阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Saturday, August 07, 2010

Mr le président Fidel Castro au parlement cubain



Reuters

Fidel Castro au parlement cubain pour la 1ère fois depuis 4 ans
par Rosa Tania Valdes

LA HAVANE (Reuters) - L'ancien président Fidel Castro a pris la parole samedi à une séance du parlement cubain, pour la première fois depuis quatre ans.

Castro, qui avait revêtu une chemise militaire kaki dépourvue d'insignes, a été chaleureusement applaudi lorsqu'il a pris place à la tribune.

Il était venu assister à une séance extraordinaire convoquée à sa demande pour discuter du risque d'une guerre nucléaire entre les Etats-Unis et l'Iran qui, selon lui, menace le monde.

C'est la première fois que le chef historique de la révolution cubaine, qui fêtera ce mois-ci ses 84 ans, participait à une séance parlementaire depuis qu'il a confié les rênes du pouvoir à son frère Raoul en 2006, à la suite d'une opération intestinale.

Resté pratiquement invisible depuis son opération, Fidel Castro a récemment fait plusieurs apparitions en public.

Aidé par son entourage pour parvenir à la tribune, Fidel Castro a pris la parole pour un discours long de 12 minutes, en s'en tenant, contrairement à ses habitudes, au texte préparé.

Il a invité les dirigeants mondiaux à convaincre le président américain Barack Obama de ne pas lancer une attaque nucléaire contre l'Iran.

"Si nous l'en persuadons, Obama ne donnera pas un tel ordre. Nous apportons notre contribution à cet effort positif", a-t-il dit.

Il s'est dit convaincu que la Chine et "les Soviétiques" - une référence apparemment à la Russie - ne voulaient pas une guerre nucléaire mondiale et feraient tout pour l'éviter.

Il a ensuite ouvert le dialogue avec certains députés, mais il semblait visiblement fatigué par l'exercice et le président du parlement Ricardo Alarcon a suggéré de mettre fin à la séance, qui a duré une heure et demie.

"Voilà ce que j'avais à dire, camarades, rien de plus. J'espère que nous pourrons nous rencontrer une autre fois", a conclu Fidel Castro sous les applaudissements de l'assemblée.

Avec Esteban Israel; Nicole Dupont et Pascal Liétout pour le service français

Pakistan Quinze millions de sinistrés


Pakistan Quinze millions de sinistrés

Image saisissante de sinistrés pakistanais, encerclés par les inondations, s’agglutinant devant la porte d’un hélicoptère qui, se maintenant à environ un mètre du sol apporte quelques vivres. On voit (à gauche et à droite), deux hommes partir avec un maigre paquet. La scène illustre la situation dramatique qui règne au Pakistan, où l’on compte désormais près de quinze millions de sinistrés. Dans le sud, c’est notamment la province agricole du Sind, traversée par le fleuve Indus, qui est touchée depuis trois jours. Un million de personnes y ont été évacuées, ce week-end. Mais « il y a des zones où les habitants ne veulent pas quitter leur maison et abandonner leurs biens. Nous les obligeons à partir, car il en va de leur vie », a déclaré le ministre de l’Irrigation, Jam Saifullah Dharejo. Les services météorologiques ont d’ailleurs prévu deux nouveaux jours de précipitations.

La France a décidé de porter à 1,05 million d’euros son aide humanitaire au Pakistan.

Dans la région indienne voisine, les crues dues aux pluies diluviennes de la mousson ont déjà fait au moins 132 morts.

Photo AFP

Regain d’intérêt pour les palais et les musées d’Alger


Les musées et les palais anciens de la capitale connaissent ces derniers temps un afflux relativement important des amateurs de monuments historiques, ceux-là mêmes qui auront choisi de joindre l’utile à l’agréable en cette période de délassement estival. Les palais de la ville d’Alger qui étaient les demeures des familles régentes pendant la période ottomane sont ainsi (re)devenus des lieux de prédilection pour les férus d’histoire, les personnes en quête de retour aux sources, notamment les Algériens établis à l’étranger, et les touristes étrangers. C’est que ces hauts lieux d’histoire, de culture et d’esthétisme architectural convient le visiteur à un véritable voyage dans le temps. Et ce sont des familles entières ainsi que des groupes de jeunes et de moins jeunes qui bravent la canicule pour prendre part à ce voyage, qui permet de replonger dans la mémoire et de remonter les siècles. C’est le cas de cette famille algérienne établie en France, franchement séduite par le Palais des Raïs (Bastion 23), cet édifice ancien perché sur une falaise face à la mer, à Quaâ-Essour (bas du rempart), à proximité de la mythique Place des Martyrs. «Nous sommes venus visiter ce palais antique car il nous rattache à nos racines, tout simplement», dit Achour, visiblement fier que son épouse et sa fille soient de l’»expédition». Nostalgique et bon père, il confesse : «Bien qu’ayant vécu ma jeunesse à Alger, je n’ai jamais visité ce palais, mais depuis que j’ai quitté cette ville, je ressens le besoin de me replonger dans tout ce qui me lie à mes racines algériennes. J’aimerais aussi que ma fille s’imprègne de la personnalité algérienne authentique et prenne connaissance des hauts faits de l’histoire de notre pays». Il déplore toutefois le fait que les dessins et autres figures géométriques ornant les plafonds du Palais des Raïs soient «dépourvus de légendes permettant de les dater et de déterminer la civilisation à laquelle ils appartiennent». Sa fille, quant à elle, regrette l’absence de mobilier d’époque et le dit : «C’est dommage qu’il n’y ait pas de meubles dans les pièces luxueuses de ce palais, ce qui nous aurait donné une image plus précise de la vie des gens qui habitaient les lieux». Un groupe de jeunes filles venues de la banlieue d’Alger et d’Oran se disent, elles, subjuguées par l’architecture du palais. «Cette architecture savamment conçue reflète l’ingéniosité de ses concepteurs. J’ai surtout été frappée par le hammam qui exploitait les eaux de pluie pour son fonctionnement, et par le système d’évacuation des eaux», a indiqué l’une d’entre elles. L’Oranaise trouve, pour sa part, que ce palais est l’un des monuments de la capitale qui l’ont le plus impressionnée. «J’ai visité, dit-elle, beaucoup de régions, mais ce lieu historique m’a marquée davantage et m’a permis d’avoir une idée plus précise de la vie ancienne et des habitants qui accordaient un grand intérêt à l’aspect esthétique», a-t-elle ajouté. Visiblement ravis, des responsables du Bastion 23, l’autre nom du Palais, confirment le grand attrait qu’exerce ce monument durant la trêve estivale, notamment depuis sa restauration il y a près de dix ans. Et pour cause, c’est «l’un des plus importants bâtiments symbolisant l’histoire de la Médina d’Alger», souligne-t-on. L’histoire du Palais des Raïs, classé patrimoine universel en 1992, remonte à la construction, sur une falaise face à la mer, d’une fortification que l’on désignait par le vocable de Quaâ-Essour, destinée au renforcement des points de défense de la basse médina. La batterie était également connue sous le nom de Topanet Arnaout Mami à cause des pièces d’artillerie érigées par le raïs Mami Arnaout au XVIe siècle. Ensemble architectural constitué de palais et de maisons mauresques, le Palais des Raïs est une partie intégrante du tissu urbain de la Médina d’El Djazaïr qui comptait plusieurs quartiers à l’époque ottomane (XVIe/XIXe siècles). Pendant la période coloniale, le palais des Raïs, à l’instar de tous les autres palais, a été exploité par les militaires français du génie. Hormis le palais des Raïs qui attire le plus grand nombre de visiteurs, il existe, rappelle le chef de la communication auprès de l’Office national de gestion et d’exploitation des biens culturels, M. Mohamed Ben Meddour, plusieurs autres palais antiques qui, à l’époque ottomane, servaient de résidence à la classe gouvernante de la Basse Casbah et dont certains sont ouverts aujourd’hui au public. On cite notamment «Dar Aziza», «Dar Khdaouedj el Amia» et «Dar Mustapha Pacha», alors que le reste de ces bâtisses anciennes est exploité par certaines structures relevant du ministère de la Culture. Situé en face de la mosquée séculaire de Ketchaoua, le palais «Dar Aziza» a été rouvert en avril dernier au public et reçoit quelque 30 personnes par jour en moyenne pour des visites guidées. Tous les palais de la Basse Casbah portent le même cachet en matière de motifs décoratifs et de formes: des chambres harmonieusement alignées en forme circulaire avec un patio orné d’une fontaine en marbre et entouré de colonnes torsadées, des murs et des plafonds merveilleusement décorés et un plancher pavé de marbre. De son côté, le Musée des arts et des traditions populaires, «Dar Khdaouadj el Amia», connaît une forte affluence. Il se distingue par ses petites chambres et sa terrasse qui donne sur la façade maritime. «Cette terrasse nous renseigne sur l’opulence dans laquelle vivaient la classe gouvernante et les familles richissimes de cette époque et témoigne de la vie paisible et sereine que menaient les habitants de la Casbah», dira un visiteur. Le Musée national de l’enluminure, de la miniature et de la calligraphie (palais Mustapha-Pacha, Alger) édifié en 1797 à la basse casbah constitue un authentique chef-d’úuvre qui, selon son directeur M. Mustapha Belkahla, se distingue par son style architectural ancien et ses merveilleux tableaux. Le responsable du musée affirme que les lieux sont de plus en plus fréquentés et que son objectif est d’attirer les enfants, les visiteurs du futur, par l’organisation à titre d’exemple d’ateliers pour l’enseignement de la calligraphie arabe, un art raffiné qui contribue au développement de la personnalité de l’enfant. «Je suis agréablement surpris par ce fait que même les visiteurs profanes, algériens et étrangers, manifestent un vif intérêt pour ce palais et se montrent sont avides de connaître les plus infimes détails sur les objets d’art exposés», s’est-il réjoui. Mais ces palais antiques, de véritables joyaux au cúur de la capitale, exigent bien plus d’efforts, d’imagination et d’abnégation pour espérer un jour élever l’ensemble au rang de «Mecque des touristes». Agence



08-08-2010

Le métro d'Alger n'est pas une chimère ni une utopie youtube

Algerie un phénomène croissant en Algérie Le célibat : entre mode de vie et contrainte sociale



Alors que la démographie reprend de plus belle, avec un indice des naissances assez élevé ces dernières années, paradoxalement, le célibat n’a jamais été aussi important. Sur 35 millions d’Algériens, il y a quelque 18 millions de célibataires, dont 10 millions de femmes en âge de procréer.

Au moment où des milliers de couples convolent en justes noces cet été, nombreuses sont les personnes qui ont fait du célibat un mode de vie, pour des raisons économiques, socioculturelles, familiales ou simplement personnelles.

Des femmes ont choisi de “vivre en solo”. Témoignages. Elles sont cadres supérieurs, chefs d’entreprise, magistrates, médecins ou encore de haut gradées dans le corps militaire, ces femmes ont choisi le célibat volontaire et assumé. Un phénomène qui prend de plus en plus d’ampleur en Algérie. Leur intégration dans le monde du travail et leur indépendance économique et sociale enlèvent au mariage son caractère indispensable pour leur survie, comme c’était le cas pour les générations passées. Beaucoup d’hommes ont également choisi le même statut, à tort ou à raison. Mais il faut dire que les raisons du célibat féminin ou masculin sont quasiment les mêmes.

Les causes de ce phénomène qui semble prendre de plus en plus d’ampleur sont dues essentiellement au chômage, à l’exiguïté de la maison familiale, à l’indisponibilité de logement et au manque de moyens financiers. Car, s’il existe des célibataires heureux, d’autres n’aspirent qu’à trouver chaussure à leur pied. Au cours de notre enquête, la majorité des hommes et femmes que nous avons rencontrés et qui ont bien voulu discuter de cette question très personnelle ont pratiquement tous dépassé la quarantaine. La plupart sont instruits ou issus d’une couche sociale aisée.

“Je ne suis pas à la recherche de l’âme sœur, même si j’ai dépassé largement la quarantaine. Pour la simple raison que j’assume mon célibat. Je suis convaincue que je ne trouverai pas quelqu’un qui pourrait m’apprécier à ma juste valeur. J’ai passé pratiquement tout mon temps et mon énergie à étudier pour construire une vie professionnelle, et je n’ai aucunement envie de quelqu’un qui pourrait détruire tout et me réduire à une simple femme au foyer soumise”, nous dit Leïla, maître assistante dans un hôpital à Alger. Et d’ajouter : “J’ai connu quelqu’un, il y a quelques années, qui m’a demandé de choisir entre lui et mon travail. Mais c’est insensé ! J’ai bien sûr opté pour mon poste et je ne le regrette pas.”

Amel, pharmacienne, et Noura, chef d’entreprise, en pensent autant. “Mieux vaut être seule, car je suis une personne très libre avec ses défauts et qualités, et je suis convaincue que l’homme en général, et l’Algérien, en particulier, a cette fierté mal placée et voudrait avoir une femme soumise. Ils veulent reproduire l’image de leurs mères et grands-mères”, soulignent-elles. “On ne demande pas aux maris de nous prendre en charge matériellement ou de subvenir à nos besoins. Nous voulons cette égalité des points de vue intellectuel et fonctionnel”, dit de son côté Chahrazed, gynécologue.

Son amie, Meriem, 38 ans, elle aussi célibataire, chef de service dans un centre médical, enchaîne : “J’ai fait des études sans la volonté de mes parents parce que je voulais à tout prix réussir dans ma vie professionnelle. J’ai eu beaucoup de demandes en mariage. Mais tous n’ont pas compris mon vœu de progresser socialement. Ils ne voyaient en moi que la future mère de leurs enfants. Il m’est arrivé de regretter d’avoir refusé des prétendants. Mais en progressant dans mon travail, j’ai vite oublié. Les années passent vite, je suis toujours seule mais satisfaite de mon indépendance.”

Côté hommes, Mohammed, 47 ans, cadre supérieur dans un ministère, explique son choix : “J’adore ma liberté et je n’ai pas envie de la perdre”, lance-t-il. Fouad, 51 ans, chirurgien-dentiste, a choisi le célibat parce qu’il n’a pas trouvé chaussure à son pied : “Quand j’étais plus jeune, je cherchais une belle femme, arrivé à la quarantaine, j’ai commencé à m’intéresser au côté intellectuel, mais je n’ai pas trouvé ce que je cherchais réellement. Avec le temps, j’ai fini par me décider de vivre librement, sans engagement.”

Ainsi, à force de chercher la perfection chez le conjoint, la majorité de ces célibataires se retrouvent seuls à un âge avancé. “J’ai toujours rêvé d’un bel homme, intelligent, respectueux, charmant et plein de qualités, quelqu’un qui n’existait finalement que dans mon esprit. Je ne pouvais pas accepter n’importe qui, comme le font les jeunes filles d’aujourd’hui. Comme je suis issue d’une famille aisée, et ayant fait des études supérieures, je me voyais mal avec quelqu’un d’inférieur à moi. Je suis restée célibataire. Ne dit-on pas, mieux vaut rester seul que mal accompagné”, conclut Nouara, magistrat

“Je suis considérée comme une personne hors normes, incomprise”

“Je me sens gênée à chaque fois que quelqu’un me pose la question du mariage. Ils n’arrivent pas à comprendre que c’est un choix assumé. Je ne vois pas pourquoi on doit se justifier alors que l’homme vit cette situation le plus normalement du monde”, dit Imane, 44 ans, enseignante. Mais, il n’est pas toujours facile de convaincre la société de ce choix. “Je me demande pourquoi tu ne veux pas te marier, sauf si… C’est désolant que notre société n’ait pas encore évolué. À ces gens-là, je dirai oui, j’ai privilégié ma carrière, c’est un choix que j’ai toujours fait en connaissance de cause”, dit Ikram, standardiste. “Tout le monde pense que si l’homme me demande de quitter mon travail, il faut le faire.

Ils se demandent pourquoi je n’ai pas encore trouvé de mari à mon âge !” Chez les hommes, la situation n’est pas bien différente mais ils résistent à la pression. “À chaque fois que je rentre à la maison, ma mère relance son sujet favori, me marier et voir mes enfants avant de mourir. J’ai beau lui expliquer que je ne le veux pas, elle insiste et je finis toujours par lui dire que je vais réfléchir”, nous raconte Hamid, chef d’atelier.

Entre crise socio-économique et obligations familiales

Fouad est chef de département dans un organisme public. Âgé de 53 ans, il ne regrette pas d’avoir vécu pour ses jeunes frères et sœurs :“Quand mon père est décédé, j’avais 24 ans. Il a laissé derrière lui trois garçons et quatre filles. Je ne pouvais pas les abandonner. J’ai sacrifié les plus belles années de ma vie à les marier.

Aujourd’hui, je me sens satisfait d’avoir fait ce qu’il fallait faire. Je savoure mon célibat. Quoique ce ne sont pas les opportunités qui manquent, ni les moyens financiers”, dit-il. Nadia est âgée de 48 ans. Elle vit avec sa mère malade. Elle travaille dans une banque publique. Propriétaire d’un appartement, elle a préféré vivre dans le domicile familial.

Son père décédé, ses frères et sœurs tous mariés, elle était obligée de prendre en charge sa maman. “Il est vrai que quand j’étais plus jeune, je rêvais d’un mari et d’enfants, mais en voyant l’expérience de mes sœurs, j’ai vite changé d’avis. Surtout que je ne voulais en aucun cas laisser ma mère seule. Il y a des moments où je plaisante avec elle en lui disant que j’allais me marier et qu’elle allait vivre avec moi et mon mari, elle se fâchait et disait qu’elle veut mourir chez elle”, soutient-elle.

Nombreux sont les hommes et femmes célibataires qui se débattent dans les difficultés matérielles. Il faut dire que le problème du logement, le taux de chômage et la cherté de la vie sont les causes principales du célibat. Pour se marier en Algérie, l’homme doit avoir au minimum un travail et un appartement. Cet avis n’est pas partagé par certains sociologues algériens.

Ils avancent que cette tendance n’a pris de l’ampleur que depuis une quinzaine d’années en Algérie et les raisons de cette mutation “sont liées à l’occidentalisation de la société algérienne, à travers l’ouverture sur les médias étrangers et les émissions qu’ils diffusent sur le mode de vie et des relations sociales qui ont séduit ces célibataires à la recherche de liberté et d’indépendance.”

Elle est liée aussi au “facteur socioculturel qui reste l’élément principal, car le temps où la femme subissait le choix de ses parents est presque révolu”. Pour certains, il s’agit plutôt de la recherche d’un conjoint idéal. Une femme qui a un niveau d’instruction élevé cherche toujours un homme cadre, universitaire, intellectuel. Et la réciproque est vraie. C’est un besoin psychologique.

Aide humanitaire chinoise remise au Pakistan



Une autre aide humanitaire estimée à 50.000 dollars américains de la part de la Croix-Rouge chinoise a été remise jeudi au Pakistan après la distribution de l'aide de 10 millions de yuans (1,48 million de dollars américains) de la part du gouvernement chinois au pays ravagé par les inondations.

Acceptant l'aide de la Chine, Nadeem Ahmed, président de la Direction de la gestion nationale des catastrophes naturelles, a déclaré que la Chine est le premier pays à distribuer des aides humanitaires au Pakistan en ces temps de besoin, ce qui montre les relations amicales spéciales qui existent entre les deux pays.

L'ambassadeur chinois au Pakistan, Liu Jian, a déclaré que la Chine souhaite aider les Pakistanais à surmonter cette catastrophe historique.

Le Pakistan a lancé une opération humanitaire d'urgence le 30 juillet après la déclaration de l'état d'urgence dans la province de Khyber Pakhtunkhwa située dans le nord-ouest du pays.

Plus de 1.500 personnes ont trouvé la mort et environ trois millions d'autres ont perdu leur maison dans les pires inondations que le Pakistan ait connu.

En raison du manque de ressources permettant de réparer les terribles dégâts, le Pakistan a demandé à la communauté internationale de l'aider à apporter de l'assistance aux habitants touchés, car la diarrhée et d'autres maladies pourraient tuer rapidement la population dans ce contexte.

Trois avions de Chine sont arrivés à Islamabad mercredi, avec à leurs bords des équipements permettant de filtrer l'eau, des groupes électrogènes, des tentes et des kits médicaux.


Agence de presse Xinhua 2010/08/06

ONU: Mr Jackie Chan lance un appel pour le concours "Ambassadeurs citoyens"


Jackie Chan, star chinoise de films d'action et ambassadeur de bonne volonté du Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF), lance sur YouTube à la chaîne de l'ONU, un dernier appel pour le concours "Ambassadeurs citoyens", a annoncé mardi le département de l'Information de l'ONU (DPI) dans un communiqué.

L'acteur de renommée internationale demande aux candidats de présenter avant le 23 août 2010 le clip vidéo "original et créatif" qu' ils auront concocté sur le sens et l' importance des Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) pour leur propre vie et celle de leurs famille et communauté.

Les nom des six gagnants, représentant toutes les régions du monde, seront annoncés en septembre prochain. Ils seront conviés à New York, un mois plus tard, pour rencontrer le secrétaire général de l'ONU et assister comme "invités d' honneur" au concert donné tous les ans à l'occasion de la Journée des Nations Unies. Ils recevront aussi une caméra haute définition personnalisée pour continuer à rendre compte des efforts de leur communauté en faveur des OMD.

L' appel de Jackie Chan succède à ceux d' autrespersonnalités parmi lesquelles les Messagers de la paix des Nations Unies, Stevie Wonder et la Princesse Haya de Jordanie, ainsi que les Ambassadeurs de bonne volonté de l' UNICEF Angélique Kidjo, Youssou N' Dour et Léo Messi.

Les centres d' information des Nations Unies dans le monde se tiennent à la disposition des candidats pour tout prêt de matériel ou assistance technique, selon le DPI.


Agence de presse Xinhua 2010/08/04

Discours à l'ONU sur l'environnement pour les générations à venir Youtube

La commercialisation du premier ordinateur algérien est prévue pour 2011



Belkhadem l'a annoncée jeudi, depuis Mostaganem
La commercialisation du premier ordinateur algérien interviendra l'année prochaine dès lors qu'un contrat soit conclu entre une entreprise algérienne et une autre internationale, leader dans l'industrie des ordinateurs, pour la réalisation d'une usine en Algérie produisant des équipements informatiques. C'est ce qu'a indiqué le secrétaire général du parti FLN, Abdelaziz Belkhadem, à l'APS en marge des travaux de la 2e journée de l'université d'été du FLN jeudi, à Mostaganem. Dans ce sens, il a émis le souhait de voir la finalisation de ce contrat en automne prochain, estimant que la commercialisation d'un ordinateur made in Algeria se fera dès l'année prochaine et contribuera à réduire le fossé en matière de généralisation de l'utilisation de l'informatique et des technologies de l'informatique.
Le SG du FLN déplore, dans ce contexte, le fait que le programme "Ousratic" n'a pas atteint tous ses objectifs. Il a appelé les petites et moyennes entreprises à jouer un rôle "important" dans la concrétisation de l'objectif de généralisation de l'utilisation de l'informatique contenu dans le programme de développement de l'Etat qui vise à généraliser l'utilisation de l'ordinateur par chaque citoyen et dans toutes les écoles. A signaler, en outre, que le plan quinquennal 2010-2014 s'est invité aux travaux de l'université d'été du parti du FLN, ouverte mercredi dernier à Mostaganem. Au deuxième jour, des conférences sur le plan quinquennal étaient animées par d'éminents professeurs.
Le recteur de l'université de Dely Brahim, Dr Abdelwahab Rezzig, qui a présenté une conférence intitulée "La rentabilité des dépenses publiques et la cohésion sociale", a souligné que l'Etat assume la responsabilité des dépenses "pour conforter son économie et la valoriser pour être en mesure de relever les défis et les enjeux économiques et répondre aux besoins sociaux d'habitat, d'emploi et d'infrastructures de base". Le conférencier a insisté sur l'importance du lancement du programme de développement dans cette conjoncture internationale qui se caractérise par une grave crise économique et financière, "ce qui permet aux économies émergentes le décollage et promouvoir leurs systèmes économiques par le renforcement des infrastructures et des opportunités d'investissement".
Le conférencier a indiqué, à ce propos, que le programme quinquennal consacre la politique de l'Etat visant à relancer le secteur de la petite et moyenne entreprise et favorise l'environnement approprié pour promouvoir ce secteur, qui a aussi besoin du soutien de l'Etat pour devenir le pilier de l'économie. Le professeur Mohamed Berkouk, de l'université d'Alger, a situé, pour sa part, la place du développement humain dans le plan quinquennal, précisant que ce grand programme de développement assurera la sécurité alimentaire et la protection sociale grâce à une politique rationnelle de l'emploi, l'intégration économique et productive et une distribution équitable des ressources, tout en appelant à déterminer une vision future à long terme dans la réalisation et la concrétisation des projets de développement. Abordant les petites et moyennes entreprises (PME) qu'il estime comme premier indicateur de l'évolution des organisations économiques internationales, le professeur Mohamed Djemia, membre de la commission économique du FLN, a, dans sa conférence sur "Le rôle de l'entreprise algérienne dans la réussite du plan quinquennal", estimé que ce secteur économique doit réhabiliter les industries susceptibles de créer le tissu des activités de production pour réaliser le marché de sous-traitance, qui est aussi une source de valorisation des PME. Il est à souligner, par ailleurs, que le SG du FLN a indiqué que le choix, cette année, du plan quinquennal comme sujet de travail principal de l'université d'été du parti, a pour objectif de préparer les élus de sa formation politique à débattre du bilan qui sera présenté par le gouvernement devant le Parlement en automne prochain pour ce qui est des programmes de développement précédents et à mieux suivre l'application de ceux à venir.

YF/APS

L’Algérie veut faire parvenir des livres scolaires aux enfants de Gaza


Info-Palestine
Ma’an News

Les parlementaires algériens fourniront des uniformes scolaires ainsi que des livres pour tous les enfants des écoles publiques de Gaza, a déclaré le ministre de l’éducation à Gaza
Mohammad A’squl a indiqué que le ministère à Gaza avait envoyé à l’Algérie des informations sur les élèves afin que la donation puisse avoir lieu à temps pour la nouvelle année scolaire.

Le ministre a ajouté qu’il espérait que l’aide serait livrée sans objections de la part des Egyptiens et des Israéliens, mettant en avant la pénurie massive de matériel pédagogique au début de l’année scolaire 2009, après que des dizaines de camions de papier et de livres se soient vus refuser l’entrée dans le territoire assiégé par Israël.

A’squl a appelé les autres organisations arabes et islamiques à soutenir le système éducatif dans la bande de Gaza, soulignant que les écoles sont sur-fréquentées et nécessitent environ 70% de places supplémentaires ainsi que du matériel pédagogique.

Trente-cinq parcelles de terres ont été affectées à la construction de nouvelles écoles, et le ministre a déclaré que les constructions débuteraient bientôt.

Mais de nombreux matériaux de construction sont interdits dans le territoire à cause du blocus israélien qui a déjà paralysé une première fois aussi bien les nouvelles constructions que la reconstruction des bâtiments détruits par l’attaque israélienne sur la bande de Gaza [hiver 2008-2009].



6 août 2010 - Ma’an News - Vous pouvez consulter cet article à :
http://www.maannews.net/eng/ViewDet...
Traduction : Info-Palestine

Pakistan le désastre Youtube


Le mot « Pakistan » est un néologisme. Le nom signifie « pays des purs » (de l'ourdou : pâk signifiant « pur » et stân signifiant « pays », avec un i de liaison)[4]. Mais c'est aussi un acronyme formé avec le nom des provinces du pays : le Pandjab, l'Afghania (actuelle province de Khyber Pakhtunkhwa), le Kashmir, l'Indus-Sind et le Baloutchistan, donnant ainsi une étymologie populaire et néanmois hasardeuse au nom, puisque le « Bengale oriental », appelé par la suite « Pakistan oriental » (futur Bengladesh) n'y est pas mentionné alors qu'il représentait plus de la moitié de la population du futur état lors de son indépendance en 1947[5]!

Commémoration des 65 ans d'Hiroshima Youtube BFM TV



Hiroshima (広島, Hiroshima? littéralement large île) est la capitale de la préfecture de Hiroshima et la ville la plus importante de la région de Chūgoku. Elle se situe sur la côte Nord de la mer intérieure de Seto, sur l'île de Honshū, à l'ouest du Japon. La ville est tristement célèbre pour avoir été la victime du premier bombardement atomique de l'Histoire, le 6 août 1945.
La première attaque atomique de l'histoire
En 1945, l'armée Américaine avait retenu six objectifs : Hiroshima, Nagasaki, Kokura, Niigata, Kyōto et Yokohama.

Le 6 août 1945 à 2 h 45 (heure locale), le bombardier B-29 Enola Gay piloté par Paul Tibbets, du nom de sa mère, décolle de la base de Tinian, avec à son bord une bombe atomique à l'uranium 235 d'une puissance de 12 kilotonnes, surnommée Little Boy. L'équipage est composé de douze hommes, dont quatre scientifiques. Deux autres B-29 l'escortent, emportant les instruments scientifiques destinés à l'analyse de l'explosion.

À 7 h 09, l'alarme aérienne est déclenchée à Hiroshima ; un avion isolé est repéré. Il s'agit du B-29 d'observation météorologique Straight Flush. Au même moment, deux autres appareils survolent Kokura et Nagasaki pour une mission de reconnaissance identique. Les conditions météorologiques sont très bonnes au-dessus de Hiroshima ; la ville est choisie comme cible. Au sol, l'alerte aérienne est levée à 7 h 30. La ville a été peu bombardée pendant la guerre et les habitants ont l'habitude de voir les bombardiers américains survoler leur ville pour se rendre plus au nord.

La bombe, recouverte de signatures et d'injures à l'adresse des Japonais est armée en vol et larguée à 8 h 15, à près de 9 000 mètres au-dessus de la ville. À 8 h 16 min 2 s heure locale, après 43 secondes de chute libre, la bombe explose à 600 mètres du sol, à la verticale de l'hôpital Shima situé au cœur de l'agglomération.

L'explosion, équivalent à celle de 15 000 tonnes de TNT, rase instantanément la ville. 75 000 personnes sont tuées sur le coup dont un tiers de militaires, la ville étant entre autres le siège de la 2e Armée, chargée de la défense de l'ouest du Japon, et de nombreux arsenaux et bases aériennes. Dans les semaines qui suivent, plus de 50 000 personnes supplémentaires meurent. Le nombre total de morts reste imprécis ; il est de l'ordre de 250 000. Sur les 90 000 bâtiments de la ville, 62 000 sont totalement détruits.

Il ne resta aucune trace des habitants situés à moins de 500 mètres du lieu de l'explosion.

Au retour, les aviateurs verront pendant 500 kilomètres le champignon qui, en deux minutes, a atteint 10 000 mètres d'altitude. L’Enola Gay atterrit six heures plus tard à Tinian. Son équipage est aussitôt décoré.

La création d’entreprises en Algérie




La création d’entreprises reste faible en Algérie
Les dispositifs de soutien publics à la création d'entreprises doivent être repensés. D'autant que le rythme de création d'entreprises est très faible en Algérie (seulement 15 à 20 000 créations par an) et qu'il ne s'agit pas de transformer un chômeur en chômeur endetté

Centenaire de Alioune Diop, fondateur de la maison d'édition Présence africaine



Hommage à un grand homme de lettres


De nombreuses manifestations ont eu lieu. Au mois de janvier 2010, une plaque commémorative a été apposée sur la façade de sa maison natale à St Louis, un concours de poésie et de langues a été organisé au sein des écoles du Sénégal et finalement, un colloque a réuni des universitaires venus de tous les horizons d’Afrique et de la Diaspora. Le colloque avait pour thème : «Alioune Diop, l’Homme et son œuvre face aux défis contemporains». Parmi les invités de marque, on notait notamment la présence de Wole Soyinka, Prix Nobel de littérature, la plupart des écrivains sénégalais dont l’écrivain, Cheikh Hamidou Kane, auteur de «L’Aventure ambiguë» du poète Amadou Lamine Sall, de Senghor et de l’ancien directeur général de l’UNESCO Amadou Mahtar Mbow. Durant 3 jours, les éminents universitaires ont revisité l’œuvre d’Alioune Diop et rappelé le rôle qu’il a joué dans l’émancipation des peuples noirs. Les témoignages que nous détenons de ses contemporains constituent un héritage précieux pour cerner la personnalité captivante de cet homme de culture, généreux et discret qui a marqué cette fin du 20e siècle. Wole Soyinka, Prix Nobel de Littérature et président de la communauté africaine de culture a souligné «le rôle de visionnaire et de missionnaire qu’Alioune Diop a tenu pour la défense de la race noire». Dans son allocution il a magnifié l’œuvre de l’éditeur sénégalais et a invité la jeunesse à s’en inspirer. «Nous avons eu le privilège d’être des compagnons d’Alioune Diop. Il nous a enseignés que l’esprit de guerre contre le barbarisme n’a pas de limite. Ce message est toujours d’actualité. Il appartient aux jeunes de s’en approprier car la culture reste un vaste champ de bataille… Alioune Diop a montré la voie qui mène vers la libération de la pensée négro-africaine» Wole Soyinka, Prix Nobel de Littérature 1988. Notes biographiques Alioune Diop est né le 10 janvier 1910 à St Louis-du-Sénégal, ancienne capitale de l’Afrique occidentale française (AOF). Le jeune Alioune fréquente l’école coranique comme tous les enfants de famille musulmane. Cependant, ses tantes maternelles catholiques l’initient au dogme chrétien. Alioune Diop se convertit plus tard au christianisme dans la nuit de Noël 1944 à Saint-Flour dans le Cantal. Il reçoit son baptême catholique sous le nom de l’apôtre Jean. Alioune Diop fréquente d’abord l’école publique de Dagana où il accomplit le cycle d’études primaires et ensuite le lycée Faidherbe de Saint Louis-du-Sénégal. En 1931, il réussit son baccalauréat d’études classiques avec latin et grec. Il est appelé la même année sous les drapeaux et fait son service militaire à Thiès (Sénégal). En 1933, il se rend à Alger, n’ayant pas pu bénéficier d’une bourse d’études pour la France afin d’entreprendre des études universitaires. Il obtient sa licence es-lettres classiques et un diplôme d’études supérieures. Il enseigne dans divers établissements français, avant d’être élu représentant du Sénégal en 1946 au sénat français. De 1947 à 1980, il dirige la maison d’édition «Présence Africaine», entourée d’un groupe d’intellectuels africains, français et de la Diaspora afro-américaine. Il est décédé le 2 mai 1980 et a été enterré au cimetière du Père-Lachaise à Paris. Lors de son oraison funèbre, le président-poète, Léopold Sédar Senghor l’a qualifié de Socrate noir. En hommage au premier éditeur francophone d’Afrique noire, l’Organisation internationale de la francophonie a créé en 1982, un prix d’Edition Africaine Alioune Diop. Ce prix est décerné tous les deux ans à la Foire internationale du Livre et du matériel didactique de Dakar (FILDA). La Maison de la culture Douta Seck à Dakar a donné son nom à l’une de ses salles. Carrière professionnelle Muni de sa licence es-lettres, Alioune Diop occupe plusieurs postes dans l’enseignement. Lors des élections de 1948, il perd son poste de sénateur à Paris au profit du Bloc Démocratique Sénégalais (BDS) de Mamadou Dia qui l’emporte. Déjà en tant que sénateur, Alioune Diop se consacre à ses activités culturelles. Il crée la revue «Présence Africaine» en 1947 et deux ans plus tard, la maison d’édition qui porte le même nom au quartier latin de Paris. Alioune Diop, pionnier dans le domaine de l’édition a ouvert la voie aux écrivains en les faisant connaître. Il a permis ainsi à des écrivains aujourd’hui considérés comme des classiques de la littérature africaine d’exprimer leurs idées et de défendre leurs opinions. Il a eu le courage d’imprimer la thèse de Cheikh Anta Diop «Nations Nègres et Cultures». En effet, toutes les Maisons d’édition parisiennes avaient refusé d’éditer l’ouvrage scientifique du savant sénégalais. Alioune Diop a publié tous les grands écrivains de la littérature africaine et de la Diaspora : Léopold Sédar Senghor, Aimé Césaire, Jacques Rabemananjara, Sembène Ousmane, Ferdinand Oyono,Richard Wright, George Padmore Aoua Keita… Les plumes les plus prodigieuses de l’intelligentsia noire y publient des articles percutants. Léopold Sédar Senghor sera présent avec 16 articles entre 1947 et 1960. Grâce à son acharnement sans faille, de nombreux auteurs africains sont sortis de l’anonymat. Alioune Diop a entrepris une véritable croisade culturelle afin d’imposer la littérature et la culture africaines et leur donner ainsi leurs lettres de noblesse. Les manifestations culturelles : réalisations d’Alioune Diop Parmi les thèmes qui préoccupent les intellectuels africains à l’orée de l’Indépendance, la question de l’art revient dans presque tous les débats sous forme d’interrogation. (A suivre) P. H.-F.



07-08-2010