阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

retrouver ce média sur www.ina.fr

commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Tuesday, February 15, 2011

Euronews déchets électroniques youtube




Le Premier ministre Mr François Fillon a apporté mardi son soutien à Mr Christian Jacob



Fillon soutient Jacob après ses critiques contre DSK
Mis à jour le 15.02.11 à 20h14
Le Premier ministre François Fillon a apporté mardi son soutien à Christian Jacob, auteur d'attaques contre le socialiste Dominique Strauss-Kahn jugées indignes par une partie de la gauche. Le chef de file des députés UMP a estimé dimanche que le directeur général du Fonds monétaire international (FMI) n'était pas à «l'image de la France, de la France rurale, de la France des terroirs et des territoires, de la France qu'on aime bien». Ces propos ont déclenché la colère des proches de Dominique Strauss-Kahn, candidat potentiel à la présidentielle de 2012, qui laissent entendre que l'attaque avait une connotation antisémite, mais la majorité a fait bloc derrière Christian Jacob.

«J'apporte tout mon soutien à Christian», a dit François Fillon lors de la réunion du groupe UMP à l'Assemblée nationale, dans des propos rapportés par des participants. «Ce qu'il a dit est d'une extrême modération par rapport à la façon dont certains à gauche parlent de Dominique Strauss-Kahn», a-t-il jugé, appelant les députés à faire preuve de «beaucoup de sang-froid».

Christian Jacob s'est lui-même expliqué mardi à l'Assemblée nationale. «Dominique Strauss-Kahn, pour moi, n'incarne pas le monde rural ni la France des territoires ou des terroirs, je suis paysan, je le ressens de cette manière», a dit l'ancien ministre de l'Agriculture.

—Avec Reuters

Madame Carla Bruni-Sarkozy youtube le Figaro Douce France” en “Dolce Francia”

r

UPM Union pour la méditerranée 2011,


Méditerranée
Un défi pour notre diplomatie
15 février 2011 Der Standard Vienne

Révolutions en Tunisie et en Egypte, afflux de réfugiés à Lampedusa : L’UE ne cesse d’être prise au dépourvu. Pour prévenir de nouvelles crises, elle devrait dès à présent réfléchir à une association la plus étroite possible des Etats du Maghreb, estime Der Standard.

Alexandra Föderl-Schmid
Lady Ashton était en fait censée être le visage de l’Europe et lui conférer du poids sur la scène internationale. Mais elle s’est volatilisée pendant la crise, tant les positions des Etats de l’UE divergeaient : les uns, gardant à l’esprit l’expérience de 1989 en Europe de l’Est, soutenaient le mouvement sur la place Tahrir, les autres préférant attendre de voir quelle personnalité de premier plan finirait par s’imposer. Au moins, Benita Ferrero-Waldner, qui l’avait précédée à la Commission européenne, était-elle capable de dire quelque chose rapidement et en plusieurs langues.

C'est la méfiance qui inspire la politique extérieure commune
Le déplacement d’Ashton le 14 février à Tunis ne peut suffire à faire oublier le lamentable silence de la diplomatie de l’UE, d’autant plus que le ministre allemand des Affaires étrangères, Guido Westerwelle, l’a devancée. Dès samedi, il était sur place. Pour l’Allemagne — et pour la France —, les enjeux sont énormes : c’est de leurs relations économiques et politiques qu’il s’agit. Chaque année, l’Allemagne versait à elle seule 112 millions à l’Egypte, et la France 475 millions à ses anciennes colonies, l’Algérie, le Maroc et la Tunisie. Ce n’était pas une aide économique absolument désintéressée, puisque cet argent contribuait également à stabiliser les régimes de la région. C’est pourquoi Berlin et Paris ne veulent pas céder le terrain à Bruxelles, parce qu’ils estiment que leurs propres intérêts sont concernés. Une preuve supplémentaire de la méfiance qu’inspire la politique extérieure commune.

Entre-temps, d’autres ennuis se profilent pour l’UE. L’afflux de réfugiés qui traversent la Méditerranée en provenance de Tunisie montre que leur désir de liberté ne se cantonne pas à leur propre pays, mais qu’il se tourne également vers l’Europe. Comme l’Espagne et la Grèce, Rome clame à juste titre, depuis des années, que les autres Etats de l’UE laissent les Italiens se débrouiller seuls avec ce problème. Il est plus urgent que jamais de répartir la charge dans toute l’Europe. Car jusqu’à présent, les Etats au sud de l’Europe, situation géographique à laquelle ils ne peuvent rien, ont été touchés de façon disproportionnée. C’est une affaire de solidarité européenne.

Bien plus qu'un test diplomatique
Il devient aussi urgent de savoir ce que l’on propose à ces Etats. La politique de voisinage de l’UE ou l’Union pour la Méditerranée a jusqu’à présent été conçue comme un placebo, en lieu et place d’une intégration — tout en sachant pertinemment que ces pays ne satisfont pas aux critères décisifs d’entrée dans l’UE. Mais si le Maghreb et le Moyen-Orient deviennent le théâtre d’une démocratisation, alors les Etats de l’Union seront confrontés à leur demande d’intégration.

Il est manifeste que ces pays se trouvent dans le voisinage immédiat de l’Europe. L’argument selon lequel le statut de membre peut servir à stimuler un développement démocratique sera immanquablement évoqué, comme dans le cas de la Turquie.

L’UE n’est pas prête à répondre à ces questions. Injecter 17 millions d’euros en Tunisie ne suffira pas à interrompre le flot des réfugiés. L’UE doit s’interroger sur les perspectives qu’offrent ces pays, en particulier à la jeunesse. La solution du problème des réfugiés doit être considérée comme davantage qu'un simple test diplomatique. Sinon, l’UE sera en partie responsable d’une catastrophe humanitaire.

le président de la république Mr Nicolas Sarkozy fiscalité



Sarkozy plaide pour la suppression de l'ISFEn déplacement à Montmirail dans la Marne pour parler de désindustrialsation, le président de la république a invité les parlementaires de sa majorité à suivre l'exemple des socialistes allemands et espagnols qui ont supprimé la fiscalité sur le patrimoine des contribuables les plus aisés.
Impôts sur le patrimoine mais aussi taxation des produits importés... Nicolas Sarkozy a profité de son déplacement à Montmirail, une petite bourgade de la Marne, pour dévoiler en partie ses intentions en matière fiscale. Et le chef de l'Etat a surpris son auditoire venu l'écouter sur la désindustrialisation de la France en invitant la majorité à ne pas tergiverser sur la suppression de l'impôt sur la fortune. "L'ISF été supprimé partout en Europe", a d'abord rappelé le président français en soulignant que "les socialistes allemands" et "les socialistes espagnols" avaient eux aussi choisi d'abandonner cette ponction de l'Etat sur le patrimoine. "Ce que les socialistes ont compris en Europe - pas en France - peut-être que la droite et le centre français peuvent le comprendre aussi", a-t-il ensuite expliqué à l'adresse des parlementaires qui, au sein de la majorité, hésitent à supprimer cet impôt emblématique.

"Mettre la poussière sous le tapis, ce n'est pas ma conception des choses"

Nicolas Sarkozy va-t-il imposer ce choix à sa majorité ? "Le conseil qui m'est donné, c'est l'immobilisme. On met la poussière sous le tapis (...) ce n'est pas ma conception des choses", se contente-t-il de répondre tout en soulignant son "objectif est clairement d'harmoniser les conditions de la compétition entre l'Allemagne et la France". Sans rentrer dans le détail, le Président s'est également engagé à ce que la réforme de la fiscalité ne remette pas en cause le principe de non taxation de la "propriété de l'outil de travail".

Les produits importés doivent eux aussi contribuer au financement de la Sécu

S'exprimant devant des patrons de PME que la concurrence des pays émergents inquiète, Nicolas Sarkozy s'est dit prêt à réfléchir à une taxe sur les produits importés dans certains secteurs, sans les préciser. "J'aimerais quand même qu'on réfléchisse à cette question de taxation des importations, parce que j'en ai un petit peu assez que les importations ne participent absolument pas au financement de notre protection sociale", avant de préciser que le ministre de l'Industrie, Eric Besson, qui l'accompagnait, se pencherait sur ce dossier.

Orienter davantage l'épargne des Français vers l'industrie

Nicolas Sarkozy a enfin promis que le gouvernement ferait en sorte de consacrer les trois quarts des nouveaux encours des fonds d'épargne réglementés à l'investissement dans les PME - les Français ont un des taux d'épargne les plus élevés au monde. "ll faut que l'épargne des Français soit orientée vers l'industrie", a-t-il expliqué. "Je voudrais réconcilier les Français avec l'argent investi dans les entreprises."

Lors de cette table ronde et d'une visite de la maison mère de la société de câblage électrique de haute technologie Axon, il a de nouveau fait l'éloge du capitalisme familial face au capitalisme financier, un de ses thèmes de prédilection. "Il vaut quand même mieux travailler dans une entreprise dont on connaît le patron plutôt qu'appartenir à un fonds de pension", a-t-il dit aux ouvriers d'Axon - qui ont participé en 1985 au rachat de leur usine, alors propriété du groupe suédois Volvo - en retrouvant le ton d'un candidat en campagne.

"C'est pour cela que la réforme de la fiscalité du patrimoine que nous engageons est très importante", a-t-il conclu.

latribune.fr -

JERUSALEM - La chef de la diplomatie de l'Union européenne (UE),



Romandie News Texte
Catherine Ashton mardi au Proche-Orient
JERUSALEM - La chef de la diplomatie de l'Union européenne (UE), Catherine Ashton, va effectuer une visite au Proche-Orient, notamment mardi en Israël et dans les Territoires palestiniens, a indiqué lundi un communiqué de la délégation de l'UE auprès de l'Etat d'Israël.

"Catherine Ashton se rendra en Israël et en Palestine le mardi 15 février pour rencontrer les acteurs clés du processus de paix au Proche-Orient, dont le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, le ministre des Affaires étrangères Avigdor Lieberman ainsi que le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas et le Premier ministre Salam Fayyad", précise le communiqué.

Elle arrive au Proche-Orient alors que M. Fayyad a présenté lundi matin la démission de son cabinet et a été chargé par le président Abbas de former un nouveau gouvernement.

Mme Ashton, qui avait effectué au début janvier une tournée dans la région, va "rendre compte de la récente réunion du Quartette qu'elle a présidé à Munich et présenter les prochaines étapes décidées à cette occasion, notamment la prochaine rencontre des émissaires du Quartette avec les négociateurs israéliens et palestiniens à Bruxelles", selon le communiqué.

Le principal négociateur palestinien, Saëb Erakat, a toutefois démissionné de ses fonctions samedi en raison de fuite d'archives sur les pourparlers de paix avec Israël.

Lors de sa réunion le 5 février en Allemagne, le Quartette pour le Proche-Orient (Etats-Unis, UE, Russie et ONU) a jugé "impérative" une reprise des négociations de paix israélo-palestiniennes bloqués depuis septembre, au vu des mouvements de contestation qui ébranlent la région.

Mais les pourparlers directs entre Israël et les Palestiniens, relancés le 2 septembre à Washington après plus de neuf mois d'interruption, sont suspendus depuis l'expiration le 26 septembre d'un moratoire israélien sur la colonisation.

Pour reprendre les discussions, les Palestiniens --très critiques de la dernière déclaration du Quartette-- exigent un gel de la colonisation et réclament des références politiques claires, dont la fin de l'occupation des Territoires palestiniens occupés en 1967 avec Jérusalem-Est pour capitale.

Ils demandent également la reconnaissance de l'Etat palestinien sur les frontières de 1967, avant la guerre israélo-arabe des Six-Jours (juin 1967), moyennant des échanges mineurs de territoire.

La Haute représentante de l'UE aux Affaires étrangères compte en outre se rendre ensuite au Liban et Jordanie, "où elle aura des entretiens avec les dirigeants de ces pays, notamment avec le président (libanais) Michel Sleimane et le roi Abdallah II de Jordanie", ont précisé ses services à Bruxelles dans un communiqué séparé.

Ces deux visites sont prévues en principe mercredi. Toutefois, selon une source diplomatique, il est n'est pas exclu que Mme Ashton n'ait le temps au bout du compte de se rendre que dans l'un des deux pays.

Cette nouvelle série de rencontres survient dans une région bouleversée par les soulèvements populaires en Tunisie et en Egypte.

Mme Ashton avait aussi l'intention à l'origine de se rendre en Egypte, mais ce déplacement est désormais très incertain suite à la chute du président Hosni Moubarak.

(©AFP / 14 février 2011 14h10)

Mr le Président Nicolas Sarkozy veut un débat sur le multiculturalisme



Sarkozy veut un débat sur le multiculturalisme
L'UMP prépare des conventions sur la justice et la place des religions en France, en vue de la présidentielle de 2012.

Les prochains débats que lancera l'UMP sont prêts: après les 35 heures et la TVA sociale, place aux questions de société, avec l'application des décisions de justice et celle, ultrasensible, du multiculturalisme et de la place des religions -de l'islam, surtout- en France. Ces deux thèmes ont été validés ce lundi par Nicolas Sarkozy, lors d'une réunion de l'équipe dirigeante de l'UMP à l'Élysée, en présence du premier ministre, François Fillon, du patron du parti, Jean-François Copé, et du ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux. «Le rôle du parti, c'est d'en parler, de faire réagir les Français», a lancé le président devant ses troupes. François Fillon qui, ces dernières semaines, mettait en garde le parti contre une multiplication de débats «qui n'aboutissent pas», a estimé cette fois que ces débats étaient nécessaires.

Le chef de l'État a également validé une série d'affiches de campagne aux slogans accrocheurs («Non aux multirécidivistes, oui aux jurys populaires», par exemple). Celles-ci seront envoyées dans toutes les fédérations départementales de l'UMP avant la fin de la semaine.

Amener la gauche à se prononcer
Nicolas Sarkozy s'est surtout réjoui d'avoir pris les devants, jeudi soir dernier, en abordant lui-même ces sujets lors de l'émission «Paroles de Français». «C'était une bonne idée de parler du multiculturalisme. Il faut que l'UMP lance un débat sur l'islam. Moi, je veux aller plus loin: je ne veux pas de minarets, pas d'appels à la prière dans l'espace public, pas de prières dans la rue», a-t-il martelé. Le chef de l'État s'est également félicité d'avoir promis des «sanctions» si des «fautes» étaient avérées dans le suivi de l'affaire Laëtitia: «Même si ces positions ne sont pas forcément populaires, ça finit par imprimer. C'est la première fois que quelqu'un donne les vrais chiffres de la justice à la télévision! Et personne ne les a contestés», a ajouté Sarkozy qui avait indiqué au cours de l'émission que le nombre de magistrats était passé de 7300 à 8500 entre 2002 et 2010.

Ces deux débats seront lancés l'un après l'autre, avant la fin du mois de mars. L'UMP organisera pour chacun d'eux une «grande journée de confrontation», version remaniée des conventions tenues par le parti pour l'élection présidentielle de 2007. Le président, qui ne veut pas laisser le champ libre au FN sur ces thématiques, souhaite surtout amener la gauche à se prononcer. «Le silence du PS est assourdissant sur ces questions, explique un participant à la réunion. Les socialistes n'ont pas de corps de doctrine et sont divisés. Ils ne s'occupent que du deuxième tour de la présidentielle. Le président, lui, s'occupe du premier tour. Et parle à notre électorat.»

Samedi soir, lors d'un dîner à l'Élysée -où étaient notamment conviés Jean-François Copé et sa compagne, Nadia, Éric Besson et son épouse-, le chef de l'État a félicité le patron de l'UMP d'avoir récemment débattu avec l'intellectuel musulman controversé Tariq Ramadan à la télévision: «C'est bien, il ne faut pas avoir peur de l'affronter.»