, du traitement des déchets et du changement climatique..
Le Congrès offrira aux participants allemands et algériens ainsi qu’aux experts de nouvelles informations sur le marché algérien afin de discuter sur les solutions et les potentialités qu’offre le marché algérien, comme par exemple dans le cadre des projets de "Mécanisme pour un développement propre (MDP)". De plus l’AHK Algérie organisera des entretiens individuels sous forme de bourse de coopération, qui auront lieu dans les stands respectifs des exposants durant tout le déroulement du Salon, afin d’établir de nouveaux contacts professionnels et d’intensifier les contacts déjà existants. Regroupant 700 membres algériens et allemands, la Chambre algéro-allemande de commerce et d’industrie (AHK Algérie) jouit, du fait de son statut paritaire, depuis plus de 4 ans, d’un excellent crédit auprès des institutions officielles et des entreprises des deux pays. Forte d’expériences au service des relations économiques algéro-allemandes, AHK Algérie est un partenaire fiable autant pour les entreprises allemandes qu’algériennes et tout particulièrement les PME quand il s’agit d’accéder à un marché étranger, diversifier leurs marchés, rechercher des partenaires ou représentants potentiels ou encore investir et s’implanter dans le pays..
En tant que membre du DIHK, l’organisation fédérale des CCI allemandes regroupant 3,7 millions d’entreprises affiliées, AHK Algérie fait partie d’un réseau international de 120 CCI allemandes à l’étranger et 80 CCI régionales en Allemagne. Dotées d’une autonomie de gestion, les Chambres de commerce allemandes à l’étranger sont le principal outil de la promotion du commerce extérieur allemand ; couvrant 97 % des pays avec lesquels l’Allemagne entretient des relations économiques, elles conseillent les entreprises de manière individuelle et pratique, répondant à leurs problèmes spécifiques..
Le Maghreb.
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Le président Mr Bouteflika reçoit Mr Jean-Pierre Chevènement
Le président algérien Abdelaziz Bouteflika a reçu mercerdi à Alger le président d'honneur du Mouvement républicain et citoyen (MRC) et sénateur français Jean-Pierre Chevènement, en visite depuis dimanche en Algérie, a indiqué l'agence de presse APS. "Je pense que l'entretien que j'ai eu avec le président Abdelaziz Bouteflika contribue à maintenir et à fortifier le lien qui existe entre l'Algérie et la France et qui est tellement important", a déclaré M. Chevènement à la presse à l'issue de cette rencontre.
"Il faut veiller sur cette plante (lien, ndlr) précieuse, en créant tant que l'on peut des contacts amicaux", a-t-il ajouté. Il a indiqué avoir évoqué avec le président Bouteflika les problèmes internationaux et la vie politique en général. M. Chevènement a précisé qu'il entretenait une "relation personnelle ancienne" avec le président algérien.
Durant son séjour, M. Chevènement a donné deux conférences à Oran et à Alger sur le thème "République, laïcité et religion"
Le climat des investissements français en Algérie est prêt à être relancé
Selon Mme Anne-Marie Idrac
Lors d'une conférence de presse, organisée lundi, la secrétaire d'Etat française chargée du Commerce extérieur, Anne-Marie Idrac, a fait état de nouvelles mesures en ce qui concerne les relations entre la France et l'Algérie tout en épargnant les problèmes politiques. Mme Anne Marie Idrac, a surtout insisté sur la "volonté du gouvernement français et des entreprises françaises de développer les investissements en Algérie et s'inscrire ainsi dans la logique" de développement et de partenariat définis par le gouvernement algérien. La secrétaire d'Etat chargée du Commerce extérieur a insisté sur un partenariat "gagnant-gagnant" entre les deux parties, un partenariat, a-t-elle soutenu "de long terme avec la formation et la création d'emplois et le transfert de technologies". "La présence d'une importante délégation économique, composée du président de la Chambre de commerce et d'industrie de Paris, d'un représentant du Medef (patronat français), et des responsables des sociétés Total, Lafarge, Saint Gobain, Cristal Union, Sanofi-Aventis, Alstom et autres, démontre la volonté des Français à investir en Algérie". Dans ce sens, la secrétaire d'Etat a refusé tout commentaire sur la nouvelle loi de finances complémentaire (LFC 2010), elle a précisé que chaque pays a le droit d'imposer les règles qu'il voit utiles pour sa politique. Or, elle a proposé de procéder à plus d'allégements et des facilités vis-à-vis des hommes d'affaires français pour la promotion des investissements en Algérie. Concernant la question sur une possibilité d'implanter une usine de montage de véhicules de type Renault en Algérie, la secrétaire d'Etat française a répondu que " les discussions avec les pouvoirs concernés nous intéressent toujours, elles sont vivaces et tout à fait d'actualité. D'ailleurs, la présence d'un bon nombre d'hommes d'affaires français ainsi que le responsable de l'usine Renault, est un signe fort pour relancer le projet", a-t-elle soutenu.
Elle a ajouté : "Nous avons pu constater des relations déjà excellentes en ce qui concerne le partenariat entre l'Algérie et la France. Dans ce sens, il y a lieu de noter que la coopération franco-algérienne s'inscrit "dans la durée et le long terme" avec 400 entreprises françaises présentes dans ce pays et qui génèrent 35.000 emplois directs et 100.000 indirects", a rappelé Mme Idrac. Aussi, la France constitue le premier fournisseur de l'Algérie avec une part de marché annuelle moyenne de plus de 20%. Les importations algériennes de France ont augmenté de plus de 238% entre 2002 et 2009, passant de 2,6 milliards de dollars à près de 6,2 milliards de dollars. Durant les dix dernières années, les échanges entre les deux pays ont presque doublé, passant de près de 5 milliards de dollars en 2002 à 10 milliards de dollars en 2009, soit le tiers des échanges entre l'Algérie et l'UE. Par ailleurs, Mme Anne-Marie Idrac, a affirmé que d'ici l'année prochaine, elle assurera l'activation de la Chambre algéro-française de commerce et d'industrie. A ce propos, un forum d'affaires algéro-français aura lieu d'ici 2011 afin d'encadrer la coopération économique bilatérale. La secrétaire d'Etat française chargée du Commerce extérieur, Anne-Marie Idrac, a assurée également, lors de la tenu de la conférence de presse, de sa disponibilité à soutenir le processus d'adhésion de l'Algérie à l'Organisation Mondiale du Commerce (OMC).
Nassim I.
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